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Jason & Arwen ♡
« J’ai commencé à te haïr au moment ou tu m’as obligé à te désirer. »
Depuis que j’ai tout perdu, je suis devenu quelqu’un d’autre. Bien plus solitaire, triste, peureux. Aucun mot ne pouvait qualifier mon ressentiment en ce-moment. Au fond de moi, j’avais un profond sentiment de haine comme si tout était fait pour que je m’énerves encore plus. Bref, ma fille était la seule personne en qui j’avais confiance, en qui je croyais actuellement. C’est la seule personne qui me donne la force de me battre, de sourire, elle me redonne confiance en moi. Je ne voyais personne d’autres faire ceci à sa place si ce n’est qu’Adriana, sa mère, qui nous a quitter il y a de ça trois ans maintenant. J’ai toujours du mal à m’en remettre, savoir qu’on allait bientôt arriver à la date de sa mort, me terroriser un peu plus. J’espère que je ne serais pas seul ce jour-là. Ma fille de cinq ans restait forte pour moi, elle se battait toujours. Et parfois je l’entend pleurer avant qu’elle s’endorme, elle pense à sa maman comme moi je pense à elle de temps en temps. A priori, je ne voyais aucune autre femme prendre sa place à l’heure actuelle. Je n’avais pas assez fait mon deuil pour pouvoir accueillir une nouvelle mère pour ma fille, bien qu’elle m’harcèle sans arrêt pour savoir quand est-ce qu’il y aura une maman. Il est vrai que je ne pouvais rien lui refuser, mais ce genre de chose ne ce décide pas à la légère.
Aujourd’hui, la journée était la même que toutes. Je me lève à sept heures du matin, réveillant ma petite princesse. Actuellement on dormait chez des amis, j’attendais une réponse pour une maison de confrérie à Harvard. Je ne sais pas quand je serais accepter, mais j’espère vraiment que ça se fera rapidement. Nous avons hâte d’avoir notre petit chez nous. Ma fille dormait paisiblement, je la laissais jusqu’à ce que mon amie se charge de s’occuper d’elle une fois qu’elle aurait ouvert les yeux. Pas maintenant en tout cas. « J’espère que ça ne te dérange pas de me la garder pour la journée. » lui dis-je assez gêner. Il est vrai que je n’osais pas trop lui demander des services, mais elle m’a dit de faire comme chez moi et qu’elle n’avait que sa à faire de ses journées. Elle ne travaille pas, quand à son colocataire oui. Apparemment ils seraient attiré l’un par l’autre. Enfin je ne vais pas non plus déballer leurs histoires de cœur, après tout ça ne me regarde pas. Bref, elle m’avait répondu positivement et j’étais plutôt soulager pour la journée. Je déjeune rapidement, finissant par prendre une bonne douche et de m’habiller. Aujourd’hui, j’avais un cours de pratique concernant le journalisme et tout ça, assez passionnant je dois dire. Une fois que je fus prêt, j’attrape les clefs de ma voiture, j’embrasse délicatement le front de ma princesse tout en lui susurrant à l’oreille un petit « Je t’aime » puis je me rendis à l’université.
Au bout d’un quart d’heure de route, j’arrive à l’endroit convenu. Les cours allaient être long, mais après tout c’était bien fait pour. En arrivant, je pouvais constater que mon professeur aurait une bonne heure de retard. Je décide donc de faire un tour dans les amphithéâtre quand je découvris Arwen. Cette fille, punaise, elle me fait tant d’effet. Enfaite c’est assez inexplicable, mais disons que depuis que je suis ici, je n’arrête pas de poser mes yeux sur elle, dans la cours je scrute l’horizon au cas où je la croiserais du regard. Je l’apprécie beaucoup, passer des moments avec elle c’est vraiment agréable. Je décide de m’approcher. Je lui lance un petit sourire. « Sa me fait plaisir de te voir. » dis-je en posant mon épaule droite sur le casier à côté du sien afin d’être sur qu’elle me voit. Avec elle, je ne pouvais que sourire. Elle me faisait penser à ma femme, le même sourire éclatant.
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