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L'un de nous est de trop (Mathieu & Duncan)

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L'un de nous est de trop.

En ce vendredi soir, je comptais bien m'éloigner le plus possible d'Harvard, malheureusement les activités pour un étudiant comme moi se résument à la drogue, au sexe et à faire chier son monde, c'est d'ailleurs ce que je comptais faire ce soir. Une nana à mettre dans mon lit ? Une personne avec qui me défoncer ? Ou bien quelqu'un à faire chier ? En entrant dans le Lord Hobo j'ai croisé une jeune femme plutôt attirante toute seule au bar. Elle avait l'air pas trop mal, autant tenter ma chance. Ni une ni deux je m'avançais vers elle jusqu'à ce qu'un mec vînt s'asseoir avant moi, Mathieu. Un espèce de connard que je n'ai jamais pu blairer. Il pensait se la faire ce soir ? Il s'est trouvé un adversaire de taille. Je m'avançais alors vers les deux jeunes gens, passant dans un premier temps à côté de Mathieu en lui murmurant quelque chose à l'oreille. J'espère que tu as apporté les mouchoirs, parce que ce soir tu seras seul avec ta main droite. Lui disais-je d'un ton des plus agaçants. Je m'approchais alors de la deuxième place libre à côté de cette jeune demoiselle en lui souriant de mon sourire le plus charmeur, n'importe quelle femme ne pourrait y résister. Un verre? Lui fis-je avant de commander deux bières au serveur. Ce soir elle allait repartir avec moi, au grand malheur du français.
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Les soirées dans les bars. Je savais que c'était le passe-temps préféré de la plupart des étudiants d'Harvard et pourtant, ça me passait un peu par dessus la tête. Non, je n'étais pas un vieux garçon coincé et chiant à mourir, mais je ne voulais pas me réveiller avec un mal de crâne, une envie de gerber partout et avec une incapacité à me souvenir de ma soirée. Ce n'était pas mon délire, mais parfois, je me laissais prendre au jeu. J'étais arrivé il y a quelques minutes et je n'avais pas eu de mal à me frayer un chemin jusqu'au bar. Il était encore assez tôt, rien d'anormal donc. Une fille visiblement déjà déchirée avec de grands yeux bleus me rejoignit rapidement en titubant. Ce n'était pas facile d'être défoncée et perchée sur des talons de quinze centimètres. Les filles aimaient vraiment se compliquer la vie. Je commençais à discuter, une discussion très superficiel, avec une fille pas capable d'aligner deux mots. Je m'emmerdais royalement et je ne la trouvais même pas particulièrement jolie. Ouais. Cette soirée craignait. Quelqu'un vint me marmonner quelques mots à l'oreille et je fronça les sourcils, ne reconnaissant pas ce pauvre Duncan au premier abord. Sa vue me fit grincer des dents. Il manquait plus que lui histoire de bien rabaisser le niveau. Son allusion comme quoi je ne risquais pas de remporter le petit duel qu'il venait d'improviser me donna envie de ramener cette fille, quand bien même elle ne m'attirait pas. L'instinct de compétition. C'est très débile cette bête là. Je mis ma main sur la couture du short de la fille, laissant mes doigts glisser et s'égarer sur sa peau humide. C'est vrai qu'il faisait chaud dans ce bar. Elle ne me repoussa pas, de toute façon elle avait l'air paumée et incapable d'en avoir la force. Ce bon Duncan, moi qui te pensais en train de snifer quelque chose dans une ruelle sinistre. Lançais-je avec un sourire jovial.
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Prendre cinq minutes de ma journée pour me mettre un Eliot à dos, j'adorai ça. Et quand je dis cinq minutes je pèse mes mots, il m'en faudra probablement beaucoup moins pour remporter cette compétition que je venais de lancer à Mathieu. Nous sommes tous les deux complètement différents, cependant nous sommes tous les deux de sacrés compétiteurs, rabaisser l'autre et l'humilier c'est notre seule raison de nous côtoyer en dehors des couloirs de Harvard. Je m'étais alors tranquillement installé à côté de cette jeune femme visiblement déjà bien éméchée, c'est pas plus mal au moins elle ne se souviendra plus de moi demain matin, oui je donnerai ma main à couper qu'elle finira par repartir avec moi et non avec mon cher collègue bien qu'il était tout de même un adversaire de taille, ça tombe bien j'adore les défis. Sa petite pique lancée à mon égard me fit sourire plus qu'autre chose, les propos de ce genre de mec ne me touchaient absolument pas. Je ne te cache pas qu'en te voyant j'étais tout aussi surpris que toi. Moi qui te croyais en train de te toucher avec tes potes Eliots devant le miroir en ventant vos corps de femmelette, plutôt surpris de te voir ici. Lui lançais-je à mon tour avec un sourire hypocrite sur les lèvres, je remettais clairement sa sexualité en cause, certes mes propos n'étaient pas forcément vrais mais les insultes entre les eliots et les mathers volaient rarement haut. Le barman m'apportait mon verre ainsi que celle de la jeune femme qui gloussait lorsque je lui ai tendu son verre en lui lançant un clin d’œil furtif. Je voyais bien la main baladeuse de Mathieu sur cette jeune femme, la partie commençait. Je te paie un verre Mathieu ? Une grenadine pour toi je suppose ? Ou c'est un peu trop fort ? Lui disais-je l'air faussement innocent, retournant rapidement m'occuper du cas de cette charmante jeune femme, enfin qu'elle soit charmante ou non je m'en fichais un peu, du moment que Mathieu repart la queue entre les jambes, tout est parfait pour moi. Je passais doucement ma main sous son t-shirt pour caresser délicatement son dos, rien de telle pour la faire rougir une fille totalement éméchée, sans oublier le clin d’œil moqueur à mon adversaire du soir.
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Corps de femmelettes ? Il avait que ça ? Pathétique. Parmi toutes mes certitudes à propos de ma personne, il y avait mon physique et rien ne m'enfonçait davantage dans ma confiance en moi insolente que ce sujet sensible pour d'autres. Mon corps est en bon état, au moins, je ne risque pas de crever à trente ans, je vais encore pouvoir m'admirer longtemps. Enfin, vu ta tronche, j'imagine que le plus tôt sera le mieux pour toi répliquais-je avec une grimace rapidement gommée de mon visage au profit d'un sourire faussement compatissant. C'était bas de s'en prendre au physique, mais il avait commencé. Oui, j'étais puérile à ce point en ce moment. Malaxant toujours la jambe de la fille avec ma main, je ne lui portais pas la moindre attention, bien que l'odeur entêtante d'alcool et de je-ne-voulais-pas-savoir-quoi dont elle était imprégnait n'arrêtait pas de pourrir mon air. Sa petite remarque acerbe sensée me diminuer me fit lever les yeux au ciel. Ouais, il volait vraiment bas. Refusant de rentrer dans son jeu même si j'avais déjà mis les deux pieds dedans, je m'efforça de dissimuler une pointe de colère, colère contenue dans mes doigts qui tenait fermement la peau de l'ivrogne à côté de moi. Bordel, elle allait se réveiller avec un sacré bleu demain. Peu importe. Ouais, j'en veux bien une, merci. J'ai jamais eu besoin de boire de la bière pour me sentir virile, ni de snifer des pétards. Mais bon, certains sont plus évolués que d'autres. Tu l'es pas beaucoup, mais tu es gentil quand même. Lançais-je en souriant de toutes mes dents. Je retira ma main de la pauvre cuisse de la fille à côté de moi pour pouvoir tendre le bras et atteindre le dos de Duncan dans un faux geste d'affection amical. Et car c'était là un acte de comédie et que je ne pouvais pas blairé ce pauvre drogué, je mis un peu plus de force dans cette claque que de raison.
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Ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière qu'on me critiquait sur mon addiction à la drogue, faisant très souvent référence aux risques conséquents que j'avais de passer l'arme à gauche. Et très franchement venant de la bouche de Mathieu cela ne m'offusqua en aucun cas. Merci de t'inquiéter pour moi, mais mon corps va très bien. Je sais ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir un corps parfait et de pouvoir s'amuser en même temps. Dommage que tu n'aies ni l'un ni l'autre. Une bien triste vie Mathieu, j'espère que ma présence ensoleillera ta sombre existence. Lui disais-je avec un sourire faussement amical sur les lèvres. À vrai dire je n'avais aucun doute sur mon physique, je ne suis pas le genre de type qui se regarde des heures dans le miroir mais je termine rarement mes soirées seul, pour ce qui est des années qui me restaient à vivre j'en avais pas grand-chose à faire. Je continuais de caresser le dos de la jeune femme assise entre nous, je ne connaissais même pas son prénom et l'envie de le savoir était totalement inexistante. Non je voulais surtout énerver ce cher Mathieu le plus possible et le faire craquer, parce que ce n'est certainement pas moi qui lâcherais l'affaire. En acceptant le verre de grenadine que je lui ai gentiment proposé, il ne s'est pas fait prier pour me lancer une pique me concernant, une insulte qui est bien entendu en aucun cas fondé. Je lui rendis alors un sourire tout aussi hypocrite que lui en commandant sa grenadine, oubliant presque la présence de la demoiselle à nos côtés. Après seulement quelques secondes le barman amena son verre juste devant moi. Je terminais cul sec ma bière avant de prendre sa boisson dans mes mains pour lui apporter, mais arrivant devant lui je fis semblant de trébucher vidant la totalité du verre sur lui. Je passais ma main sur ma bouche afin d'afficher une expression faussement désolée. Excuse moi, ça doit être l'effet du joint que j'ai fumé avant de venir. Tu devrais peut-être faire un tour aux toilettes histoire de te sécher .. Peut-être qu'on ne sera plus là à ton retour. Et par conséquent j'aurais gagné notre 'défi' en somme. Je posais son verre vide devant lui en hochant les épaules avant de revenir me rasseoir sans oublier de toucher légèrement la fille pour son plus grand plaisir.
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Sa réplique me fit sourire. Il ne se prenait vraiment pas pour de la merde (ce à quoi je l'assimilais plus ou moins, voir carrément) et venant de moi, c'était quand même quelque chose. C'est adorable, mais tu n'es pas heureux mon vieux. Ta vie doit être une blague vraiment difforme pour que tu ressentes le besoin de te mettre la tête à l'envers pour la savourer. Répondis-je. C'était un échange de réparties, d'insultes. Enfin, pour ma défense, c'était lui qui avait rappliqué pour se la jouer grand mâle. Il en avait pas tellement la carrure, mais bon, ça restait drôle à voir. Voilà : Duncan est divertissant et vu l'ennui que la fille m'inspirait, c'était pas plus mal. Enfin, c'était quand même impressionnants de voir le nombre d'idioties que ce drogué pouvait pondre en quelques minutes. A croire qu'il s'entrainait. Peut-être que c'était ce qu'ils faisaient à la Mather House, ça me semblait avoir du sens. Après que je lui ai foutu une claque plus ou moins subtile, je m'attendais bien sûr à ce qu'il me rende la pareille. Ca ne tarda pas. Il réceptionna le verre qu'il m'avait prit et me le jeta dessus. Cessant de sourire un instant, même si ça m'agaçait car cette petite défaillance allait forcément lui apporter une certaine joie, je fit la grimace. Je ne blaguais pas avec ce genre de choses. C'était pas vraiment les vêtements, ni ce qu'on pouvait penser en me voyant (la salle était plongée dans une certaine obscurité et des gens dans le bar, déjà bien bourrés, devaient déjà s'être vraiment pissés dessus, non. C'était l'humiliation, en quelque sorte. Las de feindre la gentillesse hypocrite, je tourna la tête vers la fille, désormais objet de l'attention détournée de Duncan et lui arracha des mains la bière qu'elle était en train de porter à l'aide de ses mains tremblantes à sa bouche. Excuse moi princesse, je t'en paierais une autre. Lançais-je sans le penser et sans prendre la peine de feindre une maladresse comme l'avait fait Duncan, je lui jeta le contenu du verre à la figure. La bière éclaboussa le visage de ce bouffon et je lui adressa un grand sourire. Juste pour te le préciser : je n'ai pas fumé de joins juste avant, je ne t'aime juste pas et ta vue m'est plus supportable quand tu es parfumé à la bière.
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Ma vie est un vrai bordel ambulant et la drogue me permettait bien des choses, mais j'étais bien conscient qu'un crétin coincé du cul comme lui ne comprendrait pas cette nécessité. Je préférais alors prendre ses propos à la rigolade et lui répondre de manière tout aussi puéril. Je suis heureux dans ma vie ne t'inquiète pas pour moi mon grand. Disons que j'aime me mettre la tête à l'envers pour oublier que cette terre est remplie de vermines qui me bouffent mon oxygène. Malgré tes capacités intellectuelles je ne pense pas qu'un dessin soit nécessaire pour te faire comprendre de qui je parle, je me trompe? Je n'étais pas toujours aussi calme, mais Mathieu avait le don de me faire rire. Qu'il soit si propre sur lui, si certains de ces atouts et si grande gueule, tous ses défauts combinés me donnaient presque envie d'avoir de la peine pour lui Bien qu'en réalité j'en avais aucune et j'en aurais très certainement jamais pour ce genre de spécimen. Ça me rendait tellement heureux de l'énerver, de lui rendre la vie dure, ses insultes ne me touchaient en aucun cas. Et contrairement à lui je n'avais pas peur du ridicule, ce que semblait le toucher en plein cœur vu la grimace extirper de son visage lorsque j'ai vidé sa grenadine sur son t-shirt. En allant me rasseoir je m'attendais bien évidemment à des représailles de sa part. Et j'ai à peine eu le temps de souffler qu'il prit la bière de la jeune femme pour me le jeter en pleine face. Sur le coup une grimace fit son apparition sur mon visage, autant j'adore en boire, autant en recevoir en pleinfigure ça me plaisait bien moins. L'envie de lui en coller une était bien présente, cependant je ne m'abaisserais pas à ce niveau, j'attendais qu'il me donne le premier coup pour répondre. Tu aurais pu carrément me demander de retirer mon t-shirt si tu avais envie de me reluquer discrètement. T'inquiète pas je n'irais pas balancer ton méchant secret à tes collègues Eliots. En disant cela je retirais mon t-shirt. L'homosexualité est très mal vu chez les Eliots, ça m'amusait de prétendre que ce cher Mathieu était secrètement attiré par les hommes. Je m'en fichais royalement, j'avais juste envie de l'énerver. Je lui jetais ensuite mon t-shirt sur lui avant de m'accouder au bar en regardant l'étrange chose totalement saoul entre nous tout en m'adressant à l'Eliot. J'espère que tu n'es pas du genre jaloux Math', parce qu'elle aura le droit de faire tout ce qu'elle désire avec mon corps, toi tu ne peux que mater. C'était carrément enfantin et puéril, mais au moins c'était au niveau de mon rival.
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Moi ? M'inquiéter pour lui ? Comme si j'en avais quoi que ce soit à foutre de sa vie minable. C'était le comique de la situation : en dépit de tout ce qu'on était en train de balancer à la figure, aucun de nous ne pouvait citer un détail sur la vie de l'autre qui ne soit pas un stéréotype classique lié à notre appartenance à nos maisons respectives. C'était triste, puéril, mais c'était comme ça. Dans des années, on trouverait sans doute ça stupide, mais pour l'heure, j'étais à fond. Le fait que tu doutes de mes incapacités intellectuelles m'en dit long sur les tiennes et sur ta façon de parler s'en réfléchir. Enfin, à vrai dire, j'apprend rien, je savais déjà tout ça. Malheureusement, tu es assez prévisible, mais ça a du bon aussi, c'est juste ennuyeux. Avec un petit haussement d'épaules, je poussa un soupire. J'étais tout aussi prévisible dans mon attitude que lui en ce moment, mais ce n'était pas une raison pour m'arrêter. Ainsi, nos prochains échanges furent un retour de crasses. La grimace qu'il fit momentanément fut ma récompense et j'en passa même au-dela mon tee-shirt saboté. Je préférais les vêtements que la figure. J'avais sans doute l'air moins stupide que lui, mais bon, ce n'était pas bien difficile. Comme pour confirmer mes propos, il repartit dans un nouveau délire. Je fronça les sourcils alors qu'il enlevait les tee-shirts. Voilà, il avait besoin de se donner en spectacle. Drôle, mais un peu pathétique quand même. Il devait vraiment pas avoir beaucoup de fierté celui-là. Refusant d'entrer dans son jeu (ouais, je n'allais ni taper un scandale, je n'étais pas chaste à ce point, ni en faire de même, évidemment) je me contenta de le mater, histoire de lui montrer que je n'avais pas le trait qu'il pensait me caractériser. (A savoir le fait d'être un homophobe, enfin j'imagine) Corps de femmelettes tu disais ? Je crois que t'as pas grand chose à nous envier. Commentais-je. Non, franchement, j'avais déjà vu plus baraqué, mais le mot baraqué n'allait pas franchement avec le terme drogué. Duncan faisait clairement pas exception. J'étais presque gêné pour lui. A ta place, je serais un peu moins sûr de moi. Tu es loin de te faire une bonne publicité en ce moment. Préserve un peu de dignité Duncan, r'habilles toi. Lui conseillais-je en inclinant la tête.
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En y réfléchissant bien, je serai incapable de dire ce que je n'aime pas chez ce mec, mis à part sa tronche et le fait qu'il soit Eliot. Car en fin de compte je ne connaissais rien de lui, tout comme lui ne connaissait rien de moi. Ce n'est pas pour autant que j'aimerais faire plus ample connaissance avec ce fils à papa, non je suis pas ce genre de mec qui se rabaisse à devenir pote avec l'ennemi. Il remit à son tour mes capacités intellectuelles en doute, une fois de plus la preuve qu'il ne connaissait rien du tout de ma vie, puisqu'en arrivant à Harvard j'avais le choix d'intégrer les mathers ou les dunters, j'ai préféré prendre le choix le plus drôle et moins emmerdant. Enfin bref tout ça pour dire qu'il ne connaissait strictement rien de moi et vice versa. J'essaie seulement de me mettre au niveau de mon interlocuteur. J'ai pas vraiment l'habitude de traîner avec des assistés qui ont besoin de l'influence et l'argent de papa et maman pour réussir dans la vie. J'espère que tu comprends donc le mal que j'ai à me rabaisser à ton niveau pas très conséquent. Disais-je en esquissant un sourire moqueur. En fin de compte nous ne sommes pas si différents que ça, nous venons tous les deux d'un milieu aisé, nous avons tous les deux un caractère qu'on pourrait qualifier de chieur et on veut tous les deux le dernier mot. Par contre ce qui nous différencie l'un de l'autre, c'est la peur du ridicule. Franchement je m'en moquais pas mal d'avoir l'air idiot aux yeux des deux trois clampins du bar, je regardai rapidement pour voir si un visage m'était familier, mais le résultat fut négatif. Il se contenta seulement de me mater, j'abordais alors un sourire hypocrite sur le visage, même lorsqu'il m'avoua qu'il n'avait rien à m'envier. J'hochais les épaules en rigolant. Sois pas jaloux va, d'ici une paire d'années et plusieurs heures de sports intensifs tu parviendras peut-être à obtenir le tiers de ma musculature. Lançais-je toujours de façon sarcastique, j'étais pas non plus con, je savais que j'étais loin d'être laid mais je ne suis pas non plus un grand sportif. De toute façon au point où nous sommes partis la mauvaise foi est notre seule arme. Il me conseilla de remettre mon t-shirt pour ma dignité, je me suis alors mis à rire légèrement en reprenant mon t-shirt avant de le secouer pour essayer de faire sécher la bière qui était tombé dessus. Un jour tu devrais essayer de retirer le balai que t'as dans le cul. Je suis sûr que tu pourrais déjà être plus vivable et un minimum sympathique comme mec. Pour l'heure t'as juste l'air d'un pauvre coincé arrogant qui finira sa soirée seul. Je remettais mon haut avant de lancer un clin d’œil à la jeune femme que nous avions carrément ignorer durant ces dernières minutes.
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