DANYA R. CUNNINGHAM ► ashley smith

Dim 6 Oct 2013 - 23:11

C'est le 17 septembre 1994 à Amsterdam, que les membres de la famille cunningham en partie m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Danya Roxanne. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de danse en majeur et hollandais en mineur depuis quelques mois et travaille en parallèle de mes études en tant que emmerdeuse de première et danseuse de street (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les lowell ou les student.

Danya R. Cunningham

Looks alot like Ashley Smith

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Marie et j'ai 21 ans. Je suis franco-belge et j'ai connu le forum grâce à un site mais je sais plus lequel. On m'a interdit de partir alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ashley smith comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par applestorm. Je fais environ un certain nombre de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par mon esprit dérangé.

Mot de la fin ? ▲ wazaaaaaaa
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
J'étais dans le studio de danse qui est près de chez moi. Je l'ai su que le soir, aux infos. J'avoue que ça ne m'a fait ni chaud ni froid même si j'ai bien ri quand on m'a dit que ma blondasse de frangine s'était fait amochée par une stupide fenêtre. Elle avait qu'à porter plus de fringues aussi.

LOWELL.
La danse, c'est toute ma vie, et ça depuis que je sais marcher. J'ai d'abord fait plusieurs années en classique avant de découvrir le street à L.A quand mon père nous a fait déménager ma mère et moi. Et j'avoue que ça a été une vraie révélation. Depuis, j'essaye de bosser les deux pour améliorer mon style. J'ai fait quelques compétitions mais rien de très prestigieux puisque sans groupe, on va pas très loin. Quand je danse, je me sens libre, moi-même sans aucune pudeur et aucune retenue. J'en ai rien à faire de ce que les autres peuvent penser de moi quand j'évolue sur un terrain de basket ou sur un parquet ciré, je suis moi-même et c'est tout ce qui m'intéresse. Y a personne qui peut me retirer ce sentiment là.

(Invité)

Dim 6 Oct 2013 - 23:12

Je suis née à Amsterdam par un mois de septembre pluvieux. J'aurais bien aimé vous dire "dans un foyer aimant" mais c'était pas le cas, tout simplement. Mon père, il n'était pas là quand ma mère a du appeler mon oncle pour qu'on l'emmène à l'hôpital, il était pas là non plus quand il a fallu me choisir un prénom, me choisir une école. En fait, il était jamais là, même si ma mère était persuadée qu'il finirait par repointer le bout de son nez très prochainement. La seule chose que j'ai connu de lui durant les dix premières années de ma vie, c'était son fric. Heureusement, il en envoyait pas mal. Mais j'étais encore trop naïve que pour comprendre que ça n'avait pas d'autre but que d'acheter notre silence. Histoire qu'on vienne pas tout balancer à sa vraie famille, celle qui était digne d'intérêt.

Mais moi à cet âge-là, j'en avais rien à faire. Tout ce que je savais, c'est qu'on vivait confortablement. Ma mère avait de l'argent, suffisamment pour payer le loyer de notre petite maison à amsterdam et mes cours de danse classiques. On vivait avec son copain de l'époque, un type vraiment sympa. Jusqu'au jour où mon père a débarqué. Il voulait voir sa fille, apprendre à me connaître qu'il disait. Sauf qu'il se pointait avec 12 ans de retard. J'avais aucune envie de le connaître, encore moins de voir son visage moi. Mais je l'ai quand même fait, je l'ai écouté me parler de son autre vie, aux Etats Unis, de sa fifille parfaite, une blondasse déjà trop superficielle pour son âge alors qu'on avait que quelques années de différence.

J'ai jamais voulu me mêler à toutes ces histoires. Tout ce que je voulais, c'était continuer mes cours de danse, passer les auditions d'une grande école et devenir une étoile. Mais mes profs me disaient que j'avais pas la carrure d'une ballerine. Une poitrine trop développée et des formes trop marquées que pour rentrer dans leurs idéaux. Au mieux, je pourrais être prof. Ca m'a anéanti qu'on me dise ça et j'ai passé la plus grande partie de mon adolescente à glander avec mes potes sans rien faire, à laisser mes notes chuter. Jusqu'à ce que ma mère et mon père m'oblige à suivre leur idée folle de nous faire déménager à Los Angeles. Comme ça il pourrait être plus présent, me remettre sur le bon chemin. Je devrais peut-être le remercier, c'est grâce à lui que j'ai découvert le hip hop, la streetdance, tous ces mouvements qui me font vibrer.

C'est quand même en danse classique que j'ai obtenu une bourse pour Harvard, sûrement pistonner par mon père. Quant à ma soeur, on a jamais pu se voir et on continue à faire comme si on existait pas l'une pour l'autre, c'est très bien comme ça. D'ailleurs, c'était un vrai soulagement de savoir qu'elle quittait la fac alors que moi j'y entrais. J'aurais pas supporté de la voir tous les jours avec ses airs de princesse. Aujourd'hui, je vais vraiment pouvoir développer le style qui me correspond, dans un nouveau milieu. Pour ce qui est du reste, je préfère ne rien précipiter. Les histoires de coeur, c'est pas ma priorité. Qui vivra verra, c'est bien ce qu'on dit non ?

The End

(Invité)