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Je souris quand tu souris ♫ Daria

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Dylan venait de rentrer chez lui après une longue journée de cours. Peter était à la maison, il n'avait pas eu école ce jour-là car la maîtresse était malade. Le petit enfant était resté avec sa mère et sembla ravi de voir son père rentrer. Il lui sauta dans les bras et l'embrassa, comme à sa plus grande habitude et Dylan lui rendit son câlin avant de poser son sac, contenant son ordinateur, sur le sol de l'entrée et de s'asseoir dans le canapé. A peine eut-il le temps de demander à son fils comment s'était passé la journée  que Gloria fit son apparition, tenant un verre de whisky dans la main. Ca y est, ça allait commencer. Il n'eut pas attendre longtemps avant de l'entendre lui dire qu'il était un bon à rien et qu'il n'avait même pas daigné s'occuper de son fils de la journée. Dylan ne réagit pas, jusqu'au moment où les sornettes que déblatérait sa femme à une vitesse accrue ne finissent par l'énerver. « Viens mon ange, on va aller se promener. »dit-il à l'intention de son fils. L'envie était très forte en lui de se faire du mal, mais il ne le pouvait pas, du fait de la présence de son enfant. Il aida le petit à enfiler ses chaussures et une veste. Il sourit en le voyant faire tout seul ses lacets. Il grandissait le petit bonhomme. Puis ils sortirent sous la colère présente de Gloria Keynes. Ce soir-là, il n'allait pas s'occuper d'elle. Il avait besoin d'un break. Et alors qu'il marchait, tenant Peter par la main et cherchant dans son téléphone portable parmi  les personnes présentes dans son répertoire qui pourrait lui venir en aide pour se déstresser un peu, il tomba sur le nom de Daria. Il poussa un soupir. Il savait ce que cette pauvre femme avait traversé. Il y avait pire que lui, il n'était qu'un égoïste de ne penser qu'à lui. Depuis son retour, il n'avait pas pris le temps d'aller la voir, lui demander comment elle allait. Ce soir, il le ferait. Ce sera la bonne occasion pour qu'elle rencontre Peter. Et qui sait peut-être que de voir cet enfant merveilleux lui redonnerait du courage pour se battre afin de récupérer un jour les siens. Il sourit à cette pensée et se dirigea vers l'université de Harvard. Il connaissait son emploi du temps, et attendit donc devant l'amphithéâtre où elle donnait un cours, avant d'y pénétrer. La salle était vide, il ne restait plus qu'elle. « Salut Daria. » déclara-t-il avec le sourire. « Bonjour Madame ! » fit Peter. Toujours à vouloir se mettre au premier rang ce petit prince.
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La reprise après de longs mois n'était pas facile pour Daria, cette petite professeur en droit avait tellement mal, mais tentait tant bien que mal de cacher sa peine et sa douleur aux yeux des personnes qui l'entourent. Mais ici à Harvard, tout le monde connaissait l'histoire de cette jeune femme, tout le monde sait qu'elle a perdu son mari le jour de l'attentat alors qu'il venait d'apprendre que sa femme le trompait depuis deux ans. Tout le monde sait qu'après cette journée la jeune femme a perdu la garde de ses deux fils chéris et a tenté de mettre fin à ses jours. Dans les couloirs quelques personnes aux bons cœurs encourageaient la polonaise, mais beaucoup se moquaient d'elle derrière son dos, mais aussi certains ne se privaient pas de le faire en face à face. Elle canalisa sa peine et sa douleur, sachant qu'elle pourrait vider les larmes qu'elle a enfuies en elle en rentrant dans sa grande maison tellement vide depuis presque un an. Le cours que la professeur en droit donnait touchait à sa fin, la sonnerie sonnait et les élèves se levaient tous les uns après les autres pour donner leur copie sur le bureau de Doria. Elle resta assise en terminant de griffonner deux trois choses sur son agenda pour son prochain cours en parlant à voix haute à ses élèves. Et surtout n'oubliez pas que le prochain cours et avancé d'une heure, n'arrivez pas en retard. Bonne fin de journée à tous. Un par un les élèves quittaient la salle de classe, laissant la jeune femme toute seule. Elle termina d'écrire sur son agenda puis attrapait sac noir afin de placer correctement les copies à l'intérieur pour pouvoir les corriger chez elle. Elle redoutait ce moment, elle redoutait de devoir retourner toute seule chez elle dans sa maison tellement vide depuis le décès de son mari et le placement de ses enfants. Elle n'avait pas grand monde à voir, elle savait qu'en allant voir Duncan son malheur ne sera qu'amplifié, le jeune homme lui faisait plus de bien que de mal, l'entraînant avec lui dans la drogue, l'alcool et bien d'autres vices. Elle était incapable de le résister malgré le mal qu'il lui faisait, ce soir elle ne voulait pas craquer. Elle soupira alors un petit coup et se décida à retourner chez elle, seule avec sa solitude et sa peine, mais la porte s'ouvrit avant même qu'elle n'est eut le temps de se lever. Il s'agissait de Dylan, un sourire s'afficha sur les lèvres de Doria en voyant le jeune homme arriver avec un petit bout de chou. Hey Dylan ! Disait-elle avec un petit sourire sur le visage, un geste devenu tellement rare chez elle. Puis en se levant elle entendit le fils de Dylan lui dire bonjour, elle le regardait en souriant, en voyant ce petit ange une pensée allait tout droit vers ses deux enfants placés loin d'elle. Coucou bonhomme. Elle s'avançait vers Dylan pour lui faire la bise, elle aimait beaucoup ce jeune homme, il comptait pour elle. Je ne m'attendais pas à te voir, je suis vraiment contente.

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Dylan tenait fortement son enfant par la main alors qu'ils venaient tous deux de pénétrer dans la salle. Daria avait l'air plus qu'inquiète, loin d'être sereine. Il ne put lui offrir qu'un large sourire, pour lui redonner le sien, avant qu'elle ne vienne l'embrasser sur les deux joues pour le saluer. C'était une relation étrange qu'ils entretenaient tous les deux. Plus que des amis, comme de la famille et en même temps, Dylan avait mis une certaine distance avec Daria, ne lui ayant jamais raconté ce que lui vivait, la douleur qu'il avait à supporter chaque jour. En gros, elle se confiait à lui lorsqu'elle n'allait pas bien, mais lui ne le faisait pas. De toute façon, elle avait bien assez de ses problèmes pour penser à ceux du jeune homme. Dylan ne perdait pas de vue le fait qu'il l'avait sauvé, un jour, du suicide, elle avait déjà dépassé la limite, elle était fragile. Il ne voulait pas qu'elle s'inquiète pour lui. Tout ce qu'elle avait le droit de connaître, c'était cette image parfaite de la famille Keynes renvoyée par les médias, tandis que son père faisait déjà compagne pour devenir le gouverneur du Massachusetts .
« T'es une amie de papa, Madame ? » demanda Peter avant que notre cher jeune père eut le temps de dire quelque chose. Le petit n'était pas timide pour un sous, au contraire. Certainement car Dylan avait veillé à ce qu'il développe clairement ses capacités sociales. Un enfant doué et prêt à affronter le monde, c'est ainsi que l'on pouvait le décrire, bien qu'il n'ait que cinq ans et qu'il soit en train de serrer son doudou tout contre lui. Dylan sourit en lâchant la main de son fil pour lui caresser les cheveux. « Tu vas bien, Daria ? T'arrives à tenir bon cette reprise ? Faut juste que tu te dises que t'es une prof excellente et que tu mérites ta place ici, quoi qu'il se soit passé. Et puis t'hésites pas à m'appeler si ça va mal, hein? Je te l'ai déjà dis, mais je préfère le dire encore. Mais comme tu m'as pas appelé, j'en déduis que tu vas plutôt bien. » demanda-t-il ensuite à son interlocutrice, avec un clin d'oeil de taquinerie, tandis que Peter venait de monter quelques marches dans l'amphithéâtre pour se hisser comme au sommet d'une montagne. Fallait avouer que pour son âge, cet amphi était véritablement une montagne à gravir.
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Même si Daria n'était pas très démonstrative, Dylan comptait clairement pour elle. Elle ne saurait donner un nom à leur relation, peut-être un grand ami, une sorte de petit frère, ou bien un ange gardien. Elle optait plutôt pour la première option, car mine de rien si elle est encore en vie aujourd'hui, c'est nul doute grâce à l'homme qui se trouve devant elle accompagné par son fils. Le jour de l'attentat plus rien ne comptait aux yeux de Daria, elle venait de perdre son mari, la dernière fois qu'elle a entendu sa voix c'était sur son répondeur pour lui avouer qu'il était au courant de sa relation cachée depuis deux ans avec un élève, mais elle avait aussi perdu ses deux enfants, les deux petits anges qui comptent le plus dans le cœur de la polonaise. Elle devait la vie à Dylan, mais aussi son sourire perdu depuis de long mois. À chaque coup de téléphone, chaque SMS ou chaque rencontre, même si ça ne durait que quelques minutes, le jeune homme réussissait à coup sûr à rendre le sourire de Daria, lui faisant oublier ses problèmes. Pourtant la professeur en droit ne connaissait que très peu la vie de son ami, il préférait se préoccuper d'elle plutôt que lui raconter sa vie.

Après avoir fait la bise à Dylan, son fils demanda à Daria si son papa était un ami à elle. Elle souriait au jeune garçon tout en lui répondant. Ton papa est un très bon ami, tu peux être fier d'avoir un papa comme lui. Disait-elle en tournant son visage vers Dylan, elle lui en sera toujours redevable pour ce qu'il a fait pour elle, pour lui rendre le sourire comme ça ne va pas. Le jeune papa caressait la tête de son petit en parlant avec Daria. Les mots qui sortaient de la bouche du jeune mot toucha profondément la jeune femme qui n'avait plus l'habitude de tant de gentillesse à son égard. Ses yeux viraient doucement aux rouges, ce n'était pas une rentrée facile pour elle, mais elle n'avait pas envie de craquer devant le petit Peter. C'est vrai qu'elle n'avait pas encore appelé Dylan, ayant toujours eu peur de déranger la vie de famille de son ami. J'essaie de rester forte, mais ce n'est pas facile tout le temps. Le regard des gens, les souvenirs. C'est un peu ici que tout a commencé à s'effondrer pour moi, c'est dur. Disait-elle d'une triste et en diminuant les octets à chaque mot. Puis elle attendit quelques secondes avant de répondre au propos concernant ses appels. Je sais, mais j'ai toujours peur de te déranger dans ta vie de famille, je sais ce que c'est, du moins je le savais. Elle se battait pour que les larmes ne s'échappent pas de ses yeux, d'ailleurs pour ne pas montrer sa faiblesse à Dylan elle tourna la tête en regarder le petit Peter gravir les marches de l'amphithéâtre, un petit rire s'empara de Daria en le regardant faire. Ça grandit tellement vite à cet âge. Fit-elle en essuyant rapidement quelques larmes qui se faisaient la malle.

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Peter était vraiment plein de vivacité, malgré l'heure tardive pour un enfant de son âge. Il était vraiment indéchirable ce gamin. Dylan rougit face à la remarque que formula Daria à son encontre. Elle le complimentait devant son fils, c'était mignon, mais en même temps, il ne pensait pas mériter tant de sa part. Il n'avait jamais cherché à ce que son fils l'admire, mais juste à ce que son enfant l'aime. Ce n'était pas la même chose. Et cela devait très certainement venir du fait qu'à force de s'entendre répéter qu'il était nul et qu'il ne servait à rien par son épouse, il avait fini par le croire. C'était d'ailleurs la raison qui le poussait à se faire du mal : juste oublier à quel point il était minable. Extérioriser cette peine psychologique dans une douleur physique assez accrue, mais suffisamment faible pour ne pas être remarquée.

Peter s'amusait à escalader l'amphithéâtre tandis que la professeure de Droit reprenait la parole. Elle n'avait pas l'air dans son assiette, et c'était peu dire. Elle vivait cette expérience du retour à Harvard de façon vraiment difficile, mais en même temps, elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle revienne et qu'elle traverse toutes ces étapes pour pouvoir ensuite avancer. Mettre une croix sur son passé en l'affrontant et non en le fuyant, voilà la meilleure des réactions qui soit. Si seulement Dylan était aussi fort qu'elle. Car oui, bien qu'elle ait tenté jadis de mettre un terme à son existence, il la trouvait courageuse. Beaucoup plus courageuse qu'il ne l'était, en tous cas.
« Tu sais très bien que tu ne me dérangeras jamais. » répondit-il, afin de mettre un terme aux doutes de la demoiselle. Il préférait qu'elle l'appelle en pleine nuit s'il le fallait, plutôt qu'elle ne fasse la plus grande bêtise de sa vie. Si c'était le cas, notre jeune étudiant en informatique ne se le pardonnerait jamais. Vraiment jamais. Daria comptait pour lui, depuis le temps, depuis qu'il avait appris à a connaître. Elle lança un regard en direction de Peter, qui continuait son ascension, laissant échapper quelques larmes. Dylan se rapprocha. « Viens-là... » dit-il avant de la serrer dans ses bras. Il la serra très fortement contre lui, dans un enlacement amical, avant de lui souffler gentiment : « Tu es forte, t'y arriveras, tu les récupéreras tes petits anges... » Il n'avait aucun doute là-dessus et d'ailleurs, il avait comme prétention de lui venir en aide de toutes les façons possibles. Par exemple, il pourrait témoigner, même si ce n'était pas encore vrai, qu'elle avait gardé Peter plusieurs fois sans aucun problème, mais ce serait sans doute vite réalité. La voix de son fils fit se retourner le jeune homme. « Papa ! Regarde ! Je suis tout en haut ! Vous êtes tous petits quand je vous regarde ! » Il souriait fièrement, comme s'il venait de remporter une médaille d'or. « C'est bien, mon chéri ! Mais fais attention en descendant ! » lui cria son père, avant d'offrir un nouveau sourire à Daria. « Ca te dirait qu'on aille tous se boire un truc au Starbuck's ? » demanda-t-il ensuite à son intention. Mieux valait quitter Harvard pour discuter tranquillement.
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