Quand des sentiments reviens en surface [PV Jensen]

J’avançais doucement sur la boiserie du parc de Cambridge common avec mon chat qui trottinais dans mes pâtes, s’arrêtant pour un oui ou un non pour seulement un papillon. Cela permettait au citadins de croire encore qu'ils avaient un coter nature bon nombre d’arbre de plante rendait certain euphorique où donnait un parfait panorama pour faire de la gym douce ou même une révision en groupe -ca arrive plus souvent qu'on le croie. Tandis que Oreo se vidait élégamment sur un arbre, je regardais les alentour faisant une visière avec ma main : la journée promettais un soleil sublime, mais je voyais déjà quelques nuage sombre grisonner le paysage. En même temps que espère nous somme en Octobre voyons ! Je grattouillais derrière l'oreille mon chiot et le lâchait finalement et toujours la meme routine : il court cour cour encore fonçant comme une fusée pour de toute nouvelle découverte, je ris de bon coeur, je replis sa laisse et me promène tout en souriant.

Je voyais quelques passant me regarder mes gout vestimentaire. Hélas, j'avais pris le pli, a quoi bon ? J'avais opter pour des couleur joyeuse peut utiliser pour la saison :une veste Jaune tournesol (oui oui cette couleur existe VRAIMENT) un de mes fidèle papillon et un petit polo histoire de compléter ma tenue, d'ailleurs y'avais qu'une seul personne qui aimais vraiment tout mon look disons... Atypique ? Jensen, celui qui ma touché mes lèvres la première fois, qui ma fait découvrir sont je-m'en-foutisme casi constant sur les regards des autres -j'admirais énormément cela chez lui- j'avais entendus dire qu'il voulais devenir architecte, du moins ce qu'il ma dit en dernière dates, je me demande un peu ce que sont devenue ses jolie yeux. Maintenant, je suis plus mure et je pense être plus apte a construire quelques chose de concret, que quand nous étions une amourette d'enfance, je voulais vraiment quelques chose de serieux cette fois ci.

Cela faisait déjà pas mal de temps que je me sentais seul. Que je n’avais pas vraiment grand monde à qui me confier. Que regarder un film d’amour sans jamais  verser une larme devenait insupportable. Que le monde devenait sens dessus-dessous pour moi. En gros, je me sentais seul et dans ses moments-là, j’appréciais toujours le fait d’aller me balader seul dans la boiserie du parc de Cambridge common. Et c’est ce que je fis, ce jour-là. Je me dirigeais seul, les mains dans les poches, admirant les alentours lorsqu’une vive couleur m’interpela. Du jaune tournesol. Plus exactement c’était une veste, portée par un homme qui enchainait avec un nœud papillon et mon cœur rata un battement. Je ne connaissais qu’une personne qui en portait et il devait exister une chance sur un million pour que ce soit elle. Pour que je la rencontre maintenant dans cet endroit. Le battement se transforma en accélération lorsque mon regard se porta vers le sommet du haut du crâne puis qu’il descendit vers cette forme si familière, qui était son corps. Je ne pouvais y croire et y avait bien du mal. Se trouvant juste devant moi, j’arrivais à voir et à ma grande surprise, je réussis à aligner deux pas devant moi tout en imitant le sosie du parfait poisson rouge, les yeux grands ouverts. Ma voix s’étrangla dans ma gorge alors que je commençais à avoir chaud sous mon pull en cashmere gris perle, qui au passage, se mariait très bien avec mon slim beige clair. Je fus tenté de poser une main sur son épaule juste pour le tourner dans ma direction, pour être sûr que ce soit bien lui. Je ne réussis finalement qu’à aligner quatre mots alors qu’il se trouvait en compagnie de son chat. « Adam, c’est bien toi ? »

Mais où est passer ce chient ?! Et oui comme dans la chanson je cherchais desesperement Oréo qui était partis chasser une énième papillon. Je siffle, j'appel, aucune reponse. Et la ouf, je vis un buisson bougé, tient... Comme ça il ressemble a un petit mouton c'est trop mignon je le gronde gentillement et me redresse tel un suricate lorsque j'entend mon prénoms. Etrange, juste a moment où je pensais a Jensen. Je regarde la porte faisait un peu moins d'une tête que moi et quelques chose me frappais : ca peau, blanche, limpide presque froide. Et c'est yeux, des véritables diamants bleu où je mettais perdue tant de fois il y a voilà cinq ans. Était ce vraiment lui ? Ou un fruit de mon cerveaux qui chercher a ma faire souffrir ? SI cela était le cas, il avait réussis ma gorge se desséchais immédiatement un mon estomac remontais au niveaux de ma bouche il bloquait mon souffle... Non je voulais être sur a 100% pour 100% que je ne rêvais pas. Je leve ma main et pose le bout de mes doigts sur la joue de Jensen, non c'est réel. La texture de sa peau son gout était juste inoubliable : il me rapellais quand j'ai touche pour la première fois la soie d'une robe de marié. Je mes mon autre main sur ma bouche, surpris et lâche un : "oh mon dieu" je le prend finalement dans mes brase et niche mon coup pour soupirer doucement son parfum apaisant : "tu manqué... Tellement"