ANDREAS-LORENZO GIACONI ► Chris Hemsworth.

C'est le dix-sept juillet 1988 à Naples, que les membres de la famille Giaconi m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Andreas-Lorenzo. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie (domaine principal) et en français (domaine mineur) depuis six ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les winthrop house ou les eliot house.

Andreas-L. Giaconi

Looks alot like Chris Hemsworth

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Runaway et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top 50 rpg. Le forum est magnifiiiique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Chris Hemsworth comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par humdrum. Je fais environ 200-300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ ANDREAS-LORENZO GIACONI ► Chris Hemsworth. 1001568715

ANDREAS-LORENZO GIACONI ► Chris Hemsworth. 1001568715

Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
Ça fait presque un an déjà, et pourtant je m'en rappelle comme si c'était hier. J'avais fini mon cours de sport du jeudi soir, et j'étais complètement crevé. Tout ce que je voulais c'était rentrer chez moi et me reposer, mais en quelques secondes, ma journée s'assombrit. J'étais arrivé au parking et j'entendais des cris, des hurlements de toutes parts. Je ne comprenais pas. Anxieux, je restais légèrement à l'écart de la grande place et attendais pour récupérer ma voiture. D'un instant à l'autre, ce fut l'explosion et instinctivement, je me rive sur le sol pour essayer d'éviter les projectiles. Malheureusement, je fus touché au bras et je commençais à pisser le sang. Mon coeur battait à cent à l'heure et je ne savais pas quoi faire. J'avais mal mais l'adrénaline du moment me permit de garder mon sang froid. Quelques personnes étaient avec moi et nous restions soudés en ce jour terrible. Après de longues minutes de peur, notre groupe avait réussi à s'en sortir par derrière les buissons, mais je ne me souviens pas comment la journée s'est terminée. Je sais juste que j'ai fini à l'hôpital et que l'usage de mon bras est légèrement réduit depuis cet attentat.

GROUPE 1.
La confrérie Winthrop House ? Elle est parfaite pour moi. Je suis un vrai charmeur et j'adore ça. J'aime l'esprit d'équipe de cet endroit, le cadre est super. Même s'il n'y a que des hommes dans cette confrérie, je croise beaucoup de jeunes femmes sortant des chambres de ces messieurs.. J'aime les femmes, je les adore, et je suis très respectueux envers elles. J'ai eu quelques histoires d'un soir, comme tout le monde je suppose, mais aussi une longue relation - spéciale je vous l'accorde - vouée sur le respect et l'amour.
Aussi, j'ai beaucoup d'aisance à parler aux gens, c'est certainement lié aux études que je fais d'ailleurs, mais j'adore être là pour discuter avec les étudiants, qu'ils soient de première ou neuvième année. Participer aux soirées de la confrérie est une chose que j'adore, faire de nouvelles rencontres est très enrichissant !

GROUPE 2.
Comme tout le monde le sait, la Eliot House est composée de personnes très riches. Plus particulièrement de parents très riches qui permettent à leurs enfants d'entrer là-dedans. Je pourrais en faire parti, mes géniteurs ont beaucoup d'argent à leur actif et cette confrérie est intéressante. Je peux être un vrai connard parfois, et là-bas, les gens de la sorte sont de rigueur. Il peut m'arriver de me vanter sur mon argent - qui n'est pas véritablement le mien - même si je ne prend pas un réel plaisir à le faire. Je trouve ça amusant parfois, et être quelqu'un d'hautain de temps à autre me fait prendre du bon temps.

(Invité)

Grandir dans une immense maison, en pleine ville, proche de tous nos rêves et avoir tout ce que l'on désire : c'est ma vie. Ou presque. Je suis né à Naples et j'y ai vécu pendant plusieurs années. Je suis, à mon plus grand regret, fils unique. Mes parents n'ont jamais réussi à avoir un autre enfant par la suite, et de toute manière, ils ont divorcés quand j'avais quinze ans. Terminée la grande maison, la ville, et les cadeaux à l'appel. J'étais très affecté quand mes parents se sont séparés, mais ils étaient tellement insupportables étant ensembles que ce fut un soulagement. Je ne savais pas avec qui vivre, sachant que je m'entendais bien avec les deux et qu'ils avaient tous les deux les moyens de m'élever convenablement. Mon père décida de rester à Naples, mais ma mère voulait s'envoler pour l'Amérique. Je la suivis sans une brève hésitation. Elle avait trouvé du travail dans le New Jersey, à Atlantic City. Nous étions proches de New York, ce qui me rendait complètement gaga. J'ai toujours rêvé de voyager dans la Grande Pomme, mais une fois que j'y étais allé plusieurs fois, ça ne faisait plus du tout le même effet.

J'avais terminé mon adolescence aux Etats-Unis, et bien entendu j'avais été contraint d'apprendre la langue car je ne parlais qu'italien et un peu français. J'étais dans une école italienne mais je réussis à apprendre l'anglais en environ une année. Malgré le fait que je ne prenais plus de cours de français pendant le lycée, j'avais décidé de reprendre une fois entré à l'université. Mes notes étaient exemplaires, ma mère avait beaucoup d'argent et elle voulait la meilleure université pour son fils. Après avoir listé les différents campus, ma mère avait choisi Harvard. Un travail conséquent et une bonne liasse de billets furent nécessaires pour l'intégrer, mais ce fut chose faite avec tous ces efforts. Pour mon plus grand bonheur. Je déménageais donc du New Jersey pour aller vivre dans le Massachusetts.

Dès mon arrivée, je fis la rencontre d'une fille qui se rendait elle aussi à Harvard. Nous étions complètement paumés devant cet immense campus, mais avec mon fameux sourire de charmeur, je lui avais promis de l'aider à s'y retrouver. Elle était très belle, brune et assez petite, elle s'appelait Faith. J'étais amoureux d'elle, et ça, elle le savait. Je pense qu'elle m'aimait aussi, mais elle ne m'a jamais permit de sortir avec elle. On se voyait de temps en temps, on couchait ensemble aussi, mais elle ne voulait pas d'une vraie relation de couple. Je n'ai jamais compris pourquoi, c'est quand on m'a appris sa mort au téléphone que j'ai compris. Elle m'avait protégé tout ce temps de la leucémie qui la rongeait depuis des années, et comme un con, je n'avais rien vu. Rien. Je m'en suis voulu pendant des mois, et pendant cette période, je ne voyais pas grand monde. Je me contentais de travailler brillamment et d'avancer dans la vie. Faith m'a beaucoup manqué au début, mais je m'en suis remis avec le temps. Comme tout le monde quoi.

Après ma période "0 filles", je suis passé au strict contraire pendant quelques mois. Je couchais avec des filles, souvent différentes, et j'aimais ça. Par contre, je ne laissais jamais d'espoir aux filles qui voulaient une vraie relation car je n'en voulais pas. Elles le savaient. Bien entendu, cette situation commença à rapidement me lasser. Alors je revins à la normale, alternant le travail et les filles tout simplement.

Les années sont passées depuis la mort de Faith, et je n'y pense presque plus à présent. Mais je n'ai eu aucune relation sérieuse depuis, et je dois avouer que ça me manque. Appart les amourettes de lycée et les coucheries de l'université, je n'avais pas connu le véritable amour. Je ne recherche pas vraiment la femme parfaite, j'attend qu'on vienne à moi, j'aime être désiré..

The End

(Invité)