OPHÉLIA WELL ≠ anaïs pouliot

C'est le matin d'un noël tumultueux à Manhattan, dans une petite clinique privée , que les membres de la famille Well m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ophélia, en honneur à Rimbaud, dont la grandeur à forger les valeurs de madame ma mère, Ora pour la rime imparfaite.. Je suis célibautrechose. et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis dans une quête informelle, un tracas brouillon. et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale égale à vos cauchemars dorés.. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit, dans un désir de perpétuer la tradition, et du chinois, parce que, on sait jamais. depuis une maigre trentaine de jours et travaille en parallèle de mes études en tant que emploi (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les cabot ou les eliot.

diaphane

Looks alot like Célébrité choisie

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre pseudo et j'ai votre âge. Je suis nationalité et j'ai connu le forum grâce à top-site/forum de pub/autre. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/scénario crée par Pseudo du créateur du scénario si ç'en ai un.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
vide. cœur ouvert ; draps de soie. au bout de ses doigts, pend une boîte de chocolat, aux pralines douceurs, aux ardeurs manquantes. la môme ophélia, se soule avec le silence, aux résultats d'épreuves marquantes. même, s'avance-t-elle, un peu dans le noir, un peu nul part. les paupières closes, l'humeur un brin morose, elle se jure que s'abstenir de vivre ce serait mieux, que la mort serait plus calme. ce serait, annonce-t-elle, une nuit prolongé, au dé-là de cet incessant vacarme, ces inhumains bruyants, grouillants. elle a aux pieds, d'adorables zizi repetto aux argents reflets ; un bracelet d'or rose au poignet, et du micheal kors sur le corps.

CABOT.
fille parfaite, et réception. elle jongle sur ses talons ; « que votre fille est belle », mille mercis, elle a tout de sa mère, voyez-vous. tiens toi droite. un peu plus, cambre toi et ne fait pas le moindre lapsus. « vraiment ? ophélia parvient a avoir de tels résultats ? » au prix de nuits inter minables. ces charlotte olympia, pas vraiment stable. « son sourire est éclatant » pour tout vous dire, c'est de famille, de si belles dents. voilà qu'elle arbore sa perfection, sa réflexion, son inflexion latente. elle a les joues roses, et comble tout espoir.

ELIOT.
pointe fièrement le blason des well, sur son gilet lie-de-vin. prestige roucoulant avec suffisance, se moulant dans le secret de la politique. voici des décennies innombrables qu'ils s'inscrivent, chacun d'entre eux, dans le retors de cette terrible discipline, et ne se lasse guère de l'affirmer à tout instant. bien évidement, voilà un sentiment de supériorité inégalable, un besoin de divinité stupide. mais, tout ça, ça touche chacun des well.

(Invité)