CHARLIE BRADSHAW ► Alexandra Daddario

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle psycot et j'ai 26 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à pud rpg design .  Je trouve votre forum, actif, animé, jolie à regarder avec des membres ouvert et acceuillant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Alexandra Daddario comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzard. Je fais environ 300-400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲ J'adore les truc a checked, excellent ces idées.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

«  Tu verras l’adolescence c’est le meilleur moment de la vie. » La blague ! Charlie se sentait dans tous ses états mais certainement pas «  au meilleur moment de sa vie ». Ou alors c’était que sa vie était destinée à être moisit ! Elle se regarda de nouveau dans le miroir, elle était entre la fille et le garçon, entre la femme et la pauvre gamine. Elle poussa un soupir. Dans quelle galère c’était-elle encore foutu ! Elle avait tout simplement pas envie d’y aller. Mais quand on a 19 ans – la majorité étant qu’à 21 ans en Amérique - on ne fait décidément pas ce qu’on veut, on obéit, on joue à la gentille petite fifille et on essaye d’avoir une tenue convenable pour son rendez avec le doyen de l’université. Sauf que ses cheveux était tout sauf «  convenable ». Ils partaient dans tout les sens, ils étaient épais, fourchus, et ressemblait à de la paille. Quand à sa tenue, Charlie n’avait clairement pas l’habitude de porter une jupe plissé, un chemisier et des talons hauts. Ses vieux jeans lui manquaient pour l’heure. Mais son père avait insisté à plusieurs reprises : il faudrait qu’ elle ait l’air d’une VRAIE fille ! Hors elle n’avait vraiment aucune envie d’avoir l’air d’une vraie fille et encore moins de quitter son Kansas natal pour une grande ville où elle ne connaissait personne. Sauf qu’on ne lui laissait pas vraiment le choix…

Charlie attrapa la photo qui était posé sur sa commode et l’observa avec nostalgie. Ils étaient tellement heureux avant, tout les 4. Elle, sa mère, son père, et son frère Mike. Mike… Il lui manquait tellement. Charlie avait l’impression que c’était hier qu’il lui apprenait à monter à cheval pour la première fois. Hier qu’elle gagnait fièrement sa première course. Et voilà qu’aujourd’hui son père vendait le ranch… Elle savait que c’était pour elle mais elle trouvait injuste d’être expédié dans un univers inconnu comme un vulgaire objet. Après le terrible accident qui avait causé la mort de son frère, et le départ de sa mère, Charlie c’était donné corps et âme pour soutenir son père, l’unique famille qui lui restait, et l’aider au maximum. Et quel remerciement obtenait-elle aujourd’hui ? On l’envoyait faire des études, prétextant une pseudo enfance qu’on lui aurait voler ! Charlie apprécierait le sacrifice de son père, il vendait le ranch pour pouvoir lui payer des études à Harvard – Harvard quoi !!! – mais elle ne lui avait strictement rien demandé ! Elle ne voulait pas passer pour une ingrate, loin de là, mais le poids de la culpabilité pesé déjà sur ses épaules. Elle savait que son père faisait ça pour son bien et évitait qu’elle ne soit une serveuse pour le reste de sa vie, mais… ça la gêner pas elle d’être une serveuse pour le reste de sa vie ! Havard ne l’enthousiasmer pas plus que ça. Elle avait toujours été considérée comme une fille bizarre avec ses salopettes, son goût pour le fantastique, sa passion pour les films et son attitude un peu rebelle sur les bords. Le seul de ses centres d’intérêt qui était apprécier par les gens de son âge c’était l’équitation, mais elle avait dût arrêter… Son père lui avait strictement interdit de monter un cheval depuis la mort de Mike et si elle désobéissait, il ne lui pardonnerait jamais. Quand votre fils meurt suite à une chute, nul doute que cela laisse quelque séquelle… Quoiqu’il en soit Charlie – Et non plus Charlynn ! Elle avait dix neuf ans maintenant ! -  n’était décidément pas une fille comme les autres et on l’avait toujours regardé de travers. Alors là bas avec les filles de bonne famille, les beaux gosses prétentieux et les fraternités elle n’aurait certainement jamais sa place ! A moins qu’elle trouve une fraternité composé de non-conformiste qui soit comme une véritable famille, tous lier les un les autres et se fichant des convenances. Moais… ce genre de confrérie ça n’existait pas !