Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROULETTE RP ► Oh t'es sooooooo kitsch !
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


ROULETTE RP ► Oh t'es sooooooo kitsch !

La Doyenne

Âge : 57
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : mon bureau, j'y vis, y a quoi.
Situation sentimentale : mariée, bien entendu
Études / Métier : doyenne de l'université la plus prestigieuse au monde
Date d'inscription : 29/12/2011
Pseudo & Pronom(s) IRL : -
Icon : ROULETTE RP ► Oh t'es sooooooo kitsch ! VGUnHBxM_o
Faceclaim : viola davis
Crédits : polaroid paper (avatar) et prima luce (icon)
Multicomptes : x
Description (1) : ROULETTE RP ► Oh t'es sooooooo kitsch ! Giphy
Warnings : WARNING // concernant (personnage) écrire iciTRIGGER // refuse de jouer ; écrire ici

RPS : 6566
Messages : 48868
Préférences de jeu
veritas
La Doyenne
est en ligne
Compte fondateur
Roulette RP

Des strass des paillettes owi owi !


CONTEXTE : Soirée spéciale au People's Republik. La boîte fête son anniversaire et pour l'occasion, on ramène un max de monde : boissons à volonté, entrée gratuite, seule condition : être costumé. Oui oui, mesdames messieurs, ceci est une soirée kitsch et pour l'occasion, vous allez devoir sortir vos fringues fluos, multicolors, pailletés, vos perruques et vos énormes lunettes. Faut qu'ce soit KITSCH !

PARTICIPANTS : Jasper O. Ellington ♦ Priape E. Zacharias ♦ V. Charlie Lestwood ♦ M.-A. Jazzlyn Oak ♦ Madisson L. Galloway

Ce rp de groupe est organisé par la roulette à rps

Amusez-vous bien !
(La Doyenne)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
que banal devienne kitsch.

Vous avez dit « kitsch » ? Je suis de la partie ! Lorsque j’ai entendu parler de cette soirée spécial au People’s Republik, je n’ai pas pu me l’enlever de la tête. Je devais y aller. Seule ou accompagnée, d’ailleurs. Malheureusement pour moi, mon ancien meilleur ami n’avait pas l’air de vouloir y aller avec moi. Peu importe ses raisons, ça me blessait, mais bon, je n’allais pas m’arrêter de vivre pour ses beaux yeux. Me préparant, j’avais enfilé une robe que j’avais dénichée dans l’après-midi. Une petite merveille à mes yeux. L’enfilant, je la plissais pour qu’elle soit parfaite. Chaussant des ballerines de même couleur dans le style fluo, je souriais. Cette soirée allait être géniale. Mes cheveux étaient remontés en un haut chignon avec beaucoup de volume. Riant devant mon miroir, j’accrochais plusieurs bracelets à mes poignets, ainsi que des colliers.

Vient l’étape maquillage. Toujours du bleu, flash, et je me sentais presque prête pour aller à cette soirée. Cherchant dans mes tiroirs, j’en sortais des lunettes colorées, que je mettais sur mon nez. Me décidant prête, je prenais un sac vintage avec mes affaires et sortis de chez moi. L’une de mes voisines me regarda de travers. Elle se rendait sûrement en boîte de nuit, en vue de sa tenue ultra courte. Mais ce n’était pas mon problème. Pour le moment, je descendais de l’immeuble, sortant pour attraper le premier bus.

Le People’s Republik se trouvait à un petit quart d’heure de chez moi en bus. Rien de très long, à mes yeux. Quand le bus se gara, je descendis, entendant des messes basses sur ma tenue. Le ridicule ne tue pas, alors pourquoi tant de remarques ? Je ne comprendrais jamais les gens. Souriant au videur, il m’ouvrit gentiment la porte pour que je puisse entrer. Là, il y a déjà pas mal de monde. Les costumes étaient tous les uns plus beaux que les autres. Je me sentais dans mon élément, regrettant juste de ne pas avoir pris mon appareil photo pour avoir des clichés haut en couleur. Je remarquais cependant qu’il y avait un photographe et j’avais hâte de voir ses photographies.

Ne connaissant personne, je m’avançais vers un petit buffet rempli de boisson. Les couleurs flashaient dans les récipients, sans que l’on puisse réellement savoir ce que ça peut être. Attirée par le bleu, je me servais sans aucune appréhension. Apportant mon verre à mes lèvres, je me souviens du goût : champagne, sucre de canne, pulco citron et curaçao – appelé plus communément « soupe de champagne ». Un délice, d’ailleurs. Regardant les personnes dans la salle, je me disais bien qu’il fallait que j’aille faire de nouvelles connaissances. Mais pour le moment, je préférais regarder, de loin, un peu sur la réserve, comme toujours au départ. Je savais que la soirée allait être géniale, ce n’était qu’une question de minutes.

Mon verre terminée, je m’en servais un à nouveau, alors que la musique s’élevait petit à petit. Je souriais, amusée. Finissant rapidement mon second verre, je le posais pour aller danser. Après tout, j’étais là pour m’amuser et je ne comptais pas m’arrêter. La nuit était à moi et je voulais déjà qu’elle ne s’arrête jamais. La piste de danse commençait à se remplir petit à petit. Dans mon élément, bercée par la musique, je fermais les yeux pour apprécier l’instant présent !
bohemian psychedelic
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kitsch, vous aviez dit kitsch ? Compris. Charlie avait sorti la perruque rose à filaments pailletés, une chemise bleu clair passée sous un marcel de laine d'un rose plus que fluo. Ses jambes n'étaient pas en reste : collant vert flash, jupe blanche (pour bien être visible dans le noir de la boîte) avec des motifs argentés bien brillants sous les projecteurs. Et puis, histoire d'être totalement fringuée sans cohérence, elle avait même sorti une cravate rose vif pour serrer le col de sa chemise. Quant à ses chaussures... On sait tous que les sandales en plastique orange, oui celles que vous preniez gamin pour aller à la pêche aux birgorneaux sans vous écorcher les pieds, c'est supra tendance avec des collants vert pomme et une perruque fushia.
Et puis, elle avait completé le tout avec de grosses lunettes rondes aux contours jaune fluo. Ses poignets, eux, étaient agrémentés de quelques bracelet d'une quelconque ferraille, juste histoire de faire tout plein de bruit en passant.

Des boissons à volonté et l'entrée gratuite, Charlie n'avait pas résisté. Surtout parce qu'il fallait se déguiser, sans quoi elle aurait certainement hésité à aller fêter l'anniversaire du People's Republik avec tout Cambridge. Mais le déguisement, ça, c'était THE argument. Kitsch, qui plus est. On lui avait tendu une perche, elle avait sauté dessus. La rousse y était allée seule. Elle s'était dit qu'elle verrait sur place si elle connaissait des gens plutôt que harceler ses connaissances pour savoir si elles venaient aussi. Aller seule à une fête, ça ne lui faisait jamais peur. Rencontrer des gens, c'était son plaisir quotidien.

L'Irlandaise, après avoir avalé un ou deux verres -un truc jaune flash et un autre rouge bizarre, pas mauvais mais étranges- histoire de profiter des boissons à volonté hein, entra sur la piste de danse.
L'inconvénient, dans ce genre d'endroit, c'est qu'à un moment ou un autre, vous bousculiez forcément quelqu'un. Charlie, plutôt du genre maladroite, trouva le moyen de buter dans une jeune fille toute en bleu flash (Maddison). Elle se retourna et, la voyant prête à tomber à cause d'elle, l'attrapa par le bras de justesse.

« Ohhh désolée ! Ça m'arrive à chaque fois de faire ça... Désolée ! Ça va quand même ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
que banal devienne kitsch.

La musique entraînante me permettait de danser comme bon me semble. Je m’amusais vraiment totalement. Regardant de temps à autre les autres, je souriais, voire riais, en voyant leur vêtement. Oui, j’avais été assez sobre – pas de perruque, etc. – donc les nouveaux entrées me fascinaient. Continuant à me déhancher, d’un coup, je me sentis être bousculé et je perdis l’équilibre. Oh mon dieu, j’allais me taper l’affiche et ça allait être une horreur. Heureusement pour moi, une main me rattrapa pour que je ne me vautre pas de tout mon long. Me remettant correctement sur mes deux pieds, je regardais la jeune femme qui avait failli me mettre par terre. Ses vêtements me firent sourire, ainsi que tous les autres accessoires. Je suis fan. A cotée d’elle, je me sentais simple. Trop simple. Fade. Banal. Rougissant un peu de gêne, je l’entendais alors – malgré la forte musique – s’excuser et me demander comment ça va. Reprenant mes esprits, je lui fis signe de me suivre, nous écartant de la piste pour ne pas être dérangée.

MADISSON – « Excusez-moi, mais on sera mieux ici pour parler je pense »

Enfin parler ... Disons que ce n’est pas grand-chose après tout. Lui souriant de plus belle, je détaillais encore ses nombreux accessoires. J’adore tellement ce qu’elle porte !

MADISSON – « Il n’y a aucun problème, je vais bien »

Regardant vaguement le buffet qui se vidait et se remplissait par intermittence, je revins à la jeune femme qui m’avait presque mis à terre. D’aucune façon je pouvais lui en vouloir. Il n’y avait rien eu de grave après tout.

MADISSON – « Je m’appelle Madisson » fis-je en souriant, histoire de faire un peu causette.

Après, si elle ne voulait pas me parler, je comprendrais. Elle m’avait bousculé, elle s’est excusé et elle m’a demandé si j’allais bien, je lui avais répondu. Tout pouvait s’arrêter là. Mais bon, ayant besoin d’une pause, je lui avais demandé de me suivre pour répondre et puis … Une soirée permettait aussi de faire des rencontres, donc autant essayer de parler un peu. Reprenant un verre d’un liquide rose flashy et un petit cupcake multicolore, je ne pouvais résister à boire et manger un petit quelque chose. Je ne lui proposais pas, parce que je n’étais pas chez moi, mais bon, je pense qu’elle est assez grande pour se servir par elle-même, sans méchanceté aucune, attention !
bohemian psychedelic
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La rousse suivit la jeune fille qu'elle avait bousculée à sa demande. Cela l'intrigua un peu, elle se demandait si ce n'était pas pour mieux l'engueuler ou la frapper qu'elle l'entraînait à l'écart, malgré ses airs sympathiques. Heureusement, la jeune femme enagea la conversation sans aucune animosité. L'Irlandaise lui offrit alors son grand sourire caractéristique.

« Ouf, heureusement ! » dit-elle à sa sympathique victime quand elle lui assura aller bien. Cette dernière s'éloigna quelques instants pour prendre un verre, puis revint.

Charie était en admiration devant sa robe. Du bleu flash. Des fleurs. De l'ancien et du moderne dans un même vêtement, et des ballerines assorties s'il vous plaît. Elle avait envie de lui piquer la robe, mais pas pour ce soir. Non, plutôt pour aller en cours demain avec. Vous imaginez le mélange géniallissime que ferait cette robe avec ses cheveux carotte ? En plus, l'Irlandaise était persuadée que cette robe voletait si on tournait et elle adorait quand les robes ou jupes voletaient. Elle passait sa journée à tournoyer sur elle-même dans les couloirs pour se déplacer. Depuis quatre ans, les gens s'étaient habitués.

« Moi c'est Charlie ! » se présenta-t-elle à son tour, tout sourire.

Faire de nouvelles rencontres, c'était un peu une des passions dans la vie de Violet en fait. Elle raffolait de ces moments où on commençait à découvrir quelqu'un sans pour autant le connaître.

« Tu comptes remettre ta robe un jour ? Parce que si après cette soirée tu veux la jeter, avant de le faire, tu me préviens hein. Ensuite, je te la pique. Sinon j'irai fouiller les poubelles pour la trouver ! » s'exclama-t-elle à travers ses lunettes jaune, son enthousiasme exalté se répercutant dans sa voix vive. « Non plus sérieusement, ta robe est parfaite. » se calma un peu la rousse. « Mais si tu veux la jeter tu me la donnes avant pour de vrai hein !» ne put-elle s'empêcher d'ajouter, dans une phrase à la construction grammaticale et sémantique absolument irréprochable, comme toujours.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
que banal devienne kitsch.

Son grand sourire provoquait le mien. Elle n’avait pas l’air méchante et je ne voyais pas pourquoi j’aurais du m’énerver contre elle. Lorsque l’on ne connaît pas une personne, on ne doit pas s’en prendre à elle. Que sait-on de son passé, de son présent et de tout ce qui gravite autour pour s’en prendre à un inconnu ? Tout ce que l’on risque, ce sont les quiproquos et de toucher un point sensible qui mènera les deux personnes à une dispute plus ou moins forte. Son « ouf heureusement » me fit lui adresser un sourire entendu. C’était oublier. Pourquoi se prendre la tête pour si peu ? Elle avait l’air charmant avec ses vêtements très flashy pour l’occasion. Sa perruque rose me faisait rire intérieurement. J’avais toujours trouvé ces perruques très amusantes et elle s’accordait très bien avec le reste de ses habits. Charlie. Un nom pas très commun, mais j’adorais totalement. L’originalité m’a toujours plu.

MADISSON – « Enchanté alors, Charlie » fis-je en levant mon verre à elle.

La conversation déviait ensuite vers ma robe. Le fait qu’elle me dise qu’elle irait fouiller dans une poubelle pour la retrouver me fit rire. Waouh, je ne pensais pas qu’une robe si simple à mes yeux, en comparaison à d’autres robes ou accessoires associés, pourrait plaire autant. Dire qu’elle est parfaite me réchauffait le cœur, et je réprimais un second rire quand elle me dit qu’elle était toujours très intéressant.

MADISSON – « Je pense la remettre un jour, Charlie » souriais-je gentiment en buvant une gorgée de la boisson que j’avais choisi. « C’est gentil, merci » fis-je à son compliment. « Malheureusement pour toi, je n’ai pas l’intention de la mettre à la poubelle, c’est un cadeau de ma mère »

Moi qui adore le kitsch, j’avais demandé une robe il y a un petit moment à ma mère et elle me l’avait offerte avec une petite carte qui disait que je lui manquais. Je songeais à rentrer chez moi d’ici peu … mais ce n’était pas le moment d’y penser. Reprenant une gorgée dans mon gobelet, je la regardais de la tête aux pieds.

MADISSON – « Je me sens un peu banal à côté de toi » lui avouais-je.

Même si le style kitsch était d’en faire un peu trop, je n’avais pas eu le courage de faire comme elle : perruque, cravate, etc. Déjà parce que je n’osais pas peut-être assez me lâcher. Ensuite, je voulais être à l’aise et je l’étais avec quatre fois rien. Et pour finir, lorsque je rentrais, je n’aurais qu’à ouvrir la fermeture éclaire de ma robe pour la faire tomber à terre, jeter mes ballerines dans un coin et je m’écroulerais sur mon lit pour dormir. Un grand gain de temps pour aller se caler sur un matelas moelleux. Mais bon, d’un autre côté, elle avait largement plus la classe que moi ainsi ! Une question me brûlait les lèvres … De quelle couleur étaient ses cheveux ? Mais je ne me permettrais pas de lui demander de retirer sa sublime perruque rose pétante !
bohemian psychedelic
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)