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ULOUMIE - you've got to hide your love away

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ulisse ∞ roumie


Tu es perdu. Insignifiante. Une fille comme les autres. Une Roumie parmi des affermies. Elle seule doit prendre son autonomie dans ce monde inaccompli. Seule, peut-être, mais oui, en fait tu l'es, là , toute seule ; la folle dans l'euphorie avec le coeur dans la brume, les larmes qui coulent de plus en plus, comme un flot interminable qui vient des profondeurs de tes entrailles, comme-ci ce flot représentait toutes les douleurs que tu avais depuis longtemps. Tout s'écoule, toute cette rage, toutes ses pertes et tu te sens mal. Si mal, que tu pourrais tous les insulter, ses idiots qui dansent comme-ci l'on pouvait oublier la vie, l'espace d'une seconde. Tu souris, en essayant de cacher ta peine, c'est comme-ci un couteau retournait ta plait, comme-ci son visage au loin pouvait te faire du mal, tu le vois là sourire, s'amuser. Et toi, caché derrière ta chevelure blonde qui dégouline le long de tes épaules, tu te mords les lèvres, tu joues avec tes doigts nerveusement et t'as les yeux verts qui scintillent d'espoir...tu espère comme toujours qu'il te voit, mais il ne te voit pas, ils les aiment toutes sauf toi. Tu ramènes ta chevelure blonde en arrière et quelques mèches derrière tes oreilles. Tu quittes la boite nonchalante, ce n'est pas comme s'il t'avait vu, c'est ce que tu oses croire, il s'en fout. Puis, il y a cette énième bière qui t'a sapé le morale et voilà tu te mets à chanter du Sinatra, puis tu te mets à tournoyer et à danser dans tous les sens, mais sans doute pas celui du Nirvana. Reprenant tes esprits, tu tentes de rejoindre la porte de sortie, tu vois quelques mains aguicheuses qui se tendent vers toi, mais tu ne daignes pas les regarder. Tu n'as pas envie de finir dans le lit d'un inconnu, mais tu penses bien que c'est ce qui risque d'arriver. Arrivée dans le hall d'entrée, tu tires sur ta robe pour qu'elle atteigne misérablement tes genoux puis tu tentes d'arranger ta coiffure, tu refermes sur toi, ton manteau de peu de valeur et la tête qui tourne tu te laisses glisser contre le mur. Ici, tout est calme, ce n'est pas comme à l'intérieur, tu vois le videur te faire un regard accusateur. Tu n'as pas le droit de rester là, mais tu t'en fous, tu attends de reprendre tes esprits avant de partir. Ton mascara dégouline en plusieurs larmes noires sur tes joues blanches, ton rouge-à-lèvre se termine en une grosse flaque foncée de senteur fraise sur tes lèvres. Tu te couches sur le sol froid, ta pochette dans l'une de tes mains avec toutes tes affaires que tu serres contre ton ventre.... Je te hais Castellini...je te hais, c'est ce que tu murmures plusieurs fois.
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let's dance


Une soirée de plus venait de s’installer et de border la ville. Cette ville aux milles lumières, et aux milliers de personnes qui se baladaient sans cesse. A Harvard, la soirée venait tout juste de commencer sur les coups de 20 heures. En tant qu’élève studieux, Ulisse était sur ses cours de médecine. Il essayait de déchiffrer l’énigme et de comprendre un peu mieux son cours. Soudain, son cellulaire se mit à vibrer et à sonner laissant une douce mélodie d’une chanson de Texas. Levant les yeux vers le fameux objet, il se rendit compte que les Wint’ tentaient de le joindre. Ce qui était un peu idiot étant donné que les jeunes gens vivaient tous dans les mêmes quatre murs. « Beau gosse arrête de bûcher, viens t’éclater au Nivarna ! Y a des nanas ce soir, puis de toute façon on ne te laisse pas le choix ! » Le jeune rouge n’eut pas le temps de répondre que la conversation fut coupée. A son grand désespoir, il devait mettre en parenthèse sa soirée de révisions. Ce qui est un grand paradoxe, c’est que ce jeune homme est un homme très studieux, alors qu’il est toujours le premier à vouloir faire la fête. Autrement dit, il n’est pas normal, quand on sait que la moitié des étudiants de cette université n’en branles pas une. Ulisse avait toujours été le meilleur de sa promo. Une grande fierté pour papi Di Castellini ! Après tout, le reste de la famille s’en fiche, autant profiter de leurs millions ! Quelques heures après le fameux coup de téléphone, le jeune homme était enfin à destination. Descendant de son cabriolet sport, il était impeccable. Oui, ce jeune passe la plus part de son temps devant une glace. S’il pouvait s’en greffer une dans la main, ce serait parfait. Arrangeant le col de sa chemise noire, le jeune homme tomba nez-à-nez avec les autres Wint’ qui étaient de la partie. La soirée allait enfin pouvoir commencer. Les jeunes gens rentrèrent tous ensembles, et commandèrent des bouteilles d’alcool. La bouteille au liquide cristallin ne cessait de lui faire de l’œil. Le jeune homme la prit dans ses mains, et s’en servit plusieurs verres pleins ! Rien n’était trop beau pour passer une bonne soirée. Les lumières tamisées, le show allait commencer. Les danseuses défiaient les unes derrière les autres, exprimant les fantasmes des jeunes mâles. Hôtesse de l’air, secrétaire, flic… Et j’en passe ! Une dizaine de jeunes femmes toutes plus belles les unes des autres. Les jeunes mâles n’avaient pas perdu une seule goutte du fabuleux défilé. Le jeune homme en eut marre de rester assis sans rien faire. Il tenta de se lever. Ce ne fut pas très dur, mais pas trop facile non plus surtout quand on sait qu’il avait vidé la bouteille au passage. La piste de danse battait son plein. Des jeunes gens faisaient que danser, laissant leur corps aller au son de la musique. Les jeunes hommes tentaient des danses de robot –oh grand désarroi de ces dames-. Alors que ces mesdemoiselles vêtues de leurs magnifiques robes courtes ne cessaient d’onduler leur corps. Les éclairages ne cessèrent de se poser sur elles. Curieusement, Ulisse fut très vite attiré par une belle jeune femme aux éclats dorés. Ce fut un défilé de gestes qui s’enchaîna, ce qui le fit rapidement rire étant donné que la danse il l’avait appris très jeune. En effet, chez les Di Castellini, on doit être parfait, donc on doit apprendre à être un parfait gentleman, à bien danser, à offrir toutes sortes de choses à sa promise… Voilà pourquoi le bel Italien avait souvent du succès, il ne comptait pas pour les jeunes femmes et il était intéressant. Après avoir dansé un long moment avec cette charmante… Heu le nom n’est pas important… L’envie de nicotine fut plus importante que le reste. Il devait sortir dehors pour s’en griller une. Quittant poliment la jeune femme, il se dirigea vers l’entrée du club, les yeux complètement dilatés, et le sourire aux lèvres. Tout allait bien, il tenait toujours sur ses jambes, et il n’était pas si soul que cela, mais il n’était pas clair non plus. Cherchant dans la poche arrière de son jean, il trouva le paquet tant espéré ! Attrapant une clope qu’il accrocha délicatement à ses lèvres, il s’avança vers le vigile, qu’il connaissait depuis un long moment ! Les deux échangèrent deux ou trois formalités sans plus. Il se permit de lui dire que ce n’était pas ici qu’on devait fumer, mais l’Italien trouva une bonne excuse pour rester à ses côtés. Il ne l’avait pas revu depuis un long moment, il était intéressé par sa vie. Tu parles ! Il s’en foutait pas mal. Il avait quoi à raconter de très important ? Il faisait un boulot minable et mal payé, alors à part se plaindre c’est tout ce qu’il pouvait faire. Détournant le visage, il vit une jeune femme allongée, il pensa sur le moment qu’elle était trop soule pour se lever, pinçant sa lèvre pour éviter de rire, il se rapprocha d’elle et reconnut Roumie. Se baissant pour se mettre à sa hauteur, il se rendit compte qu’elle pleurait. « Tiens jolie Boones ! Une jeune femme aussi belle que toi ne doit pas pleurer. Elle doit sourire et profiter de la vie » Un grand sourire charmeur sur les lèvres, il lui tendit un joli mouchoir avec les initiales du jeune homme afin qu'elle puisse essuyer les larmes qui venaient de couler sur son visage.
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ulisse ∞ roumie

« Tiens jolie Boones ! ...Une buée énorme envahit tes yeux, tu le vois en double, là devant toi, le sourire moqueur, un brin élégant, accroupis en face de toi. Son parfum d'homme à la senteur particulière, sa chemise blanche un peu entrouverte, les cheveux ébouriffés et la barbe de quelques semaines qui grandit sur son menton...Une jeune femme aussi belle que toi ne doit pas pleurer...Tu sembles rêver, tu sembles... Tout cela n'est pas vrai, mais tu ne peux t'empêcher de sourire, tu as presque envie de le prendre dans tes bras et s'il t'avait vu ?. Tu es dans un mutisme rêveur, tu analyses le hall d'entrée puis tu soulèves ton regard et tu croises le sien, ton cœur rate un battement, alors tu fermes les yeux...Elle doit sourire et profiter de la vie...Sa présence te procure une sensation bizarre, tes milliers de papillons te parcourent le ventre, te chatouille, tu n'es plus toi. Tu tentes de te relever, mais tête dans le brouillard, tu n'arrives pas. Et c'est seulement en ayant posé une main sur ta tête pour calmer tes esprits que tu ouvres la bouche...Les jolies femmes, ça pleure tout le temps... dis-tu tout doucement en mordillant par la suite ta lèvre supérieure. Il te tendit un mouchoir et tu le pris doucement, c'est comme-ci tout d'un coup, tes articulations étaient faibles, que tu avais une bouffée de chaleur et que tu ne savais plus ou tu étais. Et c'est après quelques minutes, en t'essuyant les yeux que tu pouvais sentir ce parfum qui lui appartenait tant, que tu pouvais hélas savoir qu'il ne s'agissait pas d'un rêve, mais bel et bien du type qui te faisait mal ces temps-ci.Il était horrible, tu t'étais promise de ne plus tomber dans ce charabia qu'est l'amour, tu t'étais promise. Mais, tout est venu si soudainement...Les petits regards innocents  qu'il te renvoyait te rendait forte et susceptible.

Ta jalousie refait surface, elle te monte au ventre parcourt tes entrailles et ressort de ta bouche comme une lame a double tranchant...Ce discours...tu parles calmement, mais ton regard devient limpide...tu le dis à toutes les filles ?...Des larmes coulent encore plus. Combien de fois le dit-il ? Pourquoi ça devrait faire quelque chose ? Tu tentes d'arrêter ce flot de larmes qui n'arrête pas sa lancé. Les larmes s'écoulent sans fin et tu ne veux pas le laisser s'approcher de toi...Non, tu sais quoi, j'ai pas envie de le savoir,...tu rejetais son mouchoir sur lui. Et tu te relevais complètement, la vue bousillée, le cerveau en peine parce que tout de lui t'énerve autant que tu l'aimes. Le vigile lança un regard curieux et tu broyas du noir en lui lançant un regard assassin.Tu tentas de marcher, mais tu étais très fatigué, cela faisait si longtemps que tu n'avais plus autant pu. Une escorte girl de ton calibre devait toujours rester sombre face à toutes ses tentations. Les hommes d'affaires aimaient les jeunes femmes qui semblaient pures. Mais, tu aimais ça, te perdre dans ta mélancolie en buvant plusieurs verres de vodka. Tu tombes à genoux en faisant tomber ta pochette. Tu as mal à la tête et une bouffée de chaleur à envahie ton corps...va-t-en ! c'est ce que tu chuchotas, et parce que tu étais mal, alors tu posas tes deux mains contre tes yeux pour te calmer...fais pas semblant de m'aider...je sais que t'en a rien a foutre Ulisse. Tu le regarda ensuite en souriant... tu peux partir ça ira.
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you hurt


Quelques fois, tu as du mal à comprendre certaines choses, tu fronces les sourcils, les plis de ton front marquent une profonde réflexion. Deux options s’offrent à toi : tu sors une chose intéressante et utile, ou c’est l’inverse et tu t’engouffres dans un trou sans fin ! C’était le cas actuel du jeune homme. Il était marqué d’une longue réflexion. Pourquoi Roumie pleurait-elle ? C’était insensé pour lui, cela ne pouvait pas être un homme, elle pouvait avoir n’importe qui, elle était si jolie avec ses cheveux de blés et ses lèvres purpurines. C’était la représentation réelle de la déesse de la tentation, celle qui faisait fantasmer tous les hommes et qui pouvaient en pousser certains à tromper leur copine. Elle aurait le rôle de la maîtresse, une meilleure position que celle de la femme qui porte les cornes. Un homme pouvait lui avoir brisé le cœur, mais connaissant les femmes trop bien, Ulisse arrêta d’y penser, c’était elles qui brisaient les cœurs des hommes. Naissance de cette haine profonde que le jeune rouge avait pour les femmes. En fronçant encore plus son front, le jeune homme prit une plus longue réflexion. Et si c’était un homme qui l’avait emmerdé ? Il aurait pu aller trop loin, lui faire des propositions trop lourdes, mais surtout aller trop loin dans ses gestes ou ses propos. Un viol ou des attouchements pouvaient si vites arrivés. En si bon Italien, Ulisse pensait encore qu’au XXIème siècle, les femmes avaient besoin d’être accompagnées h24 par leurs hommes pour régler le problème. « Une jolie femme peut pleurer tout le temps, mais il y a une raison. Un mec s’est montré trop insistant avec toi ? » Ses yeux humides lui faisaient comprendre que oui, elle se mordit la lèvre comme si elle avait commis une faute. Elle tentait de ne pas le dire, il savait que c’était cela, ce ne pouvait pas être autre chose. « Dis-moi le Roumie ! Si ce mec t’a fait du mal, je vais m’occuper de son cas personnellement ! Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose. » Texto : Je tiens à toi. L’art des mots n’était pas la matière d’Ulisse, c’était un parfait orateur, mais pas quand il s’agissait de décrire des sentiments forts comme l’amitié ou l’amour. On ne lui avait jamais prouvé d’amour dans son adolescence, il était l’enfant perdu d’une riche famille qui se dictait ses propres lois. Il remerciait le ciel de ne pas avoir trop mal tourné. Il aurait pu être un alcoolique ou un drogué, non ce n’était qu’un homme à femmes et il veillait sans cesse à ne pas laisser de descendance. Le manque d’amour, ou d’intérêt, il savait ce que c’était et il n’avait pas envie de le faire ressentir à un enfant.
Tout d’un coup, son regard change, il est celui d’une femme abattue par ses sentiments, contrôlée par un sentiment trop fort. Une passion extrême qui la fait sortir de ses gonds. La jalousie traverse à une vitesse éclaire ses yeux. Il vient de capter le problème. Les femmes avec qui il couche… Les femmes qu’il voit chaque soir, ou avec qui il flirte. Mais il n’établissait pas le lien de connexité. Ce n’était pas logique pour lui. Il avait beau se démontrer par a+b ses propos, ce n’était pas logique son idée. Pourquoi les nanas intervenaient à ce moment-là ? Il n’en avait rien à foutre de ses filles alors qu’il tenait à Roumie, c’était l’une des uniques filles qu’il respectait et qu’il portait dans son cœur. Les autres étaient des potiches qui avaient l’art de décorer la table ! L’alcool ne cessait de lui tourmenter l’esprit, il ne comprenait toujours pas et risquait de mettre les pieds dans le plat comme à son habitude. « Heu tu parles des jeunes filles que je fréquente ? Mais où est le rapport ? » Roumie avait une attitude désinvolte et assez rustre, elle n’avait pas un comportement adapté aux situations, mais surtout, elle avait tendance à devenir une charretière hors pair ! Une chose qu’on interdisait chez les Di Castellini, ils devaient parler correctement sans dire un mot de trop ou un mot qu’on ne prononce pas. C’était interdit ! Mais certaines bonnes familles ne surveillaient pas assez leurs progénitures et ces derniers pouvaient très mal parler. Il suffisait qu’un tourne mal pour se rendre compte de l’échec. Une véritable honte. Elle lui balança son mouchoir dessus. Ulisse mit un temps incalculable à comprendre le geste qu’elle venait de faire. Il se retrouva le mouchoir dans les mains et le regard vide. Elle venait de partir, il fallait lui courir après ! Avec 3 grammes dans le sang, cela allait être marrant de tituber dans la boîte à la recherche de la jolie blonde. Elle ne fut pas bien long, vu qu’il réussit à la retrouver en marchant quelques pas –une grande réussite, il avait toujours l’équilibre !-. Elle fouilla dans sa pochette, ses cheveux tombèrent en cascade dans son dos, Ulisse s’agenouilla son tour pour la prendre dans ses bras et lui faire un câlin. Son étreinte entoura son petit corps de gazelle, et ses doigts se perdirent dans ses cheveux de blés. Ses remarques lui firent mal, il desserra son étreinte pour la fixer un long moment dans les yeux, l’air sérieux et dur, celui qu’il réservait quand il commerçait à s’énerver. « Comment peux-tu dire que je n’en ai rien à faire de toi ? Es-tu à l’intérieur de moi ? Non ! Que je sache, je ne t’ai jamais trahie, je t’ai toujours respectée Roumie ! J’ai toujours vu en toi une jeune fille bien qu’il ne fallait pas blesser, mais dont il fallait prendre soin. Je ne t’ai jamais tourné le dos. Là tu viens de récolter une seule chose : tu viens de me blesser ! » Il retira son corps du sien en prenant ses distances, il ne supportait pas qu’on touche son égo surtout qu’il ne lui avait jamais rien fait de mal. Elle l’attirait fortement, mais il n’avait jamais eu l’idée de s’en servir pour une nuit, elle était trop importante pour lui. « Tu as changé ! Quand comprendras-tu que tu comptes pour moi ? Et je partirai quand je l’aurais décidé ! » Son insistance marqua la fin de sa phrase avec brutalité, il allait quand partir, quand le moment serait venu.
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