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Avé césar ! ¤ Wesley

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Wesley & Olivia

La blondinette n'avait jamais eu l'impression que les gens voulaient l'entendre expliquer son malheur. Après tout, personne n'avait vécu de malheur pres d'elle ou du moins, il le cachait beaucoup mieux qu'elle. Elle se souvenait avoir ressenti physiquement la perte de son bébé, elle se souvenait de la sensation criante dans son genoux, comme si toutes ces sensations étaient encore en elle et refusait de partir, boire enlevait la douleur physique et parois même la douleur psychologique à certains moments, alors pourquoi pas, c'est tout ce qu'Olivia avait trouvé. « rien ne peux sauver l'insauvable Jules, rien, y a plus rien a faire. » Non plus rien à faire, elle ne voyait pas, Wesley l'avait abandonner, encore une fois, elle se sentait terriblement seule et en avait marre d'essayer de voir ce qui pourrait l'aider, de voir qui pourrait lui tendre la main. Elle avait essayé à sa façon, de crier à l'aide, mais on ne lui avait pas répondu, on l'avait même envoyer de l'autre coté de l'océan pour ne plus l'entendre, alors Olivia et faire confiance à autrui pour l'aider, elle allait passer son chemin après tout le bordel. « C'est ca qu'il comprend pas, toi non plus clairement, vous vous ressemblez tu sais, j'ai pas changé moi, je suis pas différente, je suis juste bourrée, ça change pas ma personne, ce qui change une personne c'est quand la personne en qui on a le plus confiance nous brise en deux, ça, ça change quelqu'un Jules! » Ce que disait Olivia était assez claire, mais son ton de voix et toutes les pause entre les mots montrait bien son état. Elle ne croyait pas que l'alcool ou la drogue l'ait changé, elle croyait que l'abandon de Wesley l'avait changée, l'avait brisée, l'abandon de ses parents l'avaient changé, mais l'alcool ne l'avait rendu que plus fêtarde et plus franche.

Olivia ne comprenait pas Jules, pourquoi il défendait autant Wesley, elle en avait marre qu'on défende Wesley, comme si c'était difficile pour lui, bon, oui ce n'était pas facile pour lui non plus, mais la jolie blonde ne voyait que ses problèmes et avait bien de la difficulté à comprendre ceux des autres et c'était pas bien bourrée qu'elle allait commencer. « Je veux rien entendre, y en a marre d'écouter, il parle il parle, il fait rien. La Noblesse elle est pas compliqué du tout, c'est un choix qu'il a fait, il aurait pu envoyer chier tout le monde, tout ce qui compte pour la noblesse c'est le final, et au final s'il les avait envoyer chier on aurait pu revenir plus fort et ils auraient tout oublier, comme toujours! » Olivia avait accordé beaucoup d'importance à son statue avant Harvard, mais elle avait finit par comprendre, qu'elle s'en fichait bien de ce que ses parents pensaient, de ce que la noblesses pensait. Ils oublieraient vite, si elle avait envie de revenir et dieu sait que ce n'était pas le cas, londres n'était plus chez elle, mais si elle voulait, elle pourrait, arborer un beau sourire et des yeux clairs et tout le monde serait plus qu'heureux. Olivia avait du mal à saisir tout ce que Cesar lui disait, il se trompait de lui a je, et quand on est bourrée c'est pas le temps pour votre interlocuteur de se melanger les pates dans les pronoms, non merci. « Lui non plus il sait pas quoi dire, comment peux tu savoir ce qu'il voudrait dire ? » Olivia était retourner se coucher la tete sur le bar, complètement bourrée, fatiguée, épuisée et triste. Elle avait laisser la main de César sur la sienne, se rendant à peine compte de sa présence. Oli re^cu comme une éclair dans le corps quand César évoqua que Wesley savait avec qui elle avait couché. « Il sait ?! Comment il a pu savoir, il aurait jamais du savoir, enfin, j'imagine qu'il s'en doutait, spas une asperge non plus, mais oh et puis de la merde, il a pas recu un texte de la folle pour lui dire qu'il l'avait fait monter dans les rideau! Je peux te montrer j'ai des preuves qu'elle est cinglée je te jure! » Dans son moment de rage, Oli avait garder le texte comme pour pomper un peu plus contre le monde entier. Olivia voyait une différence entre Wessley qui avait couché avec Maggie et elle qui couhait avec Valentin, l'intention était pas la même, surtout de la part du partenaire. Maggie voulait faire du mal, Valentin non, alors, elle y voyait une grande différence, mais bon, elle aurait surement peter un cable même si ça avait été une autre fille. Ce mec, il en savait trop, Olivia ne comprenait pas, il l'aimait encore, pourtant, son attitude disait autre chose pour Oli. « T'es qui ? tu sais trop de chose... » Elle avait pas envie de parler de ses sentiments, même bourrée, signe que les choses seraient bien complexe. Olivia ne se rendait pas compte qu'elle avait Wesley sous les yeux et ne comprenait pas comment il pouvait savoir ce qu'il savait. Enfin, Wes lui reparla d'idefix ce qui la fit sourire et qui l'a fit oublier qu'elle avait parler de Celopatre, mais la faitgue et l'alcool prirent le dessus. « Non, je veux aller à la maison.... » Olive, elle n'avait même pas remarquer son surnom, seul Wesley l'appelait comme ça. Elle esseya de se lever et tituba, failli tomber, mais se rattrapa au bar en rigolant.
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Olivia & Wesley

J'avais tout autant souffert qu'Olivia part le passé, elle ne le comprenait peut-être pas, mais avoir cet enfant avec elle, fallait bien mieux que n'importe quel titre honorifique. Je m'étais inquiété lorsqu'elle s'était blessée, mais prise de court, elle n'avait peut-être pas remarqué ma présence à ses côtés ce jour-là. Je m'étais raccroché sur ma famille, sur l'entreprise de ma mère et le nom de mon père pour oublier la douleur, peut-être en mettant Olivia un peu trop de côté. J'avais mes torts, j'en suis complètement conscient, mais j'étais tout aussi blessé et anéantit qu'elle. Je ne perds pas espoir. Un jour tu iras mieux et j'espère que je serais celui qui t'aurait aidé. Disais-je en oubliant presque mon rôle de Jules César, enfin mon rôle est un grand mot. Je ne perdais pas espoir d'un jour là voir mieux, là voir souriante et loin de sa drogue et son alcool. Olivia ne voyait pas tout ce que je faisais pour elle, ce que je fais là, je ne l'aurais fait pour personne d'autre, je ne l'aurais pas fait pour mon meilleur ami, je ne l'aurais pas fait pour mon père, j'en suis certain. Je n'aurais jamais bousculé ma vie tout entière pour retrouver l'un d'entre eux, même si j'aurais tout de même gardé contact avec mon paternel. Elle refusait de le voir, j'espérais sincèrement qu'un jour, elle le comprendra. Je.. Il n'a pas changé non plus. Il est toujours le même, toujours celui que tu as aimé, toujours celui qui t'aime malgré ses convictions sur la drogue et toutes ces saloperies. Tu penses peut-être l'inverse, mais jamais il n'a voulu te blesser d'une quelconque façon que ce soit. Selon elle, elle n'avait pas changé. Je trouve au contraire, qu'elle n'était plus la même, plus l'Olive que j'ai connu, que j'ai aimé, même si je voyais encore une parcelle de cette superbe femme en regardant Olivia. Elle était là, quelque part, à m'attendre, c'est peut-être idiot de penser cela, mais je ne cessais d'y croire, de vouloir y croire.

Olivia avait du mal à se remettre en question, à remettre ma sincérité sur la table. J'ai fait des conneries, j'en suis pleinement conscient. Mais comment me rattraper avec une femme qui refuse de voir la réalité ? De voir que je vais tout aussi mal qu'elle ? C'est difficile, aussi bien pour elle que pour moi. J'admettais mes erreurs, je ne cessais de lui dire, que ce soit entant que César à cette table ou bien l'autre jour lorsque je suis revenu. Elle même m'avoua qu'elle en avait marre de m'écouter. Ce que tu ne comprends pas Olive, c'est qu'il ne peut pas. Tu restes butés sur tes convictions, sans essayer de le comprendre. Peut-être qu'en l'écoutant vraiment, qu'en essayant de le comprendre tout irait mieux ? Je veux dire, il sait tout aussi bien que toi ses erreurs, mais il n'est pas le seul à blâmer dans cette histoire. Il essaie de tout recoller, mais quoi qu'il puisse dire, ça n'est pas suffisant pour toi. Je ne criais pas en disant cela, au contraire j'essayais d'être à l'écoute, de la conseiller et de l'aider. Ce serait mentir de dire que je n'aime pas ma place dans la noblesse, que je n'aime pas mon rang et mon argent, ce serait faux. Mais j'aimais Olivia encore plus que tout cela, encore plus que l'argent et la noblesse réunie. Mais je voulais tout, je voulais toutes ces choses ensemble, pour vivre heureux et reconstruire ce que nous étions sur le point de construire. Une famille, une vie heureuse, bref nous avions tout pour être heureux. Je me mélangeais les pinceaux, oubliant souvent de parler à la troisième personne, je m'en rendais compte tout comme Olivia lorsqu'elle me demanda comment je savais ce que Wesley pouvait penser, parce que c'est moi. Parce que comme Wesley, j'aime une femme, mais j'ai fait des conneries, j'ai pris de mauvais choix, pas les bonnes décisions. Et comme lui j'essaie de recoller les morceaux sans réussir. Je ne lâchais pas sa main, sentant la chaleur de la sienne sur la mienne, comme au bon temps, elle ça ne lui faisait peut-être pas grand-chose, mais moi ça me réchauffait le coeur. Je vis dans ses yeux qu'elle était surprise que je connaisse l'existence de Valentin. Je prenais un long souffle avant de lui répondre, ça me faisait tout aussi mal qu'elle de l'imaginer avec un autre. Non il n'a pas reçu un texto, mais en cherchant le bureau du Doyen, il a demandé de l'aide à un jeune homme qu'il ne connaissait pas. Lorsqu'ils se sont dit au-revoir, ce jeune homme a reçu un appel d'une amie avec qui il prenait du bon temps, comme il l'a si bien dit. Et c'était ta photo sur son portable, lors de cet appel. Tu peux pas savoir le mal que ça m'av.. ça lui a fait. Je grimaçais en regardant le message de Maggie, je n'étais pas au courant de ce message, elle n'a pas été sympa avec Olivia. Ça me faisait vraiment chier de voir ça, ça me faisait mal et je pouvais imaginer la douleur d'Olivia en recevant ce message. Je ne pouvais rien dire, rien faire. Olivia fut suspicieuse, me disant que je savais trop de choses, qu'est-ce que je pouvais lui répondre ? Lui faire comprendre que j'étais Wesley ? Impossible, ça la mettrait dans un état encore pire que celui-ci. Je la regardais alors en souriant légèrement. Disons que je connais assez bien Wesley, tu es la seule personne qui compte pour lui. Je peux te l'assurer. Lorsque je lui parlais d'Idefix, un petit sourire s'affichait sur son visage, ce sourire que j'aimais tellement chez elle. Mais elle semblait fatigué, affaibli. Elle descendait de sa chaise en titubant, je n'allais pas la laisser comme ça, je lui attrapais la main, la retenant pour pas qu'elle tombe. Je vais te ramener chez toi, ma voiture n'est pas loin. Lui disais-je en payant sa consommation d'alcool et d'eau auprès du barman. Je l'attrapais par le bras, l'aidant à sortir du bar.


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Wesley & Olivia

C'était difficile pour Olivia de se concentrer sur autre chose qu'elle-même quand tout lui tomba dessus. Elle avait eu beaucoup de difficulté à voir le soutient possible au tour d'elle et elle avait eu cette impression de se sentir extrêmement seule et puis, elle ne connaissait personne avec se genre de problème. Wesley souffrait aussi, mais elle avait l'impression qu'il ne souffrait pas de la même façon, ne ressentait pas tout à faire les mêmes angoisses et peur et elle n'avait pas tord, mais elle diminuait de beaucoup sa douleur aussi. « bonne chance jules! » Bon, elle n'y croyait pas vraiment, après tout, elle ne voyait même pas comment ni pourquoi Jules l'aiderait, mais s'il voulait se tuer à la tache soit, c'était son problème pas le siens. Wesley n'avait pas changé ? non, mais Olivia avait l'impression qu'il agissait avec elle, comme il agissait avec les autres, comme le p'tit fils à papa qui faisait chier sur les bords et elle n'aimait pas ça. Elle se sentait juger par lui, n'avait pas l'impression qu'il comprenait et ne faisait que lui dire que ce qu'elle faisait était mal et sortait du diable ou je sais pas trop. « Il agit avec moi comme avec les autres, avec son petit air de je suis mieux que toi, parce que lui il est pas tombé dans l'alcool parce que lui a réussi autrement, bah pas moi, je suis ulle et c'est tout ce que j'ai trouvé! » Olivia fit une grimace comme une enfant frustrée, elle en avait marre de se faire dire que plein de gens avaient eu des problèmes et avait réussi à s'en sortir autrement, ben pas elle, elle y arrivait pas, non, c'est tout ce qu'elle avait trouvé, un peu naturellement même, comme quand on essait à l'adolescence et elle qui n'avait jamais pu faire de conneries, elle c'était bien gâtée.

oui, olivia avait de la difficulté à se remettre en question, elle savait qu'elle n'avait pas choisit la bonne façon d'arranger les choses, mais elle ne savait pas vraiment non plus comment revenir en arrière et donc elle s'enfonçait et elle n'avait pas envie d'admettre ses fautes, elle aurait pu aller vers les autres, mais elle ne savait pas comment. Puis, elle aurait pu parler à Wesley, ils auraient pu s'entraider avec la perte de cet enfant, mais elle s'était entêtée à se dire qu'elle avait été la seule à vraiment perdre l'enfant, ouais, elle était têtue et putainement chiante par moment, que voulez vous. « j'ai pas l'impression qu'il me comprend, tout ce que j'entend c'est qu'il désapprouve ce que je fais, que c'est mallllll comme le diableeeee et tout. Et puis envoyer chier des parents c'est bien assez simple et au bout du compte, ils nous aime toujours alors bon. J'ai peut-être mes erreurs, mais moi je l'ai pas envoyer promener quand il avait besoin de moi et il revient en croyant que ca va etre facile, s'il veut m'aider, il doit s'attendre au montagne russe, pas à une balade en cheval sur la plage. » Pas qu'olive ne voulait pas d'aide, enfin, pas vraiment, mais si Wesley voulait aider, fallait qu'il arrête de se dire qu'elle allait lui sauter dans les bras après une journée et que ça allait qu'en s'améliorant, y avait aucune chance. Elle avait franchement peur, lui faisait plus ou moins confiance, surtout après l'histoire de Maggie. Olivia regardait dans les yeux de Wesley. « qu'est ce tu fou ici alors ? faut aller l'aider elle. » Elle poussa un peu Wesley comme pour l'envoyer aider cette fille qu'il aimait, il pouvait la laisser crever sur le bar elle en avait rien à faire. Elle méritait surement plus d'être aider qu'elle, après tout. Elle écoutait Jules, parce que bon, elle était bourrée et que si elle avait su que c'étiat Wesleye le l'aurait envoyer chier, il n'avait pas le droit d'avoir mal selon elle. « Il avait qu'a pas me le laisser, je serais pas aller voir ailleurs. Et puis, Val il me dit pas quoi faire et il m'écoute, je sais pas. » Bah ouais, s'il l'avait pas laisser, elle serait pas célibataire non ? Bon, elle se mentait un peu, elle même trouvait ca un peu étranger d'être avec quelqu'un d'autre, mais en même temps, Valentin la rassurait et l'écoutait, sans pour autant la juger et lui dire d'arrêter quoique se soit. « Mouais, moi et son père oui. » Ouais, Olivia était pas fan du papa Bradford, quoiqu'ils c'étaient déjà très bien entendu, mais pour le moment, elle avait l'impression d'être en compétitions avec lui ou presque, alors bon. Elle avait essayer de se lever pour partir à la rechercher d'idefix, mais elle était complètement crevée et trop bourrée, alors Jules l'avait rattrapée. Elle le suivit à sa voiture, sans s'opposer à l'idée. « ma chambre est à la Mather House tu connais ? » Il avait intérêt parce que je ne donnais pas cher d'Oli, elle allait surement s'endormir après deux secondes dans l'auto.
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J'ai toujours essayé de garder la tête au-dessus de l'eau, ne pas me noyer dans mon chagrin après la perte de notre enfant. Je n'ai peut-être pas été assez démonstratif aux yeux d'Olivia, mais j'avais tout aussi mal qu'elle. Je n'étais pas quelqu'un qui parlait beaucoup de mes problèmes, je n'ai d'ailleurs jamais parlé de la perte de notre enfant avec qui que ce soit, encore moins avec mon père ou ma mère. Au premier abord ça n'avait peut-être pas l'air, mais j'étais tout aussi seul qu'elle durant un long moment. Je me suis rattaché à l'entreprise de ma mère et de prendre la relève de mon père pour ne pas sombrer, ce qu'Olivia n'avait visiblement jamais compris. Le bonne chance d'Olivia me fit comprendre qu'elle ne voulait peut-être pas sortir de cet état, qu'elle ne voulait pas se sentir mieux, se sentait-elle coupable et ne se voyait donc pas capable de sortir la tête de l'eau ? Aucune idée, mais je ne comptais pas abandonner, même si elle n'allait jamais me pardonner, je n'allais pas la laisser tomber encore une fois. Elle ne s'en rendait peut-être pas compte, mais ses paroles m'allaient droit au cœur, je n'étais pas du genre sensible, en temps général je me moquais pas mal des autres, je pensais souvent à mon nombril même si je n'étais pas quelqu'un de méchant, je ne pensais pas qu'Olivia me voyait comme ça, comme les autres me voient, je pensais qu'elle avait un regard différent des autres sur ma personne. Elle n'avait pas tort, j'étais juste un petit con égocentrique, mais je n'ai jamais voulu l'être avec elle. C'est comme ça que tu le vois ? Il ne s'est jamais senti supérieur à toi. C'est un fils à papa, il en est conscient, il se sent supérieur à beaucoup de personnes, mais certainement pas à toi. Il t'a toujours vu comme la femme parfaite, avant que tu tombes dans tes vices .. Il n'a jamais voulu te faire de mal en te parlant comme ça. Et arrête de dire ça, tu n'es pas nulle. Lui disais-je avec un sourire sur le visage, même si au fond de moi je n'avais en aucun cas envie de sourire en la voyant comme ça. Elle n'a jamais été nulle à mes yeux, en aucun cas. Elle était celle qui me rendait meilleur, qui me faisait sortir de mon rôle de fils à papa chieur sur les bords, avec elle je me sens différent, je ne saurais m'expliquer.

Si j'avais le pouvoir de retourner dans le passé, je n'aurais pas fait ce que j'ai fait. Je n'aurais jamais rompu avec elle, quitte à me mettre mon père à dos. J'aurais fait mon possible pour le résonner et peut-être que tout irait mieux, qu'Olivia n'aurait pu ses problèmes d'alcools et de drogue, que mon père l'aurait accepté de nouveau, mais surtout peut-être que nous vivrions heureux à l'heure d'aujourd'hui. Lorsqu'elle s'est mise à parler, je comprenais de nouveau le mal que mes mots pouvaient lui faire. C'est vrai que je n'ai fait que de désapprouver, j'aurais pu faire mieux que ça, faire mieux que lui dire d'arrêter. Tu as raison. Il aurait dû faire mieux que ça, te dire autre chose que c'est mal, que c'est pas bien. Mais est-ce que ça aurait changé quelque chose pour toi ? Est-ce que tu aurais accepté de lui parler ? Il ne demande que ça, il ne demande qu'à t'aider, qu'à savoir quoi faire pour que tu te sentes mieux. Mais il ne sait pas, il essaie de bien faire mais à chaque fois il a l'impression que quoi qu'il fasse, ça ne fait qu'empirer la situation alors qu'il ne veut que l'aider, tu comprends ce que je dis ? Je suis sûr qu'il peut faire mieux, si tu l'aides, si tu lui permets de t'aider. J'avais envie de faire mieux et je commençais à comprendre que je n'avais peut-être pas la bonne attitude envers elle. Rome ne s'est pas construit en un jour, recoller les morceaux sera tout aussi long et périlleux, cependant j'avais besoin d'elle pour réussir, à deux nous pourrions tout arranger, seul je n'y arriverais pas. Elle me regardait ensuite dans les yeux, me demandant ce que je faisais, que je devais aller aider cette fille que j'aimais, c'était ce que je faisais en ce moment. Un petit sourire sur les lèvres lorsqu'elle s'est mise à me pousser pour que j'y aille. J'aimerais le faire, mais malheureusement je ne sais pas non comment m'y prendre. Faut dire que cette fille est la plus belle et merveilleuse que je connais, mais elle a un sacré caractère. Disais-je en rigolant, elle ne le savait pas, mais je parlais bien entendu d'elle. Je restais tout de même à ses côtés, elle pouvait me pousser autant qu'elle le souhaite, elle pouvait me frapper si ça lui chante, elle n'arriverait pas à se débarrasser de moi. Toujours dans mon costume de Jules César, je l'écoutais comme si je n'étais pas Wesley, étrange à dire, mais je me comprends. Lorsqu'elle s'est mise à me parler de ce Valentin, une colère s'empara de moi, pas une colère la visant elle, mais bien cet italien. La différence entre Wesley et Valentin, c'est que Wesley t'aime pour toi, pour ce que tu es. Valentin voit seulement ton corps, il s'en fiche complètement de ton état. Oui, j'étais cru, mais qu'est-ce que j'étais jaloux. Je l'ai toujours été d'ailleurs, surtout lorsque nous étions ensemble. J'entendis dans la voix d'Olivia que mon père était aussi un problème à ses yeux, elle avait raison. J'étais partagé entre eux deux, ma mère elle s'en fichait pas mal, du moment que j'étais heureux. Mais mon père a toujours voulu me voir au bras d'une femme propre sur elle, riche, ce qu'était Olivia avant de tomber dans l'alcool. Son père est un crétin. Disais-je en rigolant, je ne le pensais pas vraiment, j'aimais mon père, mais je savais qu'il était un sacré problème dans mon histoire avec Olivia. Et j'avais envie de la voir sourire un peu, je n'ai jamais aimé la voir dans cet état. Tout en tenant Olivia, nous nous dirigions vers ma voiture, heureusement elle ne l'a jamais vu, elle n'a pas encore eu le temps de voir ma nouvelle voiture, je n'ai pas pu prendre ma voiture de sport resté en Angleterre, je m'étais acheté une petite merveille en arrivant à Harvard, donc pas de risque qu'elle me reconnaisse à cause de ça. Ouais ouais, je connais la Mather House. Disais-je en grimaçant, je n'aimais pas cette confrérie. Je lui ouvrais la portière passagère, pour l'aider à monter dans la voiture. Attention à ta tête en entrant. En disant cela, je fermais la porte derrière elle pour m'asseoir à ses côtés du côté conducteur, afin de l'enmener chez elle en sécurité.


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Olivia n'a jamais entendu ou vu Wesley se sentir mal à propos de tout ce qui lui arrivait aussi à lui. Et ça l'avait blessée, ça l'avait frustrée. Elle aurait voulu qu'il lui en parle, le voir aller mal, pas à son point on s'entend, mais elle avait eu besoin de voir qu'elle n'était pas seule à souffrir de cette perte de bébé, elle aurait voulu qu'ils pleurent ensemble, qu'ils se soutiennent, même si Wesley était pas de ce genre. Avec elle, elle c'était attendu à ce qu'il puisse l'être, a ce qu'il puisse exprimer sa douleur, mais il ne l'avait pas fait, il était rester de son côté et elle avait fait de même, avec sa nouvelle meilleure amie la Vodka, au moins, elle, elle ne lui tournait pas le dos. Et puis il l'avait laissé et Olivia ne comprit pas pourquoi, elle n'était pas violente en vers lui, elle n'était pas adorable non plus, elle s'enfonçait dans les enfers, mais elle s'attendait à une autre réaction, pas à se faire pousser encore plus bas et il revenait à Harvard. Sur le coup, ça l'avait frustrée, elle qui voulait se construire une vie en paix, mais non. Puis après, après, enfin, présentement, elle se sentait bien mélanger, ne savait pas quoi faire, ni quoi en penser, mais elle considérait en tout cas, qu'il n'avait pas le droit d'aller voir ailleurs. Olivia était plutot douce malgré tout quand elle parlait à César, elle était tellement affaibli de toute façon, elle ne pouvait pas vraiment s'emporter non plus. « Oui, enfin c'est nouveau, il était pas comme ça avec moi avant, mais là il agit comme si tout ce que je fais me change entièrement, je suis pas si différente, je sais juste pas quoi faire et tout ce qu'il me dit c'est fait pas ça, ça aide en rien, il me frustre quoi, mais en même temps j'ai envie de lui foutre une claque en plein visage parce qu'il est avec Maggie, je comprend plus rien. » Elle se secouait la tête frénétiquement, elle ne comprenait pas son état, elle couchait avec d'autre, il pouvait bien faire de même, mais non, ça lui mettait le feu au cul, elle ne voulait pas, tout simplement, mais en même temps, elle lui peterait bien le nez à lui aussi.

Olivia ne se sentait pas à la hauteur de rien, pas à la hauteur de Wesley qui préférait Maggie, parce que même si elle savait qu'il ne l'aimait pas, ça la rendait dingue et elle ne voyait pas vraiment la chose rationnellement, alors. Elle écoutait Jules, bon, elle avait raison enfin un qui comprenait un peu la vie. « Il a jamais essayé, je sais pas moi si ça va marcher ou pas! J'ai pas l'impression que les choses vont s'arranger, alors franchement, il peut faire ce qu'il veut, mais pas comme il fait en ce moment. Qu'il me parle de lui un peu, j'en sais rien moi, pour moi il va bien, je veux savoir comment il a fait pour aller mieux. » Bien sur Olivia n'avait aucune idée que Wesley allait mal, qu'il se sentait pas bien lui aussi, il ne lui en avait jamais parler, mais qui sait, peut0être que ça allait aider Olivia, enfin, elle ne savait pas grand chose, si elle savait comment s'en sortir elle le ferait. Elle n'avait aucune idée, elle était pomée, ne faisait que boire pour oublier et ça marchait en général, pas ce soir, mais en général ça fonctionnait assez bien. La blonde regardait Jules quand il parlait de celle qu'elle aime et elle continuait à le pousser pour qu'il aille l'aider. « Et alors ? Faut au moins que t'essaie, pas besoin de savoir comment t'y prendre, au moins elle va savoir que t'es là! La elle est seule et elle ne sait pas, elle croit surement que t'es une andouille, alors file. » Oui, parce que c'est ce qu'elle pensait de Wesley, qu'il était une andouille pour tout les soirs qu'elle avait passer seule à pleurer et à boire dans sa chambre sans pouvoir rien faire. Il avait manqué bien des opportunités, Jules ne devait pas faire comme Wesley! Et puis, Olivia se retrouvait à parler de Valentin et Jules pouvait dire ce qu'il voulait, mais il ne savait peut-être pas tout de cette relation, qui n'était pas purement physique. « Non! Il m'écoute, il essait de m'aider, en étant beaucoup moins chiant aussi, on fait pas que enfin tu vois ce que je veux dire! » Oli c'étiat confié à son Valentin sur Wesley, elle avait cherché un peu d'aide à sa façon dans cette relation, peut-être pas de la meilleure façon encore une fois, mais bon, Olivia avait tendance à faire des choix un peu de merde cette année. Elle rit à la réaction de Jules sur le père de Wesley. « Je sais bien moi! Mais lui, il sait pas on dirait. » Elle finit par suivre le jeune homme à son auto, Olivia aimait bien les autos, c'était son cotés un peu garçon, elle l'assumait, mais saoul comme elle était, elle ne fit remarqué que son look, alors bon. « Ah oui, tu connais ?! T'es à Harvard ?! » Elle entra dans la voiture, se cogna un peu bien sur, elle était saoul, enfin. Après deux petite secondes dans cette auto, elle s'endormie, la tête tombé vers Wesley.
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Olivia & Wesley

Je n'ai jamais su pourquoi je n'ai jamais réussi à pleurer la perte de cet enfant, de notre enfant. Pleurer avec elle, dans ses bras pour nous réconforter mutuellement. Je n'ai jamais su le faire et aujourd'hui je pouvais m'en mordre les doigts. Ma situation actuelle avec Olivia se résumait à une seule erreur de ma part, ou peut-être plusieurs mais une majeure .. Je n'ai pas assez exprimé mes sentiments après toutes ces catastrophes nous touchants. J'avais comme l'impression d'être perdu dans ma propre vie, que j'étais devenu un pantin et qu'un maître tirait mes ficelles. J'étais destiné à vivre une vie heureuse et paisible avec la femme que j'aimais, l'enfant que nous allions avoir l'un avec l'autre, mais du jour au lendemain nous avions tout perdu. J'étais trop orgueilleux et égotiste pour montrer ma peine et la plaie encore présente dans mon cœur. Au lieu de me retrouver avec toutes ces choses qui me donnaient envie de me battre, de me lever le matin, je me retrouvais en couple avec une femme que je n'aimais pas, dans le seul but de faire plaisir à mon père. Et le pire dans cette histoire, c'est que ça blessait encore plus Olivia. Elle ne comprenait pas pourquoi j'étais avec Maggie, je dois avouer que moi non plus. J'ai été faible ce jour-là à la piscine en couchant avec elle, j'ai été faible en me laissant attirer dans son piège, bref, je suis faible. En voyant que cela touchait Olivia, ça me brisait le coeur. Lui non plus ne sait pas ce qu'il fout avec Maggie pour être honnête. Un moment de faiblesse, il n'a pu s'empêcher de coucher avec elle. C'était con que sa part, je te l'accorde. Mais je pense que tu peux le croire lorsqu'il te dit qu'il ne l'a pas fait pour te blesser. Et c'était encore plus con de sa part de s'être mis en couple avec elle juste pour faire plaisir à son père .. Tu sais quoi ? La prochaine fois que tu le vois, met lui une bonne claque dans la gueule, ça lui remettra les idées en place. Je rigolais en disant cela, mais au fond de moi j'espérais qu'un jour, j'ai le courage d'envoyer Maggie et mon père sur les roses. Alors je profitais de l'état d'Olivia pour lui dire en quelque sorte ce que je pensais vraiment, de toute façon il y a peu de risques pour qu'elle s'en souvienne demain matin en se levant. Je méritais des claques, c'est certain, Dieu seul sait à quel point c'est difficile pour moi de me remettre à ce point-là en question.

Durant aucune minute, ni même seconde je me suis projeté dans l'avenir avec Maggie, c'était impossible, je ne l'aimais pas et je ne l'aimerais jamais. Je ne dis pas que je ne pourrais jamais devenir ami avec elle, mais c'est impensable de l'aimer autant que j'ai aimé Olivia. Je me souviens encore de cet instant où j'ai posé mes yeux sur elle, il y a déjà tant d'années à Londres. Tu veux qu'il te parle de lui ? De ce qu'il a ressenti ce jour-là ? Je le connais plutôt bien, il n'est pas du genre à se dévoiler, mais je vais te dire ce qu'il m'a dit. Le jour où vous avez perdu cet enfant, c'est comme si son monde s'écroulait à ses pieds, comme si plus rien n'était important dans sa vie. Mais toi tu étais encore présente, malgré tes problèmes il t'aimait toujours, mais il n'a jamais su te le dire. Te dire que la perte de cet enfant n'était en aucun cas de ta faute, que tu n'avais rien à te reprocher .. Qu'il serait à tes côtés même si tu ne pourras plus lui apporter d'enfant. Voilà ce qu'il n'a jamais su te dire. Il t'aime, peu importe tes défauts, mais il est incapable de te le dire, de se l'avouer à lui non plus d'ailleurs. Je parlais à Olivia, mais je me rendais bien compte que je faisais bien plus que ça. Je m'avouais à moi-même mes erreurs, les choses que j'aurais dû faire sans y songer auparavant. Mais à quoi bon ? Demain elle ne se souviendra de rien et je serais incapable de lui redire cela droit dans les yeux, dans un état sobre. Tout se bousculait dans ma tête, tout se mélangeait. C'est moi qui parlais, mais finalement j'avais l'impression que César parlait à Wesley par l'intermédiaire d'Olivia, oui c'est bizarre, mais c'était le cas. En sentant Olivia me poussait pour aider celle que j'aime, ça me faisait sourire. Pourtant ce n'est pas ce que Wesley fait avec toi ? Il ne sait pas s'y prendre, mais au moins il essaie, il te montre qu'il est présent. Mais toi miss Steadworthy tu es trop têtue pour t'en rendre compte hein ? C'est un peu comme elle, comme celle que j'aime. Si tu savais à quel point tu lui ressembles. Quand je comparais son comportement à mon égard et celui qu'elle voulait que César ait vis-à-vis de son être aimée, je disais cela sur le ton de l'humour, plus le temps passait, plus j'aimais parler avec elle, même si je n'arrivais pas à faire abstraction de son état. Mon coeur était comme un volcan lorsqu'elle me parla de ce Valentin, ça m'énervait de savoir qu'elle se confiait à lui, alors que je n'arrivais pas à obtenir un serait-ce qu'une indication de ce qu'elle voulait que je fasse. Je .. Enfin Wesley est tout aussi capable de t'écouter que Valentin. Tu ne sais pas ce que Wesley serait capable de faire pour toi. J'étais capable de passer toute une soirée dans un costume ridicule pour elle, j'étais capable de faire Londres/Harvard pour elle, j'étais capable de laisser tomber Maggie le nez en sang pour elle, j'étais capable de me mettre mes amis de l'Eliot House en quittant le Housing Day pour elle .. Et bien plus encore. Je souriais lorsqu'elle me parla de mon père, il n'était pas un crétin, juste un homme buté dans ses convictions, un peu comme moi j'avoue. Nous étions alors dans la voiture, je m'étais le contact et nous commencions à partir pour Harvard. Oui je connais, disons que j'ai quelques fréquentations à Harvard. Je cherchais en effet le moyen de chercher à dévier le sujet, mais elle s'endormit, la tête posée sur moi. Ça me fit plaisir de la sentir comme ça, enfin de la savoir à mes côtés. Je continuais alors la route, tentant de faire le moins de bruit possible pour ne pas la réveiller.


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Wesley & Olivia

Ça pouvait paraitre étrange, de voir la personne qu'on aimait le plus, souffrir aussi. Pleurer, pas obliger, mais Olivia avait eu besoin de savoir qu'elle n'était pas seul à ressentir ce qu'elle ressentait. à la place elle avait eu un fiancé qui lui paraissait froid, des parents qui lui disait de faire comme si de rien n'était, de sourire au caméra et de se la fermer et des amis, pas très convaincant dis on. Elle avait cru pouvoir compter sur Wesley plus que sur n'importe qui au monde, il était son meilleur ami, la personne avait qui elle voulait acheter une maison et partager le paiement de l'hypothèque, avoir des enfants et prendre des décisions sur comment on les enlevait. il était ce garçon là, qui aurait dû, à ce moment là, lui dire quelque chose, un mensonge aurait fait l'affaire sur le coup bien franchement, mais quelque chose, pas un gros silence radio à vous en rendre complètement dingue ou alcoolique dans le cas d'olivia. Elle avait l'impression de ne plus le connaitre, de ne plus savoir qui il était, avec tout ce qu'il faisait à Harvard, avec Maggie. Elle eu un rire à la proposition de Jules. « Je sais pas ce que je vais faire, mais y me trouvera pas drole! Je gère un à la fois, j'ai peut-être péter le nez de l'autre alors qui sait. » Ouais, un problème à la fois, elle avait peter le nez de Maggie, Wesley serait le prochaine en liste, elle ne savait pas ce qu'elle allait lui faire, ne savait pas quand, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas en rester là. Elle ne ferait rien ce soir, c'était un fait, elle était complètement plaqué au bar, les yeux gros comme une balle, bien saoul et avec aucune force musculaire, elle n'allait pas réussir à briser quelque membre que ce soit, à qui se soit, même un enfant de trois ans gagnerait contre elle, à se moment.

Olivia ne savait pas ce qu'elle voulait, ca aurait été plus simple autrement. Elle ne savait pas si elle voulait de l'aide ou non, si elle voulait de Wesley ou non, si elle voulait savoir ou non, elle était pomée, saoul et perdue au profond des ténèbres. Non, elle ne savait pas, mais elle écoutait tout de même Jules. Elle soupira, frustrée. « Je veux pas l'entendre de toi, je veux que lu me le dise et encore, c'était ce qu'il fallait dire y a des mois, pas aujourd'hui! » Ouais, Olivia avait du mal avec le, je me suis enfin réveiller, enfin compris que je suis un con ? Même bourrée, elle n'arrivait pas à voir ce qu'il avait fait pour lui. Il était venu jusqu'ici, il essayait, sans réussir, mais Olivia était bouchée et elle était blessée Peut-être quand elle se réveillera demain matin, ça ira mieux, peut-être pas, elle ne savait pas. Elle secouait la tête et elle n'aurait pas du, son cerveau ui ballotait comme ça, mal de tête assuré, mais il parlait de cette fille, de Wesley et Olivia voyait bien que ça leur ressemblait, qu'il y avait un fond de vrai, mais elle ne pouvait pas se résoudre à se l'avouer. elle avait tout mit sur Wesley et pendant un moment, ça avait aider, d'avoir un grand méchant loup, quelqu'un à blâmer pour tous ses malheurs sans que cette personne ne puisse se défendre. mais voilà, cette personne qu'elle avait choisit avait finit par revenir, pour l'aider, pour essayer de la rendre plus heureuse. « J'en sais rien, dieu que je sais rien, je comprend pas, pourquoi il veut m'aider là, j'ai l'impression que y a autre chose et je veux dire, il me dit de lui faire confiance et il foire tout, il espère quoi après ça, comment je peux faire confiance à quelqu'un qui couche avec une folle. Peut-être qu'il voulait pas me blesser, mais elle oui, c'est tout ce qu'elle voulait et il aurait du savoir. » Oui, il aurait du savoir, selon Olivia, il aurait du comprendre que tout ce que Margaret voulait, c'était l'enfoncer encore plus et elle avait bien réussi d'ailleurs, Oli ne pouvait se sentir plus basse qu'aujourd'hui, moins forte et plus nulle. Bref, bien sûr, on se retrouva a parler de Valentin, mais elle n'avait pas envie, et pourtant, elle parla, elle parla de Valentin. « Il me juge Wesley, il me juge, il comprend pas, il dit rien, j'ai tout le temps l'impression que tout es de ma faute quand je lui parle, que c'est de ma faute si je suis comme ça, que j'aurais juste pas du tomber de la pourtre, j'aurais du etre capable de garder le bébé, Valentin il juge pas, il fait pas partit du problème. » Olivia ne parlait pas vraiment de Wesley qui la jugeait, même si elle avait un peu cette fausse impression, c'était surtout qu'elle se jugeait très durement elle-même. Elle avait toujours été très exigeante en vers sa propre personne. Olivia aurait surement posé plus de question à César sur ses fréquentations à Harvard, mais elle était bien endormie du genre, une bombe pourrait sauter à coté d'elle et elle ne sentirait rien du tout. Demain matin, elle appricerait moins le réveille, mais le sommeil allait être bien solide.
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C'était tellement plus simple de ne rien dire, de ne rien faire et d'essayer d'aller de l'avant sans rien dire, sans rien faire. Continuer de vivre et pourquoi pas tenter une nouvelle fois sa chance lorsqu'elle aurait été mieux, je n'ai pas pris les bonnes décisions. Mais au fond de moi, je n'ai pas changé, je suis toujours le même, le même homme qui a aimé Olivia et qui l'aime encore aujourd'hui. Si ce n'était pas le cas je ne serais pas en ce moment même dans un bar à me ridiculiser habillé en Jules César. Cette femme me rendait dingue, j'étais dingue d'elle mais je ne savais pas comment lui faire comprendre. J'ai fermé ma gueule durant une période de ma vie où je n'aurais pas dû. J'aurais pu faire changer les choses, j'aurais pu faire toute autre chose que de la regarder sombrer encore un peu plus dans les ténèbres, j'aurais dû faire tellement plus que ça. Maintenant c'est trop tard, je n'ai plus qu'à contempler le résultat de ma tristesse enfuie, cette tristesse que j'aurais probablement mieux fait de partager avec la femme que j'aimais. J'étais pommé, tout comme elle visiblement. Et pourtant une claque dans la gueule, c'est tout ce qu'il mérite. Il voulait tout réparer, tout reconstruire, il a une nouvelle fois bien merdé. Mais je ne perdais pas espoir, un jour il finira par trouver les bons mots et par prendre les bonnes décisions. C'était un fait, je méritais ce poing qu'avait reçu Maggie en pleine face. Le seul coupable dans toute cette histoire, c'était moi. C'est moi qui ai craqué ce jour-là à la piscine, c'est moi qui ai foiré sur toute la ligne et surtout, c'est moi qui ai été incapable de garder la femme de ma vie à mes côtés, qui n' a fait que la blesser encore un peu plus à chaque instant, je m'en voulais et je m'en voudrais probablement toute ma vie, mais je n'abandonnerais pas, un jour je saurais me faire pardonner, je l'espère, je le dois.

Olivia ne savait pas ce qu'elle voulait, comment voulait-elle que je sache pour elle ? Je ne voulais pas lâcher prise, mais si elle ne mordait pas à la ligne, à quoi bon continuer ? Qu'importe, j'étais présent à Harvard pour elle, je n'allais pas quitter ces lieux sans elle, sans récupérer l'amour qui nous unissait il y a quelques mois de cela. Je sais, il le sait tout aussi bien. Mais malheureusement il n'avait pas la force de te le dire au moment propice. Il était tout aussi mal que toi, au fond du trou et avait du mal à voir la sortie .. D'ailleurs il ne l'a toujours pas trouvé, car la seule sortie qu'il voit dans son malheur, c'est toi. Je disais vrai, je n'étais pas heureux, pas depuis la perte de notre enfant et encore moins depuis son départ. Le seul moyen que je voyais de retrouver le sourire, un vrai et pas un factice comme j'aborde sur mon visage depuis des mois maintenant, c'est en la retrouvant. En retrouvant mon Olive, ma femme. Ce que j'aimais chez Olivia, c'était son comportement, une vraie tornade. Je me souviens encore comme si c'était hier, de ses coups de gueules à mon égard, quand elle m'engueulait quand je me levais trop tard, quand elle me regardait avec ses yeux ronds, remplie de rage et d'amour parce que j'avais oublié de fermer la porte à clé, elle avait un vrai caractère, elle me complétait et ça me manquait cruellement. Tu sais, si tu lui demandais droit dans les yeux en lui donnant la certitude que tu l'aimais encore, qu'il y avait ne serait-ce qu'une petite chance de t'aider à te sortir de ton enfer, il lâcherait Maggie sans même réfléchir aux conséquences. Il ne le sait peut-être pas encore, mais il se sent capable de tenir tête aux autres Eliots, de tenir tête à Maggie .. Et de faire comprendre à mon.. Son père que la seule femme qu'il veut voir à ses côtés, c'est toi. Avec tes qualités et tes défauts. Maggie voulait en effet enfoncer Olivia plus profond que terre, mais ce n'était absolument pas mon but. Je n'ai jamais voulu ne serait-ce qu'une seule seconde lui faire de mal. J'étais un petit con c'est vrai, je tapais sur les nerfs de beaucoup de personnes et je m'en moquais pas mal, mais Olivia, je ne pouvais concevoir de la décevoir, de la blesser. Je n'avais pas encore le courage, mais je savais au fond de moi que je serais capable de tenir tête à quiconque vis-à-vis d'Olivia, je devais seulement avoir la confirmation qu'elle éprouvait ne serait-ce qu'une once d'amour pour moi, que je passerais toujours avant les autres et surtout ce Valentin à ses yeux. C'est faux, tu te trompes. Tu n'es en rien coupable de ta chute ou de la perte de votre enfant à ses yeux, il ne sait seulement pas te le dire .. Nous étions dans ma voiture, en direction de la Mather House. Elle s'était assoupie à mes côtés, je souriais en la voyant, me disant qu'au fond de moi, je réussirais un jour ou l'autre à lui faire comprendre que je tenais toujours à elle et que je ne comptais pas du tout l'abandonner .. Une nouvelle fois. Nous étions arrivés chez elle, dans ce dortoir que je détestais tant, mais qu'importe j'étais là pour elle ce soir. Je l'ai alors porté jusqu'à sa chambre, la mettant correctement dans son lit, sans oublier de lui mettre sa couette sur elle. Je n'avais pas envie de partir, je voulais le regarder encore quelques secondes, sans rien dire, sans rien entendre. Je m'étais alors allongé à ses côtés, comme au bon vieux temps. Mais mes paupières se fermèrent petit à petit, sans que je m'en rende compte, m’endormant aux côtés de celle qui faisait battre mon cœur de petit bourgeois.


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