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C'est le 11 septembre 1996 à Wellington, que les membres de la famille Rivers-Jones m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Bonnie Joanna. Je suis en couple mais c'est compliqué et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Politique et de Relations internationales depuis la dernière rentrée Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les Eliot House. | Bonnie J. Rivers-Jones Looks alot like Zoey Deutch |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .QUEEN A et j'ai 20 bougies. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Avery mais il m'a mis le couteau sous la gorge et tout *sors*. Il est awesome alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Zoey Deutch comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart . Je fais environ 500/600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
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APRÈS LA BOMBE La bombe? Quelle bombe? Je ne suis pas le genre de fille à suivre les informations. Si c'est passé à la télévision, je ne l'ai donc pas vu. De plus, j'ai fais ma rentrée en septembre dernier. Avant j'étais en Nouvelle-Zélande et autant vous dire que j'y serais bien resté une ou deux années de plus. D'un côté, il faut bien l'avouer, heureusement que je n'étais à Harvard ce jour-là parce que je ne sais pas comment j'aurais réagis. Bien sûr, j’aurais vraiment été terrorisée si j’avais vécu quelque chose de semblable. Je n’arrive pas à imaginer qu’une chose aussi terrible puisse m’arriver. Après je fais partie de ces gens qui pensent que tout ça n’arrive qu’aux autres. | GROUPE 1. Vous pourrez penser ce que vous voulez de moi. Vous allez sûrement dire que je suis vantarde et peut-être que vous aurez raison mais là n’est pas la question. La perfection ça me connaît. Je suis le genre de fille qui malgré ces airs d’ange, je suis loin d’être une fille timide et coincée. Je sais manipuler mon monde comme personne et je sais aussi séduire les hommes comme je le désire. Jamais un homme ne m’a dit non. De toute façon, je ne le supporterais pas. Malheureusement, je ne suis pas le genre de fille à me mettre à couple. Même lorsque j’ai un copain, j’ai beaucoup de mal à lui rester fidèle, mais c’est le genre de chose que j’arrive à cacher à la perfection. GROUPE 2. Je suis issue d’une famille riche, extrêmement riche même. Qui ne connaît pas les Rivers-Jones en Nouvelle Zélande ? Fille d’acteurs célèbres, je n’ai jamais manqué de rien. Chez les Rivers-Jones, la popularité c’est quelque d’acquis à la naissance. J’adore faire des excès, dépenser sans compter et montrer que je suis beaucoup plus riche que la plupart des gens. En revanche, je suis le genre de fille à me venger lorsque je n’ai pas quelque chose ou lorsqu’on m’a planté un couteau dans le dos. Je suis riche, je le sais et j’en joue dès que j’en ai l’occasion. Pour moi, personne n’est égale à moi-même. L’argent monte vite à la tête vous ne trouvez pas ? |
Je suis née en septembre 1996 à Wellington en Nouvelle-Zélande. Je suis une fille presque normale. Ce que je veux dire par là, c’est que je suis née d’une mère actrice de cinéma et d’un père acteur et réalisateur de film, qui jouait souvent dans ses propres films d’ailleurs. Les médias ont donc toujours été braqués sur notre famille. L’argent ne fait pas le bonheur. Beaucoup pense que cette phrase est fausse mais en réalité, elle est bel et bien vraie. Malgré l’argent que mes parents avaient, malgré le fait qu’on possède l’une des plus belles villas de la ville et malgré le fait que deux belles voitures soient garées dans le garage, je n’ai pas eu une vie facile. Certes, j’avais tout ce que je voulais. Certes, dès qu’il partit en tournage à l’autre bout de la planète, j’avais le droit à un voyage de rêve pour aller les voir. Mais dans le fond je n’ai jamais voulu de tout ça. Mes parents étaient rarement là. Et lorsqu’ils étaient là, on ne sortait presque pas. Ils ne voulaient pas que leur petite fille soit sous les feux des projecteurs. Une façon de me protéger ? Sûrement, mais je n’ai jamais eu besoin qu’on me protège.
A l’âge de huit ans, je demande à mes parents qu’ils m’inscrivent dans un club de surf. J’avais toujours rêvé de surfer sur les vagues. Moi aussi je voulais savoir ce que c’était. Rapidement, le surf est devenu l’une de mes passions. Je passais plus de temps à la plage qu’en cours. L’école, ce n’était pas fait pour moi. Depuis que j’ai été scolarisée, je galère. Les mathématiques sont pires que du chinois pour moi. Les langues étrangères, je m’en moque puisque je parle anglais et que c’est la langue que tout le monde parle. L’histoire, je déteste : c’est ennuyeux et franchement je me moque d’avoir une culture générale. Tout le monde dans mon établissement sait la fille de qui je suis. Les Rivers-Jones sont une famille célèbre. Je n’ai pas de traitement de faveur. J’ai un chauffeur qui m’emmène et vient me chercher tous les jours. Je sais que je suis traquée par les paparazzis et j’ai l’impression de vivre en autarcie.
Quatre années passent. J’ai douze ans. Je n’ai redoublé aucunes classes mais je galère toujours autant. Ma seule vraie passion, c’est le surf. Qu’importe ce que les gens peuvent en penser. Seulement cette année-là c’est aussi l’année où tout dérape dans ma vie. Ma mère demande le divorce. La raison ? Je ne l’ai jamais réellement connue. Je me rappelle juste de les entendre se disputer sans arrêt. Même la moindre petite chose insignifiante pouvait devenir un sujet de dispute. La procédure est longue. Les médias en parlent. Ils me demandent même des interviews mais je refuse. Je souffre et je n’ai pas envie de leur dire quoi que ce soit. La procédure a duré deux ans. C’est ma mère qui a fini par obtenir ma garde. Seulement moi je ne vais pas bien. Malgré mes sourires et mes éclats de rire, le départ de mon père me fait mal. Je commence petit à petit à enchaîner les bêtises. Je commence à aller en soirée. J’ai quatorze ans mais je me comporte déjà comme si j’en avais vingt. Je bois, je fume et je fais ma première fois avec un garçon dont je ne connaissais pas le nom. La petite fille gentille et adorable que j’étais commencé à se transformer peu à peu en une fille fêtarde, arrogante et prétentieuse. Je fais rapidement la Une des magazines people. Je n’allais presque plus en cours. Lorsque je daignais y aller, c’était pour amuser la galerie. Ma mère ne savait plus vraiment quoi faire. Mon père était partit à l’autre bout du monde et était donc impuissant face à ça. J’ai continué d’agir comme ça pendant un an et demi, jusqu’à ce que je rencontre Jake. Il avait deux ans de plus que moi mais j’avais l’impression qu’il me comprenait. On s’est rencontré lors d’une soirée jetset. On a rapidement commencé à sortir ensemble. Au bout de six mois, il m’a dit qu’il partait et il m’a proposé de venir avec lui. J'avais seize ans, il en avait dix-huit. On était pas dans le même lycée, mais je passais énormément de temps avec lui. Je séchais les cours parce qu'à ce moment-là, je me moquais totalement de mon avenir. Tant que j'étais avec lui, c'était ce qu'il comptait. Notre relation a duré presque un an.
Je suis retournée en cours. Malgré le fait que je n’ai jamais eu d’excellentes notes, j’avais un an d’avance. Et pour cause, lorsque j’étais petite mes parents ont décidé de me mettre un an plus tôt à l’école. Quoi qu’il en soit je n’avais pas envie d’aller à l’université. Faire la fête, être célèbre, faire parler de moi dans les magazines : c’était ça l’avenir que je voulais. Ma mère a retrouvé un mari. Un homme que je détestais. Il faisait partis du gratin de Wellington mais pour une raison inconnu, je le détestais. Je ne voulais pas non plus que ma mère se remarie mais c’est ce qu’elle a fait. De plus, mes parents qui n’ont jamais été d’accord sur rien, m’ont forcé à aller à l’université. Pour tout vous dire, c’est grâce à leur chéquier que j’ai pu intégrer Harvard. Je suis des cours de droit. Est-ce que ça me plaît ? Certainement pas mais je suis obligée. A la rentrée dernière, j’ai retrouvé Jake. On a vite commencé à se reparler, on passe des soirées ensemble. On a aussi recommencé à sortir ensemble. Cela fait maintenant trois semaines seulement qu’on s’est remis ensemble et il veut qu’on se marie. Les engagements à long terme comme ceux-là m’ont toujours fait peur. Je suis distante, il ne comprend pas. Depuis qu’il m’a parlé de mariage, il y a comme un malaise entre nous. Pour être franche, je ne sais même pas si on est encore un vrai couple. Quoi qu’il en soit, j’ai 17 ans, je suis dans l’une des meilleures universités du monde : les amours devraient être le cadet de mes soucis.
A l’âge de huit ans, je demande à mes parents qu’ils m’inscrivent dans un club de surf. J’avais toujours rêvé de surfer sur les vagues. Moi aussi je voulais savoir ce que c’était. Rapidement, le surf est devenu l’une de mes passions. Je passais plus de temps à la plage qu’en cours. L’école, ce n’était pas fait pour moi. Depuis que j’ai été scolarisée, je galère. Les mathématiques sont pires que du chinois pour moi. Les langues étrangères, je m’en moque puisque je parle anglais et que c’est la langue que tout le monde parle. L’histoire, je déteste : c’est ennuyeux et franchement je me moque d’avoir une culture générale. Tout le monde dans mon établissement sait la fille de qui je suis. Les Rivers-Jones sont une famille célèbre. Je n’ai pas de traitement de faveur. J’ai un chauffeur qui m’emmène et vient me chercher tous les jours. Je sais que je suis traquée par les paparazzis et j’ai l’impression de vivre en autarcie.
Quatre années passent. J’ai douze ans. Je n’ai redoublé aucunes classes mais je galère toujours autant. Ma seule vraie passion, c’est le surf. Qu’importe ce que les gens peuvent en penser. Seulement cette année-là c’est aussi l’année où tout dérape dans ma vie. Ma mère demande le divorce. La raison ? Je ne l’ai jamais réellement connue. Je me rappelle juste de les entendre se disputer sans arrêt. Même la moindre petite chose insignifiante pouvait devenir un sujet de dispute. La procédure est longue. Les médias en parlent. Ils me demandent même des interviews mais je refuse. Je souffre et je n’ai pas envie de leur dire quoi que ce soit. La procédure a duré deux ans. C’est ma mère qui a fini par obtenir ma garde. Seulement moi je ne vais pas bien. Malgré mes sourires et mes éclats de rire, le départ de mon père me fait mal. Je commence petit à petit à enchaîner les bêtises. Je commence à aller en soirée. J’ai quatorze ans mais je me comporte déjà comme si j’en avais vingt. Je bois, je fume et je fais ma première fois avec un garçon dont je ne connaissais pas le nom. La petite fille gentille et adorable que j’étais commencé à se transformer peu à peu en une fille fêtarde, arrogante et prétentieuse. Je fais rapidement la Une des magazines people. Je n’allais presque plus en cours. Lorsque je daignais y aller, c’était pour amuser la galerie. Ma mère ne savait plus vraiment quoi faire. Mon père était partit à l’autre bout du monde et était donc impuissant face à ça. J’ai continué d’agir comme ça pendant un an et demi, jusqu’à ce que je rencontre Jake. Il avait deux ans de plus que moi mais j’avais l’impression qu’il me comprenait. On s’est rencontré lors d’une soirée jetset. On a rapidement commencé à sortir ensemble. Au bout de six mois, il m’a dit qu’il partait et il m’a proposé de venir avec lui. J'avais seize ans, il en avait dix-huit. On était pas dans le même lycée, mais je passais énormément de temps avec lui. Je séchais les cours parce qu'à ce moment-là, je me moquais totalement de mon avenir. Tant que j'étais avec lui, c'était ce qu'il comptait. Notre relation a duré presque un an.
Je suis retournée en cours. Malgré le fait que je n’ai jamais eu d’excellentes notes, j’avais un an d’avance. Et pour cause, lorsque j’étais petite mes parents ont décidé de me mettre un an plus tôt à l’école. Quoi qu’il en soit je n’avais pas envie d’aller à l’université. Faire la fête, être célèbre, faire parler de moi dans les magazines : c’était ça l’avenir que je voulais. Ma mère a retrouvé un mari. Un homme que je détestais. Il faisait partis du gratin de Wellington mais pour une raison inconnu, je le détestais. Je ne voulais pas non plus que ma mère se remarie mais c’est ce qu’elle a fait. De plus, mes parents qui n’ont jamais été d’accord sur rien, m’ont forcé à aller à l’université. Pour tout vous dire, c’est grâce à leur chéquier que j’ai pu intégrer Harvard. Je suis des cours de droit. Est-ce que ça me plaît ? Certainement pas mais je suis obligée. A la rentrée dernière, j’ai retrouvé Jake. On a vite commencé à se reparler, on passe des soirées ensemble. On a aussi recommencé à sortir ensemble. Cela fait maintenant trois semaines seulement qu’on s’est remis ensemble et il veut qu’on se marie. Les engagements à long terme comme ceux-là m’ont toujours fait peur. Je suis distante, il ne comprend pas. Depuis qu’il m’a parlé de mariage, il y a comme un malaise entre nous. Pour être franche, je ne sais même pas si on est encore un vrai couple. Quoi qu’il en soit, j’ai 17 ans, je suis dans l’une des meilleures universités du monde : les amours devraient être le cadet de mes soucis.
The End
(Invité)
Et j'crois savoir qui c'est 
