Idylle M. Shepherd ► Charlotte Free

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Bleu-Light et j'ai 22 ans. Je suis Frenchy et j'ai connu le forum grâce à un autre forum.  Bon ok je suis pas complètement nouveau, c'est vrai, mais ça n'empêches pas que j'aime votre forum, et les gens dessus, et que j'ai envie de rester, même si je fais une fille cette fois ci alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise charlotte Free comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 200-800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

« Les hommes, à de certains moments, sont maîtres de leur sort ; et si notre condition est basse, la faute n'en est pas à nos étoiles ; elle en est à nous-mêmes.  » William Shakespeare
L'histoire commence au Congo. Pourquoi le Congo? Parce que mes parents se sont rencontrer dans un truc de bénévolat et qu'ils étaient partis au Congo pendant deux ans pour aider les gens d’Afrique, pas seulement le Congo, seulement, c'est a Brazzaville que je suis née. Je ne suis pas noire, pas Africaine ni rien, seulement je suis née là-bas, par un concours de circonstance, ma mère aussi un peu dans les mêmes dispositions que moi. Par défaut, je suis Congolaise. Je n'ai jamais trouvée utile de renoncer à cette nationalité. Du coup après leurs bénévolats ils sont rentré en Amérique, je devais avoir un an, un truc du genre. On vivait à San Diego, mon père était chirurgien et ma mère était pas mal connu dans le monde la mode, plutôt une bonne créatrice. Ils auraient eut tout deux leurs places à la Quincy House. Ils étaient adorables. Et j'avais une enfance plutôt agréable. J'étais une petite fille dans la norme, portant des robes roses, jouant avec des poupées, trouvant mon voisin de classe trop mignon. La routine. En grandissant j'avais les même problèmes que n'importe qui, je refusais de laisser ma mere m'habiller, je refusais d'être assise à côté du gars louche de ma classe, soupirait quand les profs prononçaient mal mon prénom, et craquait secrètement pour un garçon. Quand j'eus 13 ans, je sortais avec le garçon qui me plaisait, et dieu sait que cette fois ça durait un peu plus longtemps que deux jours. Mon père mourut cette année là en revenant d'une conférence en avion. Mais j'avais mon petit amie, ma meilleure amie, et ma mère. Alors ça irait, ça prendrais du temps mais ça irait. C'est ce que je me répétais tout les jours, jusqu'à ce que la vérité me saute aux yeux. Ma meilleure amie sortait en douce avec mon petit ami. Du coup il ne me restait plus rien. Je me retrouvais seule, et refusa tout net de leurs parler. En temps normal ça aurait pu aller, mais ça ajouté a la mort de mon père qui n'était pas encore passé, j'eus du mal à le digérer. Et c'est là que notre mode de vie aisé commença un peu à sombrer. Ma mère travaillait un peu plus pour palier les revenus manquant de mon père. Je me mis à traîner avec des gens radicalement opposé, pour ne plus voir les deux traites, et je tomba sous le charme du mauvais garçon du coin. Mauvais pas seulement par l'allure, mais ça je le découvrit que plus tard. C'est à ce moment là que je me mis à prendre de la drogue, pour m'amuser un peu, que je trainais le soir, et comme ma mère bossait elle ne voyait jamais rien. Un matin, elle me prit la tête pour une broutille, et ça dégénéra tellement que moi et le Bad Boy nous nous sommes enfuis loin de chez nous. Du moins je croyais que c'était un truc, que les gens appellent amour. Au début peut être, mais errer dans les rues, trainer dans ses squattes, se droguer à longueur de temps, ne m'amusait plus. Je voulais rentrer, je voulais vraiment... Il était plus vieux que moi, il m'a convaincu de rester avec lui. Seulement je n'avais que 15 ans, et j'étais enceinte. La drogue était mauvais pour mon bébé, je ne savais pas si je voulais le garder, je ne pouvais pas compter sur cette vie, et la sécurité de la maison, l'amour de ma mère, et même mon père me manquait terriblement. C'est comme ça que sans un mot je suis rentrée à la maison. Il n'y avait personne, comme d'habitude, j'engloutis le frigidaire, et m'endormit sur le sol. Le lendemain ma mère se tenait face à moi, et son regard me tua. Elle m'avoua que cette maison était trop au dessus de ses moyens, que cette ville ne lui convenait plus, et qu'elle détestait l'idée que je sois perdue sans elle à mes côtés. Je lui avoua que j'étais enceinte, m'attendant aux pires choses, et contre tout attente, nous fîmes nos bagages et démangèrent  dans un endroit où ça coûtais moins chère (un appartement) et dans une ville où elle trouvait un travail dans une boutique de lingerie, même si c'était un peu moins ce qu'elle avait l'habitude, ça restait toujours un peu dedans. C'est comme ça que je me retrouvais à Peabody, une petite ville pas trop loin de Cambridge. J'eus mon bébé, qui eus des soucis de santé, mais le plus grave lui fut épargné, et je me mis à hacker des sites, à être payé pour arranger des sites, coder des programmes, changer informatiquement des notes, et grace à ma mémoire Eidétique, passer des examens à la place des autres. Je flirtais avec fille ou garçon si ça pouvait me rapporter quelques choses. Je n'aime pas les filles, mais il parait que j'ai un incroyable pouvoir de persuasion, du moins j'aime le croire. J'ai passé l'exam pour plein de fac plusieurs fois et je fus toujours payé pour. Ce ne fut que quand j'eus 18 ans que je postula pour moi-même, avec mes notes plutôt très bonne, et ma mémoire éléphantesque que j'entra dans cette faculté.