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C'est le 14 février 1992 à Venise, que les membres de la famille Lodovico m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Vincenzo. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisé. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de littérature (majeur) cinéma (mineur) depuis 3 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que emploi (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop House ou les Dunster House. | Vincenzo Andrew Lodovico Looks alot like Taylor Lautner |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Granky et j'ai 18 ans. Je suis Québécois et j'ai connu le forum grâce à top-site. OMMMMGG SOOOOO WIOFJWEOIARJAWOE alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Taylor Lautner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Smoothies. Je fais environ 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
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APRÈS LA BOMBE Yeux rivés sur ce noir d’étudiant s’étalant devant l’université et puis soudainement, plus rien. Une onde silencieuse repoussa des élèves à des centaines de mètres plus loin du bâtiment. Le son suivit par la suite après une lourde vague de chaleur s’appuyant sur la masse de chaque corps présent. Vous voulez de la fumée, en voilà. En voilà plein, encombrante, dévastatrice et empoisonnante. Une foule se mouvait au loin, se noircissait dans les cendres du bâiment. L’onde de choc se propageant faisant revoler les élèves à quelques mètres près. Ensuite il y avait la chaleur, l’odeur nauséabonde de flammes, de brûler, de corps… « Monsieur Lodovico, je vous arrête tout de suite. » Il fait une pause et dépose son crayon en me regardant d’un air sobre. « Je ne vous ai pas demandé de me décrire la situation. Décrivez-moi comment VOUS avez réagis. » Silence. Lourd. Long. « Imaginez, une énorme plaque. Une plaque où une barre est accroché sur les côtés. Une barre qui chauffe, une barre sans laquelle, tu tombes dans un trou, un vide, le néant. Ensuite, tu vois des personnes accrochées à ses barres chauffantes. » Je m’arrête. Je le fixe à présent ôtant mes coudes appuyés sur mes genoux. « Et tu les vois, tu les vois en train tenant qu’à un seul doigt. Ils te disent de les aider et pourtant d’autres derrière toi te dise de les lâcher. » Un autre silence aussi lourd que l’autre d’avant. « Je ne savais pas quoi faire. Et je crois que je n’étais pas seul. L’orgueil a embarqué. Je me suis senti mal de les laisser. Surtout, de la laisser elle…elle qui était… » Je racle ma gorge. « Ça suffit pour aujourd’hui monsieur Lodovico. Vous pouvez disposer. » Il note. Je pars. À nouveau, il me laisse seul avec le remord d’avoir laissé ma sœur périr. | Winthrop House Les femmes, je les respecte. Pourquoi? Parce que je les aime. J’aime la façon qu’elle me mordille la lèvre inférieur en plaquant sa main contre le haut de mon torse. J’aime leurs bouches collées à mon oreille en me susurrant des mots que seules elles, peuvent savoir déceler pour m’en faire frissonner. J’aime leurs corps souple, déroutant et doux au contact de ma peau, froissée entre mes draps me murmurant de leur en donner plus. Les femmes, je les respecte, les femmes je les aime. Aimer pour leurs caractères farouches, toujours aussi pointu leur donnant ce côté autoritaire, ferme et légèrement sauvageonne. Aimer pour leur orgueil de toujours avoir raison, aller contre le courant pour donner un sens de défi à ce ton, réprimandant le sérieux, de vous, homme cherchant à la cajoler en l’embrassant dans son cou. Aimer parce que tout simplement, je les aime. Je sais ce qu’elles désirent, je sais ce qu’elles ne désirent pas. Le confort d’un homme, la sécurité de ses bras autour de sa taille, la fermeté des baisers en tenant d’une seule main leur mâchoire et de l’autre qui rapproche leur corps du votre. Voilà ce qu’elles veulent, voilà ce que je leurs offre. Parce qu’elles le méritent. On a nié l’existence, la force d’un sexe non pas opposé mais complémentaire à l’homme. Dunster House Cet endroit, cette maison, ce lieu où je passe mes journées à traverser les couloirs, les trottoirs, je l’adore. J’adore être à Harvard. L’odeur, le sentiment d’appartenance à cet établissement. Entre mes cours, je trouve toujours le temps pour m’impliquer, m’investir le plus possible dans ce qui m’est cher. Il y a toujours moyen de s’amuser dans un endroit qui nous plaît, il suffit d’y mettre un peu de soi, un peu de nous pour en faire un chez nous à notre goût. C’est bien de parler, mais agir c’est encore mieux. Mes ambitions? Mes études. Mon désir? Les réussir. Y investir temps et priorité voilà les mots clés qui résultent à cette équation. Je suis comme les autres, je respire, je cligne des yeux, il n’y a rien qui puisse réellement me différencier des exceptés ma détermination à la réussite de mes études. Malgré tout ce charabia, je reste toujours à l’écoute de mes besoins et de mes désirs. J’adore sortir, j’adore profiter de ce qui m’est offert. Comme on le dit si bien en Italien Carpe Diem. |
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