Gwendoline Evora-Prinston ► Anna Speckhart

C'est le 14 Février 1991 à Los Angeles ( Etats-Unis ), que les membres de la famille Evora-Prinston m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Gwendoline. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sport et droit depuis 5 ansEt pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Quincy.

Didii

Looks alot like Anna Speckhart

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Didii et j'ai 19 ans. Je suis française/Espagnole et j'ai connu le forum grâce au hasard. Beh ILH quoi !! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Amber Heard comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 200 à 300 mots par RP et mon personnage est un Personnage inventé

Mot de la fin ? ▲ ALLEEEZ C'REPARTIT POUR UN TOUR x) :loukas:

Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
Une bombe, une chose dont on se rappellera toute sa vie, une histoire à raconter à ses enfants, d'autres le vivent mal et d'autres très bien. Moi, à l'endroit où j'étais, le bâtiment n'a pas été touché, je m'entraînais pour un test sportif lorsque un bruit sourd et un léger tremblement retentit, des fenêtres avaient explosé, je voyais la fumée s'envoler, des bouts de mur manquant, la poussière était telle qu'on finissait par avoir du mal à voir et même à respirer. Les pompier, la police, les démineurs, tous étaient là... Je finis par sortir du complexe sportif en courant, voir ce qui se passait, oui c'était bien une bombe ! Je fus directement entraîné par les forces de l'ordre, mon regard figé sur mon université où venait s'acharner la colère d'un humain, qui a enlevé et, bien heureusement que quelques vies. Beaucoup de blessés, beaucoup de cris, de peur, d'agitation, je ne savais plus où donner de la tête. J'avais moi-même peur, mais je restais planté, impossible pour moi de bouger, de faire n'importe quel mouvement, je n'en avais plus la force. La reprise des cours étaient froide, on voyait sur les visages des étudiants que personne n'était vraiment rassuré.

GROUPE 1.
Mon choix des mather se porte pour tout d'abord le caractère de Gwendoline, c'est une fille assez "spécial", elle a vécu beaucoup d'épreuves dans sa vie, a du mal à s'en remettre, elle touche à la drogue, est souvent retrouvée dans les soirées les plus déjantées, le genre de soirée où on aimerait pas retrouver sa fille. Gwendoline, est réservé, froide, elle est de nature sombre, pas des plus sociables, mais a une grande gueule, elle déteste l'injustice, n'aime pas les gens qui prennent de haut, ne supporte pas les mensonges, elle se bat pas mal pour une fille car elle est impulsive et franche, ça lui cause des problèmes parfois. Elle n'accepte pas les ordres et a du mal avec les règles.

GROUPE 2.
Alors Quincy, pourquoi Quincy ? Comme je l'ai dit plus haut elle n'aime pas l'injustice, elle se sert de sa grande gueule pour défendre ceux qui se font marcher dessus, elle est généreuse, Gwendoline a un bon cœur malgré ce qu'elle montre aux autres. Elle est douce quand on la connait et toujours prête à aider son prochain.

(Invité)

J'aurais pu vivre comme une princesse, j'aurais pu m'la pété en allant au bahut avec mes fringues de marques et mon portable haute technologie, ouais j'aurais pu... Si j'aurais était comme ma mère, si j'aurais suivi ses pas, si j'avais écouté mon père, mais moi tout ça, toutes ces conneries c'est pas mon monde ! Ça m'intéresse pas. En faite ma mère, Rachel Evora-Prinston est une ex-mannequin, une ex poupée quoi, c'est vrai qu'elle est pas mal pour son âge ma mère, bon faut aussi avouer qu'elle prend pas mal de rendez-vous avec son chirurgien mais bon elle peut se le permettre, car en plus de ça elle a épousé un avocat pas mal réputé à New york, mon père, Stanley Evora-Prinston. En somme j'ai manqué de rien, j'avais vraiment tout c'que je voulais, mes parents faisaient tout pour mon bonheur, des vrais parents modèles ! Enfin, moi quand j'étais petite, j'étais plutôt sociable, plutôt rigolote, une petite fille attachante quoi, j'aimais jouer à la poupée, j'aimais colorier, j'écoutais mes parents, j'avais la joie de vivre en moi quoi comme je pense presque tous les enfants. Malheureusement plus je grandissais et plus cette joie de vivre disparaissait, je n'osais plus sortir de ma chambre, les personnes qui devaient nous protéger, ceux qui avaleraient toute l'eau pour que j'évite la vague, ces personnes se retournaient contre moi, celui en qui je voyais mon protecteur autrefois me faisait peur. Dit moi papa ? Toi qui mettait tous ces détraqués en prison, toi qui écoutais toutes ces histoires, t'as finis par en devenir un de détraqué ? Tu le sais ? Tu t'rends comptes ? Non jamais ces mots avaient réussi à sortir de ma bouche, jamais j'avais réussi à le regarder en face après cette fameuse première nuit, oui première, car après il y en a une d'autres... Beaucoup d'autres même ! Cette nuit où tu t'es faufilé dans ma chambre, sans faire un bruit, bah oui bien sûr il ne fallait pas que maman se réveille, assumer ça c'était pas possible ! Alala les hommes ils ont des cojones pour les vider, mais moins pour les porter, c'dommage. Papa a gâché ma vie, il a volé mon enfance, ma pudeur, mon innocence le jour où il a franchi le pas de la porte de ma chambre ce soir d'hiver. J'étais endormis, loin de penser qu'une chose comme sa arriverait, du moins pas venant de toi, mais fallait croire que si, que tu en étais capable. T'as pas honte ? Tu regrettes pas aujourd'hui ? Salir ta propre fille ne te fais donc rien ? Comment peut-on faire ça à son propre enfant, c'est une question que j'me suis toujours posée et dont je n'ai toujours pas de réponse. Maman toi tu n'as donc rien vu ? Les signes étaient pourtant là... Je t'ai même lancé sur la piste des fois, mais tu faisais la sourde, ton cher mari ne pouvait pas violer sa fille, la trouver plus attirante que sa propre femme, t'as préféré fermer les yeux, t'as préféré me laisser assumer toute seule, m'abandonner à mon triste sort. Maman, sache que j'm'en suis remise, que j'ai pas eu besoin de vous. Il rentrait dans ma chambre de plus en plus souvent, il faisait de moins en moins attention, il venait quand on se retrouvait seul à la maison, moi, j'avais peur, j'appréhendais d'entendre les pas qui te mèneraient à moi.

Oui, mon enfance n'a pas été des plus joyeuses comme vous pouvez le voir, mais je m'en suis tout de même sortit, certes avec des séquelles qui m'aident à tenir debout. J'avais bien l'droit de partir totalement en vrille après ça, franchement j'm'en voudrais pas d'avoir gâché ma vie, j'ai pas peur de la mort, j'ai pas peur de finir en taule ou dans des histoires pas très net. J'ai fini par toucher à la drogue à mes quinze ans, je traînais qu'avec des mecs, j'avais pas beaucoup de copine voir pas du tout même ,mais je m'en plains pas, les filles c'trop de chichi, trop de problèmes et c'est tout c'que j'aime pas ! J'veux plus me prendre la tête pour quoi que ce soit, j'ai besoin d'être libre, de vivre ma vie comme je la sens. Ma mère a fini par mettre mon père dehors lorsqu'elle s'est rendu compte par elle-même de qui était vraiment son mari. Je n'avais aucune expression ce jour-là, elle m'a emmené voir la police, je ne lui en suis pas reconnaissante, elle aurait dû s'en rendre compte plutôt, ça faisait huit ans que je subissais le poids d'un père trop "affectueux", quinze ans où j'ai du souffrir en silence, où je m'empêchais de parler, je me renfermais sur moi-même. Les relations que j'ai aujourd'hui avec ma mère sont des plus froides, après cette histoire, je ne lui ai pas encore pardonné, je ne lui raconte absolument rien de ma vie, elle sait que j'me drogue et je sais que ça lui fait mal, mais ça elle a pas le droit de me l'enlever, la drogue était là pour moi quand j'en avais besoin, aujourd'hui c'est moi qui ai besoin d'elle ! Je peux plus m'en passer. Mon père est en prison maintenant, je m'étais mise à fond dans mes études pour pouvoir partir de cette maison, être loin de tout, de changer d'air, venir à Harvard était mon but ! J'étais enfin arrivé, j'avais réussi, j'avais obtenu mon baccalauréat et j'ai fini par rentrer à Harvard, je voulais faire mes études dans le sport, devenir coach sportif, pendant ma période dur à New York j'allais souvent courir, je me noyais dans le sport, c'était mon moyen de ne penser à rien, je me défoulais, c'est comme si je me battais, je sentais l'air frais frappé mon visage et je me sentais bien ! Je n'avais plus peur, je m'étais découverte une réelle passion pour le sport. Si mon père me manque ? Je répondrais que non, le savoir derrière les barreaux, loin de moi, me rassure, je n'ai plus peur de rien maintenant, je suis arrivé peu à peu à retrouver le sommeil, je ne parle jamais de mon histoire, peut-être par honte, ou tout simplement parce que je ne veux pas m'en rappeler, alors j'invente, oui j'avoue, je m'invente une vie devant mes potes, je préfère dire que mon père est en voyage. Pour moi Harvard, est une nouvelle vie, un nouveau début, une nouvelle histoire, je dois tourner la page sur ce qui s'est passé, je n'y arriverais pas seule, je le sais, mais il faut que je fasse tout pour arrêter de me dire que finalement si tout ça était arrivé c'est peut-être de ma faute...

The End

(Invité)