TON ADMISSION À HARVARD - Les papiers pour aller à Harvard ont été remplis très tôt avec mes parents. Le sérieux de mon père et les connaissances de ma mère m’ont beaucoup aidé à l’écriture de celui-ci. Après un an de voyage en tant qu’aide humanitaire avec ma mère, j’ai pu avoir quelques lettres de recommandation, ainsi que de mes anciens professeurs.
Pour la partie de l’essay, un jeu d’enfant, sans me vanter. Addict de lecture et écriture, une dissertation ne me fit pas peur aux yeux, d’autant plus que je souhaitais aller en majeure de philosophie à mon entrée à l’université. J’ai évidemment parlé de mon année d’aide humanitaire, afin de partager mes découvertes, voyages dans de nombreux pays et tout ce que j’ai pu apprendre grâce à toutes ces personnes que j’ai pu rencontrer. Une vraie passion que j’avais exposé le plus « simplement » possible car je pourrais en faire des pages et en parler des heures tant cela a été important pour moi.
Lors de l’entretien, discuter avec une personne étrangère a été une épreuve, mais je m’y étais préparée. Bonne élève, il n’y avait aucun problème. Les passions, aide humanitaire, photographie et j’en passe. L’ambition de faire une grande carrière dans les lettres – et oui, ça existe voyez-vous. Être travailleur, aucun problème. Être tourner vers l’avenir, je m’en sentais capable et prête, désormais. Vouloir changer les choses, très important car la société évolue et doit s’améliorer. Être soi-même ? Je ne comptais pas être une autre, loin de là !
MAISON OU NON ?
Cabot House – de septembre 2013 à avril 2017 Beaucoup de personnes me décrivent comme une jeune et candide petite blonde. De prime abord, ils se disent tous ça. Mais je n’ai rien d’une jeune fille timide et bien rangée comme le conçoivent mes parents. Ce sont eux qui m’ont rempli la tête de perfection que ce soit physique ou intellectuelle. D’un point de vue physique, ils sont heureux de la fille que je suis devenue et intellectuellement, ils sont fiers de moi. Cependant, ils en oublient que j’ai grandi et que je suis devenue une jeune femme. Charmer des hommes est venu tout seul, après m’être fait briser le cœur quand j’étais plus petite par mon ancien meilleur ami et seul ex en date. Je n’ai jamais cherché à me mettre en couple, préférant faire passer l’amusement et les cours avant le cœur. Mais maintenant, je dois avouer que trouver mon âme sœur me hante quelque peu. Je pense pouvoir trouver en la « Cabot House » la solidarité entre filles dont j’ai toujours rêvé, ainsi qu’un bon environnement pour travailler et de quoi aussi bien faire la fête !
Spoiler:
Quincy House N’excellant pas en cours et n’ayant pas de don en art, j’ai simplement eu la chance d’être à de nombreuses fois dans ma vie une oreille attentive et de bon conseil. Venant d’une famille possédant des moyens financiers non négligeables sans pour autant en faire de trop, ma famille m’a depuis longtemps appris les valeurs de la vie. Aider son prochain, gagner de l’argent par son propre travail, etc. Des règles de bases de vie. Quand j’ai appris qu’un groupe s’occupait de voyages humanitaires et galas de charité, je ne pouvais que me proposer pour en faire parti. Ayant pu déjà voyager de nombreuses fois et ayant des contacts par mes parents, m’investir dans des causes que je défends est pour moi une occasion de rendre le sourire à certaines personnes qui l’ont malheureusement perdu.
Student par choix depuis avril 2017.
CARACTERE – Plus jeune, mon caractère était assez plat et sans grande particularité. Candide, impliquée, fidèle, il y avait certaines choses à changer. En particulier le fait d’être bien trop naïve, ce qui m’a beaucoup coûté. Fidèle et impliquée, je le suis restée, en amitié comme en amour. Bien que j’ai un caractère toujours assez « simple », j’ai pris un peu de répartie et de répondant lorsque la situation ne me convient pas. Extravertie, je ne le montre pas tellement car je préfère le calme et la sérénité. Néanmoins, je sais me montrer amusante et ouverte avec des personnes de confiance. J’ai un côté aventurière transmis par ma mère et un côté très « carré » de part mon père. De temps en temps impulsive et sensible, ces traits de ma personnalité se sont apaisés avec le temps.
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Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lou’ et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mon chaton, @Austin J. Da Silva. Je l’ai trouvé magnifique, avec un contexte original et attractif alors j'ai décidé de m'inscrire.. J'utilise Acacia Clark Brinley Kersey comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par *.hurriicane . Je fais environ 700 à 1.000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Cleveland. Vingt-cinq juin. Une merveilleuse journée ensoleillée. Les habitants de la ville l’ont bien compris et ils sont des centaines, voire des milliers dehors à se balader, faire du shopping, etc. Dans la belle et grande maison de la famille Galloway, on profite aussi du beau temps. Madame Galloway caresse son ventre proéminent, impatiente de pouvoir enfin voir son enfant dans ses bras. Elle avait voulu garder le sexe de son chérubin secret, voulant avoir la surprise. De toute façon, garçon ou fille, elle l’aimera de tout son cœur. Elle le sait déjà. Monsieur Galloway la regarde, attendri et aimant de cette femme avec qui il est marié depuis cinq ans. Leur enfant, il l’avait espéré et il est très fier que d’ici peu de jours, il pourrait le ou la tenir dans ses bras. Madame est infirmière, et elle partait souvent dans le monde entier dans des causes humanitaires, étant très impliqué dans chaque action qu’on lui confie. Voilà un an qu’elle n’était plus partie, mais elle savait qu’elle transmettrait sa passion du voyage au petit être qu’elle avait encore en elle. Monsieur s’occupe de plusieurs chaînes d’industries dans le monde entier. Lui aussi était souvent absent. Même pendant la grossesse de celle qu’il aime, il avait du souvent – et à contre cœur – la laisser pendant quelques jours, voire une ou deux semaines entières. Un déchirement à chaque fois, mais l’un comme l’autre s’est fait à cette vie de nomade. Quand ils se retrouvent, ils en profitent au maximum, ne regrettant jamais de devoir s’éloigner pendant quelques temps. Aujourd’hui était un jour calme, comme depuis un peu plus d’une semaine. Le médecin avait dit que le jour arrivait et donc il avait demandé la plus grande des sérénités.
MME GALLOWAY – « Chéri ? » demanda-t-elle, doucement, ne bougeant plus sur sa chaise pendant le thé.
MR GALLOWAY – « Oui ? » l’interrogea-t-il, en tournant sa tête vers elle après avoir fini de se servir.
MME GALLOWAY – « Je perds les eaux » déclara-t-elle dans un calme sans précédent, souriant.
En temps normal, la femme panique et se tient le ventre. L’homme, quant à lui, s’affole et court partout pour prendre des affaires. Ils n’avaient jamais eu d’enfants avant et ils se comportaient tout ce qu’il y a de plus anormalement : Madame se leva lentement, respirant le plus régulièrement possible. Monsieur vint l’aider à se déplacer. Ils laissèrent tout sur la table du jardin, traversant la maison pour aller en direction de la voiture. Madame s’installa et Monsieur démarra la voiture, s’engageant rapidement sur la route. Dix minutes était le temps qui les séparait de l’hôpital. La future maman commençait à avoir mal, mais elle gardait tout pour elle, s’autorisant seulement à sourire à l’homme qu’elle aime, leurs mains entrelacées. Le trajet fut cour et ils arrivèrent ensemble dans le hall de l’hôpital. La suite n’a pas besoin d’être décrite dans les détails. La jeune mère a peut souffert et le jeune père est resté à côté de son amour, la rassurant le plus possible. Une heure après leur admission à l’hôpital, leur petite fille leur ait donné. Ils en ont tous deux les larmes aux yeux de joie. Leur fille, leur enfant, leur chair se trouvait dans leur bras à tour de rôle. Madisson, Madisson Leïla Galloway venait d’arriver sur terre.
- première rencontre -
? – « Salut ! Moi, c’est Austin, et toi ? » entendit-elle derrière elle, alors qu’elle regardait les enfants jouer dans la cour.
Se retournant un peu, la jeune blonde vit un garçon lui faire un immense sourire. Un magnifique sourire. Comment résister ? Le rouge lui monta aux joues et elle lui rendit un petit sourire timide. Personne ne lui avait parlé pour le moment. Deuxième jour de classe dans la petite école et elle ne s’était toujours pas fait d’amies. Ils avaient l’air de tous déjà se connaître et bien s’entendre. Elle restait de côté, songeuse, rêveuse, dans un autre monde. Et ce garçon avait débarqué de nulle part. Etait-il dans sa classe ? Apparemment oui, elle en avait un vague souvenir. Toujours là à le fixer, elle ne remarqua pas qu’il venait de s’asseoir à côté d’elle. Voyant le regard interrogateur du garçon, elle se souvint qu’il venait de lui poser une question.
MADISSON – « Madisson, mais tu peux m’appeler Madi » répondit-elle en souriant plus franchement, sa gêne étant passée.
AUSTIN – « D’accord … Tu ne joues pas avec les autres ? » demanda-t-il, un peu curieux.
Trop curieux à ses yeux. Elle n’a pas souvenir avoir répondu à cette question. Pas qu’elle n’est pas sociable, loin de là. Mais juste qu’elle avait eu du mal, toute petit à s’intégrer à un groupe. Vous savez, les parents des autres enfants disent à leur progéniture de ne pas traîner avec cet enfant là parce que ses parents ont de l’argent, qu’ils ne sont pas fréquentables ou encore d’autres immondices. Austin n’avait jamais pris de distance avec elle. Jamais. Depuis leur rencontre, ils étaient devenus au fil des années inséparables. Comme des jumeaux disaient leur parent. Comme des âmes sœurs s’amusaient à railler certains camarades de classe. Elle ne s’est pas vraiment poser de question là-dessus. L’amour, c’est abstrait. L’amitié est bien plus simple à comprendre et à appliquer.
- première expérience -
Deux mois. Deux mois qu’elle sortait avec son meilleur ami – Austin. Deux mois de bonheur et d’amour qu’elle partageait avec lui. Sortir avec lui, lui avait fait se rendre compte à quel point ses sentiments sont grands. Ceux-ci s’étaient accrus depuis un an et pouvoir les exprimer la rendait follement heureuse. Certes, son petit ami restait toujours aussi chiant et con qu’avant, mais la situation avait changé, évolué maintenant qu’ils étaient en couple. Cela faisait deux jours qu’ils avaient couchés ensemble. Sa première fois. Et qu’est-ce qu’elle était aux anges que ce soit avec lui. Lui qui l’a connaît tant. Lui qui a une si grande place dans sa vie et son cœur. Lui qui ne pourrait jamais lui faire de mal. Comment le pourrait-il ? Il l’aime, elle l’aime, tout va bien. Ce soir, comme la plupart des soirs, ils s’étaient donné rendez-vous dans le parc près de leur ancienne école. Les examens venaient d’être finis et il n’y avait plus qu’à attendre les résultats en profitant déjà des douces vacances qui s’annonçaient à tous les étudiants. Avançant dans les jardins, elle vit son amoureux assis sur un banc. Elle se précipita assez rapidement vers lui et posa ses lèvres sur les lèvres de celui qu’elle aime. Enfin, sa joue, apparemment. Fronçant les sourcils, elle se demandait si elle avait mal visée ou s’il venait de tourner la tête.
MADISSON – « Un problème ? » demanda-t-elle, très calmement.
AUSTIN – « Aucun » répondit-il, nonchalamment.
MADISSON – « Tu te fous de moi et tu n’as même pas les couilles de me le dire » lâcha-t-elle, remontée. « Déjà que tu annules nos rendez-vous de plus en plus souvent, que tu me jettes du lit le lendemain où l’on a couché ensemble, et ce soir tu me fais un coup comme ça ?! »
Sincèrement, elle espérait juste que ce soit une blague, qu’il se paye sa tête et qu’il vienne lui faire un gros câlin, qu’il l’embrasse tendrement comme elle l’aime. Mais le voyant si serein, regardant ailleurs, ne la calculant pas un seul instant, son cœur se brisa instantanément. Il n’allait quand même pas la jeter deux jours après qu’ils aient fait l’amour pour la première fois ? Lui n’était pas comme tous les autres mecs à prendre et jeter les filles en claquant des doigts, une fois qu’ils avaient eu ce qu’ils voulaient ? Pas vrai ?
AUSTIN – « Roh mais c'est bon au lieu de penser aux mauvais moments tu ne pourrais pas penser aux bons ? » dit-il d'un ton posé, sûr de son argument
MADISSON – « Les bons ? Quand je dois te supplier de me faire au moins un câlin par jour, quand je vois que je t’emmerde quand tu dois faire le premier pas pour m’embrasser ou quand tu es fier de m’avoir enfin dans ton pieu ?! » s’énerva-t-elle complètement, le fusillant du regard.
AUSTIN – « Bah tu sais quoi ?! Va te faire foutre !! » lui cria-t-il avant de partir, sans se retourner.
La dernière fois qu’ils se sont vus. Depuis, plus rien. La demoiselle avait appris que son ancien meilleur ami et ancien petit ami avait eu son diplôme, tout comme elle et qu’il comptait aller elle ne sait plus où. Grand bien lui fasse, avait-elle pensé. Elle voulait qu’il parte le plus loin possible. Mais elle avait décidé de le faire avant lui. Avec sa mère, après avoir eu l’accord de celle-ci et son père, elle décida de retarder sa première année à la faculté pour pouvoir aller aider les hommes du monde entier. Grâce à cela, elle grandit, murit et s’embellit. Découvrir tous ces peuples, ces hommes dans le besoin lui avait fait comprendre que sa peine de cœur n’était rien. Absolument rien et qu’elle s’en remettrait très facilement, même si elle ne la quitterait jamais. De retour à Cleveland, elle avait repris quelques cours pour être au meilleur niveau avant de s’inscrire à Harvard, sans savoir que son ancien meilleur ami y était déjà depuis un an. Ses bagages prêts, elle avait dit au revoir à ses parents et toute sa famille, d’ailleurs. Une nouvelle vie l’attendait !
- première année -
Que de nouveaux éléments à assimiler, de cours à comprendre et de nouveaux élèves à côtoyer ou non. Mais elle tient bon. Philosophie et arts visuels, deux domaines qu’elle chérit depuis toute petite. Son futur en ligne de mire avec des cours qu’elle trouvait passionnant, un travail qui lui demandait de la rigueur et de la rapidité, elle ne pouvait pas être plus heureuse. La bombe, oui, c'était une facteur de stress qu'elle espérait voir disparaître. C'était juste une fois, et rien d'autre. Elle n'avait pas réellement le temps de penser à ça, pour tout dire. Réussir ses examens était tout ce qui comptait. Enfin, c’est ce qu’elle répète à ses parents. Elle n’oublie pas de faire la fête, profiter de la vie, etc. Et depuis quelques temps, elle cherche à intégrer une sororité, ayant besoin d’un environnement « familial » dans lequel elle pourrait s’épanouir pendant ses années d’études.
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon :
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
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