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L'angoisse nous gagne tous, moi elle me colle à la peau [ Pv Snow ]

Anonymous

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A la base j'avais décidé d'aller au cinéma pour me changer un peu les idées et pour éviter de penser aux cours qui me prennaient parfois la tête. Normalement une amie aurait du me rejoindre mais s'était décommandée quelques heures auparavant parce qu'elle avait apparement attrapé la crève. Certains auraient surement remis cette sortie à plus tard mais j'en avais besoin. C'est donc tout naturellement que j'avais choisis d'y aller seule et de regarder une rediffusion de moi moche et méchant 2. La scéance n'avait pas commencé, j'avais mes billets en main et le malheur se produisit. Comme je l'avais deviné mes angoisses ne me laisseraient pas tranquille aussi facilement ... Le rouge me montait aux joues, une peu intense s'empara de moi et me voilà à me tenir contre le mur, telle une femme titubante à cause de l'alcool. En plus d'avoir l'air d'une andouille, j'allais bien évidemment rater mon film qui allait commencer dans quelques minutes. Je me tenais encore au mur essayant tant bien que mal de respirer, ignorant les gens qui passaient me dévisageant comme si je faisais une attaque. Silencieusement, j'espérais que quelqu'un me vienne en aide et ma rassure pour que ce calvaire cesse.
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Tout ira bien, tout ira bien.


Ce qu'il y a de bien avec le cinéma de Cambridge c'et que parfois il passe des documentaires sur différents thèmes. Et ce soir un documentaire concernait la mode, bien entendu j'ai sauté sur l'occasion et me suis mise en chemin pour me rendre au cinéma. Il y avait pas mal de monde ce soir, comme si toute la vie s'était donnée rendez-vous. Alors que j'allais rejoindre la salle où ma séance allait débuter, j'ai aperçu devant moi une jeune femme qui se tenait au mur de façon un peu inquiétante. Pas genre comme quelqu'un qui s'appuie pour remettre son lacet dans sa chaussure non rien a voir. Là elle était en train de trembler et essayer de se cacher. Tout le monde passait devant elle en la regardant comme un monstre mais personne ne s'arrêtait. Bien entendu je me suis dirigée vers elle le plus vite possible évitant tout ceux qui s'arrêtaient pour la regarder et j'ai délicatement posé une main sur son épaule, je ne voulais vraiment pas lui faire peur. Viens, ne reste pas là. On va aller se mettre dans un endroit plus tranquille... Elle ne faisait pas du tout une crise cardiaque où un truc dans le genre comme tous ces cons qui passaient autour pouvaient penser. Elle faisait je pense une sorte d'attaque de panique comme on avait vu en cours de psychologie clinique. Alors je me suis mise devant elle, lui ai tendu ma main en essayant de la rassurer.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Tout ira bien, tout ira bien.


Malgré mon envie de courir à en perdre haleine pour fuir ce lieu qui désormais me hantait, je n'en fis rien, comme paralysé par un géant invisible. Je tenais toujours le mur à la recherche d'air mais mon était ne paraissait pas s'améliorer. Mon esprit ne comprenait pas ce qui m'arrivait mais mon corps semblait comprendre en me prévenant à travers de forts symptômes que j'étais en danger. Alors que la panique m'envahissait complètement, je sentis une main s'appuyer tendrement sur mon épaule telle une aide descendant du ciel. Cette main si douce me rappelait la main de ma mère qui me relevait lorsque je chutais. Je tournai la tête surprise de voir une fille qui était dans mon école et fis un sourire crispé. Elle me dit qu'on ne devait pas rester là mais aller dans un endroit plus tranquille. Je lui pris alors la main pour aller en direction du hall puis sortit. L'air était frais, le calme revenait doucement en moi mais ce n'était tout de même pas fini.  " Je ne comprends pas, lâchais je en titubant, je n'arrive ... pas à respirer ! Je ... "

Les phrases ne me venaient pas et restaient comme cloîtrées dans ma gorge. A mesure que le temps passait je pensais aux choses que je ne pourrais pas accomplir si je mourrais sur le champs et c'est un sourire triste que j'affichais à ma nouvelle amie.

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