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BALTHAZAR & MINNIE ♛ at the laboratory

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Je n’avais jamais souhaité étudier à Harvard, au contraire de beaucoup d’étudiants ça n’avait pas été le rêve de ma vie, un souhait que je voulais exaucer depuis que j’étais petite. Harvard n’avait jamais représenté cela pour moi, bien sûr j’en avais entendu parler  mais rien de plus. Pour moi, mon choix avait été d’aller à Oxford, université tout aussi prestigieuse où je pourrais rester auprès de mes proches. La famille royale d’Angleterre n’avait pourtant rien fait pour que j’éprouve une sorte d’attachement envers elle. Toujours j’avais eu l’impression de dépareiller, je n’avais pas été ma grande sœur obéissante ou ma sœur douce, qui même si elle n’était à fond dans la monarchie n’avait jamais fait de vague. Moi, je ne m’étais pas privé de dire ce que j’avais à dire. Je m’étais fait je pense, détester par mes parents et ma grand-mère. Et c’est ainsi qu’ils avaient voulus que j’aille à Harvard. Enfin, ce n’était pas simplement une volonté, c’était une obligation. Surtout de la part de ma grand-mère qui m’avait traité de trainée et de fille légère. J’avais eu envie de lui hurler à la figure qu’aucun garçon ne m’avait touché ou embrassé durant ma vie entière mais elle n’aurait pas compris comment une petite vierge avait pu faire un striptease à un gala de charité. C’est cet évènement qui avait poussé mes proches à m’éloigner de Londres. Loin de la monarchie, je ne pourrais plus faire mes scandales habituels et j’allais devoir me racheter comme Harry l’avait fait en partant en Afghanistan. J’avais donc fait mes baguages et ça faisait une petite semaine que j’étais arrivée. Au départ j’avais pris une chambre à Harvard pour faire comme les autres élèves mais bien vite, certains avaient remarqués ma ressemblance avec Harry et en avaient conclus que j’étais bel et bien la petite fille de la reine, ça me dérangeait pas tant qu’on me traitait bien. D’ailleurs j’avais vu que mes camarades venaient aussi de plusieurs familles royales, c’était plutôt agréable d’avoir des visages familiers, on avait du se croiser un peu plus jeune du fait de nos obligations familiales. Aujourd’hui, ma mère m’avait payé un cours particulier de français via skype, j’avais donc passé une heure en tête à tête avec Olivier, 23 ans, qui était français mais faisait des études pour devenir professeur d’anglais. Autant dire que j’aurais préféré faire autre chose que parler français avec lui mais j’avais fini par prendre l’habitude. Une fois le cours terminé j’avais rangé ma tablette et je m’étais dirigé dans le laboratoire pour y faire quelques expériences dans le cadre de mes études de médecine. Les éprouvettes ce n’était pas trop mon truc, la médecine à peine, encore une fois mes parents étaient derrière tout cela. J’avais commencé à faire quelques manipulations en lisant les conseils donnés par notre professeur lorsque j’entendis la porte s’ouvrir, je répondis machinalement en français : « J’ai réservé la salle pour une heure ! ». Je me rendis compte ensuite de mon erreur et de mon ridicule, c’était stupide, la personne en face de moi ne devait pas savoir parler français, je me repris alors en anglais : « Désolé mais la salle est prise, j’ai rempli le registre… ». Un registre indiquait en effet la disponibilité des salles, je levai alors les yeux pour découvrir un beau Winthrop, je l’avais déjà trouvé dans les couloirs et je l’avais trouvé très beau. Pas comme ses serviteurs de ma grand-mère qui rampaient vers moi par intérêt, lui il avait l’air un absent…un peu rêveur mais j’avais aimé ça. Un sourire s’afficha sur mon visage sans que je puisse le contrôler.  
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Parlez-vous français ? Non chérie, par contre j'peux t'apprendre le french kiss, ça te branche ?
hey mad'moizelle
Je venais tout juste de rentrer à Harvard. Les rentrées n'ont jamais vraiment été mon truc, toujours être à l'heure, prendre ses repères, sympathiser par nécessité, se mettre à la hauteur des profs, devoir vendre du rêve à son papa qui s'inquiète en lui disant que tout allait bien, personne ne m'embêtais... Non, tout ça n'était définitivement pas fait pour moi. Résultat j'étais là à traînasser dehors sans réel objectif, maudissant le mois de septembre et abîmant mes chaussures à les rouler dans l'herbe. A force de marmonner, je n'avais pas encore remarqué les nombreux passants qui me fixaient avec insistance. Gêné, j'ai alors toussoté nerveusement avant de cesser mon activité stupide. Je me mis à chercher la salle dans laquelle je devais avoir cours. Quelle barbe. J'examina le bout de papier qu'on m'avait donné avant de constater que je devais aller à l'autre bout d'ici. En âme d'explorateur né, je me dis que passer par un coin ombragé serait ... Quel était le terme déjà? Ah oui, passer par un coin ombragé serait "amusant". Petit con que je fais. Alors me voilà dès lors perdu dans les couloirs d'Harvard, errant dans l'espoir de trouver un camarade gentil qui aurait pu m'aider. Mais non, impossible, tous étaient en cours, j'étais le seul homme dans cette université à encore avoir le cerveau vide et libre. Décidément.
Alors que je m'agitais à faire les cents pas dans les couloirs, une salle entrouverte attira mon attention. Ca n'était sans aucun doute pas là que je devais avoir cours, car aucun brouhaha ne sortait de la pièce. Intrigué, j'ouvris un peu plus la porte, curieux comme j'étais. Une jolie voix de fille envahit mes tympans J'ai réservé la salle pour une heure! Elle venait de parler français. Je ne pus m'empêcher de penser à Océane, avant d'agiter la tête en me disant que je faisais sûrement une grosse erreur en engageant la conversation avec la jeune fille. Il n'empêche qu'elle venait de parler français. Français. Scuse me, have you really spoken french? Mon coeur rata deux malheureuses pulsations lorsque je la vis rire, et enchaîner d'un anglais aux accents britanniques que j'aimais tant Sorry, I have reserved the classroom for one hour, it's written on the register... je m'empressai alors de lui répondre avec un français que je m'efforçais de rendre facilement compréhensible : Non, c'est moi, désolé, je ne voulais pas te déranger, vraiment. Je cherchais cette salle, hm, tu pourrais m'aider? Je sortis alors le bout de papier avant de lui montrer, j'espérai tellement qu'elle pouvait m'aider.
made by pandora.
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J’avais croisé le regard d’un beau jeune homme que j’avais déjà vu dans les couloirs, il était très beau, très charmant. Je pense qu’aucune fille n’aurait pas pu faire autrement que le remarquer. Je me demandais pourquoi je me mettais à penser ça, habituellement les garçons que je trouvais mignon je n’en avais jamais de nouvelle. Je préférais essayer de chasser ses mauvaises pensées de ma tête. Le jeune homme me demanda si j’avais vraiment parler français mais je préférais reprendre ma langue maternelle. Le Français je ne le pratiquer que pour faire plaisir à mes parents, ce n’était pas la langue que j’affectionnais particulièrement. Et puis j’aimais bien mon accent anglais, c’était plutôt sympa, ça changeait un peu. Je m’étais approchais du jeune homme hochant simplement la tête, et je répondis en anglais : « Oui mais je préfère parler anglais, c’est juste mes parents qui me payent des cours…pour que je sois bilingue et toutes ces conneries… ». Oui, pour moi tout ça, ça n’avait pas d’importance. Je m’efforçais de ne pas être désagréable avec le jeune homme, après tout je le trouvais assez mignon pour pouvoir le renseigner. Je regardais alors le bout de papier, il indiquait une salle un peu plus loin, près du bureau des professeurs. Je repris alors : « Bien sûr, ce n’est pas loin… ». Je sortais alors de la salle, en abandonnant mes expériences mais en prenant tout de même mon sac sous mon épaule, Harvard était une université comme les autres et j’étais certaine que la populace d’autre confrérie pourrait me piquer des sous si je ne les emmenais pas avec moi. Je suivais alors les inscriptions notés sur les portes jusqu'à attendre la salle recherché par le jeune homme, une fois arrivé devant je le regardais de nouveau en lui disant avec une voix mécanique, tel un gps l’aurait fait : « Vous êtes arrivés à votre destination ! ». Même si j’aurais voulu que ma première rencontre avec le jeune homme soit un peu plus longue je le regardais une demi-minute avant de tourner les talons. Je n’avais plus aucune raison de rester de toute manière, à moins que le jeune homme dont j’ignorais le nom souhaite que je reste à ses côtés pour lui servir de guide…
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