KORA BERTONELLI ► emilia clarke

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle weakness et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à qui ne le connait pas ?.  Autant avouer qu'il fait peur, autant par son nombre de membres que par le nombre d'avatars pris, mais l'ambiance me parait excellente pour ce que j'ai pu juger sur la CB alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Emilia Clarke comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé

Mot de la fin ? ▲ banzaï  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Puisqu'il faut commencer par un début, autant dire que je suis née de deux parents journaliste : ma mère Katia, était une américaine un peu folle et mon père Fernando était un italien pur souche souvent trop sérieux. J'ai donc vu le jour en Italie. Je n'ai jamais manqué de rien en soit, pas même d'amour, j'ai toujours eu une vie parfaite, je n'ai vraiment pas à me plaindre. Des que les choses dérapaient financièrement, papa et maman étaient là pour rattraper le coup. Avec tout ça on aurait pu penser que j'allais devenir une fille pourrie gâtée et un brin égocentrique, mais à la place, ça m'a boostée pour allé chercher au plus profond de moi ce que j'avais envie de devenir. Jusqu'à mes 16 ans, je suis restée à Naple, j'avais mes amis, ma vie, j'étais inscrite dans une école qui représentait l'élite de l'Italie, et bien que je me sentais à l'aise, je dois bien admettre que tout ces petits bourgeois m'ont vite tapés sur les nerfs. Ce n'est que lorsque j'ai rencontré ma meilleure amie que j'ai commencé à devenir sociable. On faisait les 400 coups ensemble, elle était un peu mon guide, et j'étais son équilibre. On faisait la fête ensemble, on picolait -beaucoup trop-, bref on s'éclatait, elle était un peu la sœur que je n'ai jamais eu. Quand il a fallu quitter mon pays natal, ça a été le pire moment de ma vie autant le dire. Je suis restée en contact avec Amandine par l'intermédiaire de skype et de nos smartphone, mais ma meilleure amie me manquait. J'ai voyagé longtemps comme ça. Tout le temps mutés ailleurs, mes parents ne me laissaient jamais le temps de reconstruire ma vie, c'était assez déroutant. Ce n'est qu'en arrivant aux Etats Unis que les choses ont commencé à bouger. A 18 ans, j'intégrais l'université d'Harvard, ayant fini mes années scolaire par correspondance avec une moyenne excellente. J'ai rapidement fais le tour des filières possible et la danse m'a sautée aux yeux, moi qui rêvait de commencer à rentrer plus en profondeur dans ce domaine, j'allais enfin pouvoir le faire. Médecine ? Mon père était étonné, alors que ma mère semblait ravie que je choisisse un métier stable et fixe. Les premières années, j'ai du allé vivre chez une tante à mon père car j'avais refusé de continuer à déménager. Ma vie au campus commençait d'ailleurs à se résumer de plus en plus à une vie de débauche. J'ai fais mes expériences... bordel j'en ai fais des conneries : des gardes à vues, des fringues volées alors que je n'ai jamais manqué d'argent, les cheveux de toute les couleurs possible et à 19 ans je me suis droguée pour la première fois, seulement j'ai passé une telle journée de merde le lendemain que j'ai finalement laissé tombé l'idée. De temps en temps pourquoi pas, mais honnêtement je suis plus douée avec l'alcool et les fêtes bien arrosées.

Ce fut donc à la fin de ma première année que la surprise m'a été faite. Amandine que je voyais tous les été venait d'emménager sur LA et venait d'intégrer la même université que moi, autant dire que les retrouvailles furent festives. J'avais le sentiment de recommencer à vivre. Tout le temps en train de faire du shopping, à batifoler à droite à fauche, nos caractères étaient tellement compatible qu'on aurait pu nous prendre pour deux lesbiennes. Haha, on en a joué de ça bon sang, ça nous faisait marrer de voir la tronche des gens quand on disait sortir en semble. On s'était créé notre bande de pote, et quand elle m'a annoncée qu'elle s'était fiancée au frère d'une certaine Taylor, j'ai sauté de joie au plafond bien qu'en fait je ne les connaissais ni d'Adam, ni de Eve, mais bon hein, il fallait bien que je me réjouisse pour elle bien que à 21 ans, je trouvais ça un peu jeune, mais bon, tout le monde ne voyait pas la vie comme moi.

Seulement voilà, le coup du sort est parfois impossible à déjouer et quand cette bombe a explosé... j'ai perdu celle qui faisait de ma vie un paradis. J'ai eu juste le temps de sortir de mon véhicule quand le parking à explosé, j'ai entendu des cris, j'ai vu les gens courir, et je me suis évanouie. A mon réveil, deux semaines plus tard à l'hopital, j'ai appris la mort de ma meilleure amie. Depuis ce jour là, j'ai du mal à sortir la tête de sous l'eau, je me dis souvent que si c'était moi qui avait conduit, les rôles auraient été inversé. Durant l'été, je suis rentrée chez moi pour tenté de me remettre de cet événement, j'ai retrouvé mes parents en Italie et j'ai tenté de chasser les images traumatisantes de mon esprit. Mon bras était à nouveau en état de marche, et mes neurones aussi, pourtant, une chose me tracassait : la rentrée, et croyez moi, j'ai l'impression d'être quelqu'un de nouveau, mais pas dans le bon sens du terme. Mon caractère de merde s'est amplifié, je me suis mise à envoyer chié les gens, je me saoule durant les soirées.. la pente est dure à remonter, et au fond, je ne sais pas si j'ai envie de la remonter. L'avenir me le dira. Bienvenue à Harvard il disait...