Cousins are the friends you keep forever ~ Nina & Haley

Cousins are the friends you keep forever
Nina & Haley

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Malgré mon côté légèrement superficiel sur les bords et mon comportement que l'on pourrait parfois qualifier de garce, j'étais une fille assez studieuse. Je dirais que ceci est assez évident lorsque vous avez réussit à intégrer Harvard. Tout simplement car ce n'est pas n'importe quelle université ... c'est Harvard. Heureuse d'avoir pu l'intégrer, je prenais mes études à cœur même si je devais avouer que je m'appuyais beaucoup sur mes facilités. Disons que j'étais loin du genre d'élève qui s'était battue et qui avait travaillé d'arrache pied pour en arriver là. Voyez vous, auparavant, durant mes années de lycée, je faisais tout simplement ce que l'on me demandait de faire, mais je n'en ai jamais fait plus que ce que je devais. Mais l'université, c'est différent. On ne vous dicte plus ce que vous avez à faire. Alors c'est à vous de prendre vos propres initiatives, de vous débrouiller seul. Ceci m'avait fait grandir. Prenez un exemple, il y a quelques jours de cela, j'ai pris l'initiative de me rendre à la librairie du campus dans le but d'emprunter un livre sur les méthodologies du journalisme afin d'améliorer mes compétences dans le domaine que j'étudiais. Je sais que ça parait bien peu, mais antérieurement, jamais je n'aurais pris la peine de faire cela. J'avais réalisé une chose, même si je restais une vraie gamine dans ma tête, j'avais grandi à ce niveau-là. Harvard m'avait faite grandir. Et j'avais l'impression que ces quelques mois à Havard s'étaient avérés bien plus efficaces que l'année que j'avais passée à Yale. Revenons au livre, justement, il m'avait été plutôt utile. Bon il n'avait pas été lu (ou plutôt feuilleté) avec beaucoup de concentration, mais à mon gout, c'était le geste qui comptait. Je me rendis à la librairie afin de rendre ce dernier. Le lieu était bondé, comme la plupart du temps. J'ai déposé le livre sur le comptoir qui fut saisit par la documentaliste. Cette dernière me demanda mon nom. Peu habituée par les lieux, je fus surprise « Euh... Haley Reyes ». Elle lança avec humiliation « C'est pour lister que vous avez bien rendu le livre ». C'est vexée que je répondis ironiquement dans le but de me moquer de cette dernière : « Abon ? Je pensais que c'était pour me rechercher dans l'annuaire et pouvoir chopper mon numéro afin de me donner un rencard ». Je m’apprêtais à partir.

(Invité)

Nina était brillante. C'était un fait. Il y avait beaucoup plus intelligente qu'elle sur le campus, certes, mais cela ne l’empêchait pas d'être brillante. Et la brillance (si je puis me permettre uhuh) ça se cultive. C'est pour cette raison qu'elle se trouvait entre deux allée de la librairie d'Harvard, les bras recouvert de livres sur l'Italie et l'italien. Elle avait de la chance d'étudier la danse : beaucoup moins de travail écrit, très peu de théorique et beaucoup de sport. Par contre l'italien, c'était une autre paire de manches. Mais bon, comme on dit toujours, un corps sains dans un esprits sain. A moins que ce soit l'inverse ? Oui c'est surement l'inverse parce qu’avouez qu'un corps dans un esprit, c'est pas forcement très pratique pratique. Enfin bref. Elle était donc dans l'allée et allait se dirigez vers le rayon sport, histoire de choper un livre sur la danse, histoire de, quand elle entendue une voix familière. Du moins, c'était étrange. La voix était familière mais Nina ne savait absolument pas pourquoi. c'était une voix de fille, ça c'était claire, une vingtaine d'année, pas plus mais c'était tout ce que pouvais dire la jeune femme. Elle l'avait déjà entendue et encore, elle n'était pas sur. Disons que cette voix lui disait quelque chose. Et puis, et il faut dire que ça lui mit vachement la puce à l'oreille, elle entendu le nom de la jeune femme et là, ça lui fit tilt. pas étonnant qu'elle reconnaisse la voix sans vraiment la reconnaître (c'est compliqué ce que je raconte hein ? (a)) « Haley ? » Elle s'était approché du comptoir, posant ses livres sur une chaises. Bon maintenant, ça avait intérêt à être elle parce qu'il était hors de question qu'elle se tape l'affiche comme ça devant tout le monde.

(Invité)