Un verre pour des confessions ? • Emrys & Caly

Calypso marchait dans la rue en appréciant les derniers instants de soleil sur sa peau. Les vacances, c'était terminé. Mais il restait encore quelques jours avant la rentrée et elle comptait bien en profiter. La tête pleine de souvenirs, le coeur réchauffait grâce à l'amour qu'elle vivait avec son amoureux, meilleur ami ou pleins d'autres liens. Pour le moment, leur histoire ne connaissait pas de vagues et c'était appréciable, ça la faisait flotter, peut-être un peu trop d'ailleurs. Seulement, en passant devant un bar plutôt populaire, la brune aperçu Emrys, le frère de Priape, qui était à l'intérieur. Son Zacharias lui avait parlé de cette violence excessive qui avait frappé l'aîné lors d'une agression. Tout cela était étrange et inquiétait Caly. Après tout, les deux amis avaient passé le Summer Camp ensemble chez les GunsNRoses. Cela avait renfoncé leur lien, puis c'était devenu son beau-frère, rajoutant un peu une implication de plus. Entrant à l'intérieur, la grecque se dirigea vers le grand bel homme. « Emrys ! » Puis elle l'enlaça très brièvement avant de l'observer.

BOSSER. Chose que l'on se doit de faire quand on n'est en étude et surtout dans une faculté comme celle de Cambridge, j'ai nommé Harvard et malheureusement, la rentrée approchait et comme certains, j'étais dans les deux années de la mort qui tue, oui, oui. Le doctorat, chose pendant laquelle tu dois soit continuer tes prouesses de l'an passé pour faire le best projet-dossier d'étude soit tout rattraper parce que tu as été une bouse comme moi, enfin honnêtement, j'étais entre les deux alors aujourd'hui alors qu'on n'est pas totalement retourné encore en cours, j'ai décidé de commencer à bosser déjà à bien confectionner le nom de mon sujet et quelques recherches. Ni une ni deux, je prends mon ordinateur sous le bras, quelques bouquins dans mon sac que j'enfile en bandoulière, je vérifie mon look et je me casse de la puanteur de ma chambre ; Nous, crade ? Du tout, sauf aujourd'hui, ou mon chieur de petit frère fait tout pour que je le remarque. seriously denys ? Un regard moqueur et hop, je ferme la porte, m'enfuyant a toute jambe dans les rues de Cambridge. Une journée mouvementée au final, j'avais pas réussi à bosser, j'étais rentré faire suer mon frère et profiter de lui avant de finir à Lord Hobo après avoir éviter le beau couché de soleil sans vraiment le vouloir. Je regardais le vague, ma bière à la main quand j'entendis mon nom. Je regardais dans la direction d'où venait ce son ; Calypso. Elle m'enlaça ce qui me fit très ... bizarre puis me regada ; Salut ... avais-je d'une manière insignifiante. Fronçant les sourcils, je repris : Tu ... ça fait bizarre de te voir ici ... Oui, je n'avais rien d'original à dire, je devais bien l'avouer pourtant dieu seul saut que j'adore Calypso.

Calypso observait la réaction d'Emrys, elle savait très bien que les contacts ou tout autre geste qui pouvaient sembler normaux lorsqu'on était ami "choquaient" le Zacharias. Mais la jeune femme était tellement de bonne humeur et euphorique, la tête dans les nuages, le corps confectionné de guimauve qu'elle se montrait très expressive envers tous. Emrys n'échappait pas à la règle. Puis elle lui souriait alors qu'il dit simplement que c'était étrange de la croiser ici. « Ah bon, tu trouves ? Tu sais, je passe pas ma vie dans les livres non plus. » rigola-t-elle doucement. Et elle demanda si elle pouvait s'installer avec lui, sans vraiment attendre la réponse, la brune se mis aux côtés du Winthrop. Puis elle repris un peu plus inquiète. « Je passais dehors et je t'ai vu, je voulais savoir comment tu allais ? » Caly n'osa pas aborder le sujet directement de pleins fouet, elle préférait contourner la chose. Mais elle savait bien que le grec n'était pas stupide et qu'il verrait vite clair dans son intention.

Ma remarque ne manqua guère de la faire sourire à croire qu'elle ne savait faire que cela. Je l'avais rarement vu sans le sourire ou peu euphorique encore aujourd'hui, une certaine euphorie l'animait fortement. Je tentais à mon tour de sourire pourtant encore dans le mécontentement de ma journée et dans les chocs des souvenirs que provoquaient le souvenir de la bagarre. Elle rigola en me disant qu'elle ne faisait pas que lire et de son regard, elle sembla demander si je voulais bien de sa compagnie, mais sans attendre, elle se posa à mes cotés, j'eus un sourire et je fronçais les sourires qui disaient "sacré fille!" puis je trempais à nouveau les lèvres dans ma bière tandis que la belle m'expliquait qu'elle m'avait vu et était entré pour savoir comment j'allais ; dis donc elle s'occupe drôlement de moi ... Je rigolais ; Oh tu sais ça va très très bien ... dis-je en tentant les mensonges, espérant que Priape n'aie pas parlé, on sait jamais il est tellement fou mon frère qu'il est capable de jouir en parlant de moi ... oui je plaisante. Et toi alors ma belle ? Je tentais de jouer au maximum le mec normal qui va super bien mais c'était bien dur tant j'étais préoccupé.