Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility✝ i never showed my boobs in public. (candice&william)
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✝ i never showed my boobs in public. (candice&william)

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Ma chambre chez les Mather, un samedi soir. C'était rare que je m'y trouve. Généralement, le week end, je fuyais le campus pour retrouver Maxim. Et passer un peu plus de temps à l'appart avec lui, quand il était là. Ou alors, je sortais avec la bande ou je voyais Trunks. Trunks, petit sourire niais qui me vient directement et que je me presse de faire partir. Non, ce soir là, j'étais avec Candice. Une fille que je connaissais depuis quelques années et que j'avais rencontré à New York. Je l'aimais bien cette fille. Et j'étais plutôt contente de l'avoir retrouvé ici, à Harvard. Faut dire que j'avais pas vraiment d'amis, surtout des amies. Avec un e. Je détestais la plupart d'entre elles. Bien trop pimbêche, trop ceci ou trop cela pour moi. Et j'avais vraiment du mal à me lier avec elles. Rien qu'à voir le carnage de mon installation à New York, on comprenait mieux. Enfin, bref. J'étais avec la brune et on discutait autour d'une bouteille, quand j'eus soudain une idée.

    - T'as déjà joué à "Je n'ai jamais." ?

Réponse négative de sa part. J'en suis presque étonnée. Faut dire que des jeux à boire depuis que je suis chez les Mather, j'en connais des tas maintenant. Et celui ci, je l'aimais bien. On pouvait apprendre des tas de choses qu'en temps normal, on ne se permettrait jamais d'avouer. L’avantage de l'alcool quoi. Je lui explique vite fait les règles du jeu en cherchant une bouteille d'un autre alcool plus fort et vient me rasseoir en face d'elle. Prête à jouer.

    - Bon.. je commence alors.

Je réfléchis quelques secondes avant de débiter ma phrase, un sourire en coin esquissé sur mes lèvres.

    - Je n'ai jamais.. couché avec une fille.

Et j'attends qu'elle boive ou non.
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Me retrouver dans la chambre d'une ou un Mather me rendait toujours étrange, non pas que ce soient des gens infréquentable, j'y ai une ou deux amies et sexe friends... Mais disons que depuis les événements survenus à la Eliot House je les évitais un peu. Seulement voilà ce soir je me retrouve ici dans la chambre d'Orphée, une Mather et amie. Cela fait un bout de temps que je l'ai connue mais je m'en souviens comme si c'était hier, c'était dans une soirée à New-York, avant mon arrivée, et la sienne, à Harvard. Ca avait été quelque peu étrange de se retrouver ici, le monde est petit parfois. On avait continué alors à se revoir pour devenir des amies, et me voilà ce soir dans la chambre de celle-ci pour passer un moment ensemble. On avait décidé de passer une petite soirée ensemble, chose que je dois bien avouer j'avais trouvé choquante les Mather font si souvent la fête après tout. Nous étions donc là à parler de tout et de rien autour d'une bouteille, bah oui quand même Mather un jour, Mather toujours hein, quand elle me proposa un jeu

- T'as déjà joué à "Je n'ai jamais." ?

Je réfléchis un instant, ce jeu ne me rappelle absolument rien, j'hochais la tête avant de lui répondre « Hum malheureusement non mais je serais ravie que tu m'en dises plus! » Je suis du genre à aimer les jeux, les défis et tout ce genre de choses alors! Elle m'expliqua en quelques phrases les règles, je tentais de bien le comprendre, je pense que j'en ai saisi le concept, alors pourquoi pas? Elle partit quelques instants pour prendre une bouteille d'un alcool plus fort, courage Candice tu peux l'faire, tu vas pas finir complètement bourrée voir pire! Elle revint s'asseoir en face de moi, nous y étions donc.

- Bon.. je commence alors. Elle se tût quelques instants pour réfléchir à sa première phrase avant d'avoir un sourire au coin des lèvres Je n'ai jamais.. couché avec une fille.

Okay elle m'avait bien eu, j'avais en effet couché avec des nanas, plus d'une fois même, je pris donc la bouteille et en bu une grosse gorgée avant de la reposer devant nous. « Bien laisse-moi réfléchir ... » Quoi dire qu'une Mather aurait fait, oh beaucoup de choses ouais, mais de mon côté j'avais fait pas mal de choses aussi alors quoi dire.... Lumière! Petit sourire « Je n'ai jamais touché à de la drogue ». Si Orphée ne boit pas, j'me pends parce qu'en tant que Mather c'est bien connu hein!
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Quand je suis rentrée à Harvard, il a bien fallu choisir une maison dans laquelle me faire accepter et à vrai dire, le choix s'est porté sur Mather mais pas comme si c'était une évidence. Déjà, on pouvait oublier les confréries de mecs - quoi que bon, ça aurait été un sacré avantage de me retrouver comme seule fille autour entourée de tant de beaux spécimens, m'enfin, fallait arrêter de rêver direct - et bien entendu, les Cabot. Déjà parce que plutôt mourir que de me retrouver qu'entourée de filles. J'avais déjà donné à New York. Merci bien, je tenais un minimum à ma santé mentale quoi. Et plus j'avais fais le tour de toutes les maisons et plus je me disais que les Mather serait un choix parfait. Et je m'étais pas trompée, je m'y sentais plus que bien. Restait plus qu'un petit détail à régler.

J'attendais que Candice fasse quelque chose. Qu'elle boive ou non. Et la réponse ne tarda pas. La jeune brune prit la bouteille et en but une gorgée. Le sourire que j'avais tantôt sur les lèvres s'agrandit d'aussitôt.

    - Très intéressant, tiens.

Je lui glisse un clin d'oeil qui se veut un peu aguicheur, juste pour l'embêter. Les filles ne m'avaient jamais attiré, c'était un fait. Mais ça ne pouvait pas m'empêcher de m'amuser avec elles, de jouer de mes atouts. J'observais Candice, quand celle ci énonça à son tour une question.

    - Je n'ai jamais touché à de la drogue.

Un léger rire passa mes lèvres. Obligé que cette question sorte. Et je savais déjà par avance qu'elle l'avait fait exprès. La réputation des Mather, quoi. M'enfin, faut dire aussi que je n'étais pas neige comme blanche et que je m'étais amusée aussi à tester quelques trucs. Je récupère donc la bouteille à mon tour et y boit une longue gorgée. Non sans grimacer.

    - Tu m'a bien eu là.

Les questions s'enchaînent et je commence à être légèrement bourrée. Bon d'accord, je dois pas trop tenir la route à ce niveau là. Je suis sûre que si je me lève, la pièce doit tourner. Ouais, non, mauvaise idée ça. Je suis très bien par terre. C'est à mon tour. Je mets quelques secondes à réfléchir à un truc que je n'ai jamais fais.

    - Je n'ai jamais montré mes seins en public.

Non pas que je sois complétement pudique ou quoi que ce soit. Mais non, je ne m'étais jamais trimballée les seins à l'air. Et j'attendais avec hâte de savoir si Candice avait déjà tenté l'expérience.
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Lorsque j'avais répondu à son « je n'ai jamais couché avec une fille » en buvant un coup, Orphée m'avait fait un grand sourire avant de me répondre qu'elle trouvait ça très intéressant avec un clin d'oeil aguicheur, là pour le coup j'eu une envie de m'approcher de mon amie. Mais je me doute qu'elle se joue de moi et de ma bisexualité car je sais qu'elle ne l'est vraiment pas. Récemment je me suis plantée en beauté avec Liana, une autre amie, croyant qu'elle en avait envie et résultat quand je l'ai embrassé j'ai brisé notre amitié que je tente de recoller depuis... Alors une fois cette erreur mais pas deux!

J'attendais maintenant qu'elle réponde à son tour soit en buvant, soit pas. Je me doutais de toute façon de la réponse, ça aurait été trop improbable autrement, on étaient peu, les personnes à n'avoir jamais touché à la drogue sur ce campus, parfois j'en étais fière, parfois cela me faisait me sentir différente, comme déphasée. Après un instant Orphée prit alors la bouteille et y but une longue gorgée, avec une grimace.

- Tu m'a bien eu là.

Mon petit sourire discret s'allongea alors. Le jeu continua ainsi durant un temps, parfois on buvait, parfois pas, je me sentais un peu pompette, c'est-à-dire que j'ai pas une grande résistance non plus à l'alcool. C'est au tour de mon amie de trouver un je n'ai jamais, elle semble réfléchir quelques instants, j'attendais patiemment en l'observant, la trouvant quand même bien jolie... Oulà les idées s'embrouillent!

- Je n'ai jamais montré mes seins en public.

Arf elle touchait juste encore une fois! Je fis semblant de prendre la bouteille, puis de me raviser en levant les sourcils, je jouais avec elle. Après quelques instants cependant je pris la bouteille et bu une nouvelle gorgée. He oui même ça je l'avais fait! Cependant l'alcool commençait sérieusement à me monter à la tête, je ne pu m'empêcher de rire un coup

« J'parie que t'oses pas l'faire maintenant! » Lui dis-je en la taquinant à moitié et de l'autre côté en étant sérieuse
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Elle jouait avec moi. Elle fit d'abord semblant de prendre la bouteille, un air impassible sur le visage. Sourcils relevés. J'attendais, impatiente de savoir. Elle faisait durer le suspens et je savais pas si c'était moi ou tout l'alcool que 'javais déjà ingurgité, mais je trouvais ça hyper long. Surtout qu'en temps normale, j'étais pas hyper patiente. Et puis, au bout de quelques instants, elle saisit franchement la bouteille, la dirigeant vers ses lèvres pour en boire une gorgée. Je n'arrivais pas à y croire, elle l'avait vraiment fait. Incrédule, je me mis à éclater de rire. Merde alors. Elle cachait bien son jeu la petite Candice. Elle aussi ria. Sûrement à cause de l'alcool. C'est vrai qu'on avait pas mal bu déjà. Je jugeais la bouteille devant nous, ouais, presque vide.

    - J'parie que t'oses pas l'faire maintenant !

Maintenant ? genre là tout de suite ? Comme dans maintenant, tu retires ton haut, ton soutif et tu vas courir partout dans Mather ? Rien que l'idée de me trimballer les seins à l'air dans la confrérie me fit rire. Je n'arrivais pas à calmer ce fou rire du à toute les fois où j'avais du boire mais aussi à la nervosité de ce que j'allais peut être devoir faire.

    - J'sais pas...

C'est pas que la pudeur était de rigueur à Mather mais.. voilà quoi. Je mis à penser à toute vitesse. Et si Trunks l’apprenait ? A coup sûr, je risquais de passer un sale quart d'heure. Puis au fur et à mesure, mes pensée m'amenèrent à ce fameux défi qu'on m'avait lancé. Et je ne pu reculer.

    - On a qu'une vie, merde !

D'un coup, je me lève. Attrapant la bouteille au passage que je vide. Ben quoi ? Faut bien trouver du courage là où on peut hein. Je retire mon haut qui se retrouve par terre, immédiatement suivi par mon soutien gorge. Voilà, j'étais seins nus. Et morte de rire. Quelle belle connerie. Je regarde Candice, tenant mes seins entre mes deux mains.

    - Et maintenant.. petite excursion dans la confrérie.

Je me dirige vers la porte, lâche un sein pour venir ouvrir ma porte d'une main avant de la remettre à sa place. Et je sors, morte de rire, faire mon petit footing dans cette tenue, chez les Mathers.
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Pour une fois, c’était une soirée calme pour William, il avait décidé de squatter le salon des Mathers et de regarder le match de foot qui passait à la télévision. Tous les autres ou presque était sortis et les autres dans leur chambre surement à baiser. On lui avait bien proposé de sortir, d’aller au Lord Hobo ou dans une soirée plus privée dans une maison mais la veille il avait fort, et demain c’était le weekend, il fallait respecter le repos du guerrier. Il aurait pu baiser aussi, appeler un de ses plan cul et se vider un peu mais pour ça aussi il avait fort la veille, il en était encore un peu endolori tellement il avait donné de plaisir à sa partenaire. Nan mais il était bien là, tout seul devant son match, tranquille avec ses copines les canettes de bières. Il avait déjà fini un pack de six que ce n’était même pas la mi-temps. Il alla donc dans la cuisine pour prendre un autre pack. Au passage il se fit un petit sandwich, pain, poulet, œuf, tomates, salades et maïs. Il prit tout ça et retourna dans le salon. Il s’ouvrit une bière, bu une gorgée et commença son délicieux sandwich. Quelques minutes plus tard il avait fini son petit diner et il était déjà à sa deuxième bière de son deuxième pack. Ce n’est pas parce qu’il ne sort pas qu’il n’allait pas boire, il ne fallait pas abuser quand même !! Alors qu’il ne restait que quinze minutes dans le match, il entendit une porte claquer à l’étage. Quelques secondes la personne qui était sorti de la chambre dévalait l’escalier et pas avec la plus grande discrétion. Il s’agissait d’Orphée, une Mather, elle et Will était de la même année et de la même promo. Il se connaissait assez bien sans non plus être les meilleurs potes du monde. Il l’avait vu monter quelques heures auparavant avec sa cousine Candice, elles devaient s’amuser toutes les deux là-haut. D’ailleurs il allait reporter son attention sur la télévision quand il remarqua qu’elle se baladait les mains sur les seins et sans rien dessus. Finalement il avait peut-être bien fait de ne pas sortir. Elle ne marchait pas très droit non plus, elle devait bien s’amuser avec Candice dans sa chambre. A peine arriver en bas de l’escalier, elle se dirigea vers le salon, qu’est-ce qu’elle venait faire là ? Elle continua de courir, passa devant la télévision, passa entre le canapé ou était assis Will et la table basse et … baaaaaam !! En fait Will avait ses jambes étendues avec ses pieds sur la table, et Orphée avait essayé de sauter par-dessus. Malheureusement l’alcool ne l’avait pas aidé sur ce coup-là, elle s’était prise dans Will était tombé sur le tapis. Will se leva rapidement, posa sa cannette sur la table et aida Orphée à se relever en lui demandant …

Hey ça va ? Rien de cassé ?

En voyant qu’elle allait bien, il ne put s’empêcher d’éclater de rire tout en jetant un coup d’œil à ses jolis petits seins si mignons …












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La porte claque derrière moi. Et j'arrête pas de rire. Je crois que j'ai trop bu. Ou alors c'est la stupidité de ce que je suis entrain de faire qui me fait rire. Qu'importe. Je ris. Et je marche pas très droit non plus. Je parcours le couloir jusqu'aux escaliers, de mes petites foulées. Toujours mes seins entre mes mains. Sait-on jamais. Je prends les escaliers, que j'ai du mal à descendre. Je fais attention, n'ayant pas tellement envie de les descendre sur les fesses. Une fois en bas, je m'étonne. Le silence est quasi présent. Comme si toute forme humaine avait quitté l'endroit. Sûrement qu'il y avait une fête organisée ailleurs. Et que tout Mather s'y était rendue ou que les autres traînaient dans leur chambre ou s'envoyaient en l'air. Tant mieux dans un sens. Peu de gens me verront. Et c'était très bien ainsi.

Je quitte le bas des escaliers pour le salon. Toujours en courant. Et il y a quelqu'un. Que je connais, d'ailleurs. William, un Mather de la même année. Que je connais plus ou moins. Je tente de l'ignorer et de continuer mon petit manège. Je fais le tour du salon, toujours les seins à l'air. Je passe devant la télé, puis allez.. pourquoi pas devant lui. Je m'élance entre le canapé où il est assis et la table basse où des cadavres de canettes de bières sont exposées. Je tente de sauter par dessus ses jambes. Et j'ai du mal calculer mon coup, parce que je me retrouve par terre.

    - Eh.. merde !

Foutu alcool et foutues jambes. J'ai du lâcher mes seins pour me réceptionner. J'ai un peu mal aux fesses maintenant. Et surtout, je me sens trop conne. Une main se tends vers moi, je devine qu'elle lui appartient. Je l'attrape, laissant mes seins à sa vue.

    - Hey ça va ? Rien de cassé ?

Il éclate de rire et ne se gêne pas pour regarder mes seins. Qu'il en profite, ça sera bien la première et la dernière fois qu'il les verra. Je masse mes fesses de mes mains libres et hoche la tête.

    - Mis à part le fait que je me sens ridicule, je vais bien !

J'ai l'impression qu'avec tout l'alcool que j'ai bu, cette phrase n'a aucun sens. Je déteste ça, ne plus être maitresse de mon corps et de mes actes. Je sens déjà la gueule de bois du lendemain et les bouffées de culpabilité. Je reviens à la réalité, comprenant que j'ai encore mes seins sous ses yeux. Je les cache une nouvelle fois dans mes mains et j'essaye tant bien que mal de prononcer un :

    - Je crois que je ferai mieux d'y aller.

Sans lui laisser le temps de répondre, je quitte le salon. Et me dirige vers la cuisine pour enfin revenir dans les escaliers. Que je grimpe comme si ma vie en dépendait. Je parcours le couloir aussi vite que je peux et revient vers la porte de ma chambre. Que j'ouvre en vitesse. Je rentre et referme bien vite la porte derrière moi. Candice est toujours là. J'éclate de rire.

    - Tu devinera jamais ce qu'il vient de m'arriver.. !

J'attrape mon soutif que je remet puis mon t-shirt. Et je me sens tout de suite mieux, habillée. J'ai besoin de boire, vite. J'attrape la dernière bouteille qu'il me reste et en boit une longue gorgée.

    - Première et dernière fois que je fais ça !
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J'avais pris le pari qu'Orphée n'oserait pas aller se balader seins nus là maintenant de suite. Elle commença à prendre un fou rire, je ne pouvais pas m'empêcher de m'y mettre aussi en la voyant rire de si bon coeur, puis elle me dit qu'elle ne savait pas, elle resta quelques instants pensive, je ne disais rien, acceptant son silence avant qu'elle reprenne la parole subitement

- On a qu'une vie, merde ! J'en fut un peu choquée qu'elle relève le défi, mais elle se levait déjà, attrapant une bouteille au passage qu'elle vida d'une traite. Je lui fis des grands yeux ronds, noooon elle allait vraiment le faire ?! Elle retira alors son haut qui fut rapidement suivi par son soutien gorge, je profitais au passage de la jolie vue qu'elle m'offrait même si elle les cachaient de ses mains, ne pouvant m'empêcher de passer ma langue sur mes lèvres, comme avec envie. Orphée elle continuait à mourir de rire, c'était apparemment hilarant

- Et maintenant.. petite excursion dans la confrérie.

Sous ses bonnes paroles voilà que mon amie se dirige vers la porte de sa chambre et l'instant d'après elle la franchi alors toujours en pleins fous-rire et qu'elle se met à courir. Je finis par me lever à mon tour et par la suivre jusque sur le seuil de la porte, c'est qu'elle était vraiment en train de le faire! Très vite mon amie disparait dans les méandres de sa maison, je choisi de ne pas la suivre, mis à part elle, Lexy et William on est pas très amis là-dedans! Je retournais donc dans sa chambre et m'assied patiemment en attendant que mon amie revienne. Il ne fallu que quelques courtes minutes avant que celle-ci ne refasse son apparition comme une furie en fermant rapidement la porte, essoufflée mais surtout toujours aussi morte de rire.

- Tu devinera jamais ce qu'il vient de m'arriver.. ! me dit-elle alors qu'elle reprend son soutien-gorge et son t-shirt pour se rhabiller bien rapidement, tout de suite elle reprit une bouteille pour reboire un bon coup histoire de se calmer

- Première et dernière fois que je fais ça !

« Que t'est-il donc arrivé? » dis-je avec le grand sourire aux lèvres intriguée
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J'ai mal au ventre, tellement j'ai ris. Jamais je n'aurai cru faire ça un jour. Me promener seins nus dans tout Mather. J'avais eu de la chance que la maison soit presque vide. j'avais bien dis presque. Il avait fallu que je tombe, littéralement, sur William. J'en avais encore mal aux fesses, d'ailleurs. Mis à part cette petite aparté. Ça avait été drôle. Même si je savais déjà par avance que le lendemain matin, des bouffées de culpabilité se montreront. Tant pis, on a qu'une vie, quoi !

J'étais revenu dans la chambre, m'étais rhabillée. Et je me sentais beaucoup plus à l'aise ainsi. Pas quoi je sois plus pudique que la norme mais bon, quand même. La bouteille en main, je revenais m'asseoir près d'Angel. Qui esquissait un large sourire. Je me mis à sourire aussi, sans trop savoir pourquoi. Ouais, je suis bleue.

    - Que t'est-il donc arrivé ?

Je bois une gorgée avant d'entreprendre de lui répondre.

    - Bah.. j'suis allée courir partout ! Ça avait l'air calme et tout. Tant mieux dans un sens. Sauf qu'une fois au salon, il y avait quelqu'un. William. Et..

J'éclate de rire, encore. Me rappelant ce qu'il s'est passé.

    - Il était en train de regarder la télé. Au début, j'l'ai ignoré. Puis j'sais pas trop pourquoi. J'ai décidé de passer devant lui, entre le canapé et la table basse. Et là..

Nouveau fou rire. Bordel, arrêtez moi, c'est pas possible.

    - Je me suis prise ses jambes et me suis rétamée comme une merde ! Un grand moment de solitude quoi.. Il m'a relevé et je me suis enfuie, aha.

Je bois une nouvelle gorgé et lui passe la bouteille. Tentant de me calmer.
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