Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitystyx&sandro • everything will be alright.
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


styx&sandro • everything will be alright.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
styx&sandro • everything will be alright. Tumblr_lk23gvrzeE1qgvcezo1_500
happiness doesn't exist. love is impossible. nothing is serious. life is too short for sorrow.
Fenêtre, fermée. Parce qu'il n'y avait qu'une pas douée comme Styx pour se jeter d'une fenêtre quand elle était défoncée. Quoi que. Plus jeune, Sandro avait déjà tenté de se couper la jambe gauche avec une scie, convaincu qu'une famille de scarabée lui grignotait la chair de son mollet. Heureusement pour lui, une amie l'en avait empêché avant qu'il ne puisse toucher l'os. Il en gardait des séquelles morales, et physiques : depuis cet évènement, l’italien avait une peur bleue des scarabées, et des scies. Rien que leur vision lui serrait le coeur, et nouait son estomac. Il avait également une cicatrice, en haut du genou. La plaie avait mit à l'époque plusieurs longues semaines à se refermer. A chaque fois qu'une personne lui demandait l'origine de cette cicatrice, Sandro répondait que c'était une simple chute de skate. Rien de plus. Peu de personnes étaient au courant. En fait, il y'avait seulement sa famille, et ses "amis" qui étaient à cette fameuse soirée à Milan. Bref, cette cicatrice était tout simplement un atroce souvenir de lorsqu'il était méchamment défoncé à une substance inconnue. Mais passons. Williams devait arriver dans quelques minutes. Ils étaient censé passer la soirée ensemble, sur son nouveau lit bio, à fumer. D'ailleurs, il avait été étonné de la facilité à convaincre Aéris de prendre de la beuh. Ce n'était pas dans son habitude de capituler aussi vite. En fait, question joint, elle ne capitulait jamais. A part à Paris. D'après ce qu'elle racontait. M'enfin. Les dires d'une femme ne sont pas vraiment fiable, c'est bien connu.

Sa casquette était éternellement poser à l'envers sur sa tête. Il portait son vieux jogging abercrombie blanc, et rien comme t-shirt. Dans son appartement, Sandro trainait toujours dans cette "tenue". En fait, être torse nu quand il était chez lui était vital pour le bel italien. Sandro était en train de regarder ses dernières photos prises -la photographie étant une de ses nombreuses passions- quand la porte de sa chambre s'ouvrit d'un seul coup. Aéris Styx Williams apparut alors. Qui d'autre ? Elle avait cet air fatigué qui lui était habituel lorsqu'elle enchaînait plusieurs heures de cours, ainsi que ses heures de service au starbuck. D'ailleurs, à sa place, il ne savait pas comment il aurait fait pour tenir. C'était crevant. Dans son cas, Di Manccini travaillait à côté de ses études, comme la plupart des étudiants. Mais il était payé pour prendre des photos de mannequins, pour des pubs, pour donner des cours de guitare ou de piano, pour faire le mannequin. En fait, il était payé pour faire des choses qu'il aimait. Ce qui était totalement différent par rapport à ce que faisait Williams. Et il avait une sorte d'admiration pour son courage. Parce que comme la plupart des bonasses de son genre, Aéris aurait pu se contenter de faire du mannequinat pour payer son loyer. Mais non. Elle, elle travaillait pour de vrai. Styx lâcha son sac à main qui tomba sur le sol, et s'étala ensuite sur son nouveau lit 100% bio. On aurait dit une baleine échoué au bord d'une plage. « Hé fait gaffe, je te rappelle que ce lit coûte beaucoup, beaucoup, beaucouuuup plus cher que toi et tes belles fesses ! » dit-il avec son éternel splendide sourire aux lèvres, en reposant son précieux appareil photo sur sa commode.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Trois heures de sommeil la nuit dernière, quatre heures de cours magistraux, deux heures de TD et cinq heures de boulot chez Starbucks. Inutile de préciser sur la brune était littéralement crevée et qu'elle avait des cernes particulièrement marquées. C'est à vingt heures trente qu'elle ouvrit la porte de la maison appartenant à Fygaro et Stone, cette même maison où Sandro squattait sans même payer une partie du loyer. Elle s'était avancée dans le salon et s'était retrouvée devant une scène typique et particulièrement exaspérante pour elle : Fygaro et Stone jouant à FIFA. FIFA et Styx, une belle histoire pleine de haine. La brune n'avait jamais autant détesté un jeu vidéo, jamais. Elle s’avança tout de même et tenta de capter leur attention, chose qui n'était évidemment pas des plus simples. C'est Fygaro qui leva en premier les yeux vers Styx et qui mit le jeu en pause. Whou ! Jour de fête ! Styx s'avança et se contenta de lui faire la bise avant de leur demander : « Dites, vous comptez pas sortir ce soir ? Parce que j'suis garée derrière Fy donc vous pourrez pas sortir. » Ils se regardèrent et elle en conclut qu'ils ne savaient pas ce qu'ils allaient faire de leur soirée, c'est pour cette raison qu'elle fouilla dans son sac afin de leur donner ses clefs. « Si vous avez besoin, vous la bougez mais vous vous barrez pas avec ! » dit-elle après avoir lancé ses clefs en direction de Stone et Fygaro. Elle avait tourné les talons et avait monté les escaliers de la maison pour rejoindre la chambre de Sandro où elle allait élire domicile pour la nuit.

La brune ne frappa même pas, tout en étant consciente de ce qu'elle risquait en ouvrant cette porte. Elle espérait simplement que Sandro n'avait pas oublié qu'elle devait passer la soirée avec lui et qu'il n'était pas en bonne compagnie ou entrain de faire des trucs pas très nets que Styx n'osait même pas imaginer. Elle eu la bonne surprise de ne pas surprendre Sandro dans des ébats passionnés avec sa main ou avec une blondasse siliconée. La brune s'avança dans la chambre et ne prit même pas la peine de saluer Sandro avant de s'étaler sur le matelas après avoir posé son sac négligemment sur le sol. « Hé fait gaffe, je te rappelle que ce lit coûte beaucoup, beaucoup, beaucouuuup plus cher que toi et tes belles fesses ! » La brune sourit, amusée et se retourna pour s'allonger sur le dos et pouvoir voir Sandro. D'une voix douce et au timbre cassé, la brune n'hésita pas à répondre. « J't'ai déjà donné un prix ? C'est bizarre parce qu'en général, j'le donne qu'aux riches entrepreneurs qui m'accostent dans la rue.... » Elle ferma les yeux une seconde tout en savourant le bien-être dans lequel elle était plongée. Bordel, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas ressentit l'absence de son mal de dos chronique. Elle s'étala de tout son long sur le lit et décida de ne plus bouger. « Ptain, j'veux le même matelas, c'est décidé... » laissa-t-elle échapper. Elle finit tout de même par ouvrir les yeux et s'asseoir sur le matelas. « T'as des filtres et du papier j'espère, parce que j'ai rien de tout ça chez moi. » C'était peut-être temps de s'en inquiéter, en effet... La brune ne fumait pas souvent de tabac, elle achetait donc le minimum syndical de clopes et elle ne roulait jamais lorsqu'elle fumait chez elle. Elle ne savait même plus comment elle avait obtenu de la beuh, elle n'avait jamais fumé de shit depuis qu'elle était à Cambridge. Et ce, pour une simple et bonne raison, elle avait changé de vie en arrivant ici et ça passait aussi par la consommation de ce genre de choses. « Passe-moi mon sac s'il te plait. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
styx&sandro • everything will be alright. Tumblr_m0fhjjIOO31rogf0bo1_500

« J't'ai déjà donné un prix ? C'est bizarre parce qu'en général, j'le donne qu'aux riches entrepreneurs qui m'accostent dans la rue.... » Sandro rit. Sandro riait tout le temps, en fait. Et pour rien, surtout. Un de ses traits de caractère, on va dire. Il s'amusait de rien. Ca pouvait aussi bien être une qualité qu'un défaut. « Non, c'est vrai.. mais j'ai une approximation du prix, environ.. Un cent ? Deux, grand maxi ? Allez, pas au delà de trois. J'ai raison ou j'ai pas tord ?» Un sourire amusé se dessina sur les lèvres du bel italien. Il aimait bien faire le malin. Même si ça ne marchait pas tout le temps. « Ptain, j'veux le même matelas, c'est décidé... » Di Mancini secoua activement la tête. Hors de question. Ce matelas était rien que pour lui. Et pour toute les femmes qui passeraient une nuit de rêve là dessus, bien sûr. Mais Styx n'avait pas le droit d'avoir le même. « Non! Je refuse catégoriquement, styx ! T'as pas le droit ! Non non non. C'est interdit aux femmes d'en avoir un comme ça. Il est rien que pour moi et ma chambre.. De toute façon t'as pas les moyens d'en prendre..» C'était la meilleure excuse qu'il avait trouvé. Et puis, comme d'habitude, Sandro avait eu une réaction de gamin. Il ne le faisait pas exprès, c'était plus fort que lui. M'enfin. De toute manière, lui aussi n'avait pas les moyens de se payer un lit bio. C'était Trunks qui le lui avait offert. Un cadeau pour s'excuser de quelque chose dont il ne se souvenait déjà plus, à vrai dire. « T'as des filtres et du papier j'espère, parce que j'ai rien de tout ça chez moi. » La remarque la plus bête du monde. Sandro ne pas avoir de filtres et de papiers ? C'était comme ... Comme Jack Sparrow sans ses dreads. Tout simplement impossible. « Tu as si peu d'estime pour moi, Williams ?» Sandro secoua la tête, et lui passa son sac comme elle lui avait demandé. Puis le jeune homme commença à scruter sa chambre, pour voir à quel endroit il avait "ranger" ses filtres, et le papier. Bon, évidemment, "ranger" était un bien grand mot. Il était tellement bordélique que c'était à peine si on pouvait voir le parquet de sa chambre. Ce fut finalement dans sa commode, sous plusieurs t-shirt ,sales ou non, qu'il trouva son bonheur. Et en un rien de temps, il se trouva en tailleur sur le lit le plus confortable du monde entier. « Bon, commençons par le commencement.» En clair, qu'elle sorte la beuh.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)