liana,phila,sandro ๑ totally naked.

Bizutage bonjour. C'était un samedi après-midi ensoleillé à Harvard. Et pas n'importe quelle journée. Aujourd'hui, Sandro devrait accomplir son premier défi. Et sûrement dernier défi, s'il réussissait haut la main. Tout ça pour rentrer dans chez les winthrop. Car il fallait avouer que cette maison lui convenait parfaitement. Bref. Habillé d'un jean et d'un simple t-shirt, Sandro se dirigea d'un pas tranquille vers la maison des Cabot. Il n'avait pas peur, et n'était pas stressé. Aucune raison qu'il le soit. Son bizutage était simple, pour lui qui était tout sauf pudique. En plus, la réputation des Cabot était plutôt positive : que des jolies femmes. Et ça, ça lui plaisait. Peut être même qu'il trouverait quelqu'un avec qui il pourrait passer la nuit. M'enfin, ne pensons pas à ça pour le moment. Qui sait ce qu'il pouvait arriver. Après avoir franchi la porte du batîment, le bel italien regarda autour de lui. Quelques filles papotaient entre elles dans l'entrée. Sandro commença à enlever ses chaussettes et chaussures, qu'il mit à côté de la porte. Personne ne faisait attention à lui. Pas encore. S'en suivit son t-shirt, puis le jean. Les étudiantes dans le hall s'étaient alors retourné et regardaient curieusement le jeune homme en caleçon. Pour finir, il enleva sans gêne le reste de vêtement qui lui restait, pour le rouler et le mettre à côté de ses chaussures. Cette fois si, les jeunes demoiselles restèrent bouche bée. D'étonnement, et d'admiration, sûrement. Sandro n'avait pas à avoir honte de son corps qu'il entretenait régulièrement. On pouvait même avoué qu'il était franchement musclé un gabarie comme lui. Il fit un clin d'oeil aux filles présentent, et commença alors à courir partout.

Je pose mes affaires sur mon lit en frac, pouif, quelle matinée. Je posais mes affaire de danse. Je suis toujours en collant, petite jupe pour par dessus mes ballerines aux pieds, un chignons tiré dans les cheveux, un débardeur moulant. Je soupire et je m'étale sur mon lit, je meurs de faim, j'ai rien mangé ce midi, je sors de toute une matinée de cours de danse classique intensive. Mais je souffre par plaisir franchement. La danse est mon plaisir, ma passion alors je n'ai pas à m'en faire pour l'état de mes pieds régulièrement pleins d'ampoules. enfin bref, je me redresse pour retirer mes chaussons de danse. Mes pieds vont un peu près bien, et dans le pire des cas on s'en fiche. Et puis je détache mes cheveux et je les brosses. Je prépare mes affaires pour aller prendre une douche, je ne suis pas non plus en sueur mais il douche n'est pas trop négociable.

Je sors pour aller dans la salle de bain et là, je tombe nez à nez avec un mec à poil dans le couloir. Ok c'est quoi cette connerie ? J'ouvre la bouche sans oser dire un mot, un peu interloquer. Je sors de la chambre en la fermant.. Je n'en reviens pas, je descend rapidement les escalier et je vois Liana. Ok je fonce vers elle, pour savoir si elle est au courant.

- Tu es au courant qui y'a un mec à poil dans la maison là ? Non parce que ça fait un peu bizarre.. Et je ne comprend pas trop.. c'est pas très catholique..

Il courait partout, en criant et riant comme un fou. C'était drôle, très drôle. Certaines filles rigolaient, d'autres étaient choquées , et puis certaines en profitaient pour se rincer l'oeil. Il s'en fichait. Sandro s'amusait, c'était le plus important. Nan, en fait le plus important c'était le fait qu'il ai réussi son défi. Après avoir fait un tour de bâtiment, Sandro voulu en entreprendre un second. Mais sur son chemin, il vit Phila et ses pauvres yeux innocents avec une blonde. Belle blonde, au passage. Ah, la Phila. La petite Phila. La prude Phila. Sandro s'amusait à l'embêter de temps en temps. Rien de bien méchant. Mais elle était si différente des autres. C'était bizarre. Le bel italien arrêta alors de courir et marcha tranquillement vers les deux demoiselles, un sourire radieux aux lèvres. « Pourquoi tu fais cette tête, ma petite chérie ? » demanda-t-il à l'adresse de Phila avec un sourire amusé. Il ne se gêna pas pour rester à côté d'elles, posant son regard tour à tour tantôt sur Phila, tantôt sur la belle blonde. Et, bien sûr, il était toujours totalement nu, attendant la réponse d'une des belles cabots. Il savait bien que ce qu'il faisait là devait sûrement choquer Phila. Elle n'avait peut être pas l'habitude de ce genre de choses. Et bien, il y'a bien un début à tout, non ?