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Beautiful siren
Les vacances c'est la vie ! Pourquoi on ne pouvait pas être tout le temps en vacances ? Non je sais je pourrais si je voulais, mais j'étais à Harvard, une des universités les plus prestigieuses du monde pour ne pas dire LA plus prestigieuse j'allais pas me plaindre de ne pas avoir assez de vacances. En plus mes études me passionnaient alors... Mais bon je devais avouer que j'étais bien moi au summer camp et que j'aurais bien aimé que ça dure un peu plus longtemps. Tous les après-midi j'allais me baigner, parce qu'il faisait quand même une chaleur étouffante et sans se baigner on transpire comme des porcs et après ça pue dans tout l'hôtel et c'est dégueulasse. Alors faut bien se rafraîchir un peu. En plus moi j'adore la mer, j'viens de San Francisco faut pas l'oublier, alors la mer j'ai grandis dedans, j'faisais même du surf, un peu, j'suis pas un expert mais je m'éclatais bien à en faire de temps en temps, même si je préfère le tir à l'arc. Alors cet aprem' j'avais décidé que ce serait baignade sur la plage du Park Zachary Taylor. C'était une grande plage, avec un parc juste à côté, un endroit vraiment sympa que j'avais adoré à Key West. On pourrait profiter des arbres et de leur ombre ainsi que de la mer en même temps c'était juste l'endroit parfait. J'aimerais bien avoir une maison sur cette plage, ça serait le rêve vraiment. J'avais un t-shirt et un short de bain, ainsi qu'une serviette et des lunettes de soleil histoire de pas me casser les yeux avec le reflet des rayons dans l'eau. J'arrivais à la plage et posais mes affaires puis je me levais pour aller me baigner quand je bouscula quelqu'un de plein fouet, trop pressé d'aller dans l'eau avec cette chaleur. J'avais renversé toutes les affaires de la fille. Je m'empressais de ramasser tout ça et lui tendis:
« Je suis vraiment désolé, vous n'avez rien ça va ? »
Lui demandais-je tandis qu'elle relevait la tête. Alors je vis LA FILLE. Celle qui était juste la plus belle fille que j'avais vu dans ma vie. Je l'avais déjà vu par le passé et je la trouvais parfaite. Je n'avais jamais osé lui parler et là je me retrouvais con devant elle. Je ne disais plus rien. Je la regardais simplement, sous le choc.
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