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(flashback) Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" ! ft Manu ♥

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Manu & "Charlie" Հ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé"
 Key West, le Summer Camp, la belle vie, le monde qui bouge toute la journée sans jamais s'arrêter, j'aime l'hyperactivité, j'aime tellement faire la folle, une mather qui se respecte comme on dit. Marchant dans les rues pour ne pas perdre mon temps enfermée dans ma chambre d'hôtel, oui je voulais profiter de mes derniers jours de vacances avant de retourner à Harvard et déprimer encore et encore. Les lunettes de soleil sur le nez, je ne faisais pas réellement attention aux gens qui m'entouraient mais soudainement je sentis mon coeur se serrer, mourir. Devant moi Manu, oui j'aurais pu le reconnaître les yeux fermés - et oui trop forte je sais -. Je pouvais pas croire qu'il était ici, devant moi, je me détestais de réagir de cette façon, tout autant que je le détestais de ne pas avoir donné de nouvelles, bien que je n'avais pas été aimable la dernière fois que l'on s'était vu.

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∞ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" !
J'avais commencer à pacté mes bagages avant de retourner à Harvard avec mon frère. Nataniel s'était trouvé une copine depuis le début du summer camp et s'était plutôt un "summer love" comme on appelle et ceci me fais pensé à la chanson de One Direction. Disons que cette été, cet événement à passé un peu trop vite à mon goût et ce que j'ai aimé le plus, s'était les défis sportifs. Il n'y a pas eu personne qui n'a battu dans le défis du foot parce que nous sommes né pour jouer au foot. On faisait fureur avec notre équipement du Real Madrid. Que voulez-vous... quand notre père et notre oncle sont des joueurs de renommé, il faut bien être de notre famille. Je pris mes lunettes de soleil et je mis mon iPhone dans mes poches. Je barrait la porte de notre chambre et mon frère m'avait donner une réponse positive en me disant qu'il avait une clé pour débarrer la porte de notre chambre. Le soleil était au rendez-vous. Je m'étais rendu à un kiosque et je pris une slush de couleur bleu. J'adore la slush maintenant et c'est différent de chez moi. C'est pas mal sucré, mais j'adore le goût. Je continuais à marcher et j'arrêtais d'un coup sec. Mon coeur voulait sortir de ma poitrine et comme j'ai un chandail moulant, mon torse était même près à sortir de mon corps au complet.

« Charline... » Dis-je en la regardent au loin et mon visage changeais derrière mes lunettes.

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Manu & "Charlie" Հ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé"
Le voyant devant moi je me remémorais alors la dernière fois que l'on s'était vu, c'était la fois où il était parti vivre sa vie, sa passion, autant dire le football j'avais aimé cela pendant longtemps jusqu'au moment où j'avais compris que c'était la chose la plus importante pour lui, je l'avais laissé partir, au moins il serait heureux et moi je referais ma vie. C'était d'ailleurs ce que j'avais fait, bien qu'elle soit d'être parfaite avec mon caractère, j'aimais ma vie. Entendant mon prénom, je me tâtais à aller le voir ou non, il revenait comme une fleur ... cela était tellement plus simple qu'il croit que tout cela n'était que moqueries, que mensonges, après tout j'avais une réputation de "mauvaise" fille alors autant que tout le monde le croit. Finalement je ne pouvais faire semblant de ne pas l'avoir vu, esquissant un sourire timide. «Manu ... tu es de retour au pays ?! Ou bien tu fais juste un petit coucou aux fans que tu peux avoir .. » dis je avec un ton limite de reproches, oui j'étais pas tendre et c'était comme cela. J'étais folle de le revoir entre heureuse et paniquée, rancunière et enjouée.

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∞ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" !
Je ne m’attendais pas à la revoir ici à Boston. Lorsque nous nous sommes rencontrés, s’était en Espagne et j’avais le sport par-dessus la tête. J’avais des cheveux longs aussi. Je vais toujours me souvenir de cette étape de ma vie que je voulais avoir des cheveux long. S’était la mode dans mon temps et surtout que j’y repense de me faire pousser les cheveux. J’ai aussi l’idée de me faire teindre les cheveux blond presque blancs simplement pour apporter un peu de changement. Je la regardais attentivement et elle se rapprochait un peu pour pouvoir commencer une conversation avec un niveau adultère, mais j’ignore comment le tout va se passé si on décide de reprendre le temps que nous avions perdu. Je ne peux pas vraiment dire si tout va être dans le calme. Sa question était un peu comme un couteau qu’on enfonçait dans un plait. Ceci m’a chatouillé un peu parce que je n’ai jamais eu l’occasion de jouer au foot. Ce n’était pas un choix que j’ai fait parce que je voulais quelque chose de différent comme carrière. Même si c’est une de mes passions, continuer mes études était encore plus importante pour moi.

« C’est dure de se trouver des fans quand tu n’as jamais joué au foot. Je suis à Harvard depuis 2 ans pour continuer mes études. Il n’y a pas juste le foot comme carrière… » Dis-je sérieusement pour me donner la chance de lui dire la vérité.

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Manu & "Charlie" Հ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé"
L'entendant répondre à mon interrogation j'en restais de marbre et pour cause il venait de m'apprendre que tous nos sacrifices du passé avaient finalement servi à rien, tant de peine pour au final rien. Je le regardais, avant d'esquisser un sourire de compassion, oui je ne voulais pas non plus paraître trop froide, sinon il partirait à l'autre bout du monde. «En tout cas tu avais une grande fan par le passé ... enfin jusqu'à ce que je déteste le football pour toujours ! J'aurais préféré que tout se passe bien pour toi à Madrid. » Je venais de prendre une grande baffe dans ma gueule, il avait "préféré" le foot à moi et finalement il préférait ses études au foot ... ça fait mal de l'apprendre, de le comprendre et je n'étais surement pas encore prête à l'admettre. Baissant alors le regard, je regardais par terre, avant de sentir quelqu'un me foncer dedans, au sol je reprenais mon souffle coupé par cette révélation.
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∞ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" !
D’accord, j’avais peut-être été un peu fort, mais il fallait que je lui dise la vérité. Je le sais que rien n’avait été à la perfection lorsqu’on avait commencé à faire des sacrifices tous les deux. Par contre, ce n’était pas ça que je voulais. Depuis le décès de mon frère Sergio, tout avait changé dans ma vie et le tout avait encore plus changé avec le décès de mon meilleur ami.

« Oui, j’ai été un con. Oui, j’avais le foot qui m’a monté à la tête, mais je ne voulais pas devenir comme mon père. Et depuis le décès de mon frère Sergio, tout est différent… » Dis-je en fourrant une main dans mes poches de jeans.

Elle s’emblait un peu mal alaise et je ne voulais pas lui imposé une-t-elle sensation. Je soupirais en regardant ailleurs et un connard lui fonçait dedans. La rage met monter à la tête et sortie des jurons en espagnole. Il m’avait compris bien forcément, car sinon, il ne serait pas retourné. Je me suis penché vers Charline pour l’aidé à se relever. Je ne suis pas un sans-cœur quand même.

« Pardon Charline. Viens allons parler dans un café avant que d’autre petit con décide de faire semblant qu’ils sont aveugle… »


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Manu & "Charlie" Հ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé"
 « Tu as juste du faire des choix et puis après vu que nous deux ce n'était qu'une amourette je dois pas t'en vouloir d'avoir choisi le football, après tout le foot est plus ta vie que moi je fais partie de la tienne. » dis je d'une traite sans même me rendre compte de la débilité que je venais de dire, car non Manu et moi n'avait pas été qu'une amourette, ce n'était pas pour rien que j'avais promis de ne me marier avec personne si ce n'était pas lui, cette promesse je l'avais en tête jour après jour comme si elle était gravée dans ma peau. Le voyant m'aider à me relever et me proposer d'aller boire un verre, je baissais la tête pas sûre que tout cela soit la meilleure solution pour lui ni même pour moi. « Je suis pas sûre que ce soit une bonne idée, qu'on se retrouve toi et moi ... et je ne sais même pas comment tu peux encore vouloir me parler après ce que je t'ai dis la dernière fois qu'on s'est vu, avant le grand changement ! »
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∞ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" !
J’essayais de ne pas monter les poteaux de lumière et de me prendre pour un gros gorille et de commencer à tout cassé. Une chance qu’elle n’ait pas dans ma tête parce qu’elle le connaissait Sergio en plus. Ceci m’a beaucoup pris sur les nerfs. Je pense qu’elle ne sait pas c’est quoi les sentiments de perdre un membre de sa famille. Je pris une autre grande respiration et soupirait longuement et même si je m’étais donner la peine de l’aidé à se relever, je commençais à regretter mon geste. Je pris une gorger de ma slush pour me rafraichir l’esprit.

« Désolé si je te dérange juste à être ici. La dernière fois qu’on s’est vu, tu ma envoyer promener, donc c’est normal que je suis partie aussi. » Dis-je en continuant à marcher lentement.

J’enlevais mes lunettes de soleil et je passais une main dans mon visage. Je ne suis pas parfait comme homme et même si je serais parfais, je pourrai moi-même me détester. Je me sentirais trop superficiel comme personne, mais toute personne à ses défauts et même Charline a des défauts. Je la regardais et je remis mes lunettes de soleil.

« Est-ce qu’on peut être des adultes pour une fois et de décortiqué ce qui nous a fait autant mal ? Et si je peux te donner un compliment… tu… tu belle Charline et je suis honnête. »



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Manu & "Charlie" Հ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé"
 J'ai changé depuis qu'il était partie, que j'étais à Harvard et que finalement j'avais décidé de rejoindre les Mather, ma vie était la fête, l'alcool, la drogue et tout ce qui pouvait aller avec. J'étais à présent contre toute réelle relation amoureuse, du moins celle qui pouvait me détruire, à la place je faisais souffrir tous les hommes qui s'approchaient un peu de moi, comme Noa. « J'avoue que te voir tout sourire devant moi ça me saoule un peu ! Et tu t'es jamais demandé pourquoi je t'avais envoyé promené ? Non mais franchement Manu ... » Je le regardais ôter ses lunettes de soleil, tout en essayant de comprendre pourquoi je restais là comme une conne à discuter avec lui alors que je n'avais qu'une envie lui mettre une baffe ou bien l'embrasser, j'étais totalement perdue ... après tut il m'avait tellement manqué et avait tellement comptait pour moi. « Et bien vas y expose moi ce qui t'a fait du mal ... ce que tu me reproches ... merde j'ai tout abandonné pour que tu puisses réaliser tes rêves Manu ! » Je ne savais même pas si je devais prendre ce compliment à la lettre ou bien si il le disait à toutes les jeunes femmes qu'il rencontrait, après tout je ne le connaissais plus, horrible était la sensation d'être à présent comme des inconnus.
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∞ Je te l'ai dit : "Je t'ai jamais aimé" !
Je ne suis pas sortie dehors pour me faire arracher les cheveux de sur ma tête et surtout pour me faire humilier devant tout le monde parce que madame est frustrer et ce pour quelque chose qui est arriver il y a longtemps. Les gens change et même que j'ignorait que j'étais pour tombé sur elle aujourd'hui. Je veux juste sortir de cette situation que je n'aime pas du tout et surtout que si mon frère serais ici, lui, il l'aurai envoyer promener. Je suis trop gentil et trop respectueux envers les femmes pour les envoyer promener, mais elles sont doué pour faire le contraire avec nous.

« Regarde... on a pris des chemains différent. J'ai encore le décès de mon frère sur mes épaules parce que je les vues rendre son dernier souffle de mes propres yeux et c'est à cause de ça que j'ai pas pu devenir un joueur de foot. Même si je marchais sur mon orgueil, je voulais te revoir... je voulais te dire tout ce que je pouvais pour que tu puisse comprendre, mais j'avais peur d'accord... j'avais peur de tu me fasse la gueule et que tu m'envoie promener comme tu as fais, donc c'est pour ça que je suis partie... comprends ça ok... essai de voir comment tu te sentirais si tu perdrais la personne qui ta toujours protégé au primaire contre les autres qui voulait de faire descendre dans un trou tellement profond pour ne plus voir les rayons du soleil... la personne qui ta donner la chance de voir ses rêves se réalisé en te donnant un simple conseil et encouragement... même si Nataniel est avec moi, Sergio était la personne qui m'a donner la chance d'être un homme aujourd'hui. Je suis partie à cause de lui et tous mes chances d'être un joueur de foot ont tombé à l'eau. Si peux je continuer de profité de ma journée tranquille, j'aimerais ça... parce que je n'ai plus rien a te dire parce que tu as une tête dure d'accord ? Tu contente-là que je me vide le coeur ? » Dis-je en sentant tous les membres de mon corps vibré comme des cordes de guitare prêt à être désacordé.



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