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Tel est pris qui croyait prendre… Cette expression me claque au visage d’une façon plutôt brillante. Pour être franc avec vous, j’pensais pas me retrouver dans cette situation, être entouré d’autant d’hurluberlu en si peu de seconde, d’autant de tête d’œuf qui ne désire qu’une chose, me voler. Putain, j’me retrouve dans une de ces merdes, vous pouvez pas savoir, dernièrement j’ai des missions commando à faire, pire que Prison Break je vous assure ! Je suis loin de mener une petite vie pépère, à me lever le matin comme un sims, à me diriger dans la cuisine pour me servir un bol de chocapics devant un épisode de Batman ou de Superman, à passer une journée en compagnie de bon foutriquet et à jouer aux cartes avec eux tout en sirotant un cocktail à l’ananas ou au gout fraise tagada pour ensuite le soir faire comme tous les traders, allez au restaurant bouffer du homard… Non non, ma vie c’est loin d’être ça, à côté, c’est un big bang totale, une fin du monde à retardement. Le matin quand je me lève j’ai une tête de chacal, il ne faut pas me parler sous risque de se retrouver la tête écraser dans une poutre, j’suis pas sociable, j’ai l’impression de marcher sur des oursins, de bouffer des coléoptères en guise de petit déjeuner, j’vais te chier un cake pour un rien, et t’auras beau essayé de sortir la fameuse phrase Supercalifragilisticexpialidocious, pour tout arranger, ça marchera pas… J’suis loin d’être facile à vivre, quand tu me vois, tu préfèrerais aller bouffer des encyclopédies ou juste prendre un avion pour être loin de moi. Bref, j’me retrouve avec ces quelques gars à gueule de diplodocus devant moi et ils commencent à me prendre la tête, à me réclamer de l’argent, comme quoi j’ai pas fait ce qu’ils m’avaient demandé et qu’ils veulent être remboursé… Pff… Encore des clients qui en veulent toujours plus… J’sors la liasse de billet qu’ils m’avaient donné auparavant et je commence à la remuer devant leurs yeux. « Qui pisse contre le vent se rince les dents les gars… On a jamais parlé de tuer, mais de refroidir pour un moment, et c’est fait, alors maintenant je vous conseille d’aller vous faire voir chez les Grecs, pour rester poli, vous et vos espèces de moules pas fraiches qui vous sert de meuf, et de bouger votre cul d’ici… » Et ça, tout en pinçant le cul d’un des gars qui étaient venu chercher la merde et caresser un de leurs chien. J’ai vraiment pas peur, sérieusement, c’est lorsque je les vois s’énerver que deux options s’offrent à moi, soit je fonce dans le tat et j’me fais dégommer par le chien, parce que personnellement, c’est pas eux qui m’impressionne, soit j’me barre… Je réfléchis un instant, et j’ai aucune envie de partir comme ça, de fuir comme un couard, alors, je crache par terre, devant leurs pieds, avec un sourire aux lèvres, et je leurs met un coup de poing à chacun assez rapidement pour ensuite partir en courant. Je les entends gueuler, ils sont derrière moi, alors j’passe dans un coin de rue et je tombe sur une fille, je cherche pas à comprendre, je la plaque contre le mur et je l’embrasse histoire de faire diversion, qu’ils ne me voient pas, et, c’est mission réussit. J’regarde la jeune femme un peu gêné. « Tu viens de me sauver la vie, j’t’en dois une… » Lui avais-je dit, en espérant qu’elle se la joue pas Angelina Jolie et qu’elle me tape pas dessus… •
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Souvent, on agit sans réfléchir. Ça s'appelle l'impulsivité. Et ce soir, vu que je m'ennuie dans ma piaule comme un cadavre dans son cercueil, je décide d'aller faire un tour. Oui, seule, oui, vers deux heures du matin. Moi, avoir peur ? Jamais, j'suis une guerrière. Je m'empare alors de ma planche de skate toujours à proximité peu importe ou je suis, et sors. Je dois rien à personne, après tout. Je suis une grande fille. Mes écouteurs diffusent la sublime voix de Beyoncé dans mes tympans, qui s'accord parfaitement avec le rythme africain de Grown Woman. Casquette des Chicago Bulls vissée sur ma crinière brune à l'envers comme d'habitude, je me mets à fredonner les paroles en poussant de ma Vans sur le sol pour me donner de la vitesse. «  I'm a grown woman, I can do whatever I  want.» Féministe jusqu'à l'os, j'adhère totalement à la chanson. Je secoue même légèrement la tête en rythme, remettant mon maillot des Bulls un peu trop grand correctement sur mes épaules. Il fait si lourd, que je ne le porte qu'avec un court short en jean. Le vent s'engouffre dans mes cheveux, alors que je prends de la vitesse, m'engageant dans une petite descente. Cette sensation, c'est le paradis. Ça me donne l'impression d'être invincible, qu'on peut pas m'arrêter. 'Fin je dis ça maintenant, au début je me ramassais tous les dix mètres. Bref. Après plus de quinze minutes à rouler, j'suis un peu lassée. Je freine, avant de m'arrêter complètement et de descendre de ma planche que je porte sous le bras. Je tourne à l'angle d'une rue, tombant sur une pas très éclairée. Elle ferait même un peu fli- enfin, elle est pas très accueillante quoi.  Moi avoir peur ? Pas du tout ! Je connais pas cette ville, alors je la découvre avec étonnement, c'est tout. Soudain, sans que je ne comprenne  le pourquoi du comment, je me retrouve contre les briques tièdes du bâtiment derrière moi, alors qu'un inconnu a ses lèvres sur les miennes. Attends, wait, warte, qu'est-ce qui se passe ? J'en sais rien. Mes sourcils se froncent automatiquement, alors qu'il se recule avant que je n'ai le temps de le repousser.  « Il est parti tout droit ! » J'entend alors, alors que le brun devant moi me dit que je lui ai sauvé la vie. Je le fixe, incrédule. Je pige rien. Je suis pas conne hein, loin de là même. Mais là, la situation m'échappe, en fait. Ensuite, je comprend. Bah ouais, il me faut un peu de temps quand même. Puis avec ce baiser, faut dire que je suis un peu chamboulée. Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres, alors que je pose ma planche au sol avant de croiser mes bras. « Euh... De rien ? » Dis-je sur un ton mi-amusé, mi-étonné. Après tout, je pense qu'il me doit des explications, même si je pense avoir cerné un peu la situation.

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• J’ai toujours eu le don pour me foutre dans des merdes plus grosses que moi. • J’me demande parfois comment j’en suis arrivé là, comment ma vie a pu autant dérivée. A la base, je viens d’Italie, j’ai dû quitter ce pays je ne sais plus pour qu’elle raison, surement des conneries de mon père, il voulait agrandir son pouvoir, ou une merde du genre. J’me souviens de ma mère, cette junky qui enchainer cartouche de cigarettes sur cartouche, qui rêvait d’un big bang prochain, laissant mon père la commander avec une télécommande comme un vrai sims. Je l’entends encore jacasser dans la cuisine à propos de je ne sais plus qu’elle merde, et puis, la dernière image que j’ai d’elle est celle d’un corps inerte, allongé sur le sol, recouverte de bave blanche qu’on aurait pu confondre avec de la bave d’escargotqu’aucun morceau de papier cul aurait pu nettoyer. A quoi ça sert d’avoir un coffre rempli de saphir, un garage avec plusieurs voiture de luxe tel une Lamborghini, une piscine creusé, une immense villa pour soit, alors qu’au fond, on est qu’un simple pion sur cette terre, obligé d’endurer les calomnies des hommes d’affaires lorsqu’ils parlent de ton père qui finit ces jours en prison. Ma seule envie est de débagouler sur tout le monde, d’écraser vos gueules dans des radiateurs à températures ambiantes, de vous voir souffrir lorsque je mettrais chaque morceau de votre corps dans une bétonnière. Bien sûr qu’au fond de moi je souffre, bien sûr que tous les matins j’ai l’impression de marcher sur des oursins, mais ma vie n’est pas un foutu Disney, alors j’ai dû m’y habituer, j’ai dû accepter ce destin de mafieux qui était mien, enfiler ce costume d’enculé de service, à ne jamais être couard devant l’ennemi, à me montrer fort pour réduire à néant tous ceux qui chercherait à se mettre en travers de mon chemin, sauf que cette fois ci je n’avais pas eu le choix, cette fois si j’avais dû fuir pour éviter de faire un séjour par la case hôpital. Alors, pour ne pas me faire attraper, j’avais chopé la première personne qui était passé devant moi et je l’avais plaqué pour l’embrasser contre un mur, histoire d’avoir juste l’air d’un couple, et, ça avait plutôt bien marché. Une fois passé, j’me recule, légèrement gêné mais sans plus, et j’me rend compte que c’est loin d’être une moule pas fraiche, Hakuna Matata j’ai envie de dire ! Un sourire dessiné sur ces fines lèvres, elle prend la parole. « Euh... De rien ? » Bon, okay, j’aurais très bien pu partir et la laisse en plan sans lui expliquer, mais ça ne se fait pas je pense, alors, j’me décide à parler. « C’est pas dans mes habitudes de faire ça, mais j’avais pas vraiment le choix… Moi c’est Ulysse… » Lui avais-je dit, ouais, faut bien se présenter, histoire qu’elle puisse mettre un noms sur le visage du gars qui la plaque en pleine rue pour l’embrasser… •
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Je n'ai pas eu de vie si difficile que ça, en y pensant. Mes parents se sont toujours bien occupés de moi, même s'ils m'ont adoptée. Pour moi, c'était comme si j'étais leur fille biologique, vu que je ne veux pas entendre parler de celle qui m'a portée neuf mois dans son ventre. Et j'ai mes raisons. Elle n'a jamais rien fait pour moi, alors pourquoi je devrais la considérer comme ma mère ? Non. Cette femme m'écoeure. Si elle ne me voulait pas, pourqui ne pas avoir tout simplement avorté ? Et puis merde. Ma vraie mère, c'est Ella. C'est elle qui changeait mes couches, c'est elle qui m'achetait des vêtements. C'est elle qui m'a expliqué - tant bien que mal, je l'avoue - comment on fait les bébés. Je ne leur serai jamais assez redevables pour m'avoir recueillie. C'est pour ça que je veux les rendre fiers, en réussissant ma vie. Pour qu'ils ne regrettent pas de m'avoir choisie moi, et pas une autre. Quand j'étais gamine, des filles dans ma classe s'amusaient à m'insulter. Elles disaient qu'ils allaient un jour me jeter comme ils m'avaient trouvée et me remplacer par une autre, que je ne les méritais pas parce qu'ils étaient blancs. Elles m'insultaient, mais j'en avais rien à foutre. Parce que j'avais de meilleures notes qu'elles. Et rien que d'être la chouchoute de la maîtresse ça leur foutait les boules, et moi ça me suffisait. Alors le peu de personnes qui m'ont fait chier dans ma vie à ce sujet, je les ai tout simplement soit ignorées, soit envoyées chier. Et puis à quoi ça sert de parler de ça ? A rien. Parce que je resterai toujours leur fille, et eux seront toujours mes parents. Bref, je me trouve devant ce gars, cet inconnu, qui vient juste de m'embrasser et qui ensuite dit que je lui ai sauvé la vie. C'est bien beau, mais j'attend qu'il m'explique en quoi. Il prend à nouveau la parole, et me dit qu'il ne fait pas ça, d'habitude. Un petit rire s'échappe de mes lèvres, faisant frémir mes frêles épaules basanées. Je remet ma casquette en place sur mes cheveux bruns, avant de rétorquer : « Bah encore heureux ! J'aurais pu te prendre pour un pervers sexuel t'sais. Mais bon, j'pense pas que tu le sois, même si t'as pas l'air blanc comme neige.» Je dis ça, parce qu'il a cette lueur dans le regard. Je peux pas dire ce que c'est, mais elle est là, c'est tout. Il a sûrement du en baver dans sa vie, celui-là. Il me dit ensuite son prénom. Ulysse. Ulysse, c'est joli, original. Comme le mec de la mythologie, qui part en mer et laisse sa femme et son fils dans son bled et doit surmonter 095985 épreuves  pour rentrer chez lui. Bref, je m'éloigne. « Moi c'est Zola.» Dis-je simplement, avant de rajouter le ton taquin, le sourire aux lèvres : « Maintenant que tu connais mon prénom, c'est quoi la prochaine étape ? On baise ? C'est bon, j'ai cramé ta technique pour mettre des filles dans ton lit ! »  Dis-je avant d'émettre un petit rire supplémentaire. Je suis comme ça, sans langue de bois. Et puis je l'embête, c'est tout.

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• J’ai jamais été le genre de gars à arriver d’une façon chevaleresque sur mon fidèle destrier prénommé Lucky ou je ne sais quel prénom digne d’une bonne marque de papier cul, dans une bonne tenue de pingouin qui donne juste envie d’aller se faire voir chez les Grecs, j’aimerais mieux mourir de mon vivant que de devenir ce genre de romantique à l’eau de rose, ce gars fleur bleu qui voue une passion pour les bougies et les diner romantiques. Personnellement j’suis plutôt le gars qui débagoule sur les lois, qui va te chier un cake quand il n’aura pas ce qu’il veut, et nonobstant beaucoup choses. Il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles, et j’avais fait mon choix, j’avais choisi d’être ce gros enculé pas du tout romantique, ce petit connard qui s’amuse à te pourrir la vie, à te couler comme le Titanic, à faire des gens qui m’entourent de vrai pions, de vrai sims, prêt à assouvir mes désirs, à obéir à mes ordres. J’ai jamais reçu de bénédiction divine pour tous mes actes, et je ne pense pas que j’en recevrais, après tout, j’ai surement déjà une place de réserver en enfer, une place bien au chaud qui est occupé pour le moment par des cons à tête de diplodocus, d’ornithorynque, ou autre australopithèque dans le genre, j’me fais pas de soucis pour ça. Je crée des big-bang partout où je passe, laissant derrière moi une petite trace pour qu’on se souvienne de moi, que plus tard, on ne m’oublie pas. J’aurais surement pas une statue à mon effigie, j’le sais bien, mais au fond, à quoi elle m’aurait servi ? Je marque les mémoires à ma façon, je laisse une trace de mon passage sur cette terre, et qu’elle soit bonne ou mauvaise, je fais d’une pierre deux coups en ne faisant parfois le bien, mais souvent le mal. Je fais souvent du mal aux filles d’ailleurs, c’est mal me direz-vous, mais entendre leurs voix à la tonalité de l’helium quand elle jouisse me fait me sentir puissant, étrange direz-vous ? Un jour j’arrêterais ça, un jour je serais ce mafieux respectable, bien sous tout rapport, qui achète un paquet de fraise tagada au fils du voisin lorsqu’il a lancé son ballon de foot dans ton jardin. De toute façon, je sais très bien que tel le sphinx je ne renaîtrais pas de mes cendres, alors autant profiter du moment présent, vous n’êtes pas d’accord ? « Bah encore heureux ! J'aurais pu te prendre pour un pervers sexuel t'sais. Mais bon, j'pense pas que tu le sois, même si t'as pas l'air blanc comme neige.» J’hausse les épaules à sa réponse, elle est loin d’avoir tort, mais j’vais pas lui déballer ma vie, j’vais pas lui expliquer le pourquoi du comment j’me suis retrouvé à devoir la plaquer contre le mur et à l’embrasser, j’pense qu’elle a compris que j’évitais des personnes. « J’pense qu’au fond, on a tous des vices cachés… » Je ne lui disais pas qu’elle avait tort, mais je ne lui donnais pas raison non plus, et puis, lorsqu’on se ballade tard la nuit avec un skate et une casquette sur la tête, c’est qu’on est soit noctambule, soit on arrive pas à dormir à cause de quelques choses, alors si je ne lui demande pas ce qu’elle fou là à cette heure si, je n’aurais pas besoin de trop pousser les explications. « Moi c'est Zola.» … « Maintenant que tu connais mon prénom, c'est quoi la prochaine étape ? On baise ? C'est bon, j'ai cramé ta technique pour mettre des filles dans ton lit ! » Hein ? Quoi ? Nom d’une pipe, elle est direct elle comme fille au moins ! J’hausse un sourcil, le truc, c’est qu’elle est sérieuse ou bien elle se fou de ma gueule ? J’vais pas faire genre oh non je suis pas comme ça, car ça serait la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir un peu… « Bordel, t’es direct toi au moins… On m’a toujours dit que dire non à une fille ça la vexe, alors j’te dirais juste que c’est toi qui décide ! » C’est toi qui décide mon cul, j’aurais eu envie de la mettre dans mon lit, j’aurais pas cherché à comprendre et je lui aurais proposé de me faire pardonner en lui payant un verre, chez moi… •
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La guimauve, les doux et autres niaiseries, j'ai juste horreur de ça. Mais genre, vraiment. J'crois que c'est pour ça que j'ai jamais eu de vraie histoire. Je me rappelle au lycée, mon "petit-ami" m'avait offert des fleurs. Toutes les filles trouvaient ça trop mignon, elles étaient limite jalouses. Moi ce que j'ai fait ? D'abord quand je l'ai vu, avec son bouquet de tulipes fades et fatiguées la peau rouge coquelicot, j'ai ri. Mais vraiment. C'était pas méchant, je pensais juste pas qu'il était sérieux. Non mais sérieux, qu'est-ce qui lui est passé par la tête ? J'ressemble à une jardinière ? Du coup, je les ai quand même prises en m'excusant pour limiter les dégâts. Mais arrivée chez moi, direction poubelle direct. Depuis ce jour là, plus aucun mec du lycée ne m'a offert de cadeau. Puis j'ai toujours eu l'impression d'être différentes filles. Pas dans le sens je suis l'élue machin, non. J'aime pas les films romantiques, je préfère un bon vieux film de zombie. Entre une robe et un jogging, y'a pas photo, je prend le deuxième. Je me maquille que quand j'ai envie, je met ce que j'aime. Que ce soit féminin, j'en ai carrément rien à cirer. Comme ce soir, malgré le fait que mon short en jean soit court, j'ai des habits d'homme. Mais c'est confortable, c'est ce qui importe. Puis j'aime bien. Garçon manquée que je suis, il paraît. Mais sincèrement, des fois j'adorerais être un mec. Quand c'est la zone rouge, par exemple. Sérieusement, pourquoi les femmes ? Mère Nature, je te hais. Je t'en ferais bouffer des cadeaux indésirables moi. Il paraît aussi que je suis franche. Mais ça, j'assume. J'ai quelque chose à dire, je le dis, c'est tout. Pourquoi passer par quatre chemins ? Ulysse en semble être surpris d'ailleurs. Ça me fait rire, moi. Les gens quand ils me voient, pensent que j'suis douce, sympa. Ils ont raison ! Mais j'peux aussi être chiante, bavarde et arrogante. Et oui, personne n'est parfait ! J'pense pas que ce cher Ulysse puisse en dire le contraire. En parlant de lui, j'explose de rire, en voyant qu'il croit que je suis sérieuse. C'est plus fort que moi. « J'déconne. A part ça, tu offres quoi en retour à ton ange gardien ? » Je lui demande, tout sourire en posant mes mains sur mes hanches. Il est spécial, ce gars. J'dis pas ça parce qu'il embrasse des incconnues, mais je sais pas, il a un truc louche, pas commun. Je fais mine de réfléchir en levant les yeux vers le haut, posant mon index sur mon menton.« 5 000 dollars, ça me semble pas mal. »

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• Petit à petit, j’me taille une réputation, non pas à coup de meurtre ou je sais qu’elle connerie mais plutôt à coup de pioche dans la gueule. J’suis le genre de gars qui ne déconne pas, qui n’est pas là pour rigoler et se fendre la gueule comme une cloche devant un vieux Disney. J’aime pas grand-chose non plus, je ne m’extasie pas devant un carnaval, j’en ai rien foutre de tous ces films sur les superhéros comme Superman ou Batman, j’ai d’autres choses à faire, beaucoup trop de chose en tête qui passent bien avant tout ça. Comme si ce n’était pas assez, j’ai la constante impression d’avoir un scalpel qui s’amuse à me taillader de haut en bas, pour ne pas me faire oublier le passé, ne pas me faire oublier cette image de ma défunte mère gisant sur le sol, cette image de mes anniversaires raté, où mon père compensait son absence par une multitude de ballons, de cadeau plus gros d’années en années, comme si son but était de me faire gouter au luxe, de m’empêcher de devenir quelqu’un de normal, de passe partout, aimant la cuniculiculture ou passer ces après-midi à jouer à la console, aller faire ces courses les mardi soir ou je ne sais qu’elle connerie du genre. Non, j’avais droit à une encyclopédie pour grandir ma culture générale et le suivre de temps en temps dans son travail, j’peux vous assurez que depuis mon plus jeune âge, la violence a pris le pouvoir sur moi, et que jamais elle ne disparaitra. Embrouillamini est mon quotidien, la luxure est mon plaisir. J’ai souvent hésité à tout envoyer chier, à ne pas suivre les traces de mon père, ne plus suivre tous ces sbires à la carrure escogriffe, loin d’être foutriquet, ne plus donner d’ordre à tous ces sims, j’ai souvent plongé dans un spleen baudelairien, mais à chaque fois, j’ai remonté la pente, à chaque fois j’ai trouvé quelque chose me motivant, et malgré tout ça, malgré tout ce que le mal, toutes ces calomnies apporté à ma famille, j’ai fait mon choix, j’ai décidé de reprendre cette empire qui me revient et d’être à la tête de cette mafia une fois mes études terminée, et ça, même si je me retrouve souvent Espanté par toutes ces merdes. L’honneur de ma famille est en jeu, et la fierté de mon père est beaucoup plus importante qu’autre chose, alors je savais très bien que ces gars-là, malgré leurs trois poils au cul et çà se prend pour un ours, j’allais revenir les voir, et j’allais leurs faire regretter leurs conneries de ce soir, car qui pisse contre le vent se rince les dents. Désolé les gars, mais on joue pas avec un Feliciano, tel est pris qui croyait pendre… « J'déconne. A part ça, tu offres quoi en retour à ton ange gardien ? » Merde, j’aurais bien couché avec elle après tout. On va pas se mentir hein, on va arrêter de jacasser pour rien dire, ouais, elle est jolie, alors ouais, j’aurais bien aimé la ramener dans mon lit. J’suis comme ça, on va pas en chier un cake hein, mais le sexe c'est comme une partie de cartes : si ta pas un bon partenaire vaut mieux avoir une bonne main, alors autant avoir tenter sa chance, non ? « 5 000 dollars, ça me semble pas mal. » Et là, mes yeux s’ouvrirent comme si j’venais de voir un truc de fou, elle est sérieuse ? Elle a cru que j’étais ce genre de pantin à l’habitude simiesque à laisser la société lui débagouler dessus ? « Ouiii, j’te paye un verre ou un truc à bouffer, mais 5000 balles c’est mort, j’ai pas autant d’argent ! » Lui avais-je répondu sur un air assez sérieux. C'est la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir, j’ai un compte blindé, mais j’donne pas 5000 dollars à la première Reine de cœur qui passe, me faudrait une bonne raison, car qui me dit qu’elle n’est pas super riche elle aussi hein ? J’suis pas un pingouin, on me soutire pas de l’argent aussi facilement… •

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 Ce mec me fait rire. Involontairement, mais il me fait rire. Il prend tout ce que je dis au sérieux. Ca se voit qu'il n'est pas du genre à rire pour des conneries, à faire des blagues idiotes comme ceux du campus. Il est différent, c'est un cas à part. Exemple, qui c'est qui s'appelle Ulysse à part cet héros de la mythologie ? J'en connais pas des tonnes moi en tout cas. Puis, pour se faire chasser par une bande de gars qui ont pas l'air très net et embrasser des inconnues dans la rue pour sauver sa peau, il doit baigner dans des trucs pas très cleans. Mais bon, ça ne me regarde pas après tout, c'est sa vie. Chacun pour soi, Dieu pour tous. A coté de lui, j'ai l'impression d'être banale. Et franchement, ça fait du bien. Ca fait du bien d'être simplement moi Zola, et pas "la black adoptée par des nazis" ou encore "la maigrichonne qui porte des fringues de mec". Après tout, j'ai eu une vie simple, sans encombre. Deux parents présents, dans une petite banlieue pavillonaire de Portland. J'vivais pas dans le luxe, mais j'étais pas à plaindre non plus. En voyant la tête qu'il fait lorsque je lui demande cinq mille balles, j'explose de rire. Et ouais, à nouveau  ! Faut croire qu'il sait s'y prendre pour me faire faire des abdos sans effort.  Je me reprend alors, avant de prendre la parole faisant semblant d'être surprise par sa réponse : « J'viens de te sauver la vie, mec ! Tu me dois au moins ça minimum ! Sinon j'te bute sur le champ de toute façon ! Pis t'as pas vraiment l'air de manquer de thune toi, au contraire mon beau ! » M'exclamais-je en prenant une intonation masculine, faisant de grands gestes de voyou avec mes bras fins comme des brindilles. Il doit sûrement me prendre pour une tarée mais bon, je m'en bas les ovules. Ses réactions sont tellement hilarantes que je suis obligée de continuer à jouer avec lui.  « Bon, si c'est vraiment pas possible, j'ai peut-être une idée qui nous plairait à tous les deux. »Dis-je alors avec un sourire en coin.
△everleigh
   



HJ: Désolée c'est super court mais j'suis crevée et sur portable...
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