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(flashback) Et c'est quand tu lui plais que tu vas l'abandonner ♥ ft Noa

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Noa & "Charlie" Հ Et c'est quand tu lui plais que tu vas l'abandonner
Aujourd'hui pour finir les vacances et retourner à Harvard avec une nouvelle garde robe j'avais décidé de me mettre à faire les boutiques à Key West, après tout ma carte bleu n'avait pas chauffé depuis un long moment, à croire que j'avais arrêté un instant d'avoir des envies de luxe, de fringues. Habillée d'un short framboise et d'un top dans les tons de blanc cassé, les lunettes de soleil sur le nez, je marchais dans les rues avec déjà quelques poches dans les mains. Finalement je décidais de faire une petite pause et me prendre un petit verre dans le bar le plus proche. A la porte, je vis Noa, hésitant un instant je finis par m'avancer vers lui, j'étais contente de le revoir, oui je savais que j'avait été une abrutie avec lui, je m'en voulais car au fond il avait compté pour moi.  «Salut Noa, je peux me joindre à toi ? ». dis je avec un sourire faible de peur de me prendre un vent et de sa réaction, après tout je ne le méritais pas vraiment, mais depuis notre séparation, la bombe j'avais changé, mais encore loin de la perfection.
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Qui avait dit que les vacances devaient être consacrées au repos ? Depuis que le summer camp avait commencé je ne m’étais pas beaucoup reposé, j’avais été dispensé de quelques épreuves à cause de mon fauteuil roulant mais cela ne m’empêchait pas de me rendre à la rééducation. Ma kiné me menait plutôt la vie dure, elle m’avait fait marcher jusqu'à la plage avec des béquilles et j’avais cru m’étouffer tellement cela m’avait demandé d’efforts. Cependant je ne pouvais qu’être encouragé par les progrès que je faisais : je marchais mieux de jour en jour. Mon fauteuil roulant continué de m’accompagner, n’ayant pas assez de force pour marcher sur une longue distance. Je n’avais d’ailleurs jamais imaginé à quel point avoir ce type d’engin pouvait être compliqué, le nombre de trottoir était astronomique, le nombre de lieu où on ne pouvait pas accéder à l’étage supérieur était tout aussi grand quant à l’accès au magasin, c’est bien simple, je ne pouvais pas faire mes courses sans être aidé par une âme charitable. Et dire que je me revoyais parfois entrain d’attraper une boite de conserve juchée en hauteur pour une vieille dame, il faut dire qu’avec mon mètre quatre vingt quinze je n’avais aucune difficulté. Je flânais jusqu'à une terrasse où je m’installais pour boire un café, quelqu’un vint me voir mais apparemment nous nous connaissions déjà, personnellement je n’avais aucun souvenir : « Je m’apelle Maël, j’ai perdu la mémoire en Janvier lors d’un attentat à la bombe, nous nous connaissions ? ». C’était le genre de parole que je disais toujours aux gens qui venaient vers moi, je poussais la chaise à côté de moi avant d’ajouter : « Faites comme chez vous… ».
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Noa & "Charlie" Հ Et c'est quand tu lui plais que tu vas l'abandonner
Moi qui avait retenu ma respiration pour attendre la réponse de Noa, je me sentais totalement débile en voyant que je m'étais en réalité trompée. Toute décontenancée, je ne savais plus trop où me mettre, finissant par m'asseoir à côté de lui sur la chaise qu'il venait de me tendre, je le regardais. Le fauteuil roulant qui l'accompagnait me fit rapidement paniquer, et si il avait fait une connerie par ma faute ? Si j'avais été une si mauvaise petite amie qu'il avait fini par faire n'importe quoi ...  «Noa c'est moi Charline ... Charlie ... toi et moi c'était à la vie à la mort quoi qu'un peu plus à la mort par ma faute. ». Je n'étais pas fière de moi, pas fière de balancer tout cela comme un cheveux sur la soupe mais je ne voulais pas lui mentir, profiter du fait qu'il ai perdu la mémoire pour le manipuler, j'avais été une conne, une garce et je m'en voulais à en mourir. Comme on dit c'est quand on perd quelqu'un de cher qu'on se rend compte à quel point il nous manque et nous est indispensable. Essayant de trouver des sms de Noa dans mon téléphone, je ne pouvais me résoudre que ces yeux n'étaient pas ceux que j'avais contemplé pendant des heures, non ce ne pouvait pas être Maël ... c'était mon Noa.  «Tu veux boire quoi ? Mais chacun paye sa part ... »
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Une fois de plus j’étais dans une situation complètement loufoque, ne me rappelant pas de qui j’étais je me sentais complètement démuni. Je m’en voulais…je m’en voulais d’être tout simplement le mec en fauteuil roulant, l’handicapé qui ne connaissait rien de la vie. Parfois j’avais le moral, parfois je me sentais lamentable. Et pour finir ce tableau apocalyptique alors que la jeune femme tentait de me dire qui elle était, un oiseau qui passait par là émit une fiente en ma direction. Je sentis quelque chose tombait sur ma chevelure blonde et je ne pouvais m’empêcher une sorte de cris d’horreur, je regardais la jeune femme en face de moi. J’étais autant choqué par ce qu’elle venait de dire que ce qui venait de m’arriver : « Désolé mais je ne comprends pas de quoi tu parles…à la vie, à la mort… ». Je vérifiais ce qui venait de se passer en me passant une main dans les cheveux, c’était bien une crotte de pigeon. Je pris une serviette sur la table avant de m’essuyer avec : « Même les pigeons me chient dessus, je n’ai vraiment pas de chance ! ». J’attendais au moins un signe d’accord de la jeune femme qui semblait proche de moi sans que je la connaisse, elle s’installa ensuite me disant qu’elle payera sa part, je fis non de la tête. La seule chose que je savais de mon passé c’est que j’avais assez d’argent pour lui offrir un verre : « Je t’offre un verre…Si tu me dis qui tu es… ». J’avais besoin d’en savoir plus en effet puis j’ajoutais en riant : « Et si tu m’aides à enlever ce que j’ai dans les cheveux aussi ! ».
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Noa & "Charlie" Հ Et c'est quand tu lui plais que tu vas l'abandonner
Son visage avait été gravé dans ma tête pour toujours, il avait été le premier à me faire de nouveau croire au bonheur, j'avais été heureuse avec lui mais tellement égoïste que je n'avais pas su être une fille différente, bien pour lui et aujourd'hui que j'avais changé je me rendais compte à quel point je ne l'avais pas mérité. Voyant un oiseau chier sur Noa je ne savas pas trop comment réagir, mais un rire m'échappa, après tout la situation était plutôt amusante bien que beaucoup pour lui, je ne pouvais pas le laisser comme cela il fallait que je l'aide mettant mon dégoût des trucs dégueux de côté.  «Je te promets que ça me dérange que tu me paies un verre après tout ce que je t'ai fait endurer. J'aurais pu tirer avantage de cette situation, te faire croire que j'avais été une fille parfaite, que tu devais m'aimer encore et encore mais je préfère être franche Noa et je m'en veux tellement. Il y a quelques mois, toi et moi nous sommes sortis ensemble, j'étais une Mather, une fêtarde qui ne pensait qu'à moi et ma popularité, je t'ai vraiment aimé ... et puis j'ai fini par tout gâcher, je t'ai trompé, je t'ai brisé et maintenant je me rends compte à quel point tout cela m'a également brisé, maintenant que j'ai changé, je déteste l'ancienne Charline, mais je suis comme cela et tu m'aimais comme j'étais mais je te méritais pas Noa.  ». Contre toute attente je sentais quelques larmes monter comme si à présent je faisais dans l'émotion, je devenais humaine à croire que j'avais un coeur, que je voulais m'améliorer, changer mais à chaque pas en avant j'en faisais souvent deux en arrière restant dans une dynamique néfaste et tellement destructrice comme pour me punir du mal que j'avais pu causer aux gens qui m'entouraient à l'époque. Finissant par me lever avec une serviette dans les main,  j'enlevais le plus gros pour que par la suite un peu d'eau pisse faire l'affaire, je détestais toucher des trucs crade mais cette fois-ci je ne pouvais pas le laisser comme cela. Voyant qu'il ne répondait pas j'avais peur, peur qu'il me déteste, qu'il se souvienne que des mauvais moments de notre histoire ou tout simplement de rien, d'être qu'une inconnue pour toujours. «Noa dit moi au moins quelque chose s'il te plait ... »
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J’attendais des explications de la part de Charline, je me demandais qui elle avait pu être. Certainement quelqu’un avait qui j’étais sortie pour me dire des choses aussi touchante mais n’ayant aucun souvenir je ne faisais que des hypothèses. Elle préférait alors me parlait avec franchise, elle avait tellement l’air coupable, on aurait dit qu’elle avait commis un crime. Nous étions bien ensemble à une époque mais la jeune femme avait été voir ailleurs, c’est vrai que je devais être très en colère contre elle mais maintenant que je n’avais pas de souvenirs les choses étaient différentes. Je voyais bien que la jeune femme se sentait mal, j’essayais de la réconforter en mettant une main sur son épaule : « Je te remercie pour ta franchise, j’apprécie vraiment… ». Je me rendais compte que je ne savais plus le nom de la jeune femme, vraiment embarrassant comme situation. Elle me demanda ensuite de dire quelque chose, je lui expliquais alors gentiment : « J’imagine que je t’en voulais beaucoup Charline…Et je t’en voudrais certainement encore mais…pour l’instant j’ai perdu la mémoire et ce n’est pas en se déchirant que cela va m’aider… Alors on pourrait peut être réapprendre à se connaitre ? ». C’était la seule proposition que j’avais mais je savais pertinemment que la jeune femme me connaissait déjà. Peut être que moi par contre je pourrais en apprendre davantage sur mon passé. J’essayais vraiment d’apaiser la jeune femme : « Calme-toi d’accord, qu’est ce que tu aimerais boire et qui te ferais plaisir ? ». J’essayais d’afficher le sourire le plus gentil et le plus aimable pour la rassurer.
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« Je crois réellement que tu me détestais Noa, et je sais que tu pourras jamais me pardonner parce que je ne le mérite pas ! Ce que je veux maintenant c'est qu'au moins tu retrouves la mémoire, même si par la suite tu veux plus me voir ... j'accepterais !  ». J'étais devenue sentimentale et tout cela me perturbait encore plus, j'étais différente, j'avais la boule au ventre, j'avais tellement peur de ce qui pourrait se passer si à présent je ne pouvais plus me protéger avec cette bulle autour de moi, je m'exposais et j'allais surement en crever. Après avoir enlevé presque toute la merde qui était dans les cheveux du jeune homme, je finis par m'asseoir de nouveau sur la chaise en face de lui, tapotant sur la table avec mes ongles, je baissais la tête avant de la relever pour répondre à sa question. «Je suis pas sûre de valoir la peine, enfin je veux dire que je préfères peut être que tu me connaisses plus plutôt que tu connaisses le moindre de mes défauts. Ce que je veux, un diabolo grenadine fera l'affaire, pour une fois un sevrage d'alcool ne me fera pas de mal. »
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La jeune femme sembla sûre et certaine que je la détestait et elle avait raison, je n’étais pas du genre à accepter les infidélités de ma petite amie, c’était le genre de truc qui devait me mettre complètement hors de moi mais n’ayant pas de souvenirs il était plus facile de ne pas lui en vouloir, je tentais de la rassurer de nouveau, me rappelant enfin du prénom qu’elle m’avait dit précédemment : « Charlie, je ne sais pas si les choses pourront repartir comme avant du jour au lendemain, je ne me rappelle plus de toi…Mais la vie te donnes peut être une chance de te racheter et de me montrer que tu as changé. Tu peux sûrement m’aider plus que tu le penses… ». Si elle me connaissait vraiment avant l’attentat elle allait certainement pouvoir m’apporter des informations que mon frère ne m’avait pas encore données. Après tout une petite amie doit certainement être la personne a qui on se confie le plus. J’essayais de la convaincre une dernière fois : « Charline, ne te sous estime pas… ». J’avais ensuite réfléchis à ce que j’allais boire avant que le serveur prenne notre commande : « Une bière et un diabolo fraise s’il vous plait. ». J’essayais de lui poser des questions afin de détendre l’atmosphère car la jeune femme semblait toujours tendu : « Nos confréries étaient ennemis à l’université ? ».
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« Si je peux t'aider en quoi que ce soit en tout cas j'aurais l'impression de servir à quelque chose ... déjà maintenant tu sais que tu es Noa et non pas Maël ton frère jumeau. Et puis peut être qu'on pourrait aller dans des lieux qu'on a partagé tous les deux peut être que les souvenirs reviendront.  ». Moi me sous estimer ? Cela n'avait jamais été mon habitude par le passé mais il est vrai que ces derniers temps j'avais beaucoup moins confiance en moi qu'avant, peut être tout simplement parce que j'avais vu que j'avais fait du mal aux personnes qui avaient comptés par le passé, comme un couteau dans le coeur, à croire que j'en avais un, une grande révélation.  « Non pas réellement tu étais parmi les beaux, parmi les beaux mâles de l'université, et après tout tu n'avais volé ta place à personne. Pour ma part j'étais chez les fêtards, une Mather dans l'âme et dans le coeur, ancienne présidente mais cette année je vais filer chez les ennemis, les Eliots pour ma famille. » dis je avec un sourire, bien que cette perspective ne m'enchantait pas réellement, j'avais du mal à m'y faire et encore plus depuis que je savais que j'allais perdre ma colocataire Briony qui m'en voudrait réellement.
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Je fis un grand sourire à Charline, oui, j’avais vraiment envie qu’elle m’aide à retrouver la mémoire comme mon frère le ferait. J’étais convaincu que c’était possible, pour moi je verrais un endroit un jour tout remonterait à la surface, en théorie cela semblait simple mais en pratique aucune personne ni aucun monument ne me disait quelque chose, cependant j’allais dans le sens de Charline en lui disant : « Oui Charline, tu as raison, il faudra que tu me montres les endroits qui étaient autrefois les notre, il faudra que tu m’aides à retrouver cette mémoire qui me fait temps défaut, tu vois tu as une chance de te rattraper ! ». J’essayais d’être très gentil avec elle, étant conscient que dans quelques semaines je serais peut être très méchant. Charline m’expliquait par la suite qu’elle était chez les mathers mais n’ayant jamais été un eliot cela ne posait pas trop de problèmes, je me mis à rire avant de lui répondre : « On ne formait pas de couples infernales aux yeux de l’université, pas la méchante Mather avec le riche Eliot ! ». Charline me dit ensuite qu’elle changerait de confrérie pour sa famille, je n’étais pas d’accord avec elle, il fallait aller dans une confrérie qui lui plaisait : « Pourquoi fais-tu ça Charline, restes où tu le souhaites, ne te sens pas obligé… ».
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