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not the best way to introduce myself • Clydwen

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Not the best way to introduce myself
Clydwen & Bethany


Confortablement installée à la table du bar de l'hôtel, j'observais les différents clients qui passaient, le plus souvent des élèves d'Harvard. Mes lunettes de soleil, posées sur mon nez, me permettaient de ne pas me faire remarquer quand j'observais quelqu'un d'une manière un peu trop prononcée. C'était une magnifique après-midi et le soleil brillait de mille feux. Nonobstant, mes amis m'avaient tous désertée pour se rendre aux activités de leurs équipes et je me retrouvais seule. C'était une journée de repos pour les Lion King. Ma boisson finie, je me levais et me dirigeais vers le bar afin de me commander un autre verre. Je choisis un jus d'ananas, ma boisson sans alcool favorite. On était en milieu d'après-midi, je n'allais pas commencer à boire tout de suite, tout de même. Et surtout pas seule, j'aurais eu l'air désespérée. C'est alors que je remarquais ce jeune homme solitaire, que j'avais déjà vu à plusieurs reprises au sein de l'université. Je ne lui avais jamais parlé - je n'avais jamais osé à vrai dire - mais il avait dans ses yeux cette lueur de désespoir qui me donnait envie d'un savoir davantage sur lui. Je sentais qu'aujourd'hui était le moment d'aller enfin vers lui. Je devais oser l'aborder. Il m'intriguait énormément et je pouvais dire sans aucun doute qu'il ne m'aborderait jamais le premier. Me dirigeant doucement vers lui, je réfléchissais déjà à ce que je pourrais lui dire. Je m'imaginais un scénario de première approche dans ma tête, cherchait les meilleures paroles à prononcer. Je me retrouvais maintenant à quelques centimètres de lui. Même si mes intentions étaient purement amicales, ce garçon dégageait quelque chose qui m'intimidait. Alors que je m'approchais doucement et ouvrait, mon pied butait sur sa chaise. Je trébuchais et je renversais mon verre de jus dans son dos. Je poussais un petit cri, totalement confuse. « Nom d'une pipe ! » Ce que je pouvais être maladroite ! C'était un scénario que je n'avais pas prévu, tiens. Sans doute pas le meilleur pour m'introduire. Je me répandais alors en excuse. « Je suis vraiment désolée, je ne sais pas quoi dire... » J'espérais vraiment que le jeune homme ne réagirait pas mal. Je ne m'attendais bien évidemment pas à ce qu'il me fasse un large sourire et me dise merci pour la petite douche, mais j'espérais tout de même qu'il n'allait pas me chier un cake pour ce malencontreux accident.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Des rencontres se font tout les jours, de bien des manières. Certaines sont dignes de films américains, tel la bousculade au détour d'un couloir, ou d'une rue, d'autres encore, sont due à un pari entre amis dans le genre : « Hey, si tu vas voir cette nana, je te paye deux tournées » ou encore la fameuse rencontre du chevalier servant et de la demoiselle en détresse. Oui, la dernière est des plus singulière et des plus rares, je vous l'accorde, mais … Cela arrive quelques fois. Il y avait aussi des rencontres bien plus banales, dans un bar, une bibliothèque, dans une salle de cours, à un concert, sur internet, ou encore dans un magasin. Et puis, il y avait les rencontres étranges, qui n'auraient pas dues arriver. Il y eut par exemple durant ces vacances, la fois où Orion et Clydwen rentrèrent pour la première fois en contact, ce fut … Dans l'eau. Voyez-vous, le premier garçon était tombé à l'eau, et, ayant la phobie de l'eau était en train de couler. Le second, voyant la scène et plonge pour le sauver d'une mort certaine. Ces deux-là se connaissaient depuis plus de deux ans, étaient tout deux Lowell, étaient tout deux dans la même session, et, jamais ils ne s'adressèrent la parole jusqu'à ce fâcheux incident.

Cependant, durant ces fameuses vacances, il y eut une seconde « rencontre » étrange qui eut lieu, laissez-moi vous la raconter. L'action se déroule par un bel après-midi ensoleillé, il faisait chaud, très chaud, et, Clydwen s'ennuyait ferme. Une fois de plus, Katarina et Madelen n'étaient pas là, il ne pouvait donc pas passer sa journée avec l'une des deux. Orion quant à lui, l'idée d'aller le voir ne lui effleura même pas l'esprit. C'est après avoir gambergé un long moment que le gallois se décida à descendre au bar, comme dit, il faisait chaud, il fallait donc boire. Ses cheveux étaient attachés avec l'une de ses dreadlocks, pendant sur son maillot de rugby aux couleurs de son pays d'adoption : l'Irlande. Quand à son bas, comme déjà dit, le jeune homme n'aimait pas les short, ainsi, il opta pour un baggy confortable, mais chaud. Le jeune homme, un cahier sous le bras alla commander une bière pour s'installer à une table de libre, où il commença à poser des notes sur le papier. Son but était simple, rendre hommage à l'infinie beauté de Katarina, par la force des choses elle était devenue son ange gardien, sa muse, sa sylphide. Depuis longtemps le musicien voulait écrire quelque chose de beau pour elle, en remerciement et surtout, pour transmettre tout ce que lui n'arrivait pas à dire, grand timide qu'il était. C'est après une demie-heure d'écriture et deux bières descendues que quelque chose se produisit. Sa chaise eut un choc soudain, tandis que sur son dos se rependait un liquide d'origine inconnue. Dans son dos, il entendit une phrase étrange, avant de se retourner pour découvrir une jeune femme semblant confuse, désolée, et ne sachant où se mettre. L’étranger rit bêtement quelques instants.

« Nom d'une pipe ? Vous êtes sûre ? Il y a encore des gens qui disent ça ? Même mon arrière-grand-mère ne l'a jamais dit ça. »


Il continua de rire avant d'ôter son haut, laissant découvrir ces quelques tatouages, cicatrices, et sa musculature finement développée grâce à -ou à cause de- la rudesse de sa vie. Soudain, prit de panique, son attention vint se porter sur son cahier. Un grand soupir de soulagement s'échappa de ses lèvres, sa partition n'avait rien. Alors, souriant, il se retourna vers l'inconnue, tentant de rassurer celle qui semblait bien plus frappée par ce qui s'était produit que la victime elle-même.

« Allez, dites quelque chose. Je sais pas moi, un truc genre … Désolé ? Vous me payez une bière et c'est oublié. Ça va sécher, c'est pas bien grave vous savez, pas besoin de vous mettre dans un tel état. Mais … Je dois avouer que, si mon cahier avait prit la flotte, j'aurais été bien moins content. »


A nouveau un léger rire, gêné, mais avec une pointe sarcastique tout de même.

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« Nom d'une pipe ? Vous êtes sûre ? Il y a encore des gens qui disent ça ? Même mon arrière-grand-mère n'a jamais dit ça. » Je riais jaune. Je ne savais pas pourquoi j'avais dit ça, c'était la première chose qui mettait venue à l'esprit. Mais ce jeune homme n'allait quand même pas se moquer de moi. Quoique, je venais de lui renverser mon verre dessus, il avait bien le droit. « C'est sorti tout seul. Ne vous moquez pas de moi ! » Et puis, c'avait beau être ringard, c'était toujours moins vulgaire que certains mots que je ne mentionnerais pas. Le jeune homme ôta son haut, laissant découvrir sa musculature et ses tatouages. Il était plutôt bien bâti mais je détournais rapidement le regard, ne voulant pas passer pour une voyeuse. « Allez, dites quelque chose, je sais pas moi, un truc du genre... désolé ? Vous me payez une bière et c'est oublié. Ca va sécher, c'est pas bien grave vous savez, pas besoin de vous mettre dans un tel état. Mais... Je dois avouer que, si mon cahier avait pris la flotte, j'aurais été moins bien content. » Il avait dit cette phrase avec un sourire, mais je savais qu'il était sérieux. Je riais doucement, gênée et ne sachant pas trop où me mettre. « Je suis désolée, et bien sûr, je vais vous payer une autre bière. », dis-je précipitamment. J'étais si maladroite. Au moins, je l'avais, mon approche. Je le laissais seul quelques instants, le temps d'aller lui acheter une autre bière, et de me racheter un autre jus. En revenant, je jetais un coup d'oeil à son carnet. Je lui tendais la bière tout en disant. « Qu'y a-t-il de si important dans ce carnet ? » J'étais curieuse de savoir ce qui pouvait bien s'y cacher. Je lui adressais un sourire et regardais le siège vide en face de lui. « Je suis Bethany. J'avoue que ce n'était pas la meilleure façon pour me présenter, mais bon... Vous permettez que je m'assois ? » Je continuais de sourire. Il n'avait pas l'air fâché pour ce que j'avais fait. Je commençais à être plus détendue, à présent.

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La belle inconnue semblait que peu apprécier la remarque sur cette fameuse phrase. « Nom d'une pipe ». Il est vrai que c'était un vocabulaire relativement peu usité, de partout dans le Monde. Certains humoristes auraient même pu dire que de tels mots sont désormais interdits de peur de ne pas choquer de jeunes gens. La jeune femme aux incroyables yeux clairs riait étrangement, de façon presque forcée, montrant une certaine gène -du point de vue du dreadeux- avant d'expliquer que c'était sorti seul, et qu'il n'avait pas à se moquer. Il rit à nouveau.

« Oh, même sorti tout seul, il fallait aller le chercher loin. Et puis … Je viens de me prendre une douche sucrée, j'ai bien droit de rigoler un peu. Qu'en dis-tu ? »


Clydwen sourit lorsque l'inconnue détourna le regard de son dénuement, la vision qui lui fut offerte lui plaisait-elle ? Quelle étrange supposition ! Non, sans aucun doutes que la jeune femme était gênée par ce qu'il se passait. Après quelques mots de la victime, la perturbatrice s'excusa avec un léger rire gêné avant de proposer une nouvelle bière qu'il accepta avec un sourire. La jeune femme revint quelques instants, deux boissons en mains, avant de s'intéresser au fameux carnet qui faillit rendre l'âme. Puis, voyant une place de libre à côté de lui, se présentant comme Bethany, demandant ensuite si elle pouvait s'installer. A nouveau il sourit.

« Oui, oui. Bien sûr. Juste … Garde ta boisson bien à l'abri. Et heu … On va se tutoyer ça a l'air mieux. Donc … Moi, c'est Clydwen, enchanté. Disons que … C'est une rencontre choc, on aura du mal à l'oublier. »


Il rit un bref instant avant de se rappeler la question. Toujours souriant, le gallois l'ouvrit à la dernière page pour lui présenter, la fameuse composition pour les beaux yeux de Katarina.

« Quant à ce carnet, ce … C'est une part de moi, de mon histoire, de mes sentiments, de ma vie. Je compose pour bien des choses, mais, ce carnet c'est … Certains gens ont besoin de parler pour évacuer, écrire, ou faire du sport. Moi, au lieu de poser des mots, je pose des notes. Peut-être que des paroles pourraient venir, mais … Je n'aime pas chanter en anglais, alors … C'est toujours un peu compliqué d'écrire dans une autre langue, même si … La plupart sont dans une langue qui est presque ma natale. Mais … Cette dernière composition est … Pour quelqu'un, je … Ne peux la perdre. »

Le jeune homme sourit, nostalgique et rêveur, le tout avec quelques rousseurs sur ses joues.

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« Oh, même sorti tout seul, il fallait aller le chercher loin. Et puis... Je viens de me prendre une douche sucrée, j'ai bien le droit de rigoler un peu. Qu'en dis-tu ? » Je riais. Il venait de marquer un point. Je n'étais pas en position de me montrer susceptible face aux remarques de mon interlocuteur. Autant faire profil bas et ne pas m'enfoncer davantage, même s'il n'avait pas l'air d'être énervé de ma maladresse. « Ca aurait pu être pire... J'aurais pu, par exemple, dire sacrebleu ou saperlipopette ! Nom d'une pipe reste correct à côté... Mais vous avez raison, vous êtes en droit de vous moquer de moi ! », dis-je avec un sourire. Je ne savais pas d'où je sortais tous ces mots datant de l'âge de pierre. Une inspiration soudaine, sans doute. Il allait probablement me prendre pour une folle. « Oui, oui. Bien sûr. Juste... Garde ta boisson à l'abri. Et heu... On va se tutoyer ça a l'air mieux. Donc... Moi c'est Clydwen, enchanté. Disons que... C'est une rencontre choc, on aura du mal à l'oublier. » Je souriais. « Ne t'inquiète pas, maladroite une fois mais pas deux. » Ainsi, cet étrange inconnu s'appelait Clydwen. J'aimais beaucoup son prénom. Il me faisait penser à Clyde, de Bonnie & Clyde. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il était original. « Enchantée alors. Joli prénom. Et va pour le tutoiement ! » C'est sûr qu'il était mieux de tutoyer un étudiant du même âge que moi. Le vouvoiement nous faisait passer pour deux adultes très respectueuses et coincées. « Totalement, difficile de faire plus original ! Au moins, je marque les esprits ! », dis-je en riant. Au moins, avec ma boulette, il ne m'oublierait pas. C'était beaucoup plus efficace que tous les scénarios auxquels j'avais pu penser qui ne lui auraient sans doute laissé qu'une pâle image de moi. Clydwen ouvrit alors son calepin pour me montrer une composition qu'il avait réalisée lui-même. Il m'expliqua que ce carnet était une part de lui, que composer était sa manière à lui de s'exprimer. J'acquiesçais, compréhensive. « Je te comprend. Il m'arrive souvent d'écrire des chansons pour évacuer certaines choses. » Je n'avais d'ailleurs jamais montré mes partitions et mes textes à personne. Je les gardais, secrètement cachés au fond d'un tiroir. « Presque ta langue natale ? » Il avait éveillé ma curiosité. S'il composait dans une langue autre que l'anglais, mais qui était presque sa langue natale, quelle pouvait-elle bien être ? Je vis les joues de Clydwen rosir lorsqu'il évoqua le fait que cette composition était pour quelqu'un. A son air rêveur, je comprenais qu'il s'agissait d'une fille. Je souriais. « Eh bien, cette personne est vraiment chanceuse d'avoir quelqu'un qui compose pour elle. » J'avais toujours trouvé affreusement romantique qu'un homme compose pour les beaux yeux d'une fille.

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