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Indigestion dans les buissons, so glamour - PV ADAM -

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CLOPES TRAITRESSES
- NUIT INFERNALE -

- PV ADAM -
Indigestion dans les buissons, so glamour - PV ADAM - 440057evilsmokingman1

Orion bailla. Fatigué comme pas permis, heureusement que ce soir , il n'y aurait pas de fête. Ils avaient enfin compris que le corps humain avait besoin de sommeil. Il y aurait certainement quelques perturbations sexuelles comme d'habitude, mais rien qui ne le réveillerait vraiment. Cet hôtel était un baisodrome. Il se demandait comment il avait pu jusque là conserver sa virginité au milieu de tout ce bordel notoire. Des piliers de comptoirs, qu'ils aient des seins ou pas, par la moitié de ces étudiants. Profitez de votre jeunesse, qu'ils disaient ! Et crevez tous jeunes aussi. Ce n'était pas être rabat joie pour Orion que de préserver sa santé un minimum et éviter les MST , non parce que ces bêtes là qui passaient dénudées dans les couloirs, elles ne devaient même pas savoir ce qu'étaient une prise de sang. Brrr... Orion se faisait des noeuds au cerveau rien que d'y penser, mais ce soir, il allait enfin être au calme. Il était assis sur une rambarde en face de la plage. Fixant la mer, sa divine ennemie, avalant visuellement toutes ces vaguelettes qui l’apaisait , et ce son qui lui envahissait les sens jusqu'à la nuque. Il aimait ce silence, cette harmonie. Harmonie qui fut rompu par trois mecs de l'hotel qui passèrent derrière lui et l'un d'entre eux s'arrêta pour lui rendre des clopes. Il lui devait un paquet. Avec les intérêts qu'il avait sorti. Les intérêts ? Ou ça? Le grand brun le remercia et s'éloigna tranquillement. Il avait l'air sérieux. Ok , bon. merci pour le paquet, au moins t'es réglo. Orion haussa les sourcils et descendit de sa barrière en voyant l'heure.

Il se passa une main sur la nuque et soupira. Onze heures du soir. peut être allait-il réussir à dormir un peu cette fois-ci ! Fringué d'un jean foncé, d'une chemise noire et d'un débardeur de même ton dessous, il s'enfonça sans trop se faire voir entre les buissons, trançant à travers le parc, pour finalement arrivé au jardin de l’hôtel. Il y avait encore un peu de chemin à parcourir. Depuis midi, il sentait son ventre l'emmerder. Il posa sa main sur un tronc, et l'autre sur son estomac , juste sous les côtes. Merde, il faisait quoi une indigestion? Pourtant les crevettes étaient les mêmes qu'il avait mangé à plusieurs reprises à l’hôtel... Quelle merde... Il respira profondément et se sortit une clope du paquet qu'on venait de lui rendre. Même marque et plein. Ça tombait bien , il n'en avait plus. Les mains tremblantes, il se l'alluma et se posa , debout  , dos contre un arbre, pour quelques minutes avant de reprendre son chemin. la première fut vite fumé. C'était une de ses addictions. Il ne buvait pas et se droguait pas, il était juste addict invétéré du tabac et du café. C'était un petit génie de la musique, sérieux et assidu , qui ne faisait jamais la fête, ne baisait pas, et ne s'accordait que peu de plaisir, alors merde, la clope et le café était vital. Il s'en alluma une seconde. Il se rapprochait de l'hotel. Puis une troisième. Il était anxieux. Pourquoi? Comment ? Et pourquoi le malaise ne passait pas. Il fut pris de vertiges et s'appuya contre un arbre, et ses pupilles aux iris bleus pâles se figèrent sur la clope...

- Merde...


Il avait compris ce que l'autre avait voulu dire par intérêt... Ce mec avait peut être pensé à bien de lui rajouter un truc pas catholique dans le tabac de ses clopes, mais il ne touchait pas à ça , contrairement aux trois quarts de cet hotel... Le malaise de son ventre finit de s'agraver, et il finit à genoux à vomir ses tripes dans un buisson , sans aucune discrêtion. Il avait horreur de vomir. C'était une des choses les plus infectes qu'il lui était arrivé de subir, et cette sensation n'avait pas changé. Son diaphragme se contractait violemment et il renvoya tout ce qu'il put , avant de se décaler et de finir à genoux face à un arbre, le jean dans la tête, le souffle court , le visage grimaçant. Sa main monta sur l'écorce , son front toucha la structure râpeuse, et son autre main appuya sur son ventre. Il était mal... Vraiment mal.. Ça tournait... Il ne fallait pas avoir inventer le fils à couper le beurre pour voir qu'il n'était pas habitué. Bon dieu, qu'avaient-ils mis dans ses clopes. Tremblant , tentant de maitriser son souffle, il était bien malade là... Et pas qu'à cause des clopes... Cette dernière fumait au sol, et il ragea doucement en serrant les dents. Ses yeux se fermèrent et il tenta de se relever de son mètre quatre vingt à peu près... La vue pas trop net. il avait encore envie de vomir et tenait à peine debout... Ça ne lui était jamais arrivé... Et pour rentrer à l’hôtel , ça allait être coton...
 
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J'avais jamais aussi bien dormis -même si ma position n'étais pas des plsu agreable- de tout ma vie. L'hôtel du summer camps était un véritable enfer. Personne ne rentrais avant minuit sans bruit d'animaux du a l'alcool ingurgité, ce qui bloquait un peu mon horloge interne. Alors, c'était dans un grognement que je répondis à l’infirmière lorsque celle ci me bougeais l'épaule doucement. Elle m'expliquais que les examens de Sven avait été toute faites et qu'il avait été emmené dans un autre hôtel pour se reposer. C'est vrai que c'était un bonne idée mais le fait est que je n'allais pas voir Sven jusqu'à son rétablissement me fis un nœud a l'estomac : pourquoi ? Parce que c'était un peu a cause de lui, que ma soirée avait été quelques sorte détournée de son but et que je me concéderais comme une espèce de gardien, pas bon samaritain je vous arrêtes ! Quoi que... L’infirmière me proposa de prendre un taxi et j'acceptais car je marchais pas encore super droit et que pour marché environs trois quart d'heure je ne me sentais pas capable. C'est donc quand le taxi d'une couleur jaune equaller que je rentrais pour découvrir un l’intérieur un odeur épouvantable, entre l'indigestion et les secrétions, mais ne commentais pas plus que part une grimace. Je dit rapidement l'adresse et le conducteur sifflais au noms de l'endroit : ce n'était pas vraiment donné, c'est vrai. J'étais tellement fatigué que quand il fallut sortir du taxi mais jambe tremblais légèrement et même l'odeur de l'automobile ne m'aurais pas gêner pour une bonne nuit de sommeil mais soit, il venait de partir. Je sortais de mon sac un sweet shirt bleu marine et mes lunettes car en me baignant j'avais perdue mes fameuse lentilles de contact... Malheureusement, sela concluait qu'Il allait falloir que je m'en rachète car mes lunettes de vue me faisait un peu honte : la monture était énorme et pas vraiment discrète et d'une couleur entre le noir et le bordeaux. Mais dans le noir personne ne remarquerait. Je rentrais en direction du hall lorsque j'entendis un bruit un peu connue à Harvard : un vomissement continuer de petit toussement desagreable. Je m'avançais vers le jeune homme appuyer vers l'arbre mais celui n'avait pas vraiment l'air de cette avis : il marchais en direction du hall, je continuais a m'approcher et mis ma main sur son épaule et lui dit d'une voix rassurante : «Je peux vous aidé ? On peut demandé une bassine a l’accueil si vous voulez ? » je le regardais avec inquiétude et servis mes bras développer grâce à la boxe pour le hisser jusqu'à l’accueil dont je demandais gentilement tout le nécessaire, celle ci me tendis un petit bassine rouge et je la remerciais tandis que je donnais sous le visage du jeune homme. Il devait d'être d'harvard mais son visage m'étais totalement inconnue. Je lui souriais toujours et décrochais un baillement.  
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Orion avait quitté l'arbre. Gentil arbre, ton écorce gratte quand même. Et puis il ne pouvait pas rester ici comme un gland à se serrer le ventre de douleur. Il se releva et commença à tituber vers le hall. C'était dur d'avancer droit. Il ne supportait pas cette sensation d'impuissance physique. Il détestait être malade, et il supportait de moins en moins ces foutus vacances. Il s'était fait agressé par des folles en chaleur, avait failli mourir noyer, s'était pris la compagnie de cinq, six , dix ... gens complètement péter, avait subi les nuits de déchéances des autres, et cette chaleur allait le rendre dingue... Dieu qu'il aspirait à l'automne. Oui , il le voulait , de tout son être. Il le voulait. Mais là , ce qu'il voulait par dessus tout , c'était en contact crapuleux avec son oreiller, épouser son matelas et faire des bruits animaux pour gémir sa douleur et son état pitoyable, comme tout primate qui se respecte. Il avait mal... putain ! Ça l'énervait ! Et quand il avait mal , il était irritable, surtout quand la raison était stupide. Il n'était donc pas super réceptif, et si on voulait l'aider, il faudrait l'obliger, faire du forcing. C'était souvent ça avec Orion. Il était totalement paradoxal. Il repoussait les autres , mais leur reprochait aussi de s'en aller. En gros pour faire partie de son entourage proche, il fallait avoir les couilles bien attachées, être inconscient ou masochiste, ou tout ça à la fois, et ne pas s'arrêter à la première vision établie. Et il ne s'était jamais montré totalement à qui que ce soit. Ni même à Snow, qui était son amie depuis une bonne année, presque sa soeur, ni Camille, à qui il aurait pourtant pu s'ouvrir... Le seul à le connaitre le mieux était Siméon... Pourquoi, comment , ils n'en savaient rien tous les deux apparemment. Ils étaient juste liés par beaucoup de choses sans vraiment comprendre quoi et les deux semblaient s'en satisfaire. Il était un des rares à qui il pouvait accorder sa confiance, du moins le maximum de confiance qu'il pouvait. Et puis il y avait Dante, son mantor, celui qui l'avait pris son aile à son arrivée. Pourquoi, là aussi c'était une énigme pour Orion, mais c'était comme ça.

Il se décala un peu vers un mur, quand une main se fit sentir sur son épaule. Il tourna des yeux fatigués et malade, et ne put rien répondre que déjà , l'autre étudiant l'aidait , alors qu'il avait l'air tout autant fatigué que lui. Il se laissa faire, pas chiant pour deux sous, il avait au moins la possibilité de marcher droit , et de pas finir le nez par terre. Il avait l'impression de subir le même effet qu'une gastro et c'était franchement désagréable. La massine qui lui fut tendue avait un relan de vomis et de trucs non identifiés. Quand on lave du plastique madame la secrétaire, on s'assure de le faire avec de la javel ! Le plastique ça garde les odeurs. Et cette odeur horrible , lui fit se mettre une main sur la bouche et le nez. Il fit valdinguer la bassine sur le comptoir de l'accueil et courrut comme u pingouin bourré jusqu'aux chiottes de l'accueil pour s'engouffrer dedans et tomber à genoux , devant un chiotte, pour se vider la bile dedans. Pourquoi la bile? Parce qu'il n'avait plus trop grand chose à renvoyer avec ce qu'il avait déjà laissé dans les buissons avant ça. Le bruit fut juste infâme venant de l'accueil et la nana regarda le brun qui avait accompagné Orion pour lui dire:

- On dirait que votre ami a trop bu ...
- J'n'ai pas bu ... , râla sourdement Orion , en entendant ce que disait la fille depuis les chiottes.
Au moins son ouïe n'avait pris aucun choc , et c'était important. Il se releva et sortit en répétant , affalé sur le mur comme un animal qui vient de se faire percuter par une voiture, le regard d'un défoncé, et les mèches blondes en vrac sur le visage. Il se tenait le ventre:

- J'n'ai pas bu...Vos crevettes ne sont pas passées, et on m'a filé des clopes... qui n'étaient pas des clopes en remerciement d'un dépannage... J'suis pas du tout fêtard...

Et sur ses mots, il bascula en avant. Il n'y avait plus qu'à espérer que l'autre le rattrape pour le conduire à sa chambre.


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J'avais donc quitte le cuir douillais du taxi tout en étant énormément fatigué et stressé : je n'avais pas vraiment eu de nouvelle de Sven vue que je ne faisait pas partis de la famille du "patient" et en plus c'était pour me retrouver nez à nez avec un mec puant la bière et la cigarette et de surcroît en vomissant sur un pauvre arbre. J'allais bientôt devenir jésus j'vous l'dis moi. C'est donc dans un geste de gentillesse et de réconfort que j'emmenais le jeune homme vers le comptoir pour demander une bassine quel me tandis. L'odeur y était encore plus infâme que le jeune homme lui même, je haussais le sourcil indigné vers la demoiselle qui me repondait par un haussement d'épaule de jem'enfoutisme, je t'en foutrais moi ! Un hôtel 4 étoiles même pas capable de désinfecter un putain de bassine, pas croyable. Je tendis tout de même la bassine vers le jeune brun qui venait de virer au vert, mais celui ci partis en direction des toilettes tout en marchant d'une façon étrange, si je n'avais pas été inquiet j'aurais rigolé jusqu'à m'en casser une côte. Mais pour le moment je suivais le jeune homme suivis de la femme d’accueil, toujours a bassines en main, pour lui tenir tout les cheveux qui pendait sur son visage qui aurait pus avoir une superbe coloration verte -ca lui irais pas bien en plus avec ces yeux- je fis un sourire crispé envers la femme d’accueil qui se demandais si mon "ami" n'aurais pas trop bu durant la soirée, je ne répondis pas car le jeune homme pris parole en baragouinant une histoire de cigarette qui n'étais pas des cigarettes. J'avais l'impression que E.t -téléphone maison- venait de me parlé en personne mais bon, faut pas se tenir a plus avec un mec malade, mais hop action réaction je rattrapais le jeune homme tombé en avant. Même avec ma force de boxer, retenir tout son poids, ce n'était pas facile a faire. je réussis a le mettre sur mon dos et de rentré dans l'ascenseur où il y avais déjà deux autres jeune étudiant de harvard qui connaissait déjà ma sexualité -c'était pas vraiment un secret içi- un des trois rigolait en me demandant si c'était un coup que j'avais fatigué, je lui souri aimablement avant de lui répondre d'une voix fatigué :  «Non pas vraiment. Je l'aide juste a le rentré dans sa chambre et je le laisse tranquille. Vous savez pas dans quel chambres il est par hasard ?» on me répondis négativement et soupirais, il allait falloir que je le réveille dans ma chambre, le temps qu'il me dise ou il piaule la nuit - si il arrive a dormir avec un boucan pareille. Je passait ma carte et fut répondu par un petit bip et je rentrais sur la pointe des pieds mais soufflais et remarchais normalement, j'étais tout seul. Je reposais l'homme sur mon lit et remplissais un bassine d'eau froid et d'une espèce de torchon ainsi que une autre bassine sentant légèrement mieux que celui de l’accueil. Je déposais a ses pied tandis que je me pris une pomme dans mon sac et ouais j'étais reste tellement tard dans la soirée que j'avais faim. 
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[Il est blond et non brun XD. Et il n'a pas du tout bu ! Ni bière ni rien ! ^^ Je le dis parce que tu l'as marqué ]

On lui tenait les mêches, oui non parce qu'il avait voulu faire son courageux à tenter de ressortir mais avait de nouveau fini au dessus des chiottes, et le pire dans tout ça , c'est pas quand vous gerbez et que vous avez encore quelque chose, non , c'est quand vous gerbez et que vous n'avez plus rien. Là , vous avez l'impression de recracher tous les liquides que vous pouvez et que vos organes ont aussi envie de sortir. Orion émit un râle de rage, il ne supportait pas son propre état et frappa du plat de la main le rebord de la cuvette en toussant.

- Vous , n'en rajoutez pas ! grogna-t-il, le regard larmoyant des efforts que provoquaient les vomissements, et ses yeux retrouvèrent rapidement leur aspect clair et ordinaire si ce n'était cette envie qu'il avait envie de coller sa main dans la tête de cette fille.

C'était lui où aujourd'hui, la plupart des filles étaient juste superficielles, capricieuses et pas aidées. Après on pouvait pas lui en vouloir de ne pas laver toutes les trente  secondes les bassines, avec tous les pochtrons d'étudiants qui passaient dans le coin. Si ? Si on pouvait ! Du moins Orion le pensait là tout de suite et se foutait que ce soit moral ou pas. Il avait juste envie de lui mettre sur la tête, mais n'en eut pas l'occasion parce que le brun prenait les commandes, et le remettait debout pour le charger sur ses épaules. Vla autre chose... Il était pathétique à ce point? On dirait que oui. Orion se laissait donc traîner à moitié comateux  dans l'ascenseur, somnolant et se concentrant surtout sur le fait de ne pas vomir sur le mec qui avait la décence de l'aider. Ses yeux ne s'ouvrirent même pas le temps de l'ascenseur. Oh la sensation horrible ! Déjà que debout , ça fait bizarre au bide quand l'ascenseur s'arrête, mais là , il eut l'impression qu'il allait se noyer dans le malaise... Il n'était pas que défoncé par cette substance rajoutée dans ses clopes, il était bel et bien malade aussi. Ses pupilles captèrent un couloir qui ressemblait au sien , en même temps la moitié de l’hôtel était identique en tout point , couloir, portes etc . Et aussi la taille des bras du mec. Ok . Ne pas le contrarier ou c'était un cas à repartir sans sa tête ça.

En quelques minutes, il se retrouva allongé sur un lit qui n'était pas le sien. C'était pas son odeur. Sans comparé Orion à un chien , il était habitué à son odeur , ses petites manies , l'emplacement de la table de nuit etc et la couleur de sa couette etc . Là tout était différent. Il tomba sur le lit de tout son lit , dans un râle grogné , et porta une main sur son visage , le crâne enfoncé dans un coussin.

- Tu m'crois pas quand j'dis que j'ai pas bu hein... Ça tourne ... Et j'entends... un bruit aigu...

Il faisait chaud... Lui qui n'était déjà pas frileux , c'était pas tip top cette histoire. Et pourtant il ne portait qu'un tee shirt. Il allait tenir. Il avala sa salive et s'écrasa un coussin sur la tronche en gueulant dedans pour décompresser puis, plus aucun bruit et laissa son bras retomber sur le lit , respirant calmement ... Il ne dormait pas, il essayait juste de se calmer. Ses deux jambes pendaient du lit à hauteur des genoux , et il restait là comme une loque, une première pour Orion.

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[Autant pour moi. Sorry un peu court :)]

En regardant bien. On pouais croire que la femme de l’accueil avait l'air du sosie de Nabilla: elle avait un énorme capot avant mais pouvait on en dire autant de son cerveaux, et en plus elle rester là comme une potiche ? Soit je suis un peu méchant mais j'étais extrêmement fatigué et je ne pensais pas forcement a ce que je disais ni finir la soirée a tenir les cheveux du jeune homme qui débagoulercomme pas possible de partout, dans les chiottes dans un l'hôtel de luxe ou les personnes de harvard participaient summer camp séjournait pour l'été. L'homme avait l'air un peu trop vulnérable et j'avais décidé de l'aidé a rentré dans ça chambre en le prenant sur mon dos, les yeux vitreux et les cernes de trois kilomètres me confirmais mon hypothèse : soit il avait fumé un truc soit il dormais pas depuis des jour et été tombé malade. Malheureusement, j'y découvris trois autres jeune hommes de Harvard me montrant le jeune sur mes épaules tout en me posant des question sur ma "proie" du soir je fit mine de pas les entendre et leur demandais si ils ne connaissaient pas le numéro de ça chambre et bien sûr non, si j'allais l'emmener dans ma chambre ca allait jacasser dans tout les chambres mais jd n'allais pas le laisser seul dans un couloir. Je soupirais et en le hissant encore un peu je l'emmenais en direction de ma chambre qui heureusement, était vide parce qu'il allait falloir tout nettoyer et désinfecter je pense sinon bonjour l'odeur ! Je le déposais délicatement et souris en voyant la peluche stitch avec des lunettes de rock stars que j'avais gagné a dysneyland avec mon équipe lors d'une sortie. Je lui préparais tout le nécessaire et sortis une pomme pour grignoté après que mon ventre mes crier famine. J'avais une grosse envie de glace et partis en direction du mini frigo, me pris un Mr. freeze au coca pour le sucer goulûment mais tout cela hors de porté du jeune malade histoire de ne pas lui donner envie de vomi. Enfin finis je me rapprochais du lit c'était pas super brillant tout ça : il avait l'air d'avoir super chaud. Je lui sourie et lui dit doucement, histoire de ne pas le brusquer : «Qu-importe... On va pas en chier un cake. Je suis désolé, je n'est pas anti vomitif... Hum... Je crois que vu comment tu est défoncer tu te rend pas compte que tu parle comme un alien là » je lui caressais les cheveux et me redressais pour préparer le canapé lit. Je n'allais pas encore le bougé dans l'état ou il était.
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Orion venait de rager dans le coussin et le poussa un peu sur le coté pour écouter le brun qui lui avait donné un coup de main. Ses yeux bloquèrent sur ... un Stitch. Ok... Qu'est-ce que ça faisait là ça? Dans la tête d'Orion , cet alien était pour les enfants non ? Et puis très franchement , tomber nez à nez avec une peluche de ce style en gros plan, il eut un temps de réflexion à savoir est-ce qu'elle était vraie ou non? On te pardonne Orion t'es explosé, ça va aller mieux d'ici peu. Son oreille fine écouta le brun. Mais il racontait quoi. pourquoi il parlait d'alien et de cake et .... oh ... malade again. Vite ... une bassine. Il se tourna sur le coté et vomit encore une fois sa bile. Il ragea, ça allait commencer à gonfler trés sérieusement. Il perdit même l'équilibre, trop près du bord, et finit à genoux par terre, soutenu d'un bras tendu pour ne pas se bouffer la bassine. Qu'est-ce qu'il avait baragouiné l'autre déjà ? C'était mauvais, super mauvais s'il commençait à ne plus se souvenir. Le grand blond toussa un peu plus le liquide acide, avant de s'asseoir , le doc contre le lit , le cul au sol. Stitch lui tomba sur le haut du crâne et la peluche finit de l'autre coté du lit. Adieu Disney , j'suis pas d'humeur ! D'ordinaire, c'était lui qui jouer aux trucs chevaleresque, c'était pas normal qu'on lui pique son rôle bordel. Et sa tête qui ne cessait de tourner, il voyait flou. Il commençait à penser dans tous les sens à des trucs franchement insensés, et incohérents, et ce n'était pas sans le rendre dingue. Et son haleine horrible de fromage qui pue, et pourtant l'autre lui avait touché les cheveux. Pourquoi il lui avait touché les cheveux au fait ? Orion ouvrit un oeil en coin , fixant le brun, comme un corbeau malade, et suspicieux , se demanda si le type était gay. Non mais , comme s'il fallait être gay pour toucher les cheveux à quelqu'un? Et puis toi aussi tu l'avais déjà fait , plein de fois pour voir comme aller l'autre, parce que c'est bien connu, un mec ou une nana , quand c'est explosé, ça a toujours les cheveux devant le visage. Bah... quand t'es soul, ça sert à quoi de regarder où tu marches? De toute façon , tu te casseras quand même la gueule. Autant faire au plus rapide et moins fatiguant donc, on ote pas les cheveux. Cela dit , avec tout ce qu'il avait vu de ceux qui étaient défoncés et bourrés, et surtout pour les avoir ramasser, il aurait pu faire une encyclopédie. Alors comment se faisait-il qu'il était incapable de voir ce qu'il lui arrivait à lui? Les clopes avaient été imprégnés d'un espèce de speed liquide bizarre comme c'était la nouvelle mode et qui faisait vite perché celui qui fumait ça. Ce n'était pas donné , et le blond en avait fumé trois clopes. Chapeau , maintenant , tu ressembles à un gros babouin , qui louche sur des peluches et qui n'arrive même pas à comprendre le charabia que lui balance son "sauveur". Et cette odeur répugnante, qui venait de la bassine qui lui faisait penser à un plat loupé de sa mère , il y avait plusieurs années, aux aubergines et aux brocolis. Rien que le mélange était fameux mais avec de la crème fraîche périmée, c'était juste infâme. Sans raison apparente, et il valait mieux pas trop chercher a comprendre,  Orion se leva en mugissant comme un gros animal, acte dont il ne se rendit pas compte d'ailleurs, et dépassa le lit , titubant , gestes simiesques à la clef et allure de clodo mal embouché, il gémit un "putain... j'ai une envie pressante..."

En à peine quelques secondes, il finit contre la fenêtre de la chambre qu'il ouvrit. C'était de grande baie vitrée, il sortit sur le balcon et regarda en bas , s'accrocha à la barrière métallique. personne. Du moins , il ne voyait personne. Par...fait! Complètement HS, et gémissant de soulagement , le blond, si guindé et tout droit d'ordinaire, ne tolérant aucun comportement obscène de sa propre part , ouvrit son jean et se soulagea par le balcon. Splendide. Et là , c'était pas une jardinière qui débordait. Pauvre cabot qui pourrait passer dessous. Nom d'une pipe ce que c'était jouissif. Le blond s'arqua en arrière en se finissant de se soulageant , sous les yeux probablement incendieurs de celui qui lui avait sauver la mise, mais de toute façon , Orion ne captait plus rien. Là, il était plus que malade, il était défoncé en plus, et ses pupilles dilatées le prouvaient. Drogué à son insu ! Et juste en dessous , qui passe , mais c'est la Marie, et pas la vierge,  qui avait failli le violer et dont Wyatt avait sauvé ses miches! Poufiasse! Ca c'est pour la tentative de viol ! Tel est prix qui croyait prendre !!! Et la voila pas qu'elle gueule . Bah gueule ! Orion se pencha à la rambarde du balcon , juste un peu pour lui jeter un regard . Il dut fermer un oeil , parce qu'il la voyait un peu flou. Non en fait , c'était pareil. Rah c'était chiant ce truc. Pourquoi l'option floue! Un sourire con s'afficha sur son visage alors qu'il refermait son jean totalement , et émit un miaulement bien fort pour la narguer. Orion ! C'est bien toi ? Elle lui fit un fuck , et une autre lui balança sa godasse qu'il évita on ne sait comment. Il regarda l'objet tomber sur le sol de la terrasse, comme un chien qui ne sait pas rattraper la balle. Ah. Kécécé. Une chaussure. Boh. Qu'est-ce que ça fait là. Il tituba , se pencha, manquant de tomber en avant , et la rejeta par dessus la balustrade avec force. La coquine de la blonde la prit en pleine tronche par pure hasard et les cris allèrent de plus belle. Orion leva la main :

- Pardon ! Pas fait ... exprès !
Il n'écouta pas la suite, cherchant ses clopes. L'envie de vomir n'était plus trop là , mai sil était défoncé.
- Mes... clopes. Stitch... rends mes clopes. Mec , ton singe m'a pris mes clopes...

Ricochet dans un mur. Il fronça les sourcils, prenant un air faussement contrarié et se mit à chanter tout doucement un truc : " And on, I'm alive, I'm alive, I'm alive..." , il s'arrêta , appuyé au mur, pour prendre une boite dans les mains . C'était quoi ça ? Des capotes? Des bijoux? Orion c'est mal de toucher à tout et n'importe quoi. Sa voix s'amplifia, et il chanta plus fort en levant la boite en l'air: And on, I can fly, I can fly, I can fly! And on, I'm alive, I'm alive, I'm alive! And I'm loving every second minute hour bigger better stronger power ! I got that power! I got that power!  I got that power ! Power power power! " C'est ça , tu got le power. Bah got le bien , parce que le descente va être comique, vu ton état. Arès, il fit des bruits avec sa gorge et s'approcha d'Adam , en lui passant le bras autour des épaules, se vautrant presque de son poids sur le coté de son bras:

- Tu sais quoi... Il parait que Dieu a créé l'alcool pour les femmes moches baisent quand même... Bah tu veux que j'te dises... *hausse les sourcils en fixant dubitatif la baie vitrée ouverte* même les moches, je les baiserai pas... Elles sont folles, hystériques, violentes et capricieuses... Qu'est-ce que tu veux qu'je foute de ça hein.... dis moi... T'façon , j'suis puceau , elles m'auront pas !

Vas y , gueule sur les toits toi! Nonobstant le coté complètement explosé, Orion gardait sa prestance et ce coté petit bourge, bon à l'haleine douteuse et qui venait de pisser sur une fille et chanter du Justin Bieber à tue tête, mais il s'en souviendrait en riant. Hein. Oui oui... oui. Eh merde, demain , il allait se détester. Et pourquoi il jacassait avec un suceur de Mr Freeze ? Boh allez, fallait bien faire d'une pierre deux coups. Il s'occupait de tout à la fois, allez ! Comme d'hab ! Et dire que quelques minutes il reprochait au brun de dire n'importe quoi ... C'était la chaudière qui reprochait à la marmite d'avoir le cul noir. Woh , touche pas à mon cul , il va bien pour le moment. Et sans savoir pourquoi , Orion se détache du brun et se mit en face de lui , bras tendus en le fixant trés sérieusement comme si sa vie en dépendait :

- J'ai une question super existenc...exis... putain! Existencielle ... à te poser.
Quoi , il allait faire une déclaration ? L'embrasser? Et bah non.
- Est-ce que tu crois que Jack aurait pu survivre sur le Titanic...?

Il lui lâcha les épaules et prit un ton grave, lui tourna le dos pensif.
- Non parce que si t'y penses ... c'est carrément illogique le film... Pourquoi il a pas poussé la fille aussi...





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J'avais trop bue. Beaucoup trop bue. Mais j'avais l'impression de ne pas être le seul qui été completement défoncé ce soir... Il vomissait pour énième fois depuis qu'on été rentré dans la chambre tout en regardant d'un air suspicieux ma peluche stitch : bin quoi ? Il a the style mon alien !  Je mettais même acheté la casquette qui allait avec, je ne sais pas vraiment ce qu'il y a de mal a retomber en enfance de temps en temps. J'eu une soudaine envie de vomir aussi et m'excusait auprès de lui tandis que je courais vers les toilettes. J'avais vraiment trop bue a croire. Je détestais être malade, surtout en vacance en faite. Je m'essuyais avec le premier papier cul non utilisé qui me tombais sous la main pour m'essuyer les levres. Mais il y a avait quelques chose qui cloche : il est passé où, le défoncé ? Ah oui au balcon... Mais il faisait quoi là ? C'est la crise économique ou quoi ? Les toilettes sa existe ! Quoi que je les utilisait il y a quelques instants. La vierge mari m'étais tombé sur la tête où je le voyais hurlé contres de fille qui lui lancèrent un talon aiguille qu'il relançait immédiatement mais maladroitement. Je soupirais et me laissais tombe sur un fauteuil tandis qu'il rentrais a nouveaux dans la chambre, les yeux explosé. Si il n'avait pas fumer ou avalé un truc illicite, j'aurais opté pour un ulcère en phase terminal. Je lançais un wasa surpris lorsqu'il cherchais ses clopes en disant que ma peluche ne voulait pas me le rendre. Je me mis une main au visage, exaspéré. Il fallait vraiment que je me tape un de ces cas ! Mais je ne lui en voulait pas il voulait profiter de ce qu'on appelait "la jeunesse". mais jeunesse ou pas il sentais vraiment comme un camion poubelle mixer a une haleine de chacal en plein mois de Juillet là. L’australopithèque, oui c'est comme ça que j'appel les personnes non sobre, pris une boite... Putain ma boite ! Il y avait quelques chose de très précieux un cadeaux d'un amie très cher et en plus il commençait a "chanter" a tu tête une chanson de justin bierber, un supplice pour mes oreille. J'allais perdre 25% d'auditions si cela continuais, mais ouf il arrêtais rapidement. Je lui arrachait la boîte des main, soufflant en remarquant que le collier n'avais rien je le regardais sérieusement «Arrete de faire ton hakuna matata. Et ne touche plus a cette boite sinon ça va mal ce terminé... Tu seras en miette comme des chocapics ok ?» cette menace était légère car de tout façon le jeune homme ne faisait pas attention a ce qu'il fessait et disait. Il m'expliquait qu'il était vierge mais cela me surpris pas tant que ça, je l'étais encore jusqu’à quelques mois mais j'avais l'amabilité d'être discret et de ne pas le dire mais encore une fois il été vulnérable au produit qu'il avait inspiré. Je lui sourie avant de lui dire avec légèreté :« Oh tu sais moi même avec de l'alcool. J'aime avoir un bon cru dans mon lit. Tu sais ce qu'on dit aussi ?Qu'il n'y a aucune différence entre un lapsus ou un cunilingus car de toute façon, un écart de langue et tu te retrouve dans la merde. Apres je peu pas te dire ci c'est vrai je suis gay.» je fi un rire rauque. Je sortais mes connerie sortait sans vraiment faire attention. Je me redressais pour le prendre en marié pour le déposer dans le lit lui bredouillant une réponse sur le titanic et je me pris un coin du lit, je jurais et commençais a sauter a cloche pied
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Pourquoi il lui parlait chocapic lui ? Il était fou? C'est super dangereux des chocapics. Les mecs avaient inventé ça comme des petites vagues plates, mais Orion avait bien failli se trancher une amygdales avec une fois. Faut pas rire avec les chocapics. Il regarda le brun de biais et ferma encore une fois un oeil : Un cereale killer. Cette fois-ci il en était sur. Et Stitch qui lui faisait de l'oeil sans lui rendre ses clopes. Lui aussi il était dans le coup , il le savait. Orion délirait totalement. Mieux vallait ne pas lui rendre ses clopes vu ce qu'elle lui avait provoqué, le problème , c'est qu'il les avait en vue et il fit un gros bruit genre babouin , avec des gestes un peu simiesques pour arriver jusqu'à la porte. Un singe un peu bancal quand même, et d'ailleurs en se penchant en avant , il se tapa la tête contre le mur. Il finit a genoux par terre, une main sur la tête. Apparemment , mauvais calcul de distance. Le délire du mur était vite reparti. Il fronça les sourcils et se mit dos au mur et murmurant , louchant sur son paquet trés près.

- P'tet que Captain Jack Sparrow est complice avec lui aussi et qu'ils sont responsable de la mort du Titanic...

On dit naufrage Orion. Pas mort. Un bateau ça ne meurt pas. Et les fameuses clopes qu'il avait eu par une connaissance en juste retour des choses, qui contenaient aussi cette fameuse drogue , qu'il tenait dans la main là. Ses doigts bagués l'ouvrirent et il en prit une , qu'il calla dans ses lèvres. Merde, un briquet. Il lacha le paquet par terre et regarda autour de lui , puis regarda Adam .

- Hey le Cereal Killer , t'aurais pas du feu? Ma clope est toute triste là.

Orion défoncé c'était violent , mais orion sans clope c'était pire. Il lança un regard méfiant au brun. Le cul par terre , le corps à moitié en travers de la porte ... A cet instant , deux filles poussèrent sur la porte d'entrée comme des demeurées et lui défoncèrent l'épaule. Orion tomba comme un cachalot échoué sur le coté , crachant sa clope sous le choc et sa main se porta à son épaule. Attaque d'aliens ! Elles en avaient bien la gueule, bien qu'il ne les vit pas, trop occupé à mugir la tronche contre la moquette. Trions les acariens.  Touché ! Elles éclatèrent de rire et s'excusèrent pour le dérangement. Orion grimaçait et se retourna sur le dos et grognant . Putain , douleur ENCORE! Oh ce qu'il en avait marre de ce mois d’août ! CONASSES !!! gueula -t- il en cherchant sa clope, un peu enragé... Péter en deux.... Non.... non non non... Son front se posa au sol dans un gémissement désespéré, sa main toujours sur son épaule. ET comment se faisait-il qu'elles avaient pu rentré ces connes! Et s'il était en pleine partie de jambes en l'air hein !!! Oui enfin non , pas dans son état , mais elles n'étaient pas sensé savoir. Il retiendrait en tout cas qu'il ne faut jamais s'asseoir à coté d'une porte. Surtout quand on cherche son briquet et qu'on est avec un cereal killer. Hakuna Matata qu'il avait dit... Pourquoi au juste? Au fond de sa tête, entre deux acariens et des plis de son jean , Orion essayait de retrouver ce que cela voulait dire.

Après quoi il se fit soulever en princesse. What qu'est-ce qui se passe ? Ou ça ? De quoi ? Le sol s'éloigne ? je suis mort ? Mon corps s'élève ? Pof dans le lit. Ah non . Et l'autre qui se tapa le pied dans le lit. Orion qui avait retrouvé ses bouts de clope , qu'il avait foutu tous les deux dans ses lèvres , éclata de rire et l'un d'eux rentra dans sa bouche. Il s'étouffa avec . Putain ... Il se pencha sur le coté et essaya de respirer, pour finalement recracher la clope sur le sol...

- J'ai failli mourir mec... Stitch est télékinésiste... il m'a foutu la clope dans la gorge.  
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