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VIOL DE "CABOT"!
A LA CHASSE AU PUCEAU!- PV Wyatt -
Clopes aux lèvres, jean , maillot de corps basique noir, docks cirées, du classique pour Orion, il marchait calmement en lisant un bouquin d'une main , et tenait de l'autre un double repas pour un de ces coloc , qui l'avait informé après coup que finalement, il irait par la petite soirée du première étage, organisée par une cabot. Ces filles pimpantes, qui aux yeux d'Orion était vulgaires, peinturlurées, perverses et complètement dépravées, ce qui faisait de ces filles dites des plus belles, les plus laides à ses yeux et au cerveau pas plus gros que celui d'une moule pas fraîche. Les détestait-il? Non. Les aimait-il? Non plus. Il s'en foutait royalement du moment qu'elles ne l'emmerdaient pas. Avoir rencontré Lily était déjà suffisant. Elle lui avait déglingué la libido de manière douloureuse en une seule soirée, et il avait mis plus de trois jours pour arrêter de se poser des questions et retourner dans son état de pseudo abstinent qui ne pense jamais à ces choses là, les considérant comme obsolètes, et non bénéfiques au développement de son intellect. Chacun avait ses priorités dira-t-on.
Le blond traversa l'allée principale de l'arrière de l’hôtel, concentré sur un nouveau bouquin sur les théorèmes de l'intériorisation , de bidulchouette énième philosophe contemporain, quand il entendit un sifflement. Il fronça les sourcils, et ôta un écouteur de son oreille droite. Ses pupilles se levèrent sur les fenêtres et il n'y vit rien. Bizarre. Il remit son écouteur et s'éloigna , ayant pour objectif de tracer vers la plage privée, pour manger un morceau en solo, et écouter la musique. Ses crampons contournèrent un tronc d'arbre. Au loin les vagues assénaient leur chant régulier comme une ode à l’apaisement. L'apaisement... Le blond en était au passage de l'évolution libidinaire des adolescentes, quand il entendit justement des gloussements. Il soupira, leva les yeux au ciel et ota définitivement les écouteurs de ses oreilles, les rangeant dans ses poches. Bon, elles étaient où ces gamines...? Ça allait deux secondes leurs petits jeux puérils de chattes en chaleur. Ses yeux se plissèrent quand il vit deux grandes blondes avec une poitrine pas négligeable sortir d'un buisson épais. Rouge à lèvres flashy , yeux surchargés, ongles de sorcières de toutes les couleurs, short à moitié des fesses, et haut de bikini dévoilant des ventres plats et joliment bronzés... Des beautés nordiques, mais des beautés nordiques trop maquillés et complètement bourrées, ou défoncées, dont le regard ne lui disait rien qui vaille. L'une d'entre elles semblaient avoir du mal à regarder droit d'ailleurs.
Non mais serieusement... Il n'était que dix heures du soir... Et elle ressemblait déjà à des poubelles municipales de luxe... Le genre où on ouvre le couvercle, où on y décharge tout ce qu'on a, qu'on referme et qu'on attend qu'elle se vide pour de nouveau les remplir... Il ne voulait même pas savoir de quoi été trempé la seconde d'ailleurs. Ca avait l'air de coller son truc... Orion prit un visage méfiant , clope au doigt , le regard incisif, et se stoppa.
- Salut chéri... t'es libre ce soir...?
Ça faisait très putain notoire là... Non , chéri pas libre, toi prendre tes gros seins siliconnés et partir chercher tarzan fougueux ailleurs.
- Non, on m'attends, allez jouer ailleurs les filles.
- Roh fais pas ton trouillard... t'es plutôt mignon. T'es puceau?...T'as une copine?
- Oui justement j'en ai une. Alors vous êtes gentilles, allez draguer ailleurs.
- Elle peut bien partager ... , sourit la première , qui était déjà proche, trop proche au gout d'Orion qui sentait ses nerfs lui taquinait l'arcade.
Il avait horreur de ça... Ce genre de garces qui n'ont aucune respect pour les autres. Elles n'étaient que deux , ça allait. Ils allaient pouvoir les maîtriser un minimum. Il posa son sac plastique sur le coté sur un muret et se retourna vers elle, levant les mains.
- On se calme, j'ai dit non.
- Sauf que tu vois chéri... Ce soir... C'est pas toi qui décide, dit la seconde avec un sourire malsain, en sortant un ruban bleu.
Hein? Quoi? Orion fronça les sourcils et n'eut pas le temps de se rendre compte de quoi que ce soit que quatre bras sortirent d'un énorme buisson , à coté d'un bac de bois. Deux se fermèrent sur le bas de son visage et les deux autres passèrent autour de sa gorge. Il ouvrit en grand les yeux , ses mains qui attrapèrent les bras venant de derrière, et les deux autres filles se jetèrent sur lui en riant :
- A table!
Orion traversa le buisson en essayant de garder son équilibre, mais ses pieds quittèrent vite le sol, où il s'écrasa dans un gémissement grave , fermant les yeux sous la violence, avant de se faire écraser l'estomac par la blonde du début qui lui choppa les mains avec l'aide d'une autre nana , et elles lui lièrent. Bordel.. c'était quoi cette blague ! Le blond essaya de les repousser mais l'une d'entre elles choppa ce qu'il y a de plus sensible chez un mec et serra .
-Teuh...teuh... sois mignon chéri... là... c'est bien...
Sous la douleur , Orion dégagea sa bouche et grogna , puis incendia la blonde du regard alors qu'une autre lui remettait les mains sur la bouche. Deux ça allait mais quatre ! C'était quoi cette histoire! La blonde sortit un cran d'arrêt en buvant une bouteille de vodka à même le goulot.
- Tu sais ,y'en a plein de donnerait cher pour nous avoir toutes les quatre en même temps.
Il se redégagea la bouche et gueula :
- Spece de tarée...! Casse toi ! Jamais j'm'enverrai une catin de ton genre ! Plutôt crever puceau!
- Oh t'es puceau...
Il ragea violemment , fit voler la blonde de son ventre, et collant sous genou dans le ventre de l'autre derrière elle, pour tirer sur ses mains, et se relever en trombe, filant à travers les buissons, les mains liées, qu'il essayait de se détacher.
- Attrapez le moi!
Non, oubliez-moi ! Orion traversa le bosquet. Non de dieu, on était devant l'hotel, comment ça pouvait arriver ce genre de trucs! Il s'arrêta un moment. Elles n'étaient plus derrière lui. Inquiet et méfiant , ôtant le ruban mal serré de ses poignets, lui ayant laissé des marques quand même, il se retourna et chercha du regard... l'oreille infaillible, il guettait le moindre bruit. Un rire par ci ... Un rire par là... Ces saletés s'amusaient à tourner autour de lui. Un craquement , il se retourne, mais trop tard , un morceau de bois en pleine gueule et il finit au sol, alors que trois autres silhouettes à moitié dénudées et titubant se profile dans les branches....
- Salopes...
- Sois poli...
Il cracha un peu au sol, à genoux, mais finit rapidement sur le sol, sonné.
- Non...
- Si..
Déchirement de tee shirt avec le couteau de la blonde avec le couteau à cran.
- NON ! ARRÊTEZ VOS CONNERIES! WOH ! merde...
Il n'y voyait plus grand chose, et ses sens étaient brouillés. Le coup de bûche, ou de planche ou un manche d'outil qu'un jardinier avait laissé traîner, lui avait explosé le coté de l'arcade. Il était bien mal barré là... Une première nana s'assit sur le premier bras, une deuxième sur le second...
Le blond traversa l'allée principale de l'arrière de l’hôtel, concentré sur un nouveau bouquin sur les théorèmes de l'intériorisation , de bidulchouette énième philosophe contemporain, quand il entendit un sifflement. Il fronça les sourcils, et ôta un écouteur de son oreille droite. Ses pupilles se levèrent sur les fenêtres et il n'y vit rien. Bizarre. Il remit son écouteur et s'éloigna , ayant pour objectif de tracer vers la plage privée, pour manger un morceau en solo, et écouter la musique. Ses crampons contournèrent un tronc d'arbre. Au loin les vagues assénaient leur chant régulier comme une ode à l’apaisement. L'apaisement... Le blond en était au passage de l'évolution libidinaire des adolescentes, quand il entendit justement des gloussements. Il soupira, leva les yeux au ciel et ota définitivement les écouteurs de ses oreilles, les rangeant dans ses poches. Bon, elles étaient où ces gamines...? Ça allait deux secondes leurs petits jeux puérils de chattes en chaleur. Ses yeux se plissèrent quand il vit deux grandes blondes avec une poitrine pas négligeable sortir d'un buisson épais. Rouge à lèvres flashy , yeux surchargés, ongles de sorcières de toutes les couleurs, short à moitié des fesses, et haut de bikini dévoilant des ventres plats et joliment bronzés... Des beautés nordiques, mais des beautés nordiques trop maquillés et complètement bourrées, ou défoncées, dont le regard ne lui disait rien qui vaille. L'une d'entre elles semblaient avoir du mal à regarder droit d'ailleurs.
Non mais serieusement... Il n'était que dix heures du soir... Et elle ressemblait déjà à des poubelles municipales de luxe... Le genre où on ouvre le couvercle, où on y décharge tout ce qu'on a, qu'on referme et qu'on attend qu'elle se vide pour de nouveau les remplir... Il ne voulait même pas savoir de quoi été trempé la seconde d'ailleurs. Ca avait l'air de coller son truc... Orion prit un visage méfiant , clope au doigt , le regard incisif, et se stoppa.
- Salut chéri... t'es libre ce soir...?
Ça faisait très putain notoire là... Non , chéri pas libre, toi prendre tes gros seins siliconnés et partir chercher tarzan fougueux ailleurs.
- Non, on m'attends, allez jouer ailleurs les filles.
- Roh fais pas ton trouillard... t'es plutôt mignon. T'es puceau?...T'as une copine?
- Oui justement j'en ai une. Alors vous êtes gentilles, allez draguer ailleurs.
- Elle peut bien partager ... , sourit la première , qui était déjà proche, trop proche au gout d'Orion qui sentait ses nerfs lui taquinait l'arcade.
Il avait horreur de ça... Ce genre de garces qui n'ont aucune respect pour les autres. Elles n'étaient que deux , ça allait. Ils allaient pouvoir les maîtriser un minimum. Il posa son sac plastique sur le coté sur un muret et se retourna vers elle, levant les mains.
- On se calme, j'ai dit non.
- Sauf que tu vois chéri... Ce soir... C'est pas toi qui décide, dit la seconde avec un sourire malsain, en sortant un ruban bleu.
Hein? Quoi? Orion fronça les sourcils et n'eut pas le temps de se rendre compte de quoi que ce soit que quatre bras sortirent d'un énorme buisson , à coté d'un bac de bois. Deux se fermèrent sur le bas de son visage et les deux autres passèrent autour de sa gorge. Il ouvrit en grand les yeux , ses mains qui attrapèrent les bras venant de derrière, et les deux autres filles se jetèrent sur lui en riant :
- A table!
Orion traversa le buisson en essayant de garder son équilibre, mais ses pieds quittèrent vite le sol, où il s'écrasa dans un gémissement grave , fermant les yeux sous la violence, avant de se faire écraser l'estomac par la blonde du début qui lui choppa les mains avec l'aide d'une autre nana , et elles lui lièrent. Bordel.. c'était quoi cette blague ! Le blond essaya de les repousser mais l'une d'entre elles choppa ce qu'il y a de plus sensible chez un mec et serra .
-Teuh...teuh... sois mignon chéri... là... c'est bien...
Sous la douleur , Orion dégagea sa bouche et grogna , puis incendia la blonde du regard alors qu'une autre lui remettait les mains sur la bouche. Deux ça allait mais quatre ! C'était quoi cette histoire! La blonde sortit un cran d'arrêt en buvant une bouteille de vodka à même le goulot.
- Tu sais ,y'en a plein de donnerait cher pour nous avoir toutes les quatre en même temps.
Il se redégagea la bouche et gueula :
- Spece de tarée...! Casse toi ! Jamais j'm'enverrai une catin de ton genre ! Plutôt crever puceau!
- Oh t'es puceau...
Il ragea violemment , fit voler la blonde de son ventre, et collant sous genou dans le ventre de l'autre derrière elle, pour tirer sur ses mains, et se relever en trombe, filant à travers les buissons, les mains liées, qu'il essayait de se détacher.
- Attrapez le moi!
Non, oubliez-moi ! Orion traversa le bosquet. Non de dieu, on était devant l'hotel, comment ça pouvait arriver ce genre de trucs! Il s'arrêta un moment. Elles n'étaient plus derrière lui. Inquiet et méfiant , ôtant le ruban mal serré de ses poignets, lui ayant laissé des marques quand même, il se retourna et chercha du regard... l'oreille infaillible, il guettait le moindre bruit. Un rire par ci ... Un rire par là... Ces saletés s'amusaient à tourner autour de lui. Un craquement , il se retourne, mais trop tard , un morceau de bois en pleine gueule et il finit au sol, alors que trois autres silhouettes à moitié dénudées et titubant se profile dans les branches....
- Salopes...
- Sois poli...
Il cracha un peu au sol, à genoux, mais finit rapidement sur le sol, sonné.
- Non...
- Si..
Déchirement de tee shirt avec le couteau de la blonde avec le couteau à cran.
- NON ! ARRÊTEZ VOS CONNERIES! WOH ! merde...
Il n'y voyait plus grand chose, et ses sens étaient brouillés. Le coup de bûche, ou de planche ou un manche d'outil qu'un jardinier avait laissé traîner, lui avait explosé le coté de l'arcade. Il était bien mal barré là... Une première nana s'assit sur le premier bras, une deuxième sur le second...
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