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Viol de "Cabot"! A la chasse au puceau ! - Pv Wyatt -

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VIOL DE "CABOT"!
A LA CHASSE AU PUCEAU!

- PV Wyatt -

Viol de "Cabot"! A la chasse au puceau ! - Pv Wyatt - 292169hotelgardenatnight

 
Clopes aux lèvres, jean , maillot de corps basique noir, docks cirées, du classique pour Orion, il marchait calmement en lisant un bouquin d'une main , et tenait de l'autre un double repas pour un de ces coloc , qui l'avait informé après coup que finalement, il irait par la petite soirée du première étage, organisée par une cabot. Ces filles pimpantes, qui aux yeux d'Orion était vulgaires, peinturlurées, perverses et complètement dépravées, ce qui faisait de ces filles dites des plus belles, les plus laides à ses yeux et au cerveau pas plus gros que celui d'une moule pas fraîche. Les détestait-il? Non. Les aimait-il? Non plus. Il s'en foutait royalement du moment qu'elles ne l'emmerdaient pas. Avoir rencontré Lily était déjà suffisant. Elle lui avait déglingué la libido de manière douloureuse en une seule soirée, et il avait  mis plus de trois jours pour arrêter de se poser des questions et retourner dans son état de pseudo abstinent qui ne pense jamais à ces choses là, les considérant comme obsolètes, et non bénéfiques au développement de son intellect. Chacun avait ses priorités dira-t-on.

Le blond traversa l'allée principale de l'arrière de l’hôtel, concentré sur un nouveau bouquin sur les théorèmes de l'intériorisation , de bidulchouette énième philosophe contemporain, quand il entendit un sifflement. Il fronça les sourcils, et ôta un écouteur de son oreille droite. Ses pupilles se levèrent sur les fenêtres et il n'y vit rien. Bizarre. Il remit son écouteur et s'éloigna , ayant pour objectif de tracer vers la plage privée, pour manger un morceau en solo, et écouter la musique. Ses crampons contournèrent un tronc d'arbre. Au loin les vagues assénaient leur chant régulier comme une ode à l’apaisement. L'apaisement... Le blond en était au passage de l'évolution libidinaire des adolescentes, quand il entendit justement des gloussements. Il soupira, leva les yeux au ciel et ota définitivement les écouteurs de ses oreilles, les rangeant dans ses poches. Bon, elles étaient où ces gamines...? Ça allait deux secondes leurs petits jeux puérils de chattes en chaleur. Ses yeux se plissèrent quand il vit deux grandes blondes avec une poitrine pas négligeable sortir d'un buisson épais. Rouge à lèvres flashy , yeux surchargés, ongles de sorcières de toutes les couleurs, short à moitié des fesses, et haut de bikini dévoilant des ventres plats et joliment bronzés... Des beautés nordiques, mais des beautés nordiques trop maquillés et complètement bourrées, ou défoncées, dont le regard ne lui disait rien qui vaille. L'une d'entre elles semblaient avoir du mal à regarder droit d'ailleurs.

Non mais serieusement... Il n'était que dix heures du soir... Et elle ressemblait déjà à des poubelles municipales de luxe... Le genre où on ouvre le couvercle, où on y décharge tout ce qu'on a, qu'on referme et qu'on attend qu'elle se vide pour de nouveau les remplir... Il ne voulait même pas savoir de quoi été trempé la seconde d'ailleurs. Ca avait l'air de coller son truc... Orion prit un visage méfiant , clope au doigt , le regard incisif, et se stoppa.

- Salut chéri... t'es libre ce soir...?
Ça faisait très putain notoire là... Non , chéri pas libre, toi prendre tes gros seins siliconnés et partir chercher tarzan fougueux ailleurs.
- Non, on m'attends, allez jouer ailleurs les filles.
- Roh fais pas ton trouillard... t'es plutôt mignon. T'es puceau?...T'as une copine?
- Oui justement j'en ai une. Alors vous êtes gentilles, allez draguer ailleurs.
- Elle peut bien partager ... , sourit la première , qui était déjà proche, trop proche au gout d'Orion qui sentait ses nerfs lui taquinait l'arcade.
Il avait horreur de ça... Ce genre de garces qui n'ont aucune respect pour les autres. Elles n'étaient que deux , ça allait. Ils allaient pouvoir les maîtriser un minimum. Il posa son sac plastique sur le coté sur un muret et se retourna vers elle, levant les mains.
- On se calme, j'ai dit non.
- Sauf que tu vois chéri... Ce soir... C'est pas toi qui décide, dit la seconde avec un sourire malsain, en sortant un ruban bleu.
Hein? Quoi? Orion fronça les sourcils et n'eut pas le temps de se rendre compte de quoi que ce soit que quatre bras sortirent d'un énorme buisson , à coté d'un bac de bois. Deux se fermèrent sur le bas de son visage et les deux autres passèrent autour de sa gorge. Il ouvrit en grand les yeux , ses mains qui attrapèrent les bras venant de derrière, et les deux autres filles se jetèrent sur lui en riant :

- A table!
Orion traversa le buisson en essayant de garder son équilibre, mais ses pieds quittèrent vite le sol, où il s'écrasa dans un gémissement grave , fermant les yeux sous la violence, avant de se faire écraser l'estomac par la blonde du début qui lui choppa les mains avec l'aide d'une autre nana , et elles lui lièrent. Bordel.. c'était quoi cette blague ! Le blond essaya de les repousser mais l'une d'entre elles choppa ce qu'il y a de plus sensible chez un mec et serra .
-Teuh...teuh... sois mignon chéri... là... c'est bien...
Sous la douleur , Orion dégagea sa bouche et grogna , puis incendia la blonde du regard alors qu'une autre lui remettait les mains sur la bouche. Deux ça allait mais quatre ! C'était quoi cette histoire! La blonde sortit un cran d'arrêt en buvant une bouteille de vodka à même le goulot.
- Tu sais ,y'en a plein de donnerait cher pour nous avoir toutes les quatre en même temps.
Il se redégagea la bouche et gueula :
- Spece de tarée...! Casse toi ! Jamais j'm'enverrai une catin de ton genre ! Plutôt crever puceau!
- Oh t'es puceau...
Il ragea violemment , fit voler la blonde de son ventre, et collant sous genou dans le ventre de l'autre derrière elle, pour tirer sur ses mains, et se relever en trombe, filant à travers les buissons, les mains liées, qu'il essayait de se détacher.
- Attrapez le moi!
Non, oubliez-moi ! Orion traversa le bosquet. Non de dieu, on était devant l'hotel, comment ça pouvait arriver ce genre de trucs! Il s'arrêta un moment. Elles n'étaient plus derrière lui. Inquiet et méfiant , ôtant le ruban mal serré de ses poignets, lui ayant laissé des marques quand même, il se retourna et chercha du regard... l'oreille infaillible, il guettait le moindre bruit. Un rire par ci ... Un rire par là... Ces saletés s'amusaient à tourner autour de lui. Un craquement , il se retourne, mais trop tard , un morceau de bois en pleine gueule et il finit au sol, alors que trois autres silhouettes à moitié dénudées et titubant se profile dans les branches....
- Salopes...
- Sois poli...
Il cracha un peu au sol, à genoux, mais finit rapidement sur le sol, sonné.
- Non...
- Si..
Déchirement de tee shirt avec le couteau de la blonde avec le couteau à cran.
- NON ! ARRÊTEZ VOS CONNERIES! WOH ! merde...
Il n'y voyait plus grand chose, et ses sens étaient brouillés. Le coup de bûche, ou de planche  ou un manche d'outil qu'un jardinier avait laissé traîner, lui avait explosé le coté de l'arcade. Il était bien mal barré là... Une première nana s'assit sur le premier bras, une deuxième sur le second...


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Viol de "Cabot" !


A la rescousse du puceau !
Des bruits de pas précipité dans les couloirs. Des gloussements de filles retentissaient dans tout l’hôtel. Une fête se préparait. En effet, ce soir une cabot organisait une soirée dans l’une des chambres du premiers étages. Soit quelques étages plus bas. En faisant partie des Winthrop, je m’étais assuré des liens avec la seule sororité du campus. Aussi, je pouvais faire un petit détour à cette fameuse soirée. Vêtue d’un simple jean et d’un t-shirt aux couleurs de ma fraternité, autrement dit bordeaux. Je me regardais vite fait dans un miroir, car je me devais d’être présentable. En arrivant à Harvard, j’avais compris que l’image que l’on renvoyait avait une très grande importance. C’est ce qui allait déterminer notre avenir social, du moins ici. Une fois prêt, je sortais de ma chambre et prenais l’ascenseur pour descendre au premier étage.

La musique battait son plein. En entrant dans la grande chambre, je fus submergé par l’odeur de cigarette. On se serait crut dans un sauné de tabac et de shit. L’étage était rempli d’étudiant. C’était surement pour ça que le patron de l’hôtel ne disait rien. L’affaire ne risquait pas d’être ébruitée. Je saluais quelques connaissances. J’appréciais certaines cabot, mais pas toute. Les dernières arrivantes étaient propre la journée, mais arrivé le soir, elle ressemblait à des filles vulgaires et qui n’avaient aucune bonne manière. C’était des proies faciles pour les mecs. J’évitais quelques filles collantes, car oui, j’étais en couple maintenant. Je restais ici quelques minutes, mais très vite, je fus étouffé par cette atmosphère qui puait l’orgie. Au bout de trente minutes, je décidais de partir.

Arrivé dehors, j’accueillais l’air fraie avec bonheur. Aucune odeur de cigarette. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, je ne fumais pas. Bon, il m’était déjà arrivé de me faire des joints avec des potes. Tranquillement, je déambulais dans le parc profitant du silence de la nuit. Silence qui fut brisé au bout de quelques minutes. Je m’étais suffisamment enfoncé dans le parc pour me retrouver devant l’une des entrées arrière du bâtiment. Soudain, j’apercevais au loin les ombres mouvantes de quatre filles. Elles gloussaient, mais je ne pouvais pas entendre ce qu’elle disait. On aurait dit qu’elles étaient assises au-dessus d’un gigantesque bout de bois. Du moins, c’est ce que je pensais jusqu’à ce que j’entende la voix d’un jeune homme. «NON ! ARRÊTEZ VOS CONNERIES! WOH ! merde.. » J’avais bien compris, le gars était en train de se faire agresser par quatre filles enragées. Et merde ! Fallait que ça tombe sur moi. Vas-y Wyatt, va jouer au chevalier servant. Comme si j’avais que ça à faire ! Je marchais tranquillement vers les jeunes filles tout en tâchant de rester calme. Je détestais ce genre de plan. « Alors les filles c’est comme ça qu’on s’amuse ? Vous devriez lâcher ce pauvre garçon. » De là, je pouvais apercevoir le jeune homme qui était à terre. Il avait l’air fragile vu comme ça. « C’est tout ce que vous avez trouvés à vous mettre sous la dent ? J’ai crus comprendre qu’il y avait mieux au premier étage de l’hôtel. »


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Fragile n'était pas le mot exact . Il faisait quand même le mètre quatre vingt et même s'il était mince, il n'était pas faible, il avait bien réussi à toutes les dégager une première fois, mais le coup de manche de pelle - parce que oui c'était une pelle - qu'il avait pris dans la gueule lui avait comme qui dirait sécher les réflexes au sol. Sans compter que la terre meuble du dessous du bosquet n'était rien arrangé quand cette pouf s'était assis sur lui , mettant à l'épreuve ses abdos. Elle était pas légère la blonde. Du coup , on le voyait de moitié d'épaisseur. Elles avaient bien l'intention de profiter de lui au maximum , mais il n'en avait aucune envie ! Pas comme ça merde! Orion commença à paniquer intérieurement mais son dégoût de la situation, lui gardait son regard sévère. Le temps qu'il reprenne ses esprits, il entendit une voix masculine. Les regards des filles se tournèrent vers le mec en question et en coin d'arbuste, Orion put le distinguer. Un grand balaise. Bon bah au moins lui il avait des muscles. Le blond murmura encore un peu sonné:
- "Pauvre garçon"..." Tout ce que vous avez trouvé" ... Merci...

Il ragea un peu sur le sol et poussa la blonde, qui roula au sol mais une autre prit sa place. Mais merde , ça va oui !

- Tiens tiens, dit la blonde en se relevant , ôtant doucement les feuilles de sa poitrine* Mais ce serait pas un Winthrop par un hasard...? Joli morceau ... Ce mec est un winthrop aussi ? Oh mais c'est qu'on a bien choisi ce soir...
- Je ne suis pas un Winthrop... Déga...ge! RAHH ! J'suis un Lowell...
- Marie, c'est Wyatt. Je le connais de visu dans une fête...
- Et alors?
- On ne devrait pas l'emmerder...

La rouquine complètement bourrée ne l'entendit pas cette oreille, et Orion se retrouva soudainement avec le couteau sous la gorge. Il se figea , les yeux rivés sur la rouquine qui avait pris la place de la blonde. Il se racla la gorge, et jeta un coup d’œil au brun , du style " ok , là j'suis un tout p'tit peu dans la merde ". Il regarda de nouveau vers le bas, et haussa les sourcils, sans paniquer. Pourquoi paniquerait-il? Après tout, il avait un lame sous le cou par une fille qui ne savait pas s'en servir, et s'il savait bien une chose c'était qu'il n'y avait rien de plus dangereux que quelqu'un qui ne sait pas se servir d'une arme... Il n'avait aucun moyen de libérer ses bras , ça commençait à le gonfler. Et s'il bougeiat cette conasse, était tellement soule qu'elle risquait de lui taillader le coté de la gorge. heureusement que le QI de ces filles faisait qu'elle devait penser que la jugulaire sur dans la nuque. Orion tourna la tête à l'opposé de la lame pour un minimum éloigné la zone qu'il ne fallait pas couper, et détourna un peu le torse en douceur... mais franchement ça commençait à craindre là.

- Allez chéri ..., fit la blondasse en s’approchant de Wyatt , lui passant une main sur le torse. Tu voudrais pas que ton petit copain se fasse couper en deux.... Sois consentant. Juste deux d'entre nous, t'es un Winthrop , tu devrais pouvoir assumer deux en même temps non ? Et on le laisse partir...

Orion était en train de se demander s'il allait leur céder, mais s'il avait été à sa place, il ne l'aurait pas fait. Elles ne méritait qu'une grosse baffe cette garce. Le problème était que s'il faisait le con , la rouquine était tellement bourrée qu'elle était capable de se prendre pour Hannibal et le blond était trop jeune pour mourir. Il ne s'était jamais vraiment fait agresser et pas par des nanas! Mais là... c'était un coup à devenir gay... Il tirait lentement sur son bras droit, histoire d’essayer de se libérer. Elles avaient les yeux rivés sur le brun , sauf la rouquine. Tarées perverses....

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A la rescousse du puceau !
« "Pauvre garçon"..." Tout ce que vous avez trouvé" ... Merci... » Je retenais un sourire. Au moins, il avait ses esprits. A côté de lui, je pouvais apercevoir une pelle aussi. Putain, il c’était pris un coup ? Où elles sont allées chercher ça ? On aurait dit qu’elle avait fait le pied de grue pour choper un mec. Des filles qui violent des mecs ? J’aurais tout vu. Une jeune femme blonde s’avançait vers moi tout en me parlant d’une voix mielleuse et insupportable. Quoi ? Elle espérait m’avoir ? Dans ses rêves. Entre temps, le jeune homme avait dit être un Lowell. C’est à ce moment-là qu’une certaine jeune femme disait me connaitre de vu. Selon elle, elle m’avait aperçu dans une soirée. La jeune femme conseillait à son ami Marie de ne pas me faire chier. Tient une garce avec un prénom de puritaine. Je regardais attentivement celle qui disait m’avoir déjà vu. En la regardant de plus près, elle me rappelait une fille que c’était tapé un de mes potes. Il m’avait dit que c’était le genre qui se mettait directe dans ton lit. Oué, c’était une cabot. A mon avis, elles faisaient toutes parties de la sororité. « Ah oui tu me dis quelque chose… » J’essayais de me rappeler de son prénom. Bon les nanas dans son genre portaient pratiquement le même prénom. « Shirley c’est ça ? Tu es une amie d’Evans non ? » Enfin, c’était plus son plan cul régulier.

J’essayais d’amadouer la brunette lorsque changement de programme, la rouquine avait décidé de mettre un couteau sous le nez du jeune homme. Sérieusement ? Elles étaient de ce bord ? J’allais devoir prévenir les mecs qu’une espèce de bande de violeuses trainaient dans les parages. D’un coup d’œil avisé, je vis l’inconnu s’éloigné de la zone du couteau sans que la routine sans aperçoive. Ce qu’elle me proposait par la suite me laissait perplexe. Non, mais elles étaient folles. « Pardon ? » J’essayais de paraitre détendu D’ailleurs, j’y arrivais bien. On peut dire que j’étais bon comédien. « Je ne pense pas que ça soit une bonne idée. En revanche, je crois que les flics qui patrouillent en ce moment même dans le jardin ne vont pas être de cet avis. Comment je le sais ? C’est à cause d’une petite fête qu’a organisé une des filles de votre sororité. » Mensonge ! Mais c’était le seul moyen de le sortir de là. Les trois autres filles étaient sur le point de capituler, sauf cette satanée rouquine. « A moins que tu désires te retrouver derrière les barreau ? Vous ne voudriez pas ça les filles ? » Je m’étais tourné vers les trois autres. « Imaginé ce que vont dire vos parents ? Votre avenir serait gaché et je ne crois pas que les cabots accepteraient ça. » Cette fois-ci je me tournais vers la rouquine. « Tu pourrais te taper tous les mecs présent à la soirée, alors pourquoi lui ? »


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Super et en plus ils se connaissaient...Le blond leva les yeux au ciel, en soupirant , tentant de garder sa jugulaire loin de la lame qui tremblait de l'instabilité de la demoiselle... Faites comme si j'étais pas là !! Et vas y que ça se tape la causette et la blonde qui faisait l'allumeuse... Merde, il manquerait plus qu'elle lui grimpe dessus et qu'il assiste à des trucs bizarres. Et son cerveau !!! Belle gueule d'ange, innocent dans sa tête. Enfin , en réalité, il connaissait la théorie - qui ne la connaissait pas - mais il ne connaissait que ça. Et ça ne le bottait pas trop d'apprendre avec cette humanoïde pleine de germes bizarres, provenant de l'adn de la moitié des types de Harvard. C'était un coup à chopper une MST ça. Son oreille analysait tout , il écoutait se contenter de se taire. Parler juste quand il fut. Il avait fait comme ça, merci maman. Ne jamais se précipiter et garder les atouts pour soi. Et quand on n'en a pas des masses, surtout dans cette situation, mieux vaut pas trop s'agiter.

- Tu nous charries, y'a pas les flics... l’hôtel est privé...

Orion ferma les yeux un court instant. C'est pas vrai , elle le draguait en lui faisant du chantage. Quelle merde... Et lui pendant ce temps, il avait la rouquine sur les hanches, qui lui appuyait en plus sur les couilles. Il serra un peu les dents, sentant la lame toucher sa peau. Woh woh... recule ça tu veux.

- Pourquoi lui ? *sourire pervers et chaleureux, alors que ses doigts parcoururent le torse de ce Wyatt. Parce qu'il est puceau? et mignon?  

Bordel... vas-y étale ma vie! Il assumait totalement ce coté vierge, mais ce n'était pas une raison pour l'étaler. Et en quoi cela faisait de lui un met de choix? C'était une des choses qui échappait à l'esprit du blond. Il était à dix mille lieux parfois de penser qu'il puisse être convoité ou désirable. Enfin, il aurait préféré l'être pour une autre que pour cette furieuse qui lui grimpait dessus.  Orion avala sa salive en sentant une fille se défaire de son bras droit. Elle se releva calmement et s'avança vers la blonde, pour lui prendre le bras, et lui dire qu'elle devrait peut être suivre les conseils du beau brun. La blonde ne savait plus trop quoi dire et essaya quand même se mettre le brun dans la poche, pensant que c'était du bluff. L'autre fille se leva aussi et rejoignit la blonde en titubant ...Elle n'était plus trop sûre elle non plus. Orion se retrouva avec les bras libres, mais les laissa un temps allongé sur le sol. Cette histoire avec les flics avait été suffisant pour les calmer. Il n'en restait plus qu'une... Orion n'était peut être pas musclé, mais il maniait bien les couteaux et était plus qu'habile de ses doigts. N'est pas violoniste et pianiste qui veut. Et quand la musculature ne suivait pas, il fallait trouvé des atouts ailleurs. Il garda la nana en coin et la blonde qui discutait avec le brun, lui expliquant qu'elle avait peut être fait une bêtise et étaient allées un peu loin, appela la rousse. Cette dernière tourna la tête. Ce fut le moment. Orion lui attrapa le bras tenant le couteau et la retourna sur le ventre, lui retournant la main , assis sur elle, alors qu'elle brayait comme un cochon qu'on égorge. Il lui arracha le couteau , et se redressa , un titubant en arrière, la main sur le coté du cou... Il referma le couteau d'une seule main et le jeta dans une poubelle.

Son visage était froid, le regard sombre et froid, la respiration hésitante. Il s'était fait une bonne frayeur. Qui ne l'aurait pas fait avec une lame sous la gorge et quatre nanas bourrées comme des coins. La rousse se releva et rit aux éclats, en dansant , avant de se casser la gueule dans un buisson plus loin. Une autre alla l'aider , mais tout ça n'était plus qu'une histoire passée pour Orion. Il se tenait toujours le coté du cou. Ses doigts se tachèrent lentement de sang... Pas énormément mais il en avait assez pour s'étaler entre ses phalanges. Dessous, une petite plaie de 3 cm , pas super profonde, mais quand même là...

- Merde...

Le front puis l'arrière du cou... Ces vacances n'étaient décidément pas le paradis. Il expira et s'assit sur un muret ... fermant les yeux pour se concentrer et garder son sang froid. Il attendrait que les filles ne laissent le brun tranquille pour le remercier. Il lui devait un fière chandelle...



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A la rescousse du puceau !
L’une des cabots me disait que je charriais. En parfait comédien, je continuais dans mon mensonge. « Non, je t’assure. T’as qu’à aller voir. Même les hôtels privés sont fouillés. Apparemment, le patron n’avait pas donné son accord pour la soirée. » Je parlais avec elle, mais je savais que le jeune homme avait un couté sous le menton. Le problème avec ce genre de filles, c’est qu’il faut prendre son temps et ne pas les agresser toute de suite. Sinon, j’empirais les choses. Je leur avais demandé, pourquoi elles l’avaient choisi. Je retenais mon dégout lorsqu’une des filles parcouraient mon torse avec ses doigts dégueulasse. Il fallait que je fasse bonne figure si je voulais aider ce pauvre gars. C’est à ce moment-là, que la garce me disait qu’il était puceau. Non, pas possible ? C’était encore possible à Harvard ? Attention, je n’avais rien contre. C’était juste surprenant, mais je respectais ce choix. Certaines personnes, faisaient vœux de chasteté ou alors, ils n’avaient tout simplement pas envie de sexe. En plus, elles voulaient lui prendre ce qu’il avait de plus précieux comme ça ? « Sérieux ? Vous préféré un puceau à des mecs qui ont de l’expérience ? »

Soudain, le jeune homme se retrouvait les mains libres. Je ne le remarquais qu’au moment où il repoussait la rousse de sur son dos. Cette dernière riait comme une cruche et s’écroulait dans les buissons. Le gars avait l’air d’un fou furieux évadé d’un hôpital psychiatrique. De plus, je remarquais une légère tâche sombre au niveau de son cou. »Merde… ». Il l’avait aussi remarqué. Je profitais de ce moment-là pour le rejoindre. « Tu devrais aller à l’infirmerie avant que ça s’infecte. Qui sait, ce qu’elles ont fait avec ça. » C’était pas bien méchant, mais quand même. Je lui faisais signe de me suivre. Rapidement, nous mettions de la distance entre nous et les pimbêches. « Je suis désolé d’avoir pris mon temps, mais c’était le seul moyen de les endormir. En revanche, t’aurais pu attendre que je finisse avant de jouer à Superman. » Je souriais faiblement dans la clarté de la nuit.


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Un fou ? Pas vraiment. La lame avait un peu trop appuyée sur sa gorge à un moment et vu l'indécision de la fille pour lâcher ce truc, il avait une chance sur deux de finir embrocher. Peut être que les trois autres avaient entendu raison mais la rouquine, elle, ne semblait rien comprendre. Il lui avait juste fait faire un vol plané sur les feuilles mortes, rien de grave, et s'était relevé en catastrophe, mais qui ne l'aurait pas fait après ce qu'il venait de subir. Orion regarda ses doigts et son regard se noircit à l'attention de ces quatre folles qui était en train de relever comme elles le pouvaient l'autre bécasse aux cheveux orange, qui semblait en plein délire. Qui sait ce qui se serait passé si elle avait crisé comme ça sur sa gorge. Il était trop jeune pour mourir. Il avait quand même bien flipper ine de rien. Son souffle se fit long et il avala sa salive en se redressant. Et là , il vit au loin la nana agiter son sac plastique de son repas avec un "Merci chéri pour la bouffe" .... RAHHH ! Mais vos gueules, tirez-vous! Et voilà , en plus d'avoir perdu des bouts de peau , il avait en plus perdu son repas. Et dire qu'il l'avait laissé là bas pour le sauver, c'était bien foutu.

Son regard se posa sur le brun , sans qui il ne serait pas sortir de cette histoire. Il avait entendu la blonde répondre au brun : " Bah si on peut contribuer à l'expérience des plus innocents, c'est bien aussi , on est là pour ça !" Mais j'en veux pas de ton expérience! Pour ce qu'elle vaut. Orion était nerveux ce soir, mais il avait des raisons, et puis il commençait à saturer de ne pas assez dormir. Son étage était un véritable baisodrome. Ça lui foutait son équilibre en vrac, et qu'elle s'estime heureuse la rouquine, pour un peu , il lui enfonçait la tête dans les feuilles pour la faire taire. Il l'avait mauvaise là. Ses pupilles se posèrent sur ses doigts plein de sang étalant. Super. Et le bleu sur sa joue qui se faisait bien apparent, il allait être beau demain. Il jeta un coup d'oeil à la pelle qui jonchait le sol un peu plus loin , en se levant du muret sous les conseils du brun. Il était de même taille, mais il était plus fin c'était certain. Orion grimaça en se touchant la joue, et grogna , soupira ensuite:

- Comment tu veux que je me décide à franchir le pas quand tu vois ça... Tarées... A coup de pelle carrément...  , souffla-t-il sans méchanceté mais c'était un fait , elles n'allaient pas l'aider.
Il paraissait plutôt calme en dépit de ce qui aurait pu se dégager de ses nerfs. Maitrisé tu dois être, ne pas t'énerver tu dois. Yoda team hein. Amen. Et l'infirmerie c'était pas où ? Le brun eut la gentillesse de lui montrer, parce que jusque là , il n'avait pas eu besoin d'y aller. Il n'avait pris aucune cuite, aucune défonce, et ne s'était pas non plus fait agressé avant ça, n'était pas tombé malade et ne s'était pas non plus perdu. Du coup , l'infirmerie, ouais... lieu inconnu. Au fur à mesure qu'il remontait dans l'allée, et qu'il suivit Wyatt dans les couloirs, il pressait un peu sur la plaie, histoire qu'elle ne saigne pas trop même si ça allait , elle avait été fait de coté sur le muscle.
- T'as pas à t'excuser. Sans toi j'étais dans la merde jusqu'au cou... Et sa lame était un peu trop proche à mon goût, et elle continuait d'appuyer cette idiote... C'est bien la première fois que ça m'arrive... C'est à moi de m'excuser pour ça ... Tu peux juste m'indiquer où c'est et partir à la fête, je saurai m'demerder.

C'est en disant ça que deux femmes passèrent comme des furies avec des blouses. Ah et bien... Orion s'écarta pour les laisser passer. Des blouses. La nuit. Les nanas chargés de faire acte de présence médicale? Bonsoir! Au revoir. Résultat l'infirmerie serait vide probablement... Orion haussa un sourcil , la main toujours collé sur le cou et soupira :

- C'était les infirmières c'est ça... Super... J'vais aimer cette nuit j'le sens, dit-il en souriant. Va falloir que tu m'files un coup de main si elles sont pas là.

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A la rescousse du puceau !
Le jeune homme avait failli finir en sexe toy pour cabot. Je savais que ce genre de fille était de véritables plaies voir des sangsue, mais jamais je ne l’est aurais cru capable d’un tel scénario. Des vraies gigues en délire ! Quoi qu’on aurait dit des crevettes roses avec une grosse paire de boobs. Pendant que je m’étais occuper de les endormir, le gars avait essayer de se la jouer à la Superman et c’était blesser avec le couteau de la rousse qui ressemblait plus à un scapel utilisé dans les blocs opératoires. Je m’étais donc proposé de l’accompagner à l’infirmerie. « T'as pas à t'excuser. Sans toi j'étais dans la merde jusqu'au cou... Et sa lame était un peu trop proche à mon goût, et elle continuait d'appuyer cette idiote... C'est bien la première fois que ça m'arrive... C'est à moi de m'excuser pour ça ... Tu peux juste m'indiquer où c'est et partir à la fête, je saurai m'demerder. » Il pensait vraiment que j’allais à cette soirée ? J’y avais fait un tour, mais cela m’avait suffi. Je n’avais pas trop apprécié l’ambiance qui régnait à cette fête. « Je ne compte pas retourner là-bas, je suis allé faire un tour. Tu connais le dicton : Caleçon qui gratte, morpion qui squatte ? Et bah c’est ce qui attend les mecs là-bas. »

A ce moment précis. Deux infirmières passaient en courant. « C'était les infirmières c'est ça... Super... J'vais aimer cette nuit j'le sens. Va falloir que tu m'files un coup de main si elles ne sont pas là. » De toute façon, je ne comptais pas le laisser tout seul. J’entrais avec lui dans l’infirmerie. En le regardant de plus près, on dirait pas qu’il était du genre à être puceau. Quoi qu’il avait quelque chose de très classique dans son apparence, mais quand même. Il me faisait penser à un bébé royal. Inutile d’y voir de la méchanceté là-dedans. Je ne me demandais si ça le gênais que je sache ça ? Je me lavais les mains dans un évier. Puis, j’entrepris de fouiller dans les placards. Je tombais sur un désinfectant et des compresses. J’appliquais le produit dessus et lui donnait le bout de tissus. « Tient met la sur ta blessure. » Je m’adossais contre un meuble. Ce que je m’apprêtais à lui dire, allait peut-être paraitre bizarre, mais je voulais le rassurer en quelque sorte. « Heu… Je voulais te dire en fait… si ça peut te rassurer, je vais oublier et faire comme si je n’avais pas entendu que t’étais puceau. »



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Alors comme ça, il y était déjà allé? Et bien , Orion était ravi de voir qu'il restait encore deux trois personnes sensées dans cet hotel. L'expression du type le fit sourire. Il n'avait pas tord, et ça allait y aller demain dans les douches, au détergeant. Mais il parait que les vipères ça ne craint pas ce genre de produits et que ça continue de se reproduire! C'est connu, les moules pas fraiches rendent souvent bien malades. Bonne chance les mecs, ce sera sans moi ! C'était toujours sans lui t'façon . Et maintenant le brun le savait. La belle affaire. Le blond suivit le winthrop plus baraqué que lui , sans broncher, concentré sur le fait de ne pas avoir trop mal. Il allait le sentir demain , surtout le coup sur la tronche. La plaie n'était qu'un détaille pour lui. Il tenait à son visage , et là pour le coup, il allait devoir passer quelques jours à l'abri des regards ou avec des lunettes de soleil.... Tout ça à cause de quatre potiches en rut. Il l'avait mauvaise à cet instant mais ne montrait rien. Il entra à la suite de l'autre dans une grande pièce blanche et bleue, on aurait dit un hôpital , c'en était un peu flippant. Une odeur de pénicilline, de désinfectant et de renfermé y restait. Encore mieux que les bassines mal lavées du hall. Il choppa une légère nausée. Urgh. Charmant. Lui qui n'aimait pas les endroits hospitaliers, c'était divin. Non pas qu'il soit un couard , mais les piqûres, les mac abées et les bouts de corps qui passaient sans le propriétaire, ce n'était pas trop son truc. Il avait été traumatisé par l'accouchement d'une de ses cousines, qui l'avait appelé en urgence avec sa mère, il y avait de ça bien cinq ans, et qui s'était mal terminé. Voir un mec passer avec le placenta du nourrisson dans une boite style mac do , c'était légèrement dégueulasse. Tout ça pour à la fin avoir pondu un nourrisson mort étouffé à la naissance. Alors ... l'infirmerie ne lui fit pas bon effet. Deuxième endroit de la soirée qu'il regarderait différemment tiens. Jamais deux sans trois? Non , ça ira joker. On allait se calmer sur l'originalité de cette nuit qui aurait être "normale". Si tant est qu'il ait quelque chose de normal dans cet hôtel.

Orion s'assit sur un des trois lits qui jonchait le sol du lieu. On se serait cru dans un de ces films bizarres, avec un chirurgien dingue ou une créature qui menaçait de débarquer de n'importe où, un truc à la Resident Evil, avec un virus qui traînait quelque part? Le blond regardait un peu les locaux. Faut arrêter le cinéma Orion , tu regardes vraiment , vraiment trop de films. On est cinéphile ou on l'est pas, mais Orion en avait un peu trop dans les neurones ce soir pour être totalement hors d'atteinte d'une potentiel crise démence très légère et silencieuse. A la place de la créature, il vit le brun lui tendre une compresse, dont l'odeur était divinement morbide. Du désinfectant... umph. Il allait couiner, il le sentait , surtout au visu de la bouteille que l'autre venait de reposer. Oui alors ça.... c'n'était pas de la biseptine, vous savez les trucs qui piquent pas pour les petits gamins. Ce machin là... ça allait lui arrachait le cou. Il inspira en fixant un radiateur en coin et se le collant sans plus de manières sur le cou. Oh putain. Douleur... Intense. Il étouffa un râle , bloquant sa respiration , et baissa la tête, sa main gauche se serrant sur le drap. Et tous les nerfs qui passaient dans le cul. Il sentait un frisson de souffrance et de brûlure lui traverser le dos et la nuque, jusque dans le cuir chevelu et choppa la chair de poule sur les bras. Franchement, il aurait préféré la cuisse ou même le bras ou le ventre. C'était un minimum contrôlable. Il aurait au moins pu voir ce qu'il faisait. Son tee shirt était en parti taché de sang sur l'épaule. Il rouvrit les yeux, le souffle long pour maîtriser cette gentille épreuve. Un vétéran aurait dit que ça ne cassait pas trois pattes à un canard mais lui... il se serait damner pour pas avoir à douiller de la sorte. La plaie s'était un peu ouverte sous l’effet de l'alcool.

- Y'a pas des sterystrip qui trainent?

Les espèces de petites bandes collantes pour éviter les points.

- Je vais avoir besoin de ton aide, je vois pas ce que j'ai ... et j'crois que c'est quand même assez ouvert.

A la phrase sur sa virginité , Orion releva les yeux sur le brun et sourit, riant un court instant pour rebaisser les bras, et chopper le bas de son tee shirt , l'otant net. Il n'était pas super musclé, et c'était correct quand même. Il était loin d'être maigre, la peau pâle, aucun tatouage. Il posa le tee shirt sur le lit en boule et s'essuya comme il put le sang qui séchait sur son épaule. Il avait l'impression d'avoir subi une mauvaise blague d'un pseudo vampire à la twilight . Remarque ces cloches à gros boobs, auraient pu facilement jouer dedans, comme illuminati déglinguées à moitié névrosées par des siècles de manque. Il n'aurait qu'à dire demain qu'il s'était fait attaquer par un écureuil? Oui c'était bien ça l'écureuil. Qu'il traversait le jardin et qu'un écureuil enragé lui aurait sauté sur le cou avec un énorme scalpel, un peu comme ceux qui traînaient dans un espèce de plateau dans le coin de la pièce. Un écureuil escogriffe de viande fraiche spécial puceau , qui en voulait à son coté grassouillet. Ça se voyait qu'il l'était non ? Son épaule dodue, et bien en chair... Foutu écureuil. Non ce serait tout sauf crédible. Personne ne croirait à tout ça , même pas à la véritable agression , ils étaient tous dans leur petit monde, donc il se contenterait de dissimuler tout ça .

Il pencha la tête sur le coté pour laisser faire le brun , histoire qu'il lui nettoie comme il peut et soigne bien la plaie, voir lui colle des sterystrip. Une infection à cet endroit , c'était déconseillé.

- Je le cache pas t'en fais pas. C'est juste un peu agaçant d'être catalogué. J'ai juste des principes qui m'interdisent moralement de tremper mon biscuit dans n'importe quoi. Et ces vipères là... c'était typiquement ce qu'on appelle "n'importe quoi". C'est un coup à chopper toutes les maladies du continent et après de passer en plus pour un salaud, parce qu'elles délirent. J'suis puceau mais pas con...

Il plissa un oeil sous la douleur, mais ne dit rien.

- J'ai entendu que tu t'appelais Wyatt. Enchanté... Sssss *douleur, dents serrées* Moi c'est Orion.



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