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Tête en bas et songe en l'air - PV Dante -

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TETE EN BAS  SONGE EN L'AIR
- PV Dante -
Tête en bas et songe en l'air - PV Dante - 755729montagueparknight

Le silence. La nuit. Cet univers qui sonnait juste dans ses oreilles... Le souffle salé du vent le son douillet des vagues calmes d'un soir de nuages mais sans pluie, du moins pour le moment. Et même s'il venait à pleuvoir, Orion aimait ça. C'était l'été qu'il avait du mal à accuser. Cette saison de sauvages dénudés où le soleil se faisait brûlant et l'air suffocant. Il évitait d'ailleurs de sortir en pleine journée quand le soleil tapait au maximum. Beaucoup aimaient cette sensation de bronzage, et de sueur. Le blond répugnait cramer comme une écrevisse sur une serviette, ou se battre comme un chien mouillé pour un ballon, au milieu des vagues salées, prêtes à vous engloutir pour toujours. Il faisait tout le contraire des autres, et ce n'était pas pour lui déplaire. Non pas qu'il s'y donnait un malin plaisir , mais il avait toujours fait ainsi , il s'en sentait mieux. Il commençait à vivre à partir de 18 h ici. A Harvard c'était différent , mais il ne faisait pas aussi chaud aussi. Un hotel en Sibérie aurait été mieux pour Orion, il ne cessait de le répéter, il était un gosse de la pluie et du vent, pas un de ces vacanciers à poil, qui avalait les glaces par les oreilles, et les potins par le nez.

Le soleil s'était couché. Il enfila un jean basique, ceinture, tee shirt noir serré et court , et une chemise bleue nuit manches longues, rebattues sur les coudes. Jetant un coup d'oeil par le rideau alors que ses deux autres colocataires débattez sur les derniers groupes hard core qui passaient dans le coin, il se cala son portable dans la poche arrière, enfila ses docks noires et cirées, passa son jean par dessus, choppa un paquet de clopes dans son sac à dos, briquet et il sortit. Logiquement , il pourrait revenir sans soucis, ses colocataires ne fermaient jamais depuis plus d'un mois. Il avait mis sous cadenas ses affaires d'ailleurs, parce qu'il savait qu'un jour, il se retrouvait avec juste son slip pour pleurer s'il leur faisait confiance. Pensif sur la rentrée qui approchaient, il réfléchissait à la tournure de la chose. Il allait devoir retrouver de quoi payer ses études. Il ne pouvait pas se satisfaire de l'argent de ses parents, il n'en avait plus. Il ne s'en plaignait pas, il avait préférer avaler l'abandon de son père et la mort de sa mère en refoulant tout, comme il savait si bien le faire. Montrer, c'était être faible. Il était souvent réservé, assez froid et introverti même s'il paraissait absolument ouvert , receptif et souriant. Il était né pour se battre et ne jamais s'arrêter , même pour les autres, c'était comme ça.

Pendant de longues minutes, il marcha dans les rues, évitant de trop se mêler à l'effluve de la foule nocturne, leurs chants de vacanciers de luxe, les bars et boites de nuits, qu'il voyait au loin , et tous ces groupes de jeunes qui semblaient s'amuser. Des amis. Il en avait. Enfin oui, si , il en avait. Il y avait ...Simeon , et Camille, et Snow aussi... Plus de filles que de mecs à vrai dire. Pourquoi ? Bonne question. Et puis il y avait les gros bras Travis, et son mentor Dante. Il n'était pas si seul au fond, mais il avait un karma solitaire et ceux qui s'était attaché à lui ne devait rien attendre de lui , si ce n'était un altruisme débordant mais Orion était plutôt paumé dans sa tête. Il ne savait pas vraiment qui il était et ce qu'il aimait , hormis la musique, les arts, et cette façon si particulière de penser, comme un philosophe d'un autre temps, un de ces gamins des poètes disparus qu'on voyait dans un de ces films préférés. Son errance de réflexion le mena d'ailleurs dans un parc. Tiens, il n'était jamais venu ici. Il garda en coin d'oeil la vision de la ville en arrière, et entendait les vagues plus proches qu'avant... Pas franchement inquiet, il se sortit une clope et l'alluma , les deux pieds dans l'herbe humide. Le vent soufflait un peu plus fort, lui malmenant un peu sa tignasse blonde, dont les mèches un peu longues du dessus, s'éparpillèrent sur un oeil. Il se passa la main dans les cheveux pour tout replacer et observa autour de lui, les yeux plissés, le regard sévère. Une aire de jeu. Curieux. Il s'avança , contourna et s'approcha. Au sol de l'herbe, pas de sable pour une fois. Le sable, quelle belle création ça aussi. C'était un peu comme les allumeuses des Cabots, ça se faufilent partout , ça gratte et quand tu te rendais compte de leur présence, t'es obligé de te foutre à poil pour te nettoyer.

Orion regarda à gauche, puis à droite. Personne autour. Tiens, il allait tester un truc qu'il faisait quand il était petit. Il cala la clope entre ses lèvres, choppa la barre de jeu la plus haute, et contractant muscles de jambes, dos , ventre et bras, s'y hissa pour finir la tête en bas, la barre dans les genoux. Un effort basique pour lui, il n'était pas super lourd en dépit de sa taille conséquente. Ses mèches pendirent et il regarda sa clope pour souffler dessus. Les cendres s'envolèrent. Mode chauve souris, le tee shirt tenait serré sur son ventre et son torse, ça lui évitait d'effrayer une passante possible. Sa chemise ouverte tombait en vrac derrière lui , et ses yeux clairs , assombris par le manque de lumière fixait le vide. Il ne descendrait que quand il aurait mal au crâne. Il paraissait que ça aidait à réfléchir de faire monter le sang au cerveau. Il allait vite le savoir. L'autre éventualité et pas des moindres, c'était que quelqu'un se pointe et le sorte soudainement de sa concentration. Ce qui arriva bien sûr, après un quart d'heure d'errance mentale. Il sursauta, un de ses genoux céda, et il s'écrasa comme une merde au sol dans l'herber, dans un "HUMPH" assez grave et fort . La vache. Douleur. Il gémit sourdement en se redressant sur les genoux, se frottant la nuque. Heureusement qu'il avait eu le réflexe de se tordre sur le coté en tombant et d'amortir d'un bras ou il se serait fracasser la tête au sol. Sa souplesse l'avait encore sauvé. Il releva les yeux pour distinguer qui l'avait sorti de son rêve éveillé. Il s'était blessé le bras au passage , mais ne dit rien. Quelle idée aussi de tester la théorie du sang dans le cerveau.
 


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Le temps nous rattrape toujours



C'était une nuit, comme beaucoup au Summer Camp. Il y avait des fêtes à droites, et à gauche, c'est vrai. Mais Dante n'était pas de ceux là. Du moins ce soir, pas de fête, parce que tout les soirs c'était dur pour lui, et de toute façon qu'est-ce que ça faisait si il ne venait pas tout le temps? Il préféra prendre son pc portable et aller traîner sur la plage pour consulter ses emails, ses comptes, ce genre de truc de grand qu'on n'aime pas faire, mais dans son cas, il appréciait ça. C'était rassurant. Peut être les chiffres pharaonique sur son compte, peut être les email de son oncles, d'ancien de Manhattan, ou simplement recevoir de la pub même au fin fond du paradis, ça avait quelques choses de rassurant. Pouvoir rester connecté au monde, tout en étant à l'écart. Un peu comme sa façon d'être en ce moment. Éloigné de ceux qui faisaient la fête comme des dingues, de l'hôtel, des allées et venus des gens. Mais au bout d'un moment, comme toujours, il vint des troubles fêtes, et Dante décida de partir à la quête d'un endroit un peu plus tranquille, ou des gens de son âge ne viendraient pas sans invitation. Et c'est comme ça qu'il arriva dans cet aire de jeu, sans penser une seule seconde, que quelqu'un y serait. Il se promenait, cherchant un endroit où poser son derrière de riche, et son pc portable, parce que décidément, plus ça allait, et plus le Vénézuela lui manquait. Il allait prévoir un ptit voyage là-bas dès que le Summer Camp serait fini, histoire de pouvoir profiter calmement et tranquillement de ses deux semaines de dernières vacances avant la rentrée. Revoir le pays où il a fait ses premiers pas, et pourquoi pas sa famille maternel aussi. Cela faisait trop longtemps qu'il n'avait pas vu ses cousins et cousines. Il pensait à ça, avant d'entendre un bruit sourd. Il soupira en se demandant si c'était quelqu'un ou quelque chose qu'il aurait fait tomber. Mais à sa grande surprise, ce fut quelqu'un, et malgré tout, il reconnut son petit Orion. Un mec sympa, fin en autres. A vrai dire là comme ça, Dante remettait pas toute l'histoire dans l'ordre. Il posa son pc portable par terre et alla voir le petit gars qui devait être aussi grand que lui ou presque.
«Hé, ça va? Tu t'es pas fais mal? Comment t'as fais ton compte?»
Oui loin de lui l'idée de jouer à chat perché à cette heure de la nuit, et tout seul. Enfin... ils étaient tous seuls pour de vrai ou quoi? Un frisson le parcouru avant de demander bêtement.
«Y'a quelqu'un avec toi? 'Fin t'es tout seul?»
Comment ça Dante était pas rassuré? Non, il était juste, en fait il savait pas ce qui se passait vraiment à ce moment là. Mais c'était Dante, beau, gentil mais par moment un peu... Étrange. Dante, restant un peu bêta sur place, lissa les pans de sa veste de costume. Oui parce que ça restait quand même le style de fringues dans lequel il se sentait mieux. Sûrement une question d'estime de soi, et ce genre de connerie New Age. Il vit du coin de l'oeil que le mec était pas entier et il lui dit alors.
«Hm ça te fais pas trop mal dis? Non parce que sinon, je t'amènes à l'hôpital. Je suis devenu bon à ce jeu là.»


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Oh , un Dante ! Dante était son mentor d'études, un mec bien , un peu à l'ouest comme lui , gentil et qui avait fait gaffe à ce qu'Orion ne se casse pas trop la gueule financièrement. C'est vrai qu'étudier à Havard ce n'était pas de tout repos financièrement et maintenant qu'il était seul , c'était encore plus dur. Il avait une bourse généreuse et un ou deux petits boulots à gauche et à droite, mais parfois ce n'était pas suffisant dans les coups durs. Et ce mec avait été là pour lui. Pour une raison encore obscure aux yeux d'Orion , Dante l'avait pris sous son aile à son arrivée à Havard. Ca arrivait souvent que des étudiants friqués plus vieux prennent en protection des petits bleus. Ca soudait des liens, ça permettait aussi une certaine notoriété aussi à ceux qui faisait ce genre d'actes, pourtant , Orion n'avait pas été cherché s'il était le seul à bénéficier de la protection de son ainé ou si c'était juste un coup de tête pour sa trogne , et qu'il avait un privilège. Il aimait bien Dante. C'était le genre de type dont il s'était méfié au début parce que l'argent et le cœur ne font souvent pas bon ménage, mais avec les semaines, il s'était rendu compte qu'il avait bon fond , même très bon fond, et il se demandait même parfois si c'était pas Dante qui aurait un jour besoin de protection. Il avait du mal à le cerner mais Orion aimait bien dans un sens , ça le rendait justement intéressant. Le blond n'aimait pas le facile. Il n'avait jamais aimé le facile, et le cernable. Ça prouvait juste que tout le monde pouvait le faire et cela diminuait la valeur de cette chose. Et Orion n'aimait pas le médiocre. Non pas qu'il était vantard, snob et prétentieux, bien au contraire, mais on lui avait appris à aimer les choses profondes et entières, à aimer les choses complexes et uniques, et les gens complets, aussi torturés puisse-t-il être. Il n'avait que faire des pseudo potiches de services et autres imbus d'eux même. Ce n'était pas non plus parce qu'il dédaignait les autres ou qu'il pensait méritait mieux ... Il était juste exigeant par nature. Il aimait tout autant les choses. Notamment la nature. La nature était tellement parfaite d'imperfections, changeante, mais constamment équilibrée, s'adaptant , restant forte , et pourtant tellement martyrisée parfois, mais elle se battait et renaissait toujours. Il n'y avait rien de plus admirable que Dame nature pour Orion et que tout ce qu'elle offrait. Même les violons venaient de la nature... le bois, les fils d'archets... tout .. et ce son comme un chant des dieux quand il était bien manié. Le violon demandait de l'exactitude , de la perfection du geste. L'humain , à contrario était un des plus gros échec de cette nature, lui rappelant à chaque fois l'humilité qu'il devait garder pour ne pas sombrer dans la déchéance actuelle d'une jeunesse décadente.

Orion était venu ici pour fuir cette décadence et ne pas voir qu'il appartenait à la même espèce que ces choses bourrées qui braillaient et pissaient partout . A la base il devait être seul et finalement cette compagnie n'était si désagréable. Il se frotta le coude en se relavant face à lui , et sourit un peu , en cherchant sa clope au sol. Il la ramassa et le regarda. Tordue. Merde. Habillement , il la rajusta , droite , même si c'était pas fameux et fronça le nez. Bon. Son briquet maintenant. Il fouilla dans son jean en répondant clope au bec, sans avoir vu qu'il saignait du coude après coup. Sa chemise rabattu sur ses coudes cachait une partie et il n'était pas spécialement douillet alors bon.

- Non ... ça va aller, je suis juste tombé... je testais une théorie stupide, ça m'apprendra. Et oui j'suis seul. Ça m'arrive souvent. Tu le sais non? J'aime la solitude ou la compagnie réduite du moins.

En disant ça, il cherchait son briquet. Ah trouvé. Il remonta sa main sur sa clope, laissant son coude blessé apparent et la ralluma, inspirant profondément , et sourit un peu .

- Quoi tu t'inquiètes? Et toi t'es pas à une fête? Seul ? Tu devrais pas rester seul... après tu lisses trop souvent ta veste , dit-il pour le taquiner un peu .

Lui aussi avait ses petites manies, il le charriait juste un peu , comme à son habitude quand il était avec lui. Ces derniers temps, il ne l'avait pas beaucoup vu , il devait être très pris le grand Dante. Orion était un peu tout son contraire sociale et financier, alors évidemment , ils étaient parfois paumé dans des mondes différents, mais restait à savoir qui était le plus occupé des deux. Il avait encore le pansement-compresse de l'agression des cabot sur son cou , au creux de la nuque, caché un peu par le col de sa chemise. Il n'y faisait plus attention lui, la plaie était encore là , mais elle avait cicatrisé, donc plus d'infection possible. Il allait traîner cette marque de trois centimètres encore un moment. Il vit en coin l'ordi sous le bras et sourit un peu en coin, haussant un sourcil , amusé et intrigué.

- Qu'est-ce que tu fais ici à cette heure? T'es insomniaque maintenant ?

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[quote="Dante-Eloy C.Del Castillo"]
Le temps nous rattrape toujours


Dante était parfois un peu simplet, c'était sûrement pour ça qu'il avait tant de mal avec ses ex. Toujours des relations tendues, toujours des trucs stupides. Il faut dire qu'il n'était pas vraiment conciliant, peut être un peu trop rigide dans sa tête, toujours un peu sur la réserve, et c'est vrai que c'était parfois très handicapant pour partager des choses avec les gens. Même si Dante ne cachait rien, en général aux autres. De toute façon les secrets, les mensonges, c'étaient un poison, la preuve, avec sa demi-soeur, il avait rien trouver de mieux que de l'éviter pour ne pas avoir à mentir, parce que Mentir n'était pas vraiment dans sa nature. Beaucoup de gens le voyant se disait qu'il n'était qu'un fil de bourge, menteur manipulateur, et insensible, et bien ce n'était pas le cas. Il était trop transparent, trop gentil, et souvent d'ailleurs, ça lui attirait des ennuis.Dante avait comprit que l'argent n'était pas tout dans la vie, sûrement parce qu'il en avait trop à ne plus savoir quoi en faire, et que se préoccupé de payer le loyer, ou les frais de scolarités n'étaient pas son soucis majeur. Mais Dante n'avait rien de particulier, a part son histoire sordide, il était comme tout le monde, peut être même plus ennuyant que les autres. Un jour il faudrait qu'il planche sérieusement, sur son côté coincé, et tranquille, qui faisait de lui, un mauvais candidat aux socialisations, déjà qu'il était pas doué, si il traînait pas avec des gens, il allait pas s'amélioré, ça c'était une palissade énorme.
Alors oui, il était là dans ce ... parc? Cette nuit, il avait croisé par hasard Orion, ce petit gars que de temps en temps, il vérifiait que tout se passe bien pour lui. Non pas d'une manière malsaine, loin de lui cette idée, seulement parce qu'il avait l'air d'un mec bien, et que ça faisait chier de voir des gens bien avoir des soucis qui les empêchaient de montrer au monde à quel point, ils étaient bien. C'était rare pour Dante de voir quelques choses de bien chez les gens sans les connaître, puisque certains étaient bon au jeu de se camoufler, et de mentir. Pas vraiment comme Dante. Et puis Orion était un peu étrange, un peu a part, c'était agréable de voir quelqu'un qui ne réagissait pas forcément comme tout le monde. Il ramassa son pc portable, et le mit sous le bras. Alors Dante lui répondit.

« Tant mieux. Enfin non pas tant mieux que tu sois tomber, mais que tu sois seul, enfin pas que la solitude soit super, mais là t'es seul c'est bien. Fin bref...»
Dante était un très beau garçon, avec un énorme problème de conversation. Dur dur quand on va devenir un avocat de chier des trucs aussi maladroit, mais ça c'était Dante, doué comme un singe. Il lui sourit un peu, en réponse à son sourire, avant de lui dire.
« Je suis là... Je sais bien.. »
Conversation passionnante Dante. Franchement t'avais de la conversation à revendre dis donc. Même un gamin de dix ans était plus intéressant que toi. Il soupira doucement, contrarié par lui-même, toujours en regardant Orion. De toute façon tu voulais qu'il regarde quoi d'autres? Il avait vraiment l'air très doué, un cas désespéré même. Il vit Orion regarder son portable, alors Dante pencha la tête sur le côté à sa question. Insomniaque? Il reprit alors.
« Non non pas encore. Juste je voulais pas, enfin ils font tout le temps des fêtes. Et pis c'est pas toujours intéressant. Moi je me promenait en essayant de trouver un coin tranquille, vu que tout à l'heure... Ben y'en a qui sont venu polluer mon espace zenitude avec leurs alcool. Alors Orion des nouvelles choses à raconter?»
Et toi mongol, t'avais des trucs à raconter? Dante toujours planté droit comme un piquet qui bougeait même pas d'un micro centimètre, fixait Orion. Ah si il avait de la classe... Décidément, faut apprendre à te détendre Dantounet.

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