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/!\ Propos vulgaires. - LILY&ORION - & qu'on se noie dans les nuits fauves.

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& qu'on se noie dans les nuits fauves.



Il est loin le temps de l'insouciance chez moi. Je me vois encore apprendre à lire, à écrire, à me demander si je colorie mon soleil en jaune ou en orange, si je dessine des arbres ou une maison. Je me souviens encore le jour où j'ai appris à faire mes lacets, où je suis tombée pour la première fois, les pansements Barbie qu'on collait sur ma blessure après m'avoir dit «  Tu veux un bisou magique? » Et puis, tu n'es qu'un enfant, donc tu y crois. Tu crois que ça marche, comme tu crois au père Noël, ou à la petite souris. Ou bien, « Oh tien Lily, les cloches sont passées ! » Pff, tellement naïve, surtout quand on voit ce que tu es devenue. Lily, regardes-toi, tellement superficielle. En réalité Lily, tu n'es qu'une putain. C'est ça, vas-y, m'écoute pas, continue d'écarter les cuisses, tu n'es bonne qu'à ça de toute manière. Ça te jouera des tours de toute façon. Lily la pute, la connasse, le garce, la salope. Ouais, parce que au final, c'est ce que tu es. Et pourtant tu l'acceptes. C'est bien félicitation, bravo.

«  OH TOI TAIS-TOI LAISSE MOI TRANQUILLE ! ÇA FALLAIT Y PENSER AVANT ! »

Je marchais, ou du moins, j'essayais de marcher. Disons, que je tanguais. Je levais les yeux au ciel, la lune était pleine ce soir, elle était belle. Et pour me soucier de l'état de la lune, il fallait vraiment que je sois dans un piteux état. Ah, Travis.. Que m'avait-il refourgué encore.. Mais peu importe. Le plus important c'est que je rentre. Qu'importe l'état dans lequel je me trouve, je me dois de rentrer, toute seule, comme une grande !  Pff, Mais Lily, tu te souviens de ta première cuite ? Ta première fois ? Ton premier joint ? Ta première ligne ? Alors c'est ça, ta vie maintenant ? Depuis tu ne sais faire que ça ? Ô Lily, la petite princesse. Pandore, si douce & si innocente à première vue. Ne rentrez pas dans son cœur, vous risquez être déçu. & voilà, ma conscience avait encore frappée. Elle frappait souvent, trop souvent quand j'étais dans un état second. En temps normal, Je n'ai aucun scrupule quand je couche avec quelqu'un. Tant que j'me fais plaisir, le reste, je m'en fiche.  Je m'en fiche ce qu'on pense de moi, je ne suis pas là pour plaire aux autres, enfin, un peu mais quand même.

« JE.. JE M'EN FICHE MOI.. JE.. »

J'avais atterri dans les Jardins de l'hôtel, très bel hôtel d'ailleurs ! J'étais contente d'être ici, on faisait un peu ce qu'on voulait c'était cool. Mais passons, bel hôtel ou pas, je n'arrivais plus à retourner dans ma chambre. Heureusement que je ne croisais pas ma soeur, elle m'aurait démoli sur place je pense ! Au loin, je vis un jeune homme, du même âge que moi, je pense, enfin, pour l'instant, je n'savais pas si c'était un homme où une femme, alors je décidais de m'approcher quand même. Effectivement, c'était un garçon. Un beau garçon d'ailleurs, assez grand, les yeux bleus.. Je m'assis sur le banc à côté de lui. ça se voyait vraiment que j'étais dans un sale état, mais tant pis, je ne pouvais pas faire marche arrière. J'attendais patiemment qu'il lance la discussion mais non, rien. A mon avis, il aurait du. Vraiment, il aurait du. Parce que quand une personne qui n'est pas dans son état normal parle, ça peut vite faire peur.

« Bonjour, moi, c'est Lily, et je suis contente, parce que finalement, et bien, il fait nuit et je ne me retrouve pas toute seule. Et puis aussi, il parait que je ne suis bonne qu'à écarter les cuisses. Mais ne t'en fais pas, c'est pas une proposition, je n'aime que les mauvais garçons. Et toi, tu m'as l'air d'être un gentil garçon. Tu connais des mauvais garçons ? Moi, oui j'en connais plein. D'ailleurs, j'en sors là. Enfin, pas de chez tous, mais de chez un en particulier. Et, comme à notre habitude, on a couché ensemble. C'était bien, très bien même, mais en fait, on s'aime pas. Et toi, tu aimes quelqu'un ? Et tu savais, je te dis ça, mais c'est parce que c'est trop cool, mais tu savais que le prénom Fanny en irlandais ça voulait dire vagin ?   »

Ouais bon. Pour une première approche, c'était pas terrible. Mais qu'est ce que j'en avais à foutre vraiment ? J'étais défoncée et ça se trouve ce type je le recroiserais jamais de ma vie, ou peut-être que si finalement. Ce soir là, je n'avais pas pas ma langue dans ma poche visiblement, mais bon, qu'est ce que ça pouvait me faire.

« Et la fellation, vraiment, t'en penses quoi ? Tu l'as déjà pratiqué ? On t'en a déjà fait une ? Tu veux que j'te dise, j'ai appris dans un film, qu'il y avait une théorie de la pipe. Tu veux que je te la raconte ? Tu vois, en fait, une pipe, c'est une opération très délicate, parce que tu vois, si on les classe sur une échelle qui va de 1 à 10, 1 pour " je lui envoie des petits baisers " et 10 pour du genre " je m'étrangle en avalant tout ce sperme, je suis barbouillée de vomis" alors je dirais qu'attaquer avec un 4 ou un 5 est tout à fait adéquat. Juste ce qu'il faut, genre tu sais que je sais ce que je fais tu vois ? Mais avec zéro enthousiasme, je te donne absolument rien. Parce que dans ce cas tu ferais " ça va, je la baise " alors que si je démarre avec un 10, je n'aurais aucune perspective, pourquoi tu voudrais coucher avec moi, tu viens de me décharger en pleine face ? Donc on démarre petit, mais on progresse ! Et je trouve cette théorie trop géniale. Et ce film trop cool. Ces filles lç, sont des déesses..   »

Il faudrait que je demande à Travis ce qu'il m'a donné, parce que vraiment, c'est vraiment du lourd. Aussi, faudrait que j'apprenne à fermer ma gueule. Le pauvre petit garçon, il regrettera toute sa vie d'avoir poser son joli petit cul sur ce banc, et d'avoir croiser la formidable Lily.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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La mer. Nom de dieu, pourquoi il avait accepter de venir ici...? Parce qu'il n'avait pas d'autres endroits où aller probablement , et ça n'arrangeait pas ses affaires de ne pas savoir nager et d'être sur un ilot... C'est vrai que c'était plutôt chouette ici, et jamais quand il était mome, il n'aurait pensé pouvoir passer des vacances dans un lieu pareil. Il s'y sentait bien dans un sens , même si la vue d'une grosse vague pouvait lui foutre des sueurs froides. Assis sur un banc, il fixait les embruns en face. C'était une partie de l'hotel où on pouvait voir la mer dans toute sa splendeur. Elle le fascinait autant qu'elle lui faisait peur. C'était dans ces moments là qu'on se rendait compte de sa place insignifiante dans le monde, et les desseins crurent d'ailleurs bon de lui rappeler qu'il existait. Lui qui avait passer une soirée divinement calme, en solitaire, venait de finir sa clope et la brise fraiche du soir l'avait pousser à passer une chemise rouge sang par dessus un débardeur noir. Jean clair, et pieds nus, les pompes un peu plus loin , il fixait l'étendue qui s'assombrissait, jusqu'à devenir couleur pétrole, quand le banc bougea . Il fronça les sourcils et tourna la tête. Une fille. Brune. Qui s'était posé comme un caillou sur le banc. Il la dévisagea discrètement de haut en bas, ça ne lui disait rien qui vaille. Il l'avait déjà croisé , mais où...? Il préféra ne pas y prêter attention. Peut être n'était-elle là que pour faire comme lui, profiter du silence, et observer le paysage. Visiblement... Non.

Une fille ça parle. Et ça parle trop dans son cas. L'oreille d'Orion commença à regretter d'être toujours active , même à son insu , rendant tous ses sommeils légers. Trop légers, et quand il était réveillé, inutile de dire que le musicien à l'oreille parfaite ne la contrôlait encore moins. Et là , il eut mal. L'agneau au violon, aux pensées si chastes d'ordinaires se vit incendié cérébralement par un monologue de révélations, qu'il n'avait pas demandé soit dit en passant. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, fixant devant lui. Ok. Faudrait qu'on lui explique un jour pourquoi il attirait les cas à problèmes. En résuma, il comprit que cette fille était une... allumeuse qui aimait le sexe, et qui quand elle était défoncée ou bourrée, ça restait à déterminer, voir les deux quand on réfléchit bien -hum- aimaient les bad boy et ... Hey mais c'était quoi ces questions. Orion tourna légèrement la tête vers la brune, un sourcil haussé, silencieux. Elle n'était pas bien cette folle. Il se racla la gorge, un baissa les yeux pour les remonter vers l'océan. Ok. Du calme...

- Ravi d'apprendre que je fais gentil garçon... et la définition du  mot fanny...  t'es sûr que ça va ?

Il avait volontairement éludé la question du "tu aimes quelqu'un?" parce que la réponse était clairement non. Jamais personne n'avait réussi à susciter son intérêt au point d'aller coucher avec. Oh il avait deux trois amis et connaissances - qui n'en a pas? - mais pas au point de sortir avec, et toutes les gazelles qui lui avaient sauté dessus dans l'espoir de se faire éclater le gigot n'avaient essayé de gentils râteaux catégoriques. Orion avait de quoi plaire. Le mètre quatre vingt , pour une grosse soixantaine de kilos, mince mais bien fait ,belle gueule, très bien coté à Harvard, poli, respectueux, qui ne voudrait pas d'un garçon comme lui? Il aurait pu faire partie des plus convoités par les demoiselles, lui et sa trogne d'ange aux yeux clairs, mais il était trop discret et pas assez charmeur pour ça. La suite de la conversation le conforta dans l'idée de ne pas avoir de copine. Nom d'un chien... Ce que ça pouvait être vulgaire une fille... Il se souvenait avoir assisté par erreur en aller chercher des bouquins chez une nana du campus , à une soirée pijama... Bonjour les conversations sur le cul et les détails salaces. Si les mecs savaient à quel point leurs nanas se foutent de leur gueule par derrière ou à quel point elles se racontent tout , ils réfléchiraient à deux fois, avant de tremper leurs parties n'importe où... Et cette fille n'était pas... mieux. Oh non pas ça. Mais... MAIS...

Il ouvrit un œil en grand en la fixant en coin. Hein? Lui , faire une fellation? Woh , elle va se calmer la donzelle! Mais le problème avec Orion c'est que chaque mot avait son image dans sa tête, et il inspira en regardant à l'opposé, fermant les yeux. Il avait besoin d'une clope là. Vite. Trés vite. Et d'arrêter de penser aussi. Il fouilla rapidement dans ses poches et se sortit un tube noir et doré pour se la caler dans les lèvres, avalant sa salive. Merde... Pas les images. C'était super perturbant et anormal cette discussion. Pourquoi il gardait le cul sur ce banc alors. Il inspira une première bouffée de nicotine et s'étouffa avec quand elle parla de sperme et d'échelle et tout le bataclan. Mais elle veut le tuer! Woh , ça suffit ! Il se tapa le torse du poing et se pencha en avant , les coudes en appui sur les genoux écartés et posa sa tête dedans... Ok... respire.

- Ok ok stop ! dit-il net en levant la main tenant la clope. C'est... quoi cette conversation...

Il se redressa un peu en se massant le nez et la regarda en coin.

- Euh... tu veux un café, manger quelque chose ? Histoire de te faire descendre de ton délire...? Perso, le sexe et moi ça fait deux.

Il était encore un peu rosé d'avoir eu des images étranges , et secoua la tête pour se chasser ces idées débiles et dégueulasses de la tête. Il se leva et lui tendit la main , le regard calme et sérieux.

- Allez viens. Mais par pitié, parle plus de fellation.
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Douce nuit, et pourtant, aucun signe de fatigue. Cela devait être due aux nombreuses lignes que je me suis enfilée. Heureusement pour moi, je n'ai pas fait d'overdose, autrement bonjour la catastrophe. Ou le drame surtout. Je n'en ai jamais fait, mais je redoutais le jour où ça arriverait, si ce jour arrive. Sous mes airs de Mademoiselle j'ai une fierté monumentale, se cache une fille tout pleins de craintes. Mais depuis la bombe à Harvard, depuis que j'ai perdu connaissance, je pars du principe qu'on peut mourir à tout moment, et vraiment, il faut profiter de sa vie, de sa jeunesse, de l'alcool, de la drogue et de la baise. C'est pas à 35 ans, mariée avec 4 enfants qu'on pourra s'autoriser tout ça. Alors je me l'autorise, à 20 ans, et, à ma manière. Il faisait chaud, c'est dur le mois d'août ici, je me frottais les yeux comme d'habitude en oubliant le pot de peinture que j'avais étalé sur mon visage, résultat, du noir, partout. Je pense que ce soir, la seule chose qui m'agaçait, c'était ça. D'avoir du maquillage partout, parce que j'ai pas fais attention. J'aime faire attention à moi, à mon physique, être jolie ! Il y a encore quelques années, je me souviens, je me faisais vomir, pour me sentir belle, me sentir bien. Et aujourd'hui, je ne regrette pas. Je regardais le jeune homme avec admiration, telle une petite fille devant le père noël. Il me tendit la main, c'était généreux de sa part, et, gentil, surtout. Personnellement, je serais tombée nez à nez avec moi-même, il y a longtemps que j'aurais déguerpi. Cause toujours tu m'intéresses. Mais là, j'étais dans une phase seconde. Mais peu importe. J'étais absente, pendant un long moment, avant de courir jusqu'au jeune homme, apeurée, comme si j'avais vu un fantôme, ou que j'avais assisté à une scène de crime.

« Vite, viens, il faut qu'on parte d'ici, s'il te plait, on peut pas rester là.. Regarde.. Un mille-pattes ! On peut pas rester ! »

Oui, j'avais une peur bleue des insectes. Étonnant hein ? Je trouvais ça, vraiment répugnant, j'en avais la chair de poule. Et cette sensation s'intensifiait d'avantage dans mon état. J'étais cachée derrière lui, puis je lui pris la main et le tirait ailleurs, un endroit sans insecte. Puis, je le lâchais et me mis à courir, à sauter, à rire, à chanter.. Mon Dieu que je chantais faux.. Et je tournais sur moi-même et je me foutais du monde.

« PETITE LILY JE PARLE DE TOI PARCE QU'AVEC TA PETITE VOIX TU AS VERSÉ SUR MA VIE, DES MILLIERS DE ROOOOOOOOOOSES ! JE VIENS DU CIEEL ET LES ETOILES ENTRES-ELLES NE PARLENT QUE DE MOIIIIIIII ♫ »

Je courais tant que je pouvais, et me postais devant lui, en riant. Lily, petite gamine ouais ! Elle lui tournait le dos, et levait les yeux au ciel. La lune était toujours pleine, malgré les nuages qui passaient. Il y avait plein de points blancs sur ce fond noir. Vous savez, les étoiles et puis.. Oh, une étoile filante ! Allez Lily, fais un voeux ! N'importe lequel, allez ! Je voudrais.. Je voudrais.. Je fermais les yeux très très fort en pensant à un voeux à la con, comme d'habitude. Enfin, comme d'habitude je faisais des voeux à la con. Puis je me tournais vers lui.

« Au fait, moi, c'est Lily, t'es au courant ? Non tu dois pas être au courant. Et pour ta proposition, je bois pas de café ! Mais je t'ai suivi quand même ! Pourquoi ? Je sais pas. Et sinon, tu es pour ou contre l'avortement ? Genre, si la fille elle est enceinte, oui, pourquoi pas, mais si elle ne l'est pas, y'a aucune raison qu'elle avorte, tu vois ? Et puis, merde elles ont qu'à se protéger aussi. La pilule, les capotes.. Ou elles pratiquent la sodomie je sais pas moi. Sodomie. Tu connais ? ça aussi, je trouve que c'est une action très délicate. Enfin, je sais pas, j'ai jamais fais, oh non mon Dieu quelle horreur ! Je m'en prends déjà assez par devant, j'ai pas envie de marcher comme un pingouin et de m'asseoir sur un sachet de petit pois congelés ! Mais ça reste une opération délicate. Autant pour le mec, que pour la fille. Tu t'imagines ? Si ses sphincters lâchent ? Et bah là, ils seront dans la merde. Au sens propre comme au figuré ! Et ou alors, et bien, la fille reste vierge, et on revient sur la théorie de la pipe avec le n°10. Et sinon, toi tu m'as dis que tu t'appelais comment déjà ?   »
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Attendant qu'elle le suive, il s'avança un peu le long du banc, à présent debout et ayant pour objectif de rentrer dans l’hôtel, parce que mine de rien , la mer rafraîchissait bien la nuit. il essayait tant bien que mal de chasser toutes ces idées saugrenues de sa tête. Cette fille était un fléau sexuel, et la suite ne fit qu'ajuster un peu plus ce qu'il pensait. De... hein? A la base calme et confiant, il sursauta quand elle accourut en gueulant comme une folle, apeurée, et se cacha derrière lui. Bon , au moins, il se sentait homme quand elles faisaient ça , mais la raison de cette phobie fut assez... ridicule il fallait l'avouer. Quoi , quand on est soul, on voit les trucs en dix fois plus gros? Orion jeta un oeil étonné sur la petite brune, qui lui arrachait limite la chemise dans le dos, et fixa le banc, voyant un tout petit mille patte de deux centimètres de long. Le blond haussa un sourcil.

- Bah oui , c'est un mille patte, mais il est inoffensif. Calme toi, dit-il en se retournant un peu vers elle, histoire qu'elle lui lâche un peu la chemise, et la peau qui allait parfois avec.

Lui il était inoffensif, pas comme elle. Il allait y réfléchir à deux fois avant d'errer la nuit sur un banc c'était certain. Après l'insecte, le blond se fit presqu'arracher le bras, alors qu'il relativisait en se disant que sa phobie de la flotte était pas mieux, mais le coup de se faire entraîner ailleurs... ola, on se calme, tu m'emmènes où là... Est-ce qu'elle même savait où elle allait? Pas sûr. Même absolument pas sûr. Orion était décidément trop gentil. N'importe qui l'aurait laissé tombé cette folle. Sauf que le violoniste avait une trop lourde conscience... chiante, trés chiante, qui lui émettait l'hypothèse d'un "ah ouais et si tu vas dormir et que pendant ce temps, elle trouve le moyen de passer par dessus un ponton , ou une rambarde et se fracasse le crâne ou se noie ... ou qu'elle se fait attaquer par un chien enragé ou abuser par un salaud ... ou ..." Tu seras responsable !!! Et voila comment en quelques secondes, il s'était retrouvé à s'affubler volontairement de la responsabilité d'une défoncée, qui déblatérer mille aberrations à la minute, qui le malmenait et qui allait probablement lui vomir sur les pompes d'ici, oh ... allez .... une heure ? Il lui jeta un regard , sourcils froncés, un peu dérangée par cette folie passagère, ne sachant trop comment s'y prendre et se passa une main sur la nuque... C'est marrant, elle avait arrêté sa chanson au moment où ça aurait pu parler de lui. Tant mieux. Et puis elle n'en savait rien. Visiblement , elle ne devait pas fréquenter la partie musicale de l'université, sans quoi il l'aurait forcément croisé, addict qu'il était.

Et le QI de cette fille ne semblait pas fait pour les partitions en triple volées, ou les nuits à lire des livres et parler de la condition humaine. L'actuelle sienne était assez déplorable d'ailleurs. Il s'apprétait à devoir la ramasser par terre n'importe quand d'ailleurs. Il voyait les plans de fleurs passer sous ses pieds de justesse, et une marche se loger sous son pied au hasard, et eut peur plusieurs fois qu'elle se fracasse le crâne. Elle allait se faire mal cette andouille! Il la vit s'arrêter devant lui , pour rire, comme une enfant et cela le fit rire, puis elle repartit. Elle allait bien se viander sous ses yeux ... comme les manchots qui glissent sur la banquise. Ce serait épique, mais à son humble avis, elle allait se râper son joli ventre bien plat la pin up. Il était peut être puceau et chaste , mais il savait observer et aucun détail du corps de la demoiselle ne lui avait échappé. Rondeur du fessier, poitrine échancrée, bouclettes brunes en bordel, yeux de biche peinturlurés... d'ailleurs, elle faisait plus tableau à l'aquarelle qu'autre chose là. Elle s'était passé les mains sur les yeux et inutile de dire que c'était... fallait aimer. Il soupira et sortit ses clopes de sa poche pour s'en sortir une autre... Ce genre de situation le stressait , et quand il stressait , il fumait. Et mieux valait ne pas lui ôter ou il risquait de ne pas être de bon poil. Elle serait bien capable de venir lui prendre d'ailleurs. Il allait faire gaffe de lui mettre hors d'atteinte. En tendant le bras vers le haut, elle ne pourrait pas lui prendre, il était heureusement sans mal plus grand. Il se l'alluma, l'autre étant tombé plus bas, quand elle lui avait sauté dessus pour le mille pattes et l'observa sérieusement avant de bloquer sur ses propos. Il ferma les yeux, clopes au doigt et les monta sur son nez, l'autre main dans sa poche de jean delavé, pour se le masser, et digérer la pilule de la poésie de cette ... fille. Un gros raclement de gorge et il plissa les yeux , pour la regarder dans les yeux , et continuait d'écouter ce qu'elle avait à dire non sans une arrière pensée de "mais tais toi...."

- Oui je sais , tu l'as dit tout à l'heure... vas doucement quand tu parl....

Beug. What ! La so... Pitié. Faites qu'il ait mal entendu. Elle parlait bien de ce qu'il croyait qu'elle parlait là... Non. Même le kamasutra avait plus de retenu. Il est où le "warning +18" ?!! Il cligna des yeux , et toussa, en prenant un visage un peu contrarié, un peu mitigé, un peu perturbé, un peu tout... Il regarda à gauche, à droite , derrière , par dessus la tête de la brune et avala sa salive. ok , il  fallait la faire taire. Il commença par lui mettre deux doigts sur la bouches, et fit un signe de chut avec sa clope sur ses propres lèvres, la dissuadant de sortir une autre connerie, le regard à la fois sérieux et prévenant qu'il risquait de la jeter à la flotte si elle continuait. Puis sa main de violoniste, aux doigts longs et souples se fermèrent sur le poignet de la belle pour l’entraîner derrière lui , sans lui laisser le choix. Il entra par une porte fenêtre, à coté d'une salle commune de l’hôtel ouvert sur une piscine, et logea une pièce dans un distributeur, clope au bec, sans lui lâcher le poignet. Il ne lui faisait pas mal au contraire. Il l'attira vers lui , et lui passa le bras à la taille.

- Non tu restes ici et arrêtes de gigoter, j'vais rien te faire.
Allez saloperie de machine, tu t'grouilles.... Et le tir-bouchon taille XXL qui mettait du temps à pousser la nourriture vers le bas... Technologie à la manque. Pour l'occuper, il lui répondit clairement et sans agressivité, n'ayant pas de mal à contenir la demoiselle. Il était mince , mais pas incapable, et ses muscles étaient bien là, fins, mais là.

- L'avortement n'est qu'une facilité si tu veux mon avis, mais ça évite de faire des enfants qui seront malheureux après. Pour ta gouverne, il y a autre chose que le sexe dans la vie... tiens regarde ...

Il plongea sa main dans le distributeur, arracha le plastique d'emballage des dents, et y replaça sa clope entre ses lèvres, concentré entre maîtriser la brune et ouvrit ce fichu truc. Il tira net sur le papier et colla la chocolaterie dans la bouche de Lily, pour la faire taire. Un snicker ou un truc du genre, il n'avait même pas fait gaffe. Il la garda dans son bras et poussa une boucle brune , sérieux.

- Moi c'est Orion. Maintenant mange et arrête de dire des bêtises ou j'te ramène devant le millepatte. T'es complètement perchée, qu'est-ce que t'as pris au juste...

Il s'inquiétait ? Il ne lui en voulait pas? Orion et son altruisme compulsif. Il se disait que c'était sa faute parce qu'elle avait pris une saloperie ou bu , mais bon , si elle l'avait fait c'était peut être aussi parce qu'elle n'était pas bien à la base, ou pas, mais ça il ne le savait pas, et il préférait penser qu'il y avait du bon en elle. Vu ce qu'il avait vu de la môme en pleine euphorie, il y avait forcément du bon dans cette nana... Il soupira et regarda ses yeux. Ouais... Pas joli la drogue... N'empêche que son cerveau allait s'en poser des questions , à propos de tout ce qu'elle avait détaillé. Rah... si seulement il pouvait parfois se mettre sur pause.

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Attends, il se fout de moi ? Genre un mille-pattes c'est rien ? Mais c'est juste dégueulasse, c'est affreux, berk, c'est de la gerbe, c'est le genre de chose qui ne devait pas exister, comme.. Comme les chenilles, les araignées, les cloportes, les méduses, les pédophiles, les zoophiles, les nécrophiles, les vers de terre, les capricornes, les serpents, les psychopathes, les piranhas, les brochets, les murènes, les anguilles, les asticots, les scarabées, les poupées en porcelaine, les greniers dans les maisons, les réveils-matin avec « 3:00 am » affiché dessus, toutes ces petites choses qui font que je panique complètement. Ça paraît bête hein ? Et toi, de quoi t'as peur ? Du sexe apparemment. Et bien tu sais quoi ? Sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe, mets toi ça dans ta petite tête de puceau très cher.. Orion ? Quel prénom.. Original ! Pardonnes-moi petit être inoffensif de te perturber dans ton monde de Bisounours, mais la vie, c'est pas ça. Tu rencontreras des gens pires que moi, qui te feront plus que te parler. Mais allez, dis-le toi aussi que ton machin est contrarié, que quand quelqu'un vient te parler tu sens tes billes se rétracter ! Alala..

Orion posa deux doigts sur ma bouche et fit un signe de chut avec sa cigarette. Visiblement, il était vraiment coincé ce petit. Je riais de plus belle. Je trouvais cette situation amusante. Son regard, c'est dommage que ce soit un gentil garçon, je l'aurais bien emmener sous mes draps. Quittes à ce qu'il fasse sa première fois, autant qu'il s'en souvienne toute sa vie. Je le voyais regarder autour de nous, avant de m'attraper le poignet, pour m'amener un peu plus loin.

« Jolie main, jolis doigts, tu sais que tu pourrais en faire jouir plus d'une comme ça ? »

J'avais compris à quel point il était tellement ma là l'aise avec ce sujet. Et je trouvais ça drôle. Le pauvre. Il était gentil, il s'occupait de moi. Peut-être avait-il peur que quelque chose de mal m'arrive.. On passait par une porte-fenêtre, et nous nous retrouvons dans le hall de l'hôtel. Je ne comprenais pas trop, mais en tout cas, je me suis retrouvée dans ses bras. Il avait son bras autours de ma taille, chose qui ne me déplaisait absolument pas. Il me donnait une barre chocolatée à manger. Comme c'est touchant. Je sais qu'il n'y a pas que le sexe dans la vie. Mais, chéri, on a 20 ans, on a qu'une seule vie, la vie est trop courte. C'est pas à 40 ans qu'on pourra faire tout ce qu'on fait à l'heure actuelle. Non, tu n'auras pas l'adorable Lily dans tes bras dans une vingtaine d'années. Elle se souviendra sûrement pas de toi de toute manière. Oh non, s'il te plait, pas le mille-pattes.. Je risquerais de faire encore plus que de t'arracher le bras. Je pourrais éventuellement t'arracher la tête. Je lui adressais un bisou au coin de la joue pour le remercier et me détachais de lui. Je continuais à rire, puis sortis une bouteille d'eau de mon sac.

« Tu m'en veux pas hein, mais j'ai chaud.. »

J'enlevais mon tshirt blanc, me retrouvant en soutif rose flashy devant Orion. un 95D parfait. Je me versais un peu d'eau sur ma poitrine, et en buvait aussi, m'en passant également sur mon visage. Visiblement, ça ne passerait pas, j'étais toujours défoncée. Mais tant pis, le mieux serait que je dorme. Mais pour l'instant, j'étais avec Orion, & il était trop cool. Il y en avait parterre, les femmes de ménages laveront demain, on s'en branle, de toute façon, personne ne dirait que c'était moi. Orion n'oserait jamais dire ça, enfin, je pense pas, et puis au pire, je m'en fiche. J'regardais le jeune homme d'un air amusé, avec un sourire aguicheur. Rien de méchant, je ne le provoquais pas. Je savais bien que je ne coucherais jamais avec.. Quoi que ! Je tendais ma bouteille vers lui.

« Tu en veux ? »



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Orion avait éviter de s'attarder sur la remarque qu'elle avait fait sur les doigts. Cela dit c'était bien une des seules personnes qui regardaient ses mains, qui pour lui valaient tout l'or du monde. Il avait préféré ne pas noter parce que si on allait par là , ça allait encore tomber dans le sexe. Dans son état , cette fille était-elle capable d'autre chose? Orion la regardait faire, la gardant un temps dans son bras, essayant de décrypter la logique de cette fille. Visiblement , il n'y en avait pas. Ah ?Si ? Où ça ? Elle venait de lui faire un bisou sur la joue, alors qu'il venait de la menacer de la mettre dans un seau de mille-pattes. Il haussa un sourcil en la regardant en coin , et elle lui échappa dans sa petite folie euphorique. Quelque chose lui disait qu'elle n'allait pas se calmer. Ça ne faisait pas son affaire ça.

Il s'accroupit pour remettre ses pompes, parce qu'à la base, il était quand même pieds nus , et se redressa pour se retrouver nez à nez avec.... des... enfin des... seins... boobs... nénés... nibards... Il aurait pu se taper une encyclopédie sur l'anatomie Humaine. Oh merde.  Il ouvrit de grands yeux , heureusement plus haut qu'elle, il n'avait pas fini le nez dedans mais quand même! Bien flashy le soutif quand même. Incorrigible. C'était mauvais la drogue chez cette fille . Très mauvais. Il fixa un temps les seins, le visage de la fille, les seins, le visage, les seins , le visage , les seins , le visage ... le visage? Les seins ? Et elle était trempé maintenant ? Le scénario était un peu incrédible dans la tête d'Orion. Syborg en incohérence de données. Mais pourquoi elle faisait ça ? De quoi ? Lui en vouloir ? De se foutre à moitié à poil dans un lieu public, et de s'asperger d'eau comme la première des potiches descendu des plus simples cabots ? Boh. Si peu . Orion beuguait encore quand elle lui posa la question fatidique qui lui fit cligner les yeux méchamment fort. What ?

- Tu en veux ?

Froncement de sourcils , Orion releva les yeux sur Lily pour regarder la bouteille.
- De quoi ?
De la bouteille couillon ! pas de ses seins ! Alors là bravo! Non il plaidait Non coupable ! C'était cette fille la perverse. Quest-ce qu'elle foutait devant lui en soutif. Bordel. Il se passa une main sur le visage. Putain il avait chaud. Il haussa les sourcils en posant ses mains sur ses propres hanches, remontant un peu sa chemise au passage en regardant sur le coté. Pfffou... Ok respire. Voilà c'est bien. Orion tu es comme l'arbre de la forêt , immobile, fort , imperturbable, indéracinable, tu ne fais plus qu'un avec la nature.  Ouais bah parlons-en de la nature, fallait voir ce qu'elle créait aussi. Orion expira un gros coup et ota machinalement sa chemise rouge sang pour la poser sur les épaules de Lily et la refermer un peu. Il fit un signe de tête et un léger sourire , satisfait de son opération. Voilà qui était mieux. Il faisait chaud hein . Oui oui. Il regarda la bouteille en coup d'oeil. Non. Pas touché, produit du diable , tiens toi éloigné. Il respira un grand coup et la fixa , les mains sur les épaules avec un air supra solennel , et faussement grave .

- Lily. On ne se met pas en soutif dans un hall d'hotel. Tu te souviens de ton numero de chambre par hasard ?

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