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Dixen ♦ Falling Down

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Un mot sur l'oreiller et toi, tu m'as quittée. T'as appris que je t'avais trompée et tu ne l'as pas supporté. Je te comprends, je ne te blâme pas. Mais pourquoi tu m'abandonnes, sans le moindre mot, Ocyllie ? Pourquoi tu ne m'as rien dit en face et t'as attendu que je ne sois pas là ? Et puis tu vois, je m'en suis voulue, après coup. Pour Dixie, pour Lou, pour tout. Je m'en suis voulue parce que pour une fois, j'avais de réels sentiments pour quelqu'un et j'ai tout fait foirer pour des tentations trop extrêmes. Parce que Lou, c'est Lou. Parce que Dixie, c'est Dixie, j'ai été leur première fille et l'unique pour Lou. Et puis merde, regardes où ca m'a encore collée, ta putain de petite lettre qui disait que tout était terminé et que tu ne voulais plus entendre parler de moi. Je suis encore dans un foutu lit d'hôpital pour une nouvelle overdose. Parce que pour toi, j'avais tout arrêté sauf fumer mes joints et à cause de toi, j'ai sombré à nouveau. Putain, pourquoi je ne sais plus m'arrêter ? Pourquoi dans ma tête, dans un semi coma à cause de la dose de drogues que j'ai dans le sang, je pense encore à tout ça, encore et encore, et pourquoi ca tourne en boucle comme un mauvais film en noir et blanc ? Parce que j'ai mal. J'ai le mal de toi mais je suis incontrôlable. L'indomptable sauvage qui ne sait pas appartenir qu'à une seule femme, qui ressent ce besoin continu de plaire et de séduire. Et dans ma tête, j'ai cette petite voix qui dit que ca sert à quoi, caner ? Ca sert à rien. Je le sais bien. Tout ca, j'aimerai te le dire, mais comment ? Tu n'es plus là, je ne sais même pas où t'es passée, en fait. Au fond, je n'ai plus aucun droit sur toi. Le bruit de la porte me fit jaillir de ma torpeur. Je ne sais pas qui viendrait voir une loque comme moi. Je fais souffrir tout le monde. J'espère que ce n'est pas Jay, je ne veux pas qu'il voit sa demi-soeur comme une loque, perfusée de partout, dans une totale léthargie. J'ouvrais alors les yeux doucement, distinguant une silhouette féminine. C'est rassurant. Je referme les yeux, en attendant qu'elle ne vienne vers moi.
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Horrible. Quel mot pouvais-je utiliser d'autre pour décrire la chose? Juste...horrible. J'avais appris par Ginger, qui était une connaissance de la Mather House, qui avait appris par je ne sais qui, que Gwen était à l'hôpital, pour overdose. Pourquoi? Qu'est-ce qui avait eu le don de la faire tomber à ce point entre le moment partagé sur la plage et aujourd'hui? Je n'en savais rien, et ça m'inquiétais, surtout parce que c'était Gwen, que j'adorais et qui me tenait bien plus à coeur qu'un simple plan cul, même si ce n'était pas désagréable ces moments intimes avec elle que j'avais eu droit de goûter deux fois. C'était une amie pour moi, une vraie. C'est donc tout naturel que dans cette pensée, je me dépêche de me rendre immédiatement à l'hôpital de Key West afin de voir comment elle allait. Ça m'inquiétais de la voir, parce que j'avais peur de constater l'état dans lequel elle devait présentement se trouver. Oui, j'avais consommé beaucoup de drogue depuis mon arrivée à Cambridge et à Harvard, mais jamais je n'en étais arrivée au point de l'overdose. Ça devait être...affreux, en fait. Alors, je m'étais décidée à aller offrir un peu de ma compagnie à Gwen qui devait très certainement se sentir seule à l'hôpital. Sur le chemin, je m'étais arrêtée à une petite boutique pour dénicher une boîte de petits chocolats que j'allais lui donner dans quelques minutes, puis arrivai finalement à l'hôpital, interrogeant une certaine personne pour me dire où se trouvait la chambre de mon amie. J'ouvris doucement la porte en voyant enfin le numéro de la chambre de Gwen. Horrible était le mot que j'utiliserais pour décrire ce que je voyais : elle était perfusée de partout par je ne sais quoi encore, et elle avait les yeux fermés. Je tentai donc une légère touche d'humour en refermant la porte derrière moi. « Tu vas devoir planquer ça quelque part, parce que je crois pas trop que les infirmières vont apprécier... » Je m'approchai lentement d'elle afin de m'asseoir à moitié sur son lit, attendant qu'elle ouvre les yeux.
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Tu vois, cette fois je m'en suis sortie sans apprendre que j'étais enceinte, c'est déjà cool, mais tu ne l'as jamais su, Ocyllie. Personne n'a jamais su mes déboires avec Louis, depuis que moi-même je l'ai su, en mars ou avril, je ne sais même plus de quand date ma première overdose. Si, Mai-Lan et Elysia l'ont su parce que se sont des amies proches, même si Mai-Lan n'est plus là, je savais que le secret était bien gardé. La porte de la chambre se refermait en même temps que la voix de Dixie se fit entendre. « Tu vas devoir planquer ça quelque part, parce que je crois pas trop que les infirmières vont apprécier... » Je souriais avant de finalement ré-ouvrir les yeux alors qu'elle s'installait sur mon lit. J'étais dans le paté mais c'est pas grave. Enfin une fille canon qui vient me voir, ca change des infirmières qui viennent me voir. Et elles ont pas intérêt à m'enlever la boîte de chocolat ou je les mord. Je laisse échapper un rire avant d'attraper sa main. Je me sens enfin accompagnée, enfin appréciée et j'ai besoin d'un contact humain rassurant. Comment t'as su que j'étais là ? Et Jay, il est pas au courant, hein ? Je ne sais pas si elle sait que Jay est finalement mon demi-frère, mais au pire des cas, elle l'apprendrait maintenant.
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Oui, j'avais déjà pris assez de drogue, de joints et d'alcool mélangés au point d'être à terre, d'avoir la tête qui tournait, d'avoir les émotions exagérées et de ne plus être capable de me relever, mais jamais au point de me retrouver dans un lit d'hôpital pour overdose. Gwen m'inquiétait : je voulais savoir ce qui s'était passé pour qu'elle en arrive jusque-là, mais ce n'est certainement pas tout de suite que j'allais lui poser cette question. « Les infirmières sont pas jolies? Pourtant j'en ai vu une plutôt pas mal... Tu pourrais la mordre, elle. Elle est à croquer! » Valait mieux essayer d'user d'une touche d'humour, plutôt que de déprimer en silence, à dire des conneries qui...faisaient déprimer, quoi. Et puis c'était bien mieux pour Gwen ; ça la ferait sourire, voire rire un peu, et ça, ça lui ferait du bien, et me ferait du bien aussi, me rassurant un peu. Elle attrapa également ma main, et je serrai la sienne pour lui montrer que j'étais là et que je resterais jusqu'à ce qu'elle en ait besoin ; ou jusqu'à ce qu'on me fiche dehors, quoi. Enfin bref. Ça devait sûrement la rassurer un peu, alors je caressai sa main de mon pouce en gardant le silence pour le moment. Tout à coup cependant, l'une de ses questions me laissa perplexe, m'accordant un froncement de sourcils. Jay? Mon meilleur ami? Comment elle le connaissait? Faut bien croire qu'Harvard est un petit monde, finalement... « Jay? Tu le connais? Et non il n'est pas au courant, si tu préfères, je ne le lui dirai pas, puisque je le vois bientôt de toute façon... Mais tu sais, t'as pas à avoir honte, Gee. Et puis je l'ai su par Ginger qui l'a su parce que je ne sais qui... Une certaine Lou, je crois?» Visiblement, je l'avais appris de quelqu'un qui l'avait appris de quelqu'un, mais je n'avais vu personne d'autre que moi sur les lieux de l'hôpital. « J'suis la première à venir te voir ici? »
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Je n'ai plus la notion du temps, je sais juste qu'à mon arrivée, Briony était là elle aussi, pour les mêmes raisons, et que je n'ai pas eu le temps de lui dire à bientôt avant qu'elle ne sorte. Se retrouver face à son ex dans un hôpital c'est assez spécial. Je ne saurais pas dire si je suis ici depuis vingt-quatre heures ou quarante-huit , si Briony était le fruit de mon imagination ou si c'était réel, mais j'avais envie de dire à ma mère qu'elle a faillit me perdre quatre fois cette année. Mais après tout, qu'est-ce qu'elle en a à foutre, de ma vie ? Rien du tout. Mais Dixie était là, c'était pas le fruit de mon imagination. « Les infirmières sont pas jolies? Pourtant j'en ai vu une plutôt pas mal... Tu pourrais la mordre, elle. Elle est à croquer! » Je lui souriais avant de rire. Si y'en a une de jolie, j'l'ai pas encore vue, mais là c'est Noël pour mes yeux. Elle serrait ma main pour me rassurer, surement, pour me montrer qu'elle était vraiment là pour moi, parce qu'avant d'être une amante, elle est mon amie, une des plus fidèles et je tiens énormément à cela. Quand je parlais de Jay, elle fronça les sourcils avant de me poser un interrogatoire. « Jay? Tu le connais? Et non il n'est pas au courant, si tu préfères, je ne le lui dirai pas, puisque je le vois bientôt de toute façon... Mais tu sais, t'as pas à avoir honte, Gee. Et puis je l'ai su par Ginger qui l'a su parce que je ne sais qui... Une certaine Lou, je crois?» Oulà, trop d'informations. J'arquais un sourcil le temps que toutes les infos parviennent à mon cerveau. Jay est mon demi-frère... J'l'ai su y'a peu. Et j'veux pas qu'il sache que j'suis là sinon il va m'pourrir et j'ai pas envie. Ginger et Lou qui ont coopéré ? Pour moi ? Ca c'est plutôt drôle... Je lâchais un léger rire, parce qu'avec ce qu'il s'est passé le soir où j'ai sombré à nouveau dans les bras de Lou, c'est Ginger qui nous a vues et qui a tout dit à Ocyllie, ce qui m'a menée ici. « J'suis la première à venir te voir ici? » J'haussais les épaules. Je crois que quand j'suis arrivée Briony était encore là, j'suis plus très sure parce que j'étais trop à l'ouest, sinon t'es la seule à être venue d'elle-même. Je me relevais légèrement parce que rester allongée c'est pas cool.
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Depuis quelques temps, je me sentais plus affective envers les autres. Envers mes amis, du moins. Je crois que je retrouvais l’ancienne Dixie que j’avais abandonnée il y a sept ans de cela, à la mort de mon frère, au Portugal. Oui, j’avais l’impression de retrouver cette ancienne moi que j’avais enfoui au fond de moi, parce qu’ainsi j’avais pu faire taire mes émotions, mes sentiments, mes crises de panique, de larmes, etc. Maintenant que ça allait mieux, que tous mes problèmes se stabilisaient, j’étais enfin capable de montrer cette partie de moi que les gens risquaient de plus apprécier. C’est pourquoi j’avais été retrouver Gwen, mon amie. C’est pourquoi je voulais être là pour elle, la supporter, et lui rendre son séjour à l’hôpital un peu moins chiant. Surtout parce que c’était une overdose, après tout, et que si elle s’était rendue jusqu’à ce point en un claquement de doigts, c’est parce qu’elle avait besoin de support et d’amis. De vrais amis. Et sincèrement, je me considérais comme une vraie amie, à présent. Pour lui faire plaisir, je lui avais apporté du chocolat. Non pas des ananas, des brocolis, des échalotes ou quelconque fruit à la con, mais bien du chocolat. « Noël pour tes yeux? Tu veux dire que… y’a quelqu’un d’autre dans la chambre? Oh-oh! C’est pas bon signe, ça, si tu vois des fantômes! Mhmh… Non sincèrement, si ça te fait plaisir de me voir, je t’avoue que c’est réciproque! » Je lui souris, gardant toujours ma main dans la sienne. Puis là, le choc. Elle m’apprit qu’en réalité, Jay, aka mon meilleur ami, ou celui qui avait le don de me faire craquer d’un simple regard, était le demi-frère de Gwen. Quoi?! Genre… Oh god! Mon air devait probablement être très, très surpris, avant que je n’éclate littéralement de rire. « Et merde…. Jay c’est ton demi-frère?! Olala… Wazaaa! La coincidence trop énorme et trop…bizarre! Mais bon voilà… « Bah voyons! Ça casse pas trois pattes à un canards, tu sais! Elles t’aiment bien, voire même beaucoup. Elles s’inquiètent pour toi, j’en doute pas. Devrais-je être jalouse? » Je pris un air fâché et jaloux avant d’éclater de rire une nouvelle fois. Valait mieux rire que pleurer, aujourd’hui. Gwen se releva légèrement et je lâchai sa main quelques secondes pour l’aider à s’adosser à ses oreilles. « Je suis certaine que d’autres vont venir te voir plus tard. Tu sais… t’es pas juste importante pour moi! Alors de toute façon, si personne ne vient, soit on considère ça comme si j’étais privilégiée. Sinon… je peux bien aller botter le cul aux Mathers pour qu’ils viennent te voir un peu? Et t’apporter beaucouuuuup de chocolat! » Je souris avant de prendre un air plus sérieux en plongeant mon regard dans celui de mon amie. « Tu sais, si tu veux me parler de quelque chose… Je suis là. N’importe quand, à n’importe quel moment.. » Ce qui était une allusion à : mais qu’est-ce qui s’est passé!?
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Voir Dixie aujourd'hui, pour moi c'était comme si j'étais une gosse devant son cadeau de Noël. Parce que ca m'rappelait de bons souvenirs, ne serait-ce que dernièrement, au début du Summer Camp, lors de notre petite escapade privée à la cabane en bois, ou encore il y a quatre ans, bientôt cinq. Putain, déjà cinq ans que j'ai foutu les pieds à Harvard, cinq ans que j'fais ce que j'veux, comme je veux. Et quatre fois cette année que j'manque de passer l'arme à gauche. C'est peut-être un signe pour moi de calmer tout ca, la drogue, l'alcool, les femmes. Non, j'arrêterai pas les femmes, ca c'est mort, j'les aime trop pour ca. « Noël pour tes yeux? Tu veux dire que… y’a quelqu’un d’autre dans la chambre? Oh-oh! C’est pas bon signe, ça, si tu vois des fantômes! Mhmh… Non sincèrement, si ça te fait plaisir de me voir, je t’avoue que c’est réciproque! » Je me mis à rire légèrement. J'suis pas devenue folle entre temps, qu'elle se rassure. Et en même temps, t'es tellement belle que j'pourrais te sauter dessus si j'avais pas tous ces fils qui m'en empêchaient ! Et quand j'lui ai dit que Jay était mon demi-frère, j'vous laisse imaginer la gueule qu'elle a tiré. C'était comme si j'lui avais annoncé que j'étais un homme transformé en femme, mais en pire. Et non, j'suis pas un transexuel. « Et merde…. Jay c’est ton demi-frère?! Olala… Wazaaa! » J'comprenais pas pourquoi elle me disait ca, j'arquais un sourcil parce bon, une telle réaction vaut bien quelques questions. Pourquoi tu réagis comme ca ? On dirait que tu t'es tapé la fraterie. Je riais légèrement, mais j'étais bien loin d'imaginer que j'étais assez proche de la réalité. « Bah voyons! Ça casse pas trois pattes à un canards, tu sais! Elles t’aiment bien, voire même beaucoup. Elles s’inquiètent pour toi, j’en doute pas. Devrais-je être jalouse? » Ah oui, j'doute pas de leur amour pour moi, mais quand même, de là à ce qu'elles s'allient après ce qu'il s'est passé, sachant que Ginger était jalouse de ma relation avec Ocyllie et qu'elle voulait être à sa place...moi j'trouve ca vraiment bizarre qu'elles ne se soient pas entre-tuées. Ca se voit que t'as pas supporté l'ambiance de ma chambre quand il y avait encore Ocyllie. C'était assez tendu entre les trois, j'savais plus où me mettre. Et sois pas jalouse, j'te donne ce que tu veux quand tu veux, honey... Elle m'aida à mieux m'installer et j'appréciais vraiment cette proximité. « Je suis certaine que d’autres vont venir te voir plus tard. Tu sais… t’es pas juste importante pour moi! Alors de toute façon, si personne ne vient, soit on considère ça comme si j’étais privilégiée. Sinon… je peux bien aller botter le cul aux Mathers pour qu’ils viennent te voir un peu? Et t’apporter beaucouuuuup de chocolat! » Je lui souris alors. J'vais pas rester beaucoup ici, au pire rameute les Mather quand j'sors, qu'on fête ca dignement. Puis elle me lâcha un « Tu sais, si tu veux me parler de quelque chose… Je suis là. N’importe quand, à n’importe quel moment.. ». J'hochais la tête positivement, avant de lui dire Viens là... Je lui fis signe de s'allonger contre moi, avec un grand sourire.
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Être dans cette chambre d’hôpital ravivait à ma mémoire des souvenirs pas très glorieux par rapport à l’attentat d’Harvard en janvier. J’aurais pu y laisser ma vie, si je m’étais trouvée une vingtaine de centimètres à ma gauche, mais puisque le destin fait si ‘’bien’’ les choses, je n’avais pas eu la chance de retrouver mon défunt frère dans l’au-delà. J’avais été dans le coma trois semaines, et il faut dire que ces trois semaines font parties d’un trou noir et complètement vide de ma vie. Je dois avouer préférer faire des visites à l’hôpital, même si ça ne reste pas tant joyeux, que de me retrouver affalée dans un de ces lits blancs et déprimants pendant des jours et des jours. Gwen était là aujourd’hui, je venais la voir, et ça lui faisait plaisir, tout autant qu’à moi. « Tu sais que les compliments commencent de plus en plus à me faire rougir? Vilaine! Très, très vilaine que tu es, tu sais? Ça mériterait la fessée… Mais comme tu dis, y’a tous ces fils qui nous en empêche! » Un sourire en coin orna mon visage un bref instant, alors que j’étais toujours assise sur le rebord du lit, à regarder mon amie, branchée de partout. Ça devait pas être très cool. On parlait de Jay, à présent, et la réplique de Gwen me mis légèrement sur les gardes, parce qu’elle visait tout près. Pas juste, mais près du mille. « Je…euh, non.. c’est mon meilleur ami d’enfance. C’était mon voisin, et le super meilleur ami de Pedro, mon frère qui est mort… » Penser à Pedro me fit perdre mon sourire un bref instant, mais je finis par éclater d’un rire joyeux lorsqu’elle me dit de ne pas être jalouse. Je arquai un sourcil de manière séductrice tout en répondant : « T’en as de la chance… Si j’avais été dans votre chambre, je les aurais laissées se chamailler, et j’en aurais profité pour te sauter dessus subtilement, mais agréablement! Ce que je veux, quand je veux? C’est une proposition qui mérite d’être réfléchie, ça… ». Je lui avais dit cela en lui accordant un clin d’œil, tout en l’aidant à se placer pour s’asseoir plus confortablement. Ça faisait du bien de rigoler avec elle et de passer un nouveau moment en sa compagnie, surtout depuis la dernière fois qu’on s’étaient vues, à la sortie à la plage de notre équipe commune. « Et si c’est moi qui te fais ta fête, ein? » Je ne pouvais pas m’empêcher de lui répliquer un truc comme ça, quoi, surtout lorsqu’elle me fit signe de m’allonger contre elle en me murmurant de venir contre elle. Je souris en coin, en faisant immédiatement ce qu’elle me disait. Voulait-elle simplement que je lui fasse un câlin? Ou un câlin plus que banal? Pour le vérifier, en m’allongeant près d’elle, je frôlai mes doigts le long de sa jambe, sous sa robe d’hôpital, jusqu’à sa hanche, avant de la faire redescendre et de la caresser réellement tout doucement du bout des doigts. « T’as besoin d’un câlin, ma jolie? Les infirmières ne t’en donnent pas assez, à ce que je vois…? « Je stoppai mon mouvement de main pour faire comme si de rien n’était, lui répondant par une sourire également de mon côté.
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L'hôpital, ce lieu cette année me sort vraiment par les yeux. Un mois post attentat, sans compter sur mes divers séjours pour ma rééducation post-traumatique et pour voir l'abruti de psy qui me servait à rien. Puis ma première overdose, le jour où j'ai compris que coucher avec Louis avait vraiment été la pire idée de ma vie parce que ce con m'avait foutue en cloque et que j'ai perdu le foetus. Puis la fois où je suis allée à l'hôpital pour que Mai fasse son IVG, juste après ce que j'avais vécu et ce que je lui avais dit sur mon avortement obligatoire. C'était assez bizarre mes séjours entre les murs d'un hôpital, à chaque fois. Sans compter mon séjour en rehab, mon séjour chez les fous. J'avais qu'une envie, c'était d'arracher toutes ces perfusions pour être à nouveau libre, mais non, ils veulent me garder en observation. Putain, la dernière fois j'suis restée deux jours quoi. Mais Dixie égayait la pièce avec sa beauté et sa fraîcheur. « Tu sais que les compliments commencent de plus en plus à me faire rougir? Vilaine! Très, très vilaine que tu es, tu sais? Ça mériterait la fessée… Mais comme tu dis, y’a tous ces fils qui nous en empêche! » Son sourire en coin agrandissait le mien avec une pointe de perversion dans le regard. J'aime bien quand tu rougis pour moi, j'trouve ca sexy... Oui j'suis une vilaine fille, une vile canaille qui mérite une punition. Et au pire, j'peux en enlever quelques une juste pour toi... Je réfléchissais deux secondes à ce que je venais de dire. Non mais, seriously ? J'éclatais de rire en réalisant la connotation plus que perverse de ma phrase. Quand au sujet Jay, elle perdait rapidement son sourire après m'avoir dit « Je…euh, non.. c’est mon meilleur ami d’enfance. C’était mon voisin, et le super meilleur ami de Pedro, mon frère qui est mort… » Comme quoi au fond, le monde est vraiment petit. J'hochais la tête, préférant ne pas faire plus de dégât sur le sujet qui semble assez sensible. Je lançais un sourire minimaliste en chuchotant presque un D'accord. qui voulait dire "on change de sujet, j'veux pas déprimer". Elle me fit ensuite un mouvement de sourcil assez séducteur, presque provocateur avant d'ajouter « T’en as de la chance… Si j’avais été dans votre chambre, je les aurais laissées se chamailler, et j’en aurais profité pour te sauter dessus subtilement, mais agréablement! Ce que je veux, quand je veux? C’est une proposition qui mérite d’être réfléchie, ça… » Je lui souriais alors de manière entendue. J'aurais pas dit non, en plus. Où tu veux, quand tu veux et de la façon dont tu veux. Profites-en. Je lui fis mon regard le plus provocateur et séducteur avant de rire légèrement. « Et si c’est moi qui te fais ta fête, ein? » Proposition fort intéressante, qui m'arrachais un vaste sourire encore. Elle s'allongea ensuite près de moi, caressant ma jambe du bout des doigts, remontant doucement vers ma hanche et passant encore plus docement près de ma cuisse, ce qui me fit doucement frémir. Putain, si elle continue, j'la viole sur place. « T’as besoin d’un câlin, ma jolie? Les infirmières ne t’en donnent pas assez, à ce que je vois…? » Elle arrêta de caresser ma jambe comme si de rien était alors que j'étais au taquet. Vile tentatrice. Je rapprochais mon visage du sien, avant de murmurer sensuellement Je ne refuse jamais un câlin d'une fille aussi sensuelle que toi, chérie... Ah bordel, comment ne pas succomber ? Je finissais par poser mes lèvres proche des siennes, avant de lui faire un sourire des plus entendus.
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En arrivant ici, je m’étais dit qu’il fallait qu’il fallait que Gwen sorte très rapidement de l’hôpital, parce que je ne doutais pas que ce devait être assez désagréable comme séjour, surtout parce que la fin du Summer Camp arrivait à grands pas et que je doutais fort qu’elle préfère être loin des grandes fêtes et des soirées de fin d’été. Ça devait être chiant d’être prise ici, bloquée par d’innombrables fils qui avaient des fonctions inimaginables pour la «guérir» de son overdose. Il faut dire que certains infirmiers et infirmières ne semblaient pas de tout repos, et ça devait devenir lourd, à la fin. C’est pourquoi la compagnie d’une amie ne pourrait que la remonter un peu, l’espace de quelques heures. Et maintenant, on se taquinait un peu, en se lançant des piques qui nous amusaient parce qu’on savait très bien toutes les deux que les deux moments intimes qu’on avait partagé ensemble avaient toujours été des plus agréables. « Sexy? Alors fais-moi rougir de nouveau.... » Oh, une punition, c’est le cas de le dire! J’peux être une vraie tigresse avec le fouet, tu veux que j’le sorte? » dis-je, accompagnée d’un clin d’œil légèrement coquin. On rigolait ensemble, et c’était vraiment agréable. Agréable comme moment, oui, malgré le fait qu’on ait abordé le sujet de Jay. Ce meilleur ami d’enfance pour qui j’éprouvais des sentiments depuis toujours, mais à qui je ne l’avouais pas. Gwen était sa demi-sœur? Le monde est petit, oui! Cependant, je retrouvai un sourire entendu lorsqu’elle mit fin au sujet, ce qui me rassura d’un côté. Ouf! C’est pourquoi on retourna sur un sujet de conversation un peu plus joyeux, coquin, et exploitable. C’est vrai, que si j’avais été sa colocataire, je ne me serais pas empêchée de lui sauter dessus et de profiter d’elle comme elle pourrait profiter de moi. Ça ne me déplaisait pas et ne me déplairait jamais, bien au contraire! « Tu sauras bien assez vite le moment, l’endroit, et le comment… Je ne laisserai pas passer cette chance, crois-moi! » Bien sûr que j’avais une idée derrière la tête, surtout après son «signe» et son invitation à me coller un peu plus contre elle. Caressant sa jambe du bout des doigts pour tenter de lui faire de l’effet, il ne me fallut pas longtemps pour arriver à un résultat concluant. « Ça risque de d’égayer ton séjour à l’hôpital… » Ses lèvres se rapprochèrent des miennes lentement. Sans les embrasser, je les fis frôler contre les siennes, passant sur le coin de sa bouche. Je me rendis à son lobe d’oreille, le mordillant sensuellement, tout en passant et repassant, une fois mes lèvres en espèces de minuscules baisers, une fois le bout de ma langue, la peau qui recouvrait son oreille jusqu’à son cou. Puisque Gwen n’était plus complètement couchée, mais bien semi-assise, j’en profitai pour dégager son épaule et le haut de son dos de sa robe d’hôpital, grâce à ma main de libre, afin de continuer mes petits baisers jusqu’à sa nuque. Tout en faisant cela avec mes lèvres, j’en profitais pour faire jouer mes doigts de nouveau sur le haut de sa cuisse, près de sa hanche. Je souriais tout en exécutant ce petit manège sur sa peau. Ça ne pourrait que la faire craquer directement, j’en étais sûre…
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