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Commencerait-il à faire nuit ? Becka/Ricardo

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Ricardo était à présent à Harvard depuis un petit moment. Il avait pu observer les gens, mais en particulier les femmes.. Il avait ainsi pu se faire une idée de celles avec qui il aimerait passé une nuit. Il fallait dire qu'il y avait l'embarras du choix.
En cette matinée, Ricardo n'avait pas la tête à travailler. Hier après-midi, il avait croisé une fille qu'il fallait absolument qu'il rencontre. Lorsqu'il quitta son cours, il essaya donc de trouver son nom. Au bout d'un moment, il réussit à l'obtenir: Becka Bariani. Maintenant, comment l'approcher. Il n'était pas du genre foncer dans le tas comme certains de ses amis footballeurs. Cette technique pouvait marcher, mais pas à coup sûr. Rick voulait y aller plus doucement pour mieux préparer le terrain. Il prépara donc un petit mot qu'il glisserait dans le casier de Becka sans que celle-ci s'en aperçoive jusqu' ce qu'elle quitte les cours. A la pause déjeuner, Rick s'assit une table et écrit ce qui lui passait par la tête:

Cher Becka,
Je t'ai croisé dans le couloir de l'université hier, et depuis j'ai une réelle envie de te rencontrer. Tu hantes mon esprit et il faut à tout prix que je te parle. Ceci n'est pas une lettre d'amour, je ne suis pas quelqu'un qui veut s'attacher et puis je ne suis pas tarer au point de tomber amoureux aussi vite.. Cependant, il faut que l'on se voit. Si ça t'intéresse, rejoins moi au parking du campus à 19h. Il y aura beaucoup de Monde comme ça, je pense que ça peut t'enlever de la peur car c'est vrai que communiquer par cette lettre peut sembler étrange.. Bref, je te dis à tout à l'heure, j'espère.
Signé : R.


Ricardo plia la lettre puis se leva. Il continua d'aller en cours jusqu'à 16h, lorsqu'il termina. Il profita du Monde dans le couloir pour glisser la lettre dans le casier de Becka. Il fit un bref sourire avant de repartir vaquer à ses occupations. 18h45 arrivé, Ricardo se dirigea au parking. Becka n'allait pas savoir que c'était lui, vu le Monde présent. Cependant, si elle se pointait, il irait direcement la voir. Encore fallait-elle qu'elle vienne. Quand il y repensait, son mot ne donnait absolument pas envie de venir, mais la curiosité est souvent forte chez les jolies filles.
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Becka &. Ricardo ☆
« L'homme est fait pour être coupable. »

Dix-sept heures. La journée arrivait à son terme et sonnait la fin des cours. Enfin. Une fois de plus, Harvard nous avait réservé une journée très, trop chargée. Je n'aspirais plus qu'à une seule chose, me détendre. Au fond d'un bain, devant la télévision, avec une bière, un joint, un ex, un escort boy, peu importe. C'était décidé, ce soir je m'amuserais.

543..21..10 ? 42 ? Eh merde. Encore une fois j'avais oublié ce foutu code. Les étudiants me dévisageaient d'un regard amusé, ils avaient l'habitude de me voir maltraiter ce pauvre cadenas. Allez vous faire foutre. Le sac qu'Andy m'avait offert s'avérait être un vrai foutoir, je finis par le retourner pour le laisser se vider sur le carrelage sous les rires étouffés des universitaires. Enfin, je mettais la main sur la dîte « pince de secours » objet qui m'avait déjà sauvé la vie une dizaine de fois depuis la rentrée. En une fraction de seconde le cadenas céda et la porte de mon casier s'ouvrit dans un grincement sonore. Un morceau de papier froissé m'y attendait. C'est quoi encore cette connerie ? Dans un soupir épuisé je lisais ces mots :

Spoiler:

Je levais les yeux au ciel, comme une ultime requête. Cette journée était définitivement glauque. Un pervers m'avait suivi jusqu'à mon casier pour y laisser une lettre qui avait pour synonyme : « Rejoins moi à 19h, je te sauterais sur le parking. » Amen. Cependant, j'avais réellement besoin d'un truc différent ce soir, d'un brin de danger. Je détestais rentrer de l'université pour me faire sauter par un connard différent tous les soirs, me doucher, grignoter en pleine nuit, appeler Jhules pour lui raconter mes ébats et m'endormir paisiblement dans des draps trempés. Ce soir, ce serait différent. Ce soir j'avais rendez-vous avec un psychopathe.
Je fis un saut rapide chez les Cabot pour y enfiler une robe en dentelle blanche et la paire de cuissardes de la même couleur. Un bref coup d’œil au miroir, je passais la main dans mes cheveux pour les ajuster, remontais légèrement ma robe et fit glisser le pinceau du gloss sur mes lèvres. J'étais fin prête.

Dix-neuf heures dix, j'arrivais sur le parking du campus. J'étais en retard, j'étais toujours en retard. Les mains posées sur le volant de la caisse que j'avais empruntée à Julia je scrutais les alentours. Personne ne semblait m'attendre. Après un léger instant d'hésitation je fis claquer la portière et résonner mes talons sur le bitume. A nous deux R.

A peine sortie de la voiture et quelqu'un s'approchait déjà de moi. Un sourire en coin berçait les commissures de ses lèvres. J'étais, il fallait l'avouer, agréablement surprise. Ce mec était plutôt sexy pour un tordu. Doucement, je me mordillais les lèvres en le voyant arriver à ma hauteur. D’emblée, il planta son regard dans le mien et je me vis forcée de m'appuyer contre un poteau pour ne pas céder trop tôt. Je croisais les bras et le dévisagea. De bas en haut, de haut en bas, de bas en.. bas.

Salut R..

Mon regard se fit plus profond et ma voix plus sensuelle que je ne l'aurais cru. Je n'avais peut-être pas totalement perdu ma journée..


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Ricardo s'était habillé simplement pour aller à ce "rendez-vous". Il avait vêtu une chemise bleue à carreaux ainsi qu'une veste en cuir par dessus, le vent était toujours présent dans les rues américaines. Il avait prit sa mustang, cadeau de son beau-père à son arrivée aux Etats-Unis. Oui, il était difficile de voir que Ricardo avait vécu une bonne partie de sa vie dans les favelas ! Il sortit de la voiture une fois arrivé au parking. Il scruta sa montre un bref instant. Il avait encore le temps. Il rentra à nouveau dans sa voiture puis mit son auto-radio. Il écouta quelques musiques avant de finalement s'intéresser à ce qui passait dehors. De nombreux étudiants allait et venait vers leurs voitures. Le parking se vidait aussi quelques peu.

La vision n'était pas terrible dans la voiture. Ricardo sortit alors finalement peu après 19h. Il scruta l'horizon, sans réellement penser que la jeune femme allait se pointer. Mais bon, sait on jamais, il n'allait quand même pas partir au cas où. Il repensa à la lettre qui l'avait laissé, pour le moins bizarre. "Tu hantes mes esprits" ? Ce n'était pas too much ? Probablement, surtout que ce n'était pas le cas. Ricardo avait un profond respect pour les femmes grâce à l'éducation de sa mère. Cependant il n'arrivait pas à tenir de relation. Il avait fait souffrir une femme dans une ancienne relation, et cela lui avait bien suffit. Un coeur tendre ? On peut dire ça comme ça. Maintenant, autant jouer avec celles qui voulaient jouer.

Finalement, elle arriva. Rick vit la voiture avancer, puis s'arrêter et enfin la jeune femme en sortir. Il sourit légèrement, quelle folie l'avait poussé à venir ici ? Il aurait pu être totalement dingue, même si c'était loin d'être le cas. Enfin, il y avait encore un peu de monde ici. Ricardo ferma sa voiture puis se dirigea vers la jeune femme. Celle-ci croisa son regard et compris. Elle le regarda avant de le saluer. Rick lui fit un beau sourire charmeur.

"Tu peux m'appeler Rick. Tu sais, je doutais que tu allais venir. Mon petit mot était vraiment louche, et j'en suis désolé. Tu verras très vite que je suis loin d'être taré, ou pervers. Disons juste que je ne suis pas l depuis très longtemps et que je ne savais pas comment venir te parler. J'ai décidé d'innover.. Mais si tu préfères partir, je comprendrais parfaitement.."
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Becka &. Ricardo ☆
« L'homme est fait pour être coupable. »

Je n’étais ni naïve ni fleur bleue. Les hommes, tous les mêmes et je pouvais me permettre de l’affirmer puisque j’avais testé la plupart d’entre eux. Ils n’étaient rien d’autre à mes yeux que de vulgaires morceaux de viande, des morceaux de chaires fraiches avec lesquelles je m’amusais un peu. Pourquoi un peu ? Parce qu’un peu suffisait amplement. Je ne voulais pas ouvrir les yeux tous les matins et me retrouver en face du même homme, prêter un serment que je ne tiendrais jamais, me menotter à une seule et même personne pour le restant de mes jours.. Non, vraiment l’amour n’était pas fait pour moi. Je préférais de loin mener le jeu, ne m’attacher à rien et surtout à personne. Certes, j’étais dépendante des hommes, mais jamais d’un seul. Voilà pourquoi je ne m’étais jamais vraiment engagée dans une quelconque relation, je préférais de loin ma liberté. Je détestais la notion de « couple » et toutes ces choses qu’on se doit de faire par amour. Une fois, une seule fois j’ai faillit y croire. Une fois de trop.
Peu importe, ce soir j’étais là et ce mystérieux inconnu l’était aussi. Je ne le reverrais sans doute jamais plus, une proie idéale.

Tu peux m'appeler Rick. Tu sais, je doutais que tu allais venir. Mon petit mot était vraiment louche, et j'en suis désolé. Tu verras très vite que je suis loin d'être taré, ou pervers. Disons juste que je ne suis pas l depuis très longtemps et que je ne savais pas comment venir te parler. J'ai décidé d'innover.. Mais si tu préfères partir, je comprendrais parfaitement..

Rick. J’avais beau scruté son visage, son regard et son corps de rêve, je ne le reconnaissais pas. Certes, l’université ne manquait pas de mâles appétissants, mais j’en étais certaine ; si j’avais croisé ce type auparavant je m’en souviendrais encore. Mine de rien, il sortait les rames et tentait de se dépêtrer comme il pouvait de l’image de psychopathe qu’il avait pu donner à travers les lignes de sa lettre. A vrai dire, je m’en foutais. Il parlait, mais je ne l’écoutais déjà plus. Mon regard se suspendait aux mouvements gracieux de ses lèvres. Ses derniers mots réussirent à m’arracher à mes rêveries. Je balayai alors le parking des yeux, les étudiants s’y afféraient. Heureusement que nous n’étions pas seuls.

Te prends pas la tête.. Rick. Je ne pense rien et je ne juge personne. Cette lettre était pas si mal, c’est la première fois qu’on me fait le coup. Un point pour toi.

Et pour l’énième fois je ne pus empêcher mes yeux de glisser le long de son corps qui s’approchait dangereusement de la perfection. Je me fis violence pour retrouver son regard et reprendre dans un murmure à peine audible.

Si j’avais dû partir, je ne serais déjà plus là.

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Ricardo avait une vision des femmes propre à lui même. Lorsqu'il était sortit avec une fille, il y a déjà plusieurs années, ça ne s'était pas très bien terminé. Il ne l'aimait plus, lui avait dit, et cela avait brisé le coeur de la fille en question. Depuis ce jour, Ricardo ne voulait plus refaire cette erreur de se mettre en couple. Mais ce n'est pas la seule raison. Ricardo était extrêmement jaloux lorsqu'il était attaché à une fille, il ne supportait pas de la voir avec un autre mec. De plus, il faisait difficilement confiance. Que se soit au lycée, ou en vacances, Rick avait vu de nombreuses filles tromper leurs copains et faire comme si de rien n'était. Les copains ont continué de sortir avec elles s'en savoir qu'elles avaient été voir ailleurs. Et ce sentiment d'être sans cesse dans le flou serait impossible à supporter pour Rick. Avec qui elle est ? Elle est bourrée, peut-être va t-elle craquer ? Non, il ne pouvait définitivement pas donner sa confiance. Depuis, il préférait enchainer les conquêtes, c'était tellement plus facile à vivre et tellement moins prise de tête.

Il était donc là, juste devant cette magnifique jeune femme. Il n'avait qu'une seule envie: passer une nuit incroyable avec elle. Il se fichait d'où elle venait, de ce qu'elle faisait dans la vie et qui étaient ses amis. Là il n'avait qu'une seule idée en tête: il fallait qu'il couche absolument avec cette femme. Lorsqu'elle lui avoua qu'il marqua un point pour son originalité, Rick ne pu s'empêcher de sourire. C'était donc déjà ça. Elle lui dit ensuite que si elle avait voulu partir, elle serait déjà parti. Rick la dévorait du regard. Il s'approcha alors légèrement d'elle, jusqu'à être pratiquement collé à elle.

"Et là ? Tu n'as toujours pas envie de partir ?"

Lui susurra t-il à l'oreille. Il avança alors doucement son visage et alla l'embrasser dans le cou. Il y resta un bref instant avant de remonter ses lèvres jusqu'à son oreille qu'il prit en bouche afin de lui mordiller le lobe de l'oreille. A part son nom, il ne savait rien sur elle, simplement qu'il fallait qu'il finisse avec lui ce soir.
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« L'homme est fait pour être coupable. »

Je n'ai jamais cru aux papillons dans le ventre ou autres décharges électriques ressenties face à l'être aimé. Le bonheur est une légende inventée par des adolescentes frustrées et mal baisées. Une sorte de réconfort utopique, de rêve illusoire. Je n'avais toujours couché qu'avec des mecs que je jugeais inintéressants excepté au pieu. Les autres, les types attachants, attentionnés et charmants je les fuyais comme la peste. Je ne couchais qu'avec des connards, j'aimais le travail bien fait. Je ne connaissais rien de ce Rick et pourtant je ne pouvais que difficilement décrocher mon regard du sien. Mon instinct de traînée aurait déjà dû sonner l'alerte rouge et m'ordonner de fuir, mais je restais là. Adossée contre un lampadaire, à quelques centimètres seulement de cet inconnu. Deux possibilités. Ou j'étais adepte de l'autodestruction ou j'étais définitivement tarée. Peu importe, malgré le froid qui tombait sur le campus, cette nuit s’annonçait bouillante.

Le regard de Rick se fit tout à coup plus languissant et sa démarche nonchalante n'en rajoutait que trop à son charme naturel. Doucement, il s'avançait vers moi alors que mentalement, je le suppliais de rester à l'endroit où il était. Jamais je n'avais été tentée aussi rapidement par qui que ce soit. Comment se faisait-il que je ne me souvenais pas de lui ? Il s'approchait dangereusement, très près, trop près. Il se pencha sur mon oreille pour y murmurer ces quelques mots.

Et là ? Tu n'as toujours pas envie de partir ?

Bordel. Définitivement, ce mec était le diable en personne. Je sentais mes jambes fléchirent et le goût du sang sur la lèvre que j'avais trop mordu. Il ne me laissa aucun répit, aucune réponse possible. Déjà, ses lèvres s'aventuraient sur ma nuque. Je frissonnais. Tant bien que mal, j'essayais de rester de marbre.. en vain. Comme incontrôlables mes mains se frayèrent un chemin sous sa chemise à carreaux. Par reflex, je sentais mon corps se cambrer et ma tête basculer en arrière. Les regards ne tardèrent pas à se tourner vers nous, si certains me connaissaient, ils ne seraient sûrement pas étonnés et bien que l’exhibition ne me dérangeait pas je ne voulais pas partager mon butin. Non, pas ce soir.

On se trouve un coin un peu plus tranquille ?

Je glissais la main le long de ma robe en frôlant le corps de Rick. Mes doigts se firent moins pressées en direction de nos bas-ventres. Je plantais mes yeux dans les siens et glissais ma main sous ma robe avant d'en sortir un objet. J'agitais les clés de ma voiture tout en me collant toute entière à lui. Je sentais son cœur cogner contre sa poitrine et sa respiration haletante. Il y a un quart d'heure encore, je ne savais rien de ce mec. Maintenant, j'en faisais ma prorpriété.
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Après tout, qu'est ce que ça signifie, le sexe ? Pour certain, il s'agissait d'un passage obligatoire, comme si coucher avec quelqu'un signifiait devenir un adulte. Dans ce cas, ils faisaient en sorte de coucher pour la première fois lorsqu'ils se sentaient capable de grandir mentalement et physiquement. Pour eux, le sexe signifiait donc un énorme épisode de leur vie: comme une nouvelle ère qui commence. Pour d'autres, il s'agit purement et simplement d'un acte d'amour. On prouve notre amour à notre partenaire en couchant avec lui. Le sexe n'intervient pour eux qu'après seulement quelques mois de relation. Si cela peut sembler long pour certains, pour eux c'est complètement normal. Après tout, on dit faire l'amour, alors si l'on couche, c'est parce que l'on a des sentiments, et c'est tout. Pour d'autres personnes encore, le sexe c'est l'inaccessible. Que se soit pour des défauts physiques ou mentaux ou encore pour un profond manque de confiance en soi, ils n'arrivent pas à connaitre le sexe. Ils ont beau essayé, ils n'arrivent pas à trouver de partenaires. Certains s'en fichent, ou font semblant de s'en foutre. Pour certains autres en revanche, ça les rend complètement fou. Enfin, la dernière catégorie de personnes voit le sexe comme un jeu. C'est comme si on jouait avec quelqu'un d'autre à un sport et que l'on prenait du plaisir à jouer ensemble. Mais quel plaisir, surement le meilleur qui existe. Pour eux, le mélange de corps, ce n'est rien. Après tout, pourquoi en faire tout un drame ? On est né avec, alors on en fait ce qu'on en veut. Ricardo faisait parti de cette catégorie, et ce soir, il avait trouvé un partenaire de jeu.

Leurs deux corps étaient collés l'un à l'autre. C'est comme si Rick ne pouvait rien faire pour pouvoir s'en décoller, de toute façon il n'en avait aucune envie. La jeune femme s'était emparé de son corps et de son esprit, il ne répondait plus de lui-même. Sa façon de se mordiller la lèvre, sa façon de parler, de se cambrer, d'éjecter sa tête en arrière, ses formes, ses courbes. Tout ce que dégageait cette fille rendrait fou n'importe quel homme sur terre. Lorsque la jeune femme sortit ses clés de voiture en proposant à Ricardo de se trouver un coin plus tranquille, l'excitation ne devenait que plus importante. S'il pouvait, il coucherait avec elle là, devant tout le monde, sur le capot de la voiture située juste derrière elle. Mais il se contenta de hocher positivement la tête et de suivre la jeune femme là ou elle l'emmenait. Qu'importe ce qui pourrait se passer se soir, il pourrait y avoir un tremblement de terre, la priorité de Rick serait de satisfaire ses désirs ainsi que ceux de sa partenaire
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Becka &. Ricardo ☆
« L'homme est fait pour être coupable. »

J'avais grandi dans une cité lugubre entourée de mafieux, de toxicos, d'alcooliques et de pervers. Les filles y échangeaient leur virginité contre quelques grammes de coke, les mecs y échangeaient quelques grammes de coke contre une paire de sein. La débauche à toutes heures, constante orgie. Je ne regrettais rien de cette vie passée, j'étais fière de m'en être sortie plus ou moins indemne. Je n'étais dépendante d'aucune substance, même si je fumais quelques joints de temps en temps. Pour être honnête je n'avais pas réellement été programmée pour atterrir à Harvard, en fait je n'étais programmée pour aucune sortie de vie paisible. J'aurais dû finir comme ma mère, incapable me se lever du canapé pour attraper la télécommande. Incapable de me souvenir du prénom de ma propre fille. Et pourtant.. J'étais là, sur le parking d'une université mondialement reconnue prête à embarquer un parfait inconnu dans ma caisse. J'emmerde l'Italie. J'emmerde ma cité. J'emmerde ma mère.
Je m’efforçais de chasser ces pensées de mon esprit pour me concentrer sur mon nouveau jouet. Rick quelque chose. A vrai dire, je me foutais de son nom. En fait, je me foutais de tout ce qu'il pouvait bien lui être arrivé avant ce soir. Rien ne comptait d'avantage que le corps divin qu'il était prêt à m'offrir sur un plateau d'argent. Je le voulais, là, maintenant. Peu importe les curieux avoisinants, peu importe la température et les graviers sur le sol. Je voulais lui appartenir, juste pour une nuit, pour une seule et unique nuit. Je la voulais mémorable. Je la voulais ardente.

Docilement, Rick m'emboîtais le pas. Je le guidais à l'endroit où j'avais garé la voiture de Julia. Nous n'avions plus une seule seconde a perdre. C'était maintenant. C'était tout de suite. Je le collais à la portière dans une torride pulsion que je n'avais même pas essayé de réprimer. Je m'attirais tout contre lui en me déhanchant. Mes yeux ne quittaient pas les siens, ma langue humidifiait mes lèvres. Je descendais le long de son corps, le regard planté dans le sien comme on planterait un poignard. Je voulais lui faire mal. Je voulais lui faire du bien. Avec l'aide de mes canines j'avais défait sa ceinture et m'offrais désormais sans aucune limite à lui. Je passais une main dans son dos et j'en avais profité pour ouvrir la portière et le faire glisser à l'intérieur. Je prenais place sur lui, une jambe de chaque côté de ses hanches. J'en avais fais mon prisonnier.

Tu regrettes toujours d'avoir laissé cette lettre dans mon casier ?
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