lassy penelope julian TERMINÉE

Et si peut-être… Et si peut-être… Je n’étais jamais née et je n’aurai jamais d’histoire, ce monde serait aussi nul que mon propre père qui n’étais jamais là pour sa fille, moi bien entendu j’ai dis mon père. Si vous avez le sentiment un jour qu’on vous abandonne et bien reprenez le dessus, car les enfants, le doute et la culpabilité sont les sentiments les plus pénibles en avoir en ce monde. J’ai grandit dans une famille où l’on avait un compte en banque pour moi avant que je sois née rempli de REER de compte de retraite de mon père qui s’est suicidé à ma naissance abandonnant ma mère et moi sans rien nous laisser qu’un compte que je n’ai pu toucher qu’à mes dix-huit ans. Je me demande pourquoi et je ne m’en ai jamais remis. Au primaire et au secondaire j’étais une fille plutôt populaire, mais très solitaire, je me sentais seul, malgré le nombre d’amis que j’avais et le nombre de beaux garçons qui s’intéressaient à moi. J’ai toujours eu une barrière et j’ai toujours resté résistante à l’amour d’un homme, sans aucun doute, à cause du manque paternelle que j’avais qu’on me reprochait souvent, car j’étais un peu du genre à chercher les ennuies et à me battre à l’école. Je n’ai jamais laissé une personne me mettre des bâtons dans les roues et je déteste perdre. Le manque de respect pour moi c’est zéro.



Et comme tout le monde j’ai rencontrée l’amour non, mais vous ne trouvez pas le monde banale vous ? Ce n’est qu’une suite de péripéties que tout le monde vie, personne n’est unique au fond, tout le monde a les mêmes foutues sentiments ? Bon je suis peut-être une jeune femme qui a un trop pleins d’émotions refoulées, mais je suis quand même assez lucide pour dire que notre relation ne pourrait pas continuer, ce n’est pas un seul homme qui me mérite dans ce monde, je ne pouvais pas rester avec ce bel homme d’affaires. Je décidai donc de reprendre mes études, car oui je suis partie de chez mes parents à mes dix-huit ans avec mon compte en banque, j’ai travaillée dans les bars, mais je préfère garder cette partie de ma vie sans couleur pour moi. Cet homme m’avait sortit de cette vie misérable de boites de nuit. Je ne pouvais rester avec lui, car je me suis rendu compte que la belle vie des gens riches et du travail ne faisait pas du tout mon bonheur. Et quoi est plus important que son propre bonheur.



Seule, bref enfin seule dans ma grande maison, avec beaucoup d’argent et personne avec qui partagé ma vie, ce n’est pas ce que j’ai voulu, je dirai, mais bon c’est exactement ce que je voulais, je voulais une vie simple, rencontrer de nouvelles personnes et je ne voulais pas être accroché à un seul homme, je ne serai jamais fidèle aux hommes que j’aime, je ne me ferai jamais belle pour un seul, j’ai le regard beaucoup trop large. J’aurai toujours le cœur séparé en plusieurs. Ce n’est pas que je n’aime pas, c’est que j’aime souvent. Lorsqu’un bel homme me passe en dessous du regard, on pourrait me prendre pour une nymphomane, mais je regarde toujours avec envie, mais bon, ce n’est pas tout le monde qui me plait. Je suis une manipulatrice hors pair et personne ne sait résister à mon joli petit sourire qui dit que je suis une innovatrice de la vie. Si vous saviez la salive que je gaspille à dire n’importe quoi pour avoir ce que je veux.



Ma conclusion c’est que je ne serai jamais bonne à aimé pour de bon. Et me voilà professeur à l’Université où j’ai moi-même fait mes études en droit et me voilà qui les enseignes. La vie n’est qu’une routine de petites choses perspicaces que le monde devrait bien se rendre compte parfois. Qui sait, peut-être que ma vie changera, plus les jours avances, plus la vie me fait vivre de nouveaux évènements qui n’arrive pas par hasard, je ne crois pas aux coïncidences...