Queenie J. Lucas ► Cher Lloyd

C'est le 13 juin 1992 à Londres, que les membres de la famille Lucas m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Queenie Joy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Musique depuis 2 ans . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell house ou les mather house.

Queenie J. Lucas

Looks alot like Cher Lloyd

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle l-unatique et j'ai 20 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à bazzart. J'ai adoré le contexte et le graphisme en plus j'y était déjà sous le même pseudo alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Cher Lloyd comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par l-unatique. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par Moi.

Mot de la fin ? ▲ Merci Andy <3
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
La bombe à retentit dans un bruit sourd me réveillant moi et mon invité mystère. Pour une fois que je dormais bon Dieu. Non au départ je ne savais pas ce qu’il se passait, j’ai été réveillée par un gros « Boum » rien de plus. Mais quand j’ai vu de la fumée par la fenêtre, là je me suis inquiété. Mon mal de crâne n’était peu être pas dû à ma beuverie de la veille avec ma grande amie miss Tequila. Je me suis levée péniblement pour aller regarder par la fenêtre alors que mon invité se rhabillait en quatrième vitesse parlant avec je ne sais qui au téléphone. Un « salut, à la prochaine » plus tard et il s’était envolé comme la fumée s’échappant de plusieurs bâtiments de l’université. J’allumai une cigarette lorsque je m’inquiétai pour mon état de santé. Je m’auscultai vite fait dans la glace présente à côté de ma fenêtre pour voir si j’avais des dégâts. Apparemment pas mais bon on devra sans doute faire une visite chez le médecin : peu être que mon mal de tête était dû à ma soirée d’hier après tout. Je me suis habillée vite fait, remaquillée et coiffée et je sortis voir de plus près car de ma fenêtre je ne voyais que de la fumée grise et opaque s’échappée des bâtiments. Dehors se fut horrible, certaines personnes étaient blessées, d’autre peu être même morte et une grande partie des gens courraient dans tout les sens. Un attentat à la bombe, criaient certains, lorsque je vis alors la gravité de la situation en voyant l’état des bâtiments autour de moi. La moitié étaient détruis comme s’ils avaient été avalé de l’intérieur avec des propulsions vers la pelouse habituellement si verte. Je pense bien que c’est là que je me suis mise à courir rejoindre les autres dans un endroit plus sure. Certainement pas dans ma résidence, qui sait se sera peu être les prochaines bâtisses visées.

Lowell's House
Lowell’House, c’est une des choses que j’ai entendu lorsque j’ai passé les grilles de l’université. Il paraît que c’est la résidence des artistes. Ceux qui font des études artistiques s’y trouve. Devrais-je postulé chez eux ? Après tout je suis bien inscrite en musique, et il faut dire que je chante et joue de la guitare très souvent surtout la nuit. Mon Dieu que je plaints les gens qui vont devoir me supporter la nuit. Je suis une artiste donc je suis sensée me retrouvé dans cette résidence là non ? Oh mais attendez. Qu’est-ce que j’entends là ? De la musique, il y a une fête quelque part. Je le sens. Mather house ? J’irais bien y faire un tour.

Mather House
J’adore cette fête mon Dieu, elle est splendide. Les petits ragots disaient bien vrai. Si tu aimes la fête va dans la résidence Mather House. Qu’est ce que j’aimerais y être. Pourvoir faire la fête toute la nuit et m’amuser comme une folle. Et en plus qui dit fête dit forcément musique donc tout va bien. De l’alcool à profusion, personne qui t’engueule quand tu fumes et en plus je crois que je viens de voir passer un joint. Ça serait bien d’essayer peu être une fois. Mais bon la je dois d’abords aller voir le doyen et qui sait peu être qu’après je rejoindrais une des deux résidences

(Invité)

La lune était belle en cette nuit du douze juin 1992. Ma mère étant encore une fois seule du aux nombreux déplacements d’affaires de mon charmant père que je me suis dit : « Autant m’habituer tout de suite ». Le travail commença, il était 22h et ma mère n’eut qu’une seule réaction lorsque je rompis la poche des eaux : « Je crois que je me fais pipi dessus ! » très philosophique n’est-ce pas ?
Et pourtant ma chère maman est infirmière dans l’hôpital où je vais bientôt voir le jour mais bon je la comprends aussi, je ne devais venir au monde que le 18 de ce mois. J’ai eu la chance de vivre mon premier voyage en ambulance. Bon je dois dire que la vitesse du chauffeur m’a beaucoup amusée mais bon je n’allais pas sortir plus vite pour le remercier. Non mais en plus il fait froid, et je n’avais pas franchement l’envie d’aller voir si dehors il faisait plus chaud. Du coup ben, j’ai retardé mon arrivée, moi qui était si pressée il y a une heure. C’est à 5h40 que je vis le jour, enfin le soleil se lever à Londres, oui oui vous avez bien entendus, Londres, la ville où il pleut tout le temps. Pas étonnant que je ne bronze pas beaucoup. Mais bon je vis le jour quelques minutes avant que mon père n’entre dans la salle, déjà chiante hein. Fraichement née toute rose avec des cheveux noir de jais devant le sourire heureux de mon père et fatigué de ma mère. Ils étaient si heureux de m’avoir enfin dans leurs bras qu’ils ont convoqué pratiquement toute la famille, je suis sure que s’ils avaient pu avertir les médias ils l’auraient fait. Au lieu de me laisser tranquille pour récupéré de la dure épreuve que j’ai traversée il y a à peine deux heure que je suis transbahutée de bras en bras de visage en visage où un tas de personne dont j’ignorais qui ils étaient me faisait « gazouillis gazouilla » et j’ai du endurer ça toute la journée. Du coup je leur ai fait payer ce jour durant les deux premières années de ma vie. Chaque nuit depuis ce 13 juin 1992 je me reposais quelques heures de la journée et je hurlais la nuit en me reposant tout de même entre les quelques minutes de cris durant de petites heures, juste le temps pour qu’ils se rendorment. Je pense d’ailleurs que c’est de ma faute que je n’ai ni frère ni sœur. Mais je pense que je n’aurais pas dû du coup car j’ai commencé des insomnies, je dois l’admettre vers l’âge de douze ans mais je pense que ça a joué. Non ? Bon je vous passe les détaille de mon apprentissage de la marche, de la parole ainsi que du change de mes nombreuses couches. Et je vais vous parler de comment est né ma passion pour la musique.
Lors de mon sixième anniversaire sur le thème des princesses, oui je sais mais bon j’étais jeune à ce temps là. Mon père m’a offert ma première guitare. Qu’est ce que j’ai joué avec celle-ci. Je l’ai usée jusqu’à la dernière corde et je me la suis faite confisquée un nombre incalculable de fois vu qu’au début ben je ne savais pas en jouer et que je cassais les oreilles de tout le monde, mes parents premier. Il a bien fallu qu’il me paye des cours à un moment ou un autre pour que je puisse m’améliorer. J’ai eu des bonnes notes tout le long de mes études. Obligée sinon j’étais privée de guitare et je devais travailler beaucoup trop à mon goût. Que faire pour que mes parents soient heureux hein ? Ils étaient tellement heureux lors de mon inscription à l’université qu’ils ne furent même pas étonnés que je prenne « Musique » comme option. Papa était un peu déçu, lui qui pensait faire de moi un médecin ou une avocate mais bon ils auront une musicienne dans la famille pour changer. Mon choix fut un choix très judicieux, plus judicieux que mes précédant choix d’ailleurs vu que je pouvais combiner travail et passion. N’y a-t’il rien de mieux.
Voilà une peu comment je suis arrivée devant les grandes grilles en fer forgé de l’université, une cigarette entre mes lèvres souriantes prête à rentrer et à me construire un avenir.

The End

(Invité)