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LUCY VOX WARNER ► cara delevingne

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C'est le 7 août 1991 à LA, que les membres de la famille Warner m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Lucy Vox, oui, comme les amplis.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro... je crois. Je viens d'une classe sociale aisée ; très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine vétérinaire en majeur et arts dramatiques en mineur depuis quatre ans. J'aimerais bien me trouver un petit boulot en parallèle, mais non seulement mes études demandent énormément de temps et de travail, mais en plus mon père me dira que c'est inutile, et que je n'ai pas besoin de me tuer à la tâche pour avoir de l'argent. Quelque part, peut-être qu'il faudrait pourtant que je commence à prendre mon indépendance financière. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Eliot.
Lucy, Vox, Warner

Looks alot like cara delevingne

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Blini, ou Cess, ou Cece (à prononcer Sissi) parce que mon prénom c'est Cécile mais bref, j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à RootTop Obsession27.  J'étais dans cette fameuse période de "recherche de RPG", j'avais mille onglets d'ouvert des RP fantastiques au RP de cuisine, et j'ai trouvé un scéna parfait sur celui-ci, en plus d'un bon design et d'un bon contexte, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise cara delevingne comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 800 mots par RP... Bon pour être honnête il m'arrive fréquemment d'en faire le double, mais je vais essayer de me contenir, et mon personnage est un scénario crée par Luwana, ma jumelle que j'aime déjà détester .

Mot de la fin ? ▲ Autant vous prévenir maintenant et tout de suite : je suis chiante au niveau des liens :roll:J'aime qu'ils soient complexes, travaillés, finement finalisés, aboutis, originaux, tordus, rares, bref, qu'ils apportent matière à développer et à développer de manière intéressante au fil du RP. En gros, je suis cette joueuse chiante qui a vraiment du mal avec les "on a qu'à dire qu'ils sont amis ? :-)" un grand PARDON d'avance pour ça
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
APRÈS LA BOMBE
Pour être honnête, j'ai un peu honte de dire que pendant que d'autres subissaient cette attaque horrible, moi je m'engueulais encore avec Gibson. On était allé voir papa à Boston, et je savais dès lors que c'était une connerie : déjà qu'on aille le voir, pour la millième fois ; ensuite qu'on y aille toutes les deux, c'était presque comme si on voulait que ça se finisse mal. Comme si on l'avait volontairement provoqué. Pourtant, paradoxalement, cette erreur nous a peut-être sauvé la vie. Au retour, j'étais dévastée. Je ne me sentais plus en sécurité. J'avais peur pour mes amis, ceux qui avaient été touchés, ceux qui auraient pu l'être, j'avais peur pour l'avenir.

ELIOT.
L'élite. Lucy a baigné dedans depuis sa naissance, je ne vois pas meilleur élément qu'elle pour intégrer les Eliots. Fille de la rockstar John Warner, actrice en devenir, avec un compte en banque à couper le souffle, Lucy est une fille avec des valeurs et des principes dont elle ne saurait se détourner. Si sa soeur préfère profiter de sa notoriété pour acheter alcool, tabac et je-ne-sais quelle autre drogue, Lucy aiment autant dépenser pour la bonne cause, organiser des fête et des galas raffinés et vivre sa passion.

CABOT.
Lucy est belle, Lucy est studieuse, Lucy est douée dans bon nombre de domaines, elle est ambitieuse et déteste par dessus tout la génération qui lui est parallèle de jeunes dépravés qui ne trouvent leur satisfaction que dans la perte de soi-même, la drogue, l'alcool, le sexe, et l'infidélité. On peut faire la fête sans perdre la raison. On peut séduire sans perdre sa virginité dès le premier soir. On peut aimer sans en aimer mille à la fois. On peut être comme Lucy.
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« Lucy, bouge-toi, le bus est là ! »
Sans me regarder, elle ouvre la porte d’une volée et court dans les bras de son père. Enfin, du nôtre. Elle lui dépose un trop-plein d’amour sur la joue, avec ses yeux qui brillent et son sourire jusqu’aux oreilles, on dirait une sotte. Moi j’observe la scène depuis l’entrée, en mettant mes chaussures, j’ai pas envie de me presser. Pas pour ça, pas pour lui. C’est toujours une erreur quand on rejoint papa sur une des dates de sa tournée. Je me sens jamais au bon endroit, au bon moment. Luwa et moi on n’arrive jamais à s’entendre. Y en a toujours trop pour elle. Y en a toujours trop. De lui dont les inconnues sans sous-vêtements hurlent le nom. D’elle qui retombe en enfance à chaque fois qu’elle l’entend jouer. Des journalistes, des photographes qui ne savent avoir une vie que grâce à celles des autres. Je regarde, j’écoute, et déjà, j’ai hâte de rentrer chez moi. Tout passe au ralenti. Les filles sautent dans les airs, leurs t-shirts qui se lèvent comme poussés par le vent, et aussi doucement qu’elle se repose, leurs pieds heurtant le sol rendent un bruit sourd et étouffant qui occupe tout l’espace. Les lumières aveuglantes jaillissent de tous les côtés, il y a trop de côtés. Tout se bouscule, tout se superpose. Le bruit des Gibson comme hymne à une guerre familiale qui n’en finira jamais. John Warner. Il y en a tant qui t’ont aimé plus que moi. « Lucy, bouge-toi, on va backstage ! » et en clin d’œil, en une seconde, une infinie seconde, tout est déjà fini. La salle se vide et le silence se pose aussi lentement que la nuit. Ils rentrent dormir ; je n’aurai pas cette chance. J’adresse un sourire forcé à ma sœur qui n’aura pas été trop exécrable cette fois, en hochant la tête, « J’arrive ».

Elle a sans doute raison de me détester quelque part. Si les rôles avaient été inversés, je la détesterais aussi. Mais elle crèvera avant d’entendre un [color:b704=#darkcyan]« pardon » sortir de ma bouche. Je sais pas, je suis pas la seule fautive dans notre relation de merde, elle a jamais été foutue de faire un effort non plus. C’est con. C’est con parce que j’arrive pas à savoir si y a une once d’espoir pour que ça revienne comme avant ; on s’aimait tellement, avant. Je sais pas. C’était ma sœur. On avait toujours tout fait ensemble, puisqu’on ne pouvait rien faire avec les autres. On était cloîtrée à la maison, on y mangeait, on y dormait, on y étudiait, on n’en sortait à peine, au final ; paraît-il que la célébrité, c’est dangereux ; paraît-il qu’aux sommets de la gloire on est plus vulnérable. On aurait été les plus fortes du monde jusqu’à la fin de notre vie, si on était restées toutes les deux.

« Lucy ?… »
Une voix écrasée, inaudible, presque sanglotante. Je m’étais retournée en un sursaut et je n’avais rien pu dire. Nos yeux en disaient déjà trop. J’avais juste eu le temps de soupirer, je n’avais même pas pu nier. J’avais tournée la tête vers le garçon qui avait froncé les yeux dans la confusion la plus totale ; dans un souffle il avait prononcé un « Quoi ?! » affolé et n’avais eu que trop de peine de comprendre sa faute. Une faute qu’il n’avait même pas voulu. C’était trop injuste. « Barre-toi » on avait dit, Luwa et moi, d’une même voix. Il s’était enfui par la fenêtre et sa silhouette maladroite et tremblotante s’était évanouie dans le soir. Je n’avais jamais eu la force de lui expliquer, à Luwana. Elle l’avait compris d’elle-même. Elle m’avait haïe du plus profond de son être, et ce jusqu’à aujourd’hui. Comme une idiote en mal d’amour, j’avais juste été malhabilement capable de lui lancer un « t’étais pas la seule à l’aimer », mais qu’est-ce que c’était con putain, qu’est-ce que j’étais conne. Depuis, on avait appris à faire notre vie chacune de notre côté, on ne se retrouvait qu’à la maison. Elle dira qu’elle me déteste, et qu’elle me détestera toujours. Moi, je vous dirai la même chose. Pourtant, si je ne suis pas d’accord avec ses choix, je ne la déteste pas pour autant. C’est quelque chose que je ne lui dirai pas, et qu’elle ne saura jamais, parce qu’entre nous, il y a trop de rancœur. Mais c’est ma sœur. Luwa et Lucy. Gibson et Vox. Les sœurs Warner. On n’est pas rien, on n’est pas personne, on est grandes, on est fortes, on est jumelles. Je ne saurai pas dire que je l’aime, elle m’insupporte. Mais pourtant, si elle a besoin de moi, je suis là pour elle, je crois. Est-ce qu’il aurait simplement suffi que je dise “Pardon” ?

Si je vous parle d’elle, c’est que mon histoire est autant la sienne.


Ils attendent de moi une attitude et des résultats exemplaires. Tout le temps, partout. Ils attendent de moi des sourires, des A+ des beaux discours et des remarques pertinentes aux réunions. Ils attendent que je sois forte, que je sois grande. Que tous les yeux soient sur moi. Et c’est ce que je fais. Et ils sont fiers, si fiers. Maman m’avait prévenue, à notre entrée au lycée d’abord, « C’est un monde de chiens dehors, et on essaiera de vous faire tomber plus bas que terre, soyez plus fortes que ça. », puis à notre entrée à Harvard « C’est aujourd’hui que vous intégrez l’école la plus prestigieuse du monde, l’Élite. Ne nous décevez pas. » “Ne nous décevez pas”. Comme si c’était facile à entendre, comme si c’était facile à appliquer. Ce sont des mots trop durs à dire à son enfant. C’est trop de pression. Ce qui est con, ce que je l’aimais pour ça, ma mère. Je l’aimais pour tout, mais surtout pour ça. Cette admiration que j’avais pour une femme qui ne se laissait pas mener à la baguette. Une femme qui donnait beaucoup, beaucoup trop d’elle-même. Une femme qui avait confiance en elle et en qui j’avais confiance. En fait, une femme à qui je voulais ressembler. Papa, je crois qu’il ne s’en est jamais autant préoccupé, de notre réussite. Ça devait compter, mais pas autant que sa musique, pas autant que ses tournées au bout du monde. On parle moins, avec Papa. Je crois qu’on partage moins. Je ne sais pas si je l’aime moins, mais je ne l’admire pas. Je rejette ses manières, ses addictions de “star du rock”, ses amis. Et Luwa, Luwa, elle l’aime tellement, et de plus en plus, elle lui ressemble. Je crois bien que la seule fois où j’ai vu dans les yeux de mon père qu’il était fier de moi, c’est après une de mes représentations théâtrales (en fait la seule à laquelle il ait jamais assisté), dans laquelle j’avais été particulièrement imprégnée du personnage. « T’iras loin, chérie, toi aussi on connaîtra ton nom. » Parce qu’il n’y a que ça qui compte. Qu’on connaisse mon nom. Le pire, c’est que pour l’instant, c’est bien parti. Je passe des castings, décroche quelques rôles. J’ai l’impression que c’est trop facile pour moi. On me dit « Warner ? Comme John Warner ? » si je réponds “Oui”, je suis assurée d’avoir le rôle ; et j’ai trop peur de répondre non. De savoir ce que je vaux sans lui, et par moi-même. Tout ça, c’est trop de pression. Beaucoup trop de pression.

« C’est pas toujours facile Lucy, tu sais. Mais c’est notre histoire à nous, et ce qui est certain, c’est qu’elle est pas moins belle qu’une autre… »
Tijuana, spring break 2011. Maverick me regarde avec des yeux remplis d’amour. Y a trop de ce putain d’amour dans ses yeux. Ce même amour qui m’a conduite dans cette petite ruelle déserte, flask de rhum vide à la main. Bordel, mais c’est pas moi ça, c’est pas moi, cette dépravée accroupie contre un mur qui le regarde, les yeux cernés de larme noires causée par un rimmel pas suffisamment waterproof. Il est là, debout, à quelques centimètres de moi, il me tend la main en souriant, et je peux rien faire. Je peux pas bouger. J’ai l’impression d’avoir tout foiré, pour la première fois de ma vie. Pourquoi je suis là, putain pourquoi je suis comme ça ? Je suis pas censée flipper, moi. Je suis pas censée m’enfuir en courant, saoule comme une ado qui s’est pris la première cuite de sa vie. Je suis pas censée flancher. Mais là, c’est trop, j’y arrive plus, je peux pas. Mave’ est là, comme un ange, et tout ce que je veux lui dire, c’est que c’est de sa faute. C’est de sa faute si je me comporte comme une Mather attardée ce soir. C’est de sa faute si je suis pas fidèle à mes valeurs, à moi-même.. C’est de sa faute si j’ai peur. Ça fait quatre mois qu’on est ensemble. Quatre tous petits mois, et il m’aime comme si ça faisait quatre ans. Au début, je pensais que c’était mon premier vrai, mon premier grand amour. Aujourd’hui, j’ai l’impression que je le mérite pas. J’en donne trop, et il prend tout. Tout de moi. Et j’arrive plus à bouger, j’arrive plus à parler, j’arrive pas à l’aimer. Je tremble parce que j’ai froid, parce que c’est la redescente. Je suis une moins que rien, écrasée par un monde qui tourne sans moi. Que vont penser les Cabots, les Eliots de moi ? Que va penser mon père, que va penser ma mère ? Il s’approche lentement, comme si j’étais une bombe et qu’il avait peur que j’explose. Et doucement, il me prend la bouteille des mains, et la lance derrière lui ; je l’entends se briser en mille morceaux, on dirait que c’est moi qui me brise. C’est presque beau, comme scène, c’est presque poétique. Quand j’arrive enfin à poser mes yeux sur lui, je veux fondre en larmes, je veux m’excuse. Je n’en fais rien. « Personne ne doit savoir… » je prononce dans un souffle, comme si c’était sa faute et que ma seule échappatoire, c’était de l’accabler de tout. Mais il s’en fiche, Maverick, il hoche la tête, j’attrape sa main et il me dit en souriant « Personne ne saura jamais. Promis ».

Je regarde les filles plus que les garçons, simplement parce que je trouve qu’elles sont plus jolies à regarder. C’est tout ce qu’elles ont pour elles, les filles, elles sont belles quand on les regarde, elles sont belles tant qu’elles ne le savent pas. C’est bête, une fille. Ça pleure sans cesse un amour perdu ou un amour jamais gagné. Ça se maquille parce que ça croit que c’est comme ça qu’elles se démarquent des autres ; alors qu’elles sont toutes les mêmes. Même si certaines sont plus sérieuses que d’autres, plus drôles que d’autres, plus apprêtées que d’autre, une fille ça reste une fille. Ça reste une créature fragile, tellement vulnérable, qui veut juste qu’on l’aime, même si elle ne l’avoue pas. Elles ne jouent jamais pour elles, elles jouent toujours pour que les autres les voient. L’objectif principal d’une fille, c’est de trouver l’amour, le prince charmant. C’est con, comme histoire ; “Le prince charmant”. La princesse qui s’enfuit avec son prince sur son cheval blanc, sur une route trop droite, bordée d’une allée trop fleurie avec un soleil trop brillant. Dans la vie, la princesse s’enfuit avec un bad-boy (parce qu’il n’y a que ça qui lui plaît), dans un studio trop sombre et trop délabré de douze mètres carrés où ils finiront par se déchirer mutuellement. Moi je trouve ça beau quand une fille s’enfuit avec un timide, puceau, qui bégaye et qui baisse les yeux, parce qu’il n’y a rien de mieux qu’un timide pour surprendre par son côté sauvage. Moi je trouve ça beau surtout, quand une fille s’enfuit avec une fille, parce qu’il n’y a rien de mieux qu’une fille pour savoir ce qu’aiment les filles.

The End
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Le mot d'la fin LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1881463262
CARAAAA LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 2931463659 Bienvenue hanwii (RP de cuisine ? Ca existe ça ?)
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Merde, Robbie. :havesex: 
Merci beaucoup !
Eeet non, ça existe pas, c'était pour la blague LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1779901633 (ceci dit, si un jour ça existe, je VEUX l'adresse.)
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COUSIIIIIIINE hanwii
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 3997999705
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Amour de cousineeeee, merci ! LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1001568715 
Je me mets de ce pas à l'histoire, j'ai fini ce soir si tout se passe bien hanwii
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Si un jour t'en croises un, envoie-la moi aussi. Ca doit être trop bg. "RPG Master chef, qui sera le chef cuisto de l'année ?" 🇧🇬 LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1881463262
Avec plaisir hanwii Si t'as des questions, hésite pas à les poser LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 152426858 Ou à venir me voir, papoter, enfin tu vois... LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 152426858
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Bienvenue soeur jumelle diabolique. On fera un sujet cuisine ensemble ne t'en fait pas :chainsaw: !

Merci encore d'avoir prit le scéna LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1001568715
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Andy - LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1881463262 LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1881463262 
Merci, je prends note, je prends note... :hum: 

Warner bis
- Ahaha, sans rire, ça pourrait donner un RP super drôle LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 1881463262 Un truc qui dérape en bataille d'oeufs et de farine... Enfin, merci à toi surtout !

Merde, avec un accueil comme ça vous me donnez envie de RP immédiatement :'(
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : crédit: thv1@tumblr
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : LUCY VOX WARNER ► cara delevingne O4O8rlbd_o
RPS en cours :
04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
RPS : 119
Messages : 63637
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165819-rhys-ackerman-kim-taehyungRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166603-rhys-ackerman-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t166159-meetsachussets-rackerman
bienvenuuuuue sur le forum LUCY VOX WARNER ► cara delevingne 3850463188
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”


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