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Septembre 2013, Rentrée Scolaire.
Les yeux rivés sur l'écran de mon ordinateur, je tape à la vitesse de l'éclair, éperdument inspiré en cet fin d'après midi. J'écris encore et encore, jonglant avec les mots, jonglant avec les lettres. Je ne sais plus m'arreter tellement l'inspiration est présente et surement qu'avoir parler de tous ça à quelques uns de mes proches à m'aider à reprendre à nouveau plus de plaisir à l'ouvrage. Mes doigts tapent sur le clavier, rebondissant doucement, claquant dans un bruit sourd. Je vois alors mon téléphone vibrer puis s'allumer ; un rappel ? Kenny et Anastasiya ; oui, je dois les voir ce soir. Je ferme le clapet de mon ordinateur et court vers la salle de bain. Un coup de déodorant, parfum, je m'arrange les cheveux, un coup de gel, et j'enfile ma veste en vitesse. Je prends mon téléphone dans une poche, mon portefeuille dans l'autre. Je cours vers la sortie de la maison, ne voulant pas arriver là-bas avec du retard, je déteste trop ça. Dans la rue, il semblerait que les autres soient de sortie, je crois quelques uns de mes amis et me contente de leur sourire, accélérant le mouvement ; je préfère rejoindre Kenny que reste avec eux. Je tourne dans la rue suivant, m’arrêtant chez le fleuriste pour prendre un beau bouquet à notre blondasse nationale. Ce n'est pas toujours facile avec elle, mais je l'adore quand meme et le fait qu'elle rende si heureuse mon pote ne peut que m'aider à ne pas lui tenir compte de sa folie ; chut, lui dites pas que j'ai dit ça. Je sors la carte bleu pour payer, faisant les yeux doux à la jolie fleuriste avant de partir bouquet à la main. Je sens que je l'ai dégouté avec mon bouquet, elle aurait surement voulu que ce soit pour elle mais meme si ce n'est pas pour une petite amie, j'en ai une alors .. au revoir madame ! J'aime séduire, c'est indéniable. Quand je tourne dans la rue suivant, je ne peux m’empêcher de me marrer en repensant à la tête de la demoiselle à la fois prête à me charmer et dégouter en réalisant que j’achète des fleurs et donc surement pour une femme. Quelques minutes plus tard, j'arrive à l'appartement de Kenny et Anya, tout sourire, pour ne pas me faire reprocher par Anya de faire encore le mec fier et hautain puis en haut, devant la porte, je frappe rapidement, assez fort, déjà impatient de voir mon pote. La porte s'ouvre, je me cache derrière le bouquet pour faire le pitre ; Bondour ! C'est le livreur de fleurs pour Anya Banana ! Je prends l'accent à la limite du Pakistanais-chinois bizarre et je me marre comme un abruti.
Kenny, Anya & Emrys
Les yeux rivés sur l'écran de mon ordinateur, je tape à la vitesse de l'éclair, éperdument inspiré en cet fin d'après midi. J'écris encore et encore, jonglant avec les mots, jonglant avec les lettres. Je ne sais plus m'arreter tellement l'inspiration est présente et surement qu'avoir parler de tous ça à quelques uns de mes proches à m'aider à reprendre à nouveau plus de plaisir à l'ouvrage. Mes doigts tapent sur le clavier, rebondissant doucement, claquant dans un bruit sourd. Je vois alors mon téléphone vibrer puis s'allumer ; un rappel ? Kenny et Anastasiya ; oui, je dois les voir ce soir. Je ferme le clapet de mon ordinateur et court vers la salle de bain. Un coup de déodorant, parfum, je m'arrange les cheveux, un coup de gel, et j'enfile ma veste en vitesse. Je prends mon téléphone dans une poche, mon portefeuille dans l'autre. Je cours vers la sortie de la maison, ne voulant pas arriver là-bas avec du retard, je déteste trop ça. Dans la rue, il semblerait que les autres soient de sortie, je crois quelques uns de mes amis et me contente de leur sourire, accélérant le mouvement ; je préfère rejoindre Kenny que reste avec eux. Je tourne dans la rue suivant, m’arrêtant chez le fleuriste pour prendre un beau bouquet à notre blondasse nationale. Ce n'est pas toujours facile avec elle, mais je l'adore quand meme et le fait qu'elle rende si heureuse mon pote ne peut que m'aider à ne pas lui tenir compte de sa folie ; chut, lui dites pas que j'ai dit ça. Je sors la carte bleu pour payer, faisant les yeux doux à la jolie fleuriste avant de partir bouquet à la main. Je sens que je l'ai dégouté avec mon bouquet, elle aurait surement voulu que ce soit pour elle mais meme si ce n'est pas pour une petite amie, j'en ai une alors .. au revoir madame ! J'aime séduire, c'est indéniable. Quand je tourne dans la rue suivant, je ne peux m’empêcher de me marrer en repensant à la tête de la demoiselle à la fois prête à me charmer et dégouter en réalisant que j’achète des fleurs et donc surement pour une femme. Quelques minutes plus tard, j'arrive à l'appartement de Kenny et Anya, tout sourire, pour ne pas me faire reprocher par Anya de faire encore le mec fier et hautain puis en haut, devant la porte, je frappe rapidement, assez fort, déjà impatient de voir mon pote. La porte s'ouvre, je me cache derrière le bouquet pour faire le pitre ; Bondour ! C'est le livreur de fleurs pour Anya Banana ! Je prends l'accent à la limite du Pakistanais-chinois bizarre et je me marre comme un abruti.
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