Flynn J-D. Wayland ► J. Ackles.

APRÈS LA BOMBE
Lorsque la bombe à exploser, Flynn se trouvait dans un couloir d’Harvard. Il le traversait tranquillement, son sac en bandoulière marron fait de cuir, pendant le long de son flanc gauche. L’esprit tranquille, les mains dans les poches, il songeait déjà à la prochaine fille qu’il inviterait à sortir et aux devoirs qu'il lui restait à rendre. Un grand fracas retentis soudain et un grand trou se forma à travers un mur blanc non loin de là où se trouvait le jeune homme. Celui-ci à cause de la force du choc, se vit propulsé de l’avant, s’étalant de tout son long sur le carrelage froid et dur, son front le heurtant difficilement. Il entendit des cris et des pleurs, alors qu’il tentait de reprendre connaissance. Lorsqu’il ouvrit les yeux, de la fumée opaque et noire, ainsi que de la poussière, habitaient le couloir. N’y voyant presque rien et abandonnant le sac qu’il avait fait tomber dans sa chute, le jeune homme se leva avec difficulté afin de voir ce qu’il se passait. Son front saignait et il avait comme un goût métallique dans la bouche alors que la peur et l’adrénaline s’étaient emparées de son ventre. À travers le trou béant formé, il y avait encore plus de fumée qui s’en échappait et des flemmes orange se rapprochaient dangereusement de lui. Un garçon qui courrait dans sa direction, lui prit le bras en le priant de courir avec lui. Flynn lui obéit avec difficulté car, la tête lui tournait. Il descendit alors avec difficultés des marches et retraversa des couloirs blancs à travers la cohue générale, toussant mécaniquement à cause de la fumée. Il essaya d’aider ceux qui se trouvaient près de lui et en mauvais état, mais selon lui, il ne fit pas grand-chose. Lorsqu’il y repense à l’heure d’aujourd’hui, il se dit qu’il aurait pu faire mieux. De temps à autre, il fait des cauchemars dans lesquels, il n’arrive pas à trouver la sortie du fameux couloir blanc rempli de fumée noir. Il fait, d’autant plus, tout son possible pour ne jamais repasser par cet aile de l’Université, se sentant presque traumatisé.  

Eliot.
Flynn est issus d’une famille très fortunée. Tout ce qu’il a toujours voulu, il l’a eu. Peu importe la quantité, le prix, la fabrication, l’origine. Tout. La Eliot House semble incontestablement la maison parfaite pour ce jeune homme qui ne se laisse pas faire et sait placer les mots justes et douloureux là où il les faut. Pour avouer la vérité, le jeune homme se trouve adorable, beau et intelligent. La modestie n’ai pas vraiment son fort mais il sait pertinemment où se trouve sa place. En haut de la Tour de Pise ou Eiffel. De plus, Flynn déteste les Mathers. Il est fêtard mais pas à leur point maximum, il ne se drogue pas ni ne fume, songeant ses deux choses inutiles.
Winthrop.
Si Flynn est issus d’une famille très riche, il est incontestablement aussi un grand dragueur. Des filles ? Il essai d’en obtenir à chaque fois qu’il le peut. C’est ainsi que la Winthrop House, lui ferait rencontrer des disciples dans son genre. D’ailleurs, il ne peut pas s’adresser à une jolie jeune femme sans lui faire son sourire le plus charmeur et lui sortir ses deux-trois répliques favorites à fin de l’inviter à sortir. Bien qu’il aime changer de partenaires comme de chaussettes, il se demande parfois ce qui ne tourne pas rond chez lui et ne demande en fin de compte, que de la stabilité voir une relation tranquille et posé.