Zélphyr Zorro Hiton ► Rick Genest

C'est le 25 Mars 1978 à Cambrige, que les membres de la famille Hitlon m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Zélphyr Zorro . Je suis veuf et fort heureusement ( Ou pas quand même ), mais si vous voulez tout savoir je suis todosexual et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que prof de philosophie depuis 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens.

Zélphyr Zooro Hiton

Looks alot like Rick Genest

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Crâne rasé et j'ai 22 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Lou . Je cherchai simplement un RPG alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Rick Genest comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 1200 à 2000 ou plus mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Un bail que je n'ai pas RP. J'dois être rouillée
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

APRÈS LA BOMBE
Une lutte pour la vie. Une course pour la survie. Mes tympans sifflent encore. Mon cerveau banni toute logique, focalisé sur le fait de la retrouver. Mes yeux quant à eux, refusent de voir la réalité. Les cendres s'éparpillent dans ma bouche, brûlent mes poumons tandis que je hurle dans l'infime espoir qu'elle m'entende. Quelques minutes auparavant, elle se tenait juste devant moi, sourire aux lèvres à jouer avec notre fils. La seconde d'après ils disparaissaient dans l'onde de choc. Mes hurlements de désespoirs se mêlent dans le chaos ambiant, sonnant sourds de réponse. Mon cœur se contracte dans ma poitrine menaçant d'imploser.

Et au loin, je l'aperçois. Recroquevillé sur ce gamin de 3 ans dont je n'avais jamais voulu. Elle avait donné sa vie contre la sienne. L'instinct maternelle est le plus primaire et le plus fort de tous. Mon corps serré contre le sien, j'agonise.

AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
L'excellence. Ces gamins conditionnés dès leur plus jeune âge à la réussite. Faire la fierté de leurs parents, eux même anciens étudiants dans cet école de petits bourgeois. Je n'ai jamais envié leur statut, au contraire. La pression exercée sur leurs épaules en font chanceler plus d'un. Au fond, après tant d'efforts, le diplôme en main - dont on aura l'impression qu'il sera une feuille d'or alors que ce n'est que du vulgaire papier- que feront-ils ? Avocats ? Chefs d'entreprise ? Notaire ? Directeur de finance ? Une vie tracée, morne, lassante, répétitive les attends. Perdez vous temps autant que vous le voudrez, moi, je jouis.

QU'EST-CE QUI VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Certainement parce que ces gosses me font pitié. Peut-être même plus que ceux de banlieue. Que je vois encore dans leurs yeux, cette lueur. La flamme encore présente mais essoufflée. L'envie d'apprendre. De connaître. La recherche de LA Vérité.

Puis le salaire aussi. Mine de rien ça rentre dans le compte en banque.
COMMENT VOUS VOYEZ VOUS DANS LE FUTUR ?
S'imaginer dans le présent est déjà assez compliqué. Dans le futur, je serais un super héro avec un slip vert pomme.

(Invité)

Un père. Une mère. Ils décident un jour de planter la graine dans le terreau. Neuf mois plus tard, ce n'est pas une plante qui naît. Non, c'est un bébé. Moche. Fripé. Sans cheveux. Tout rose. Mais ils semblent le trouver magnifique. Le plus beau disent-ils. Ils décident de l'appeler Zélphyr. Et de donner un second prénom à cette chose : Zorro. Pourquoi Zorro ? Parce qu'ils se sont rencontrés tout bêtement à une séance de cinéma dont le film était ce héros masqué. Ils sont heureux malgré les soucis financiers. Cet enfant était le fruit de leur amour sincère. L'aboutissement de ce qui fait d'eux des animaux : la reproduction. On s'en fou après de savoir s'ils arriveront à boucler les fin de mois, ils ont peuplés la planète d'un énième être. Ah, la bêtise humaine.

«Zély, arrête mon chéri. Ce n'est rien » Sa voix est douce. Délicate. Pourtant l'enfant de cesse de pleurer, tenant le cadavre du volatile entre ses bras. Son estomac se contracte. La peur. L'incompréhension de la mort. Comment la déchiffrer ? Pourquoi lui et pas un autre ? Et pourquoi pas moi ? « Écoute-moi. La mort fait partie de la vie. On naît, on grandit et on meurt. Ensuite on va dans un lieu magnifique, le paradis. »

The End

(Invité)