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shayane eloá dos reis fiche; en cours C'est le 13 décembre à Belém, que la famille dos reis m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) shayane eloá. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en neurosciences (majeur) et médecine (mineur), je suis maintenant en 2ème année. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House. |
Études Les études de Shayane sont très importantes pour elle et la raison est très simple : c'est simplement pour se battre contre la maladie qui la ronge qu'elle a choisit la Neuroscience (et médecine) et qu'elle brille par ses résultats et son attention en cours. La jeune fille a toujours été le genre de personne qui n'avaient pas besoin de travailler pour avoir de bons résultats et c'est d'ailleurs grâce à cette qualité qu'elle entra à Harvard. La brésilienne se donne corps et âme pour arriver à son but : être neurologue et pouvoir faire des recherches sur sa maladie et ainsi, tenter de trouver un remède à cette calomnie. | Caractère Shayane est une femme au caractère fort, qui sait ce qu'elle veut et qui n'hésite pas à tout entreprendre pour y parvenir. Elle est également particulièrement lunatique, pouvant passer du rire aux larmes en quelques secondes - potentiellement à cause de sa maladie et des tremblements, mais elle n'a pas vraiment besoin de ça pour être lunatique -, elle n'est pas du genre timide et n'hésite pas à aller vers les gens. Elle est la dernière d'une famille composée de cinq soeurs et elle a donc eu le droit à de nombreux conseils de drague et est également rodée en matière de sexe. Elle est cependant plus faible et plus sensible qu'elle ne peut le montrer puisqu'elle considère sa maladie comme sa faille majeure. |
Everyone Has Their Own Story
« MARIA... MARIA ! » cria une voix en pleine nuit. Une voix de jeune fille pré-pubère à peine réveillée. Maria-Paz, la bonne, accouru dans la chambre de cette adolescente et cherchant du regard dans la pièce ce qui pouvait bien être la cause de ces cris qui venaient de réveiller toute la maisonnée. Il était cinq heures et la dénommée Maria trouva Shayane allongée dans son lit, regardant son bras avec une expression horrifiée sur le visage. Elle s'arrêta sur le pas de la porte, regarda l'adolescente sans oser entrer dans la chambre. Shayane se tourna, se coucha sur le dos et non plus sur le côté. « Je tremble... » chuchota-t-elle à l'attention de Maria-Paz qui avait comprit ce qu'il se passait. Maria fit un signe de croix tout en fermant les yeux, elle inclina sa tête comme pour regarder le plafond puis se remit en position normale. Elle avança vers Shayane et s'assit sur le lit. « Voulez-vous que j'appelle votre père ? » demanda-t-elle avec les yeux pleins de larmes, en proie à la panique. Shayane soupira. Son père avait déjà perdu sa femme à cause de cette foutue maladie que les médecins appelait ''La chorée de Huntington''. Bien que son père ne soit pas vraiment le meilleur père au monde et qu'elle n'ai pas une relation père – fille privilégiée comme certains enfants pouvaient l'avoir avec leurs parents, elle ne voulait pas l'inquiéter avec ce genre de nouvelles, il avait autre chose à faire. « Non, c'est bon Maria... On ira simplement à l'hôpital demain. » répondit donc Shayane à la question de sa bonne. Maria hocha lentement la tête et prit sa petite protégée entre ses bras tout en laissant une larme rouler sur sa joue. Shayane, quant à elle, resta froide, comme insensible à tout ce qu'il se passait autour d'elle. Son regard se posa sur la porte où Ehawee, fraîchement réveillée, se tenait. La belle brune entra dans sa chambre et s'assit de l'autre côté du lit. « Qu'est-ce qu'il se passe ? J'ai entendu des cris... » « Rien, c'est rien. » répondit alors Shayane sans réfléchir au fait que sa réponse était suspect et non recevable. Maria se recula et regarda alors Ehawee qui ne semblait pas réellement comprendre. Le regard de la jeune femme se posa sur le bras de sa sœur qui tremblait. « T'as froid... ? » Shayane plaça son bras en dessous de la couverture dans un geste vif. « Non. » Ehawee resta sans réaction pendant quelques secondes, incapable de dire quoi que ce soit. Elle ouvrit la bouche mais ne su pas quoi dire. Maria-Paz osa prendre la parole tout en frottant doucement le bras de Shayane à l'aide de sa main : « On voit demain, Shayane... En attendant, on retourne au lit. » Sur ces mots, Maria se leva du lit et fit signe de Ehawee de la suivre, elles fermèrent la porte derrière elles et Maria lâcha le morceau...
Mise en situation : En juin 2011, un week-end en ''amoureux'' chez la jeune femme. Les cours ? Terminés depuis déjà un mois et demi. Aux alentours de vingt deux heures, la jeune fille vint se coller contre son épaule tout en ramenant la couverture à elle. Elle savait exactement ce qu'elle devait faire, elle était consciente qu'il était entrain de lui faire perdre toutes ses résolutions et pourtant, son cœur commença à se serrer dans sa poitrine pendant qu'elle se préparait mentalement à la chose qu'elle devait lui dire... Maintenant, de suite... La brune ferma les yeux une seconde puis lança de la voix la plus tranchante possible : « Maintenant, tu peux te tirer. » Il ne bougea pas, se contenta de tourner la tête vers elle avec un sourire. « Tu déconnes ? » lui demanda-t-il. « Est-ce que j'ai l'air de déconner ? Barre-toi, j'veux plus te voir. » Il mit de la distance entre eux sans pour autant sortir du lit de la jeune femme. « Pourquoi ? » La brune haussa les sourcils, ça c'était une bonne question. Elle n'avait pas du tout pensé à la réponse qu'elle pourrait donner à ce genre de questions. « Volonté divine... J'suis navrée. » répondit-elle en haussant les épaules et en affichant un air faussement désolé. Sandro sortit du lit, attrapa son boxer et l'enfila. Il rassembla ses affaires et Shayane déglutit. Elle venait de faire ce qu'elle devait faire, c'était un soulagement, mais pas seulement. La jeune femme lâcha un soupire en s'étalant dans son lit pendant que la colère montait du côté de Sandro. Allez, la lampe du bureau se retrouvait déjà part terre. Shayane se redressa légèrement dans son lit, admirant avec stupéfaction l'état d'énervement dans lequel était son ex-petit ami à cet instant. Deux trois objets venaient de se casser au contact du sol et déjà, Shayane criait : « PUTAIN, SORS DE CETTE CHAMBRE DE SUITE OU J'APPELLE MON AVOCAT ! » et le meilleur avocat de Boston, de surcroît. Claquage de porte, Sandro qui descend les escaliers quatre à quatre et qui claque la porte d'entrée. Shayane se laisse tomber sur le matelas dans un soupir. De nouveau seule, tant mieux.
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L'impression de ne plus rien contrôler, l'impression qu'on ne sait plus faire la part des choses et que les sentiments régissent votre vie. Elle avait l'impression qu'elle dérogeait à sa parole, à la promesse qu'elle s'était faite à elle-même. Ne pas tomber amoureuse, jamais, en aucunes circonstances. Et là, elle perdait de vue ce genre de résolution, flippant. Sandro Di Mancini était un mec plutôt cool, elle était avec lui depuis deux mois et si elle avait commencé cette relation en éprouvant une simple attirance et une bonne relation avec lui, elle se posait maintenant des questions par rapport à ses sentiments à l'égard de Sandro. La cause ? Son cœur qui battait un peu plus fort lorsqu'il entrait dans son champ de vision, la chair de poule qu'elle éprouvait lorsque ses doigts remontaient le long de sa colonne vertébrale et elle se sentait bien à ses côtés. C'était justement ça qui clochait, son bien-être à ses côtés et cette putain de sensation de bonheur qu'elle essayait de fuir depuis toujours. Elle n'avait pas d'avenir, sa destinée était de mourir dans des conditions atroces et elle s'était parfaitement faite à cette idée. Elle ne pouvait pas laisser durer une relation comme celle-ci, impossible. Alors ça avait beau être cool, ça avait beau être une relation à laquelle elle tenait, elle ne devait pas se laisser avoir par ses putains de sentiments à la con.Mise en situation : En juin 2011, un week-end en ''amoureux'' chez la jeune femme. Les cours ? Terminés depuis déjà un mois et demi. Aux alentours de vingt deux heures, la jeune fille vint se coller contre son épaule tout en ramenant la couverture à elle. Elle savait exactement ce qu'elle devait faire, elle était consciente qu'il était entrain de lui faire perdre toutes ses résolutions et pourtant, son cœur commença à se serrer dans sa poitrine pendant qu'elle se préparait mentalement à la chose qu'elle devait lui dire... Maintenant, de suite... La brune ferma les yeux une seconde puis lança de la voix la plus tranchante possible : « Maintenant, tu peux te tirer. » Il ne bougea pas, se contenta de tourner la tête vers elle avec un sourire. « Tu déconnes ? » lui demanda-t-il. « Est-ce que j'ai l'air de déconner ? Barre-toi, j'veux plus te voir. » Il mit de la distance entre eux sans pour autant sortir du lit de la jeune femme. « Pourquoi ? » La brune haussa les sourcils, ça c'était une bonne question. Elle n'avait pas du tout pensé à la réponse qu'elle pourrait donner à ce genre de questions. « Volonté divine... J'suis navrée. » répondit-elle en haussant les épaules et en affichant un air faussement désolé. Sandro sortit du lit, attrapa son boxer et l'enfila. Il rassembla ses affaires et Shayane déglutit. Elle venait de faire ce qu'elle devait faire, c'était un soulagement, mais pas seulement. La jeune femme lâcha un soupire en s'étalant dans son lit pendant que la colère montait du côté de Sandro. Allez, la lampe du bureau se retrouvait déjà part terre. Shayane se redressa légèrement dans son lit, admirant avec stupéfaction l'état d'énervement dans lequel était son ex-petit ami à cet instant. Deux trois objets venaient de se casser au contact du sol et déjà, Shayane criait : « PUTAIN, SORS DE CETTE CHAMBRE DE SUITE OU J'APPELLE MON AVOCAT ! » et le meilleur avocat de Boston, de surcroît. Claquage de porte, Sandro qui descend les escaliers quatre à quatre et qui claque la porte d'entrée. Shayane se laisse tomber sur le matelas dans un soupir. De nouveau seule, tant mieux.
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