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L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina

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C'est le 29 décembre 1990 à Boston, que les membres de la famille Daniels m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Liberty. Non mais sérieusement. Appelez-moi Sidney ou ça finira mal pour vous .  Je suis célibataire il semblerait et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis sans orientation fixe et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'Astrophysique (M) et Astromonie (m) en cinquième année à la rentrée et finance mes études en travaillant en tant que guide au musée. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Mather.
Liberty Sidney Daniels

Looks alot like Ginta Lapina

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Narvaleapolis et j'ai vintan. Je suis française du Sudet j'ai connu le forum grâce à la lumière divine ou quelque chose comme ça.  Il est tellement moche que je suis devenue aveugle, maintenant je n’ vois plus sa laideur alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ginta Lapina(uuuh j’ai écrit ‘laipna lanipa lapnia’ avant d’y arriver, j’vous jure j’suis sobre) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 300/800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ c’est où que j’signe pour me désabonner de ma vie sociale ?
(non mais c’est incroyablement mignon cette histoire de cacahuète là)

Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
APRÈS LA BOMBE
Tu sursautes au moindre claquement de porte, ton cœur s’arrête quelques secondes et la vie reprend son cours. Tu angoisses dans les espaces vides, à cause du silence incongru, ça te rappelle ce jour-là. Tu angoisses aussi dans les espaces pleins, ne sachant ce que peux cacher la foule. C’est un comble. L’attentat ne t’a laissé aucune trace physique mais t'étais là et t'as tout vu. Le problème c’est que tu te souviens de tout dans les moindres détails.

DUNSTER.
Clairement, parce que j’ai tous les atouts d’une Dunster. Hypermnésique, je suis capable de vous réciter n’importe quel souvenir d’enfance,  formule, date ou quoi que ce soit. Une genre de database vivante. Bien sûr, ça ne fait pas tout. A côté de ça, je suis une bosseuse hors pair, parce que si je retiens tout, encore faut-il que j’ai quelque chose à retenir. Je passe clairement une grande partie de mon temps dans les livres, toujours dans les premiers de la classe.

MATHER.
Parce que si je suis une tête, j’ai aussi un sale caractère. Je jure, je fume, je bois, j'n'hésite pas à utiliser les poings et je ne me cache pas d’apprécier les plaisirs de la chair. Les Mather, j’ai bien compris le principe : sex drug & vomir sur le premier Eliot qui passe. Modération, j’la connais pas, du whiskey dans mon sang jusqu’à n’en plus pisser droit, Avec toutes les diverses substances qui coulent dans mes veines, je pense que leur crédo est encré dans mon sang.
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« You'd better run, better run, outrun my gun. »
Cours. Cours aussi vite que tu le peux. Comme si ta vie en dépendait. De toutes tes forces. Aussi vite, que ton cœur tachycarde, l’adrénaline monte et soudainement tes jambes ne répondent plus de rien. Pendant cet instant précis, tu rates une foulée et tu vois ta vie défiler à toute vitesse devant tes yeux parce que tu le sais. Tu vas te rétamer. Ça n’est qu’une question de temps avant que ton pied bute contre l’autre et que tu t’écrases violement contre le sol. Aussi vite, que ton souffle s’accélère au point que tes poumons brûlent à l’intérieur de toi. Ton battement cardiaque est si élevé que tu peux entendre son écho résonner dans tes oreilles. Quelques insurmontables secondes de sprint, une dizaine de foulée, le temps d’atteindre les décombres.


– Part I : Skyfall.
« This is the end, hold your breath and count to ten. »
« Il fait quoi ton père ? » Quelques secondes de silence. C’est la question à laquelle je ne sais jamais quoi répondre. Mentir, inventer ou dire la vérité. Encore faut-il que je connaisse la réalité. « Mon père, c’est le roi de Pluton. »
Mille neuf cents quelque chose. Je dois avoir neuf ans, tout au plus. Georges Bush est président des Etats-Unis, Boston est recouvert par les nuages, c’est l’hiver je crois. Alors que mon assemblée reste abasourdie, les yeux ébahis face à cette révélation que je viens d’annoncer, Carter les pousse un à un et s’approche pour me faire face. Du haut de son mètre trente-cinq, il me surplombe de toute sa fierté, un sourire en coin et sa tête à claque habituelle. « Prouve-le. T’as des photos ? » Je hoche la tête de gauche à droite. Il se prend pour qui, lui, à venir m’interrompre pour ruiner mon moment de gloire ? Je déteste Carter. «Non. Parce qu’elles ont été détruites par un astéroïde pendant le déménagement. » Il ricane et se retourne vers mon public. « C’est n’importe quoi, c’est sa tête que l’astéroïde il a heurté. » Les autres le rejoignent dans un éclat de rire général. Ce sont tous des cons. Et je déteste Carter encore plus qu’il y a trois secondes. Pourquoi. Pourquoi il est venu me déranger. Pourquoi ils m’ont posé cette question, et pourquoi j’ai répondu. J’ai une boule au fond de la gorge, je me sens tellement humiliée que mon seul recours c’est de leur prouver que j’ai raison. Je sors de ma poche mon ultime tentative. Le diamant –probablement plutonien– emprunté dans la chambre de maman, souvenir de mon géniteur.  « REGARDEZ, JE MENS PAS. C’est une pierre de l’espace. »
Je ne sais pas ce qu’a voulu prouver Carter ce jour-là, mais il m’a arraché la fameuse pierre des mains à la seconde où je l’avais sortie. Il a levé le bras au ciel pour m’empêcher de la récupérer, malgré mes tentatives, mes sauts et mes supplications. « T’as qu’à dire le mot magique. » J’aurais pu le tuer d’un regard. D’un ton sec, le visage froncé par la colère, je lui ai répondu. « Magique. » J’en suis arrivée au point, où dans un excès de rage, je l’ai frappé de toutes mes forces. Contre toute attente, il s’est mis à pleurer et vexé il a jeté la gemme dans Charles River.  « Va le chercher ton stupide caillou. »
La suite, c’est la seule chose que j’ai oublié en vingt-deux ans. Je me rappelle juste avoir jugé nécessaire de plonger dans l’eau glaciale de la rivière, à la recherche d’un simple caillou. J’ai paniqué, et vous savez, le reste. Vous suffoquez, lentement. Vous inhalez l’eau par vos voies respiratoires, et votre corps dans un reflex de survie entre en apnée. Dans un spasme, votre larynx se referme pour protéger vos poumons et vous empêche de respirer. L’oxygène continue de diminuer jusqu’à ce que dans un acte de désespoir, vous inspirez une dernière fois le liquide qui vous englouti. Puis j’ai sombré, et mes souvenirs s’arrêtent.


– Part II : The Story of my Life.
« It may shake but you won’t fall. »
« Liberty. » Je déteste entendre ces trois syllabes à la suite. Mon oreille se crispe déjà, je sais que cela ne présage rien de bon. ’Range ta chambre, pourquoi tu as fait ça, tu me déçois beaucoup, mange tes légumes.’ C’est toujours la même rengaine. Enroulée dans une serviette et encore grelotante depuis que Carter m'a tiré hors de l'eau, je prends la parole pour m’imposer au géant devant moi. Je suis David face à Goliath. « J'm'appelle Sidney. » Il me regarde avec un sourire pincé, dans ses yeux je peux voir son irritation. Il rêve de me remettre à ma place, mais il sait pertinemment que lever la main sur moi est une mauvaise idée. Alors il se contente de me rappeler la dure réalité. « Tu t’appelles Liberty. »
J’ai visité cette pièce a tellement de reprise que je la connais par cœur. Le bois en chêne massif du bureau, les diplômes et photos de classes accrochés aux murs, et le cri strident de l’école qui résonne « Ta mère va arriver d’une minute à l’autre. Quelque chose à dire pour ta défense ? » Je ne parlerai pas sans la présence de mon avocat. C’est bien trop facile à cet âge-là d’oublier la présomption d’innocence en l’absence de preuves. Il suffit d’écrire en capitales rouges ‘Liberty m’a frapper’ sous le préau de l’école pour qu’ils appellent illico ma mère. Je hausse les épaules, trop fière pour admettre mon erreur. «C’est parce qu’il fait trop froid sur Pluton. La mer est glacée. J’y ai pas appris à nager, c’est tout. » Il soupire exaspéré. J’évite son regard à tout prix, parce qu’il respire fort, et que d’ici je peux sentir son souffle caféiné. « Pourquoi toujours cette histoire, Liberty. » Ça ne sert à rien d’argumenter sur ça. Comment expliquer qu’une jeune fille de neuf ans, normalement constituée, fini une énième fois dans le bureau du directeur. Ça se passe toujours comme ça, on se rend compte que le nœud du problème : c’est moi. Un de ces enfants sauvages qui ne veut être apprivoisé, farouche animal tapit dans l’ombre. Un que l’on attire avec quelques morceaux de pain en espérant secrètement que cette fois-ci, il ne s’échappera pas. ‘Prend ça, et reste sage.’ C’est bien ça l’ennui. Moi je n’ai pas envie de rester sage.
Le truc, c’est que je le sais parfaitement. Papa ne vient pas de Pluton, non. Il se trouve que Papa est en prison pour le braquage d’une bijouterie et d’autres divers délits. C’est un comble d’avoir appelé sa fille Liberty, non ? Enfin, c’est beaucoup moins glorieux que Pluton. Vous allez me dire, c’est chouette, tu dois être riche. Sauf que non, si le braquage avait réussi, mon père ne serait pas en prison, vous voyez ? D’autant plus que maintenant, la moitié du butin repose au fin fond de Charles River.
Maman est finalement venue me chercher. Elle m’a poussé à l’extérieur pour pouvoir s’entretenir en privé avec le directeur. Je suis restée dans le couloir, à fixer Carter qui attendait patiemment le même sort que moi. « J’te déteste Carter. »


– Part III : Run Boy Run.
« Tomorrow is another day and you won’t have to hide away. »
Ça doit être ça, le syndrome de Stockholm. Ca fait quinze ans que t’es collé à mes basques, et même à Harvard, t’es là. Mon oppresseur, et je commence presque à accepter ta présence. Quelle ironie.
Il est là, allongé sur son lit. Et moi assise contre la rambarde de la fenêtre de sa chambre. Du deuxième étage, je peux observer ses deux voisins qui se disputent sur le pas de la porte. Leurs cris résonnent entre les murs et leurs voix portent jusqu’à nos oreilles les insultent qu’ils profèrent inlassablement. « Putain, tes voisins sont super vulgaires. » , je tire une dernière fois à bout de souffle sur ma cigarette avant de l’écraser contre le bord du cendrier. Une mauvaise habitude que j’ai prise, fumer, depuis que nous sommes ici. « C’est l’hôpital qui se fout de la charité. » Ses mots coupent court à mes divagations et je me retourne pour le dévisager. Je profite de sa présence tant que j’en ai l’occasion, au fond de moi ce pressentiment que ça ne durera pas. « Merde, ferme la fenêtre, on se pèle le cul, ici ! » Dehors, le ciel est gris, et la pluie ne devrait pas tarder. Nous sommes en fin janvier 2013, la température extérieure doit avoisiner les trois degrés Celsius, mais j’ai toujours aimé la sensation du vent frais contre mon visage. Lui non. Il m’attaque à coup de projectiles trouvés sur la table de nuit pour attirer mon attention et enfin je verrouille l’entrée d’air.
Je le fixe encore une fois, il a les joues qui rougissent à cause du froid, probablement et moi j’ai ce sourire niais à cause l’alcool. Il tapote la place vide à côté de lui pour me réclamer de venir et je m’exécute sur le champ. Je me glisse sous les draps pour le rejoindre, ses pieds nus me glacent la peau et je dépose ma tête contre son épaule. Il a cette odeur masculine, un mélange âpre de parfum et de tabac froid qui me berce dans des souvenirs.
« Au fait. » Il glisse une main dans sa poche et en ressort un vulgaire galet ramassé au bord de l’eau. « J’ai fait un tour sur Saturne, j’t’ai ramené un souvenir. » Je ne sais pas s’il se moque de moi, ou s’il essaye maladroitement d’être gentil. « Pluton. » Malgré que l’histoire remonte à treize ans maintenant, je me sens obligée de le corriger. Il sait que je déteste en ça, mais il persiste, et ça l’énerve autant que moi. « Peu importe, Sid. Juste, essaye de ne pas te noyer pour aller le récupérer, celui-là. » Je relève ma tête pour lui montrer ma mine dépitée face à son humour, mais à la place je me retrouve face à sa bouche. Sa bouche, parfaitement dessinée. « T’auras qu’à m’apprendre à nager. » Je me mord la lèvre, qui devient écarlate sous la pression sanguine, et je plonge mon regard dans le sien. Il a ses yeux, profonds, dans lesquels je pourrais me perdre. C’est un labyrinthe et je suis en train de m’effondrer. « Sid, pourquoi il ne s’est jamais rien passé entre nous ? » Je rougi et détourne le regard. Il attrape mon visage entre deux, et je cède, avec un pincement au cœur. Je sais que je ne devrais pas, mais j’en ai envie. Et je l’embrasse. Accusons l’effet de l’alcool. Je capture un de ses souffles entre mes lèvres alors qu’il m’attire contre son corps. Je sens sa chaleur, contraste opposable à la froideur de la pièce, et j’arrête de résister. Je lui retire le sweat qu’il porte pour le jeter avec nonchalance au pied du lit. Et puis le reste, ça n’a plus d’importance. Il est là, le corps nu contre le mien, et j’embrasse le creux de son cou.
On a passé le reste de la nuit ensemble et j’ai essayé de ne pas y penser. On n’en a pas parlé. Le lendemain matin, je t’ai laissé partir, je ne t'ai pas retenu. Je ne lui ai pas dit reste avec moi. Je t'ai laissé partir, parce que je n’avais aucune idée de ce qu’il allait se passer.



– Part IV : Some Nights.
« But I still wake up, I still see your ghost. »
Réveille-toi. T’es juste un con. Six mois que je t’attends. Toi et moi, ça a commencé comme ça. Quelque chose d’inéluctable, un tournant du destin. Peu importe nos décisions, nos actes manqués, c'était écrit ainsi. Sans savoir avec quelle facilité tout glisserait d’entre nos mains, nous nous sommes lancés à corps perdus dans une aventure trop longue. Ca faisait quinze ans et t’as attendu ce jour-là pour me rendre dingue. T’avais pas le droit de m’embrasser et de me faire ça juste après. De me laisser sans réponse. Le point de non-retour. Nos vies entrelacées, cette nuit-là j’avais rêvé qu’un jour tu te réveilles à mes côtés, main dans la main. Un rêve tellement mielleux que j’en ai des nausées rien que d’y penser. J’ai un arrière-goût âpre dans la bouche, le ventre brouillé, la vision qui se trouble et la tête qui va exploser. Putain de merde. J’ai entendu la première déflagration, mon visage s’est décomposé et j’ai couru tellement vite que j’en ai défié le temps à bout de souffle. J’ai sorti mon téléphone, composé ton numéro dix-sept fois d’affilé mais tu n’as répondu à aucun de mes appels. Ta stupide messagerie, à chaque fois. J’ai paniqué. J’ai suffoqué, lentement, dans un spasme mon larynx s’est contracté. Un reflex, j’ai commencé à manquer d’oxygène. Je ne t’ai pas dit ‘reste avec moi, parce qu’un malade mental va faire exploser le bâtiment. J’ai oublié tout le reste, le seul souvenir dans ma tête de cette porte qui se ferme. J’ai repensé à ce silence complet, le souffle coupé. Les oreilles qui sifflent et un bruit sourd, constamment, l’écho de mon battement cardiaque qui résonne. Le temps qui s’arrête quelques secondes, tout devient sombre et je réalise avec quelle facilité ta vie glisse d’entre mes mains. Mais ça fait six mois, et j’en ai marre de venir chaque semaine te voir à l’hôpital et répéter la même chose à ton corps inerte. Putain, réveille-toi parce que j’te déteste, Carter.


The End
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Bienvenue sur ILH hanwii 

Bon courage pour ta fiche :loukas: :loukas: 
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Re-bienvenuuuuuueeeeee L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 152426858 T'es sexy en Ginta L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 152426858
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Re-bienvenuuuue L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 3850463188

Bon courage pour ta fiche !!
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Merci les chatons :hum: 

(grave que j'suis sexy en ginta L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 4205929361 )
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T'es toujours aussi bonne, même si j'pourrais plus avoir de relation incestueuse avec toi :TT:
Re-bienvenue et bonne continuation pour ta nouvelle fiche L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 73120010
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Re bienvenue :D
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : crédit: thv1@tumblr
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina O4O8rlbd_o
RPS en cours :
04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
RPS : 119
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Rhys Ackerman
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
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re-bienvenuuuuue sur le forum L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 3850463188
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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Ginta hanwii hanwii 
Bonne chance pour ta fiche L. SIDNEY DANIELS ► Ginta Lapina 3850463188
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