Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility ❝ i think i'm crazy ❞;; sullivan&constance
-16%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile NINJA Foodi Dual Zone 7,6 L 2400W à 135€
135.01 € 159.99 €
Voir le deal


❝ i think i'm crazy ❞;; sullivan&constance

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 ❝ i think i'm crazy ❞;; sullivan&constance Tumblr_lznoulITK21qeqod6o1_500



« Viens chez maman mon bébé » Je faisais un large sourire à mon fils de six mois et le pris dans mes bras. La vie de mère était quelque chose d'extraordinaire même si je regrettais amèrement de ne pas avoir de père à la maison. Bien entendu, Joe m'aidait à changer les couches, à donner le biberon, à prendre le bain mais ce n'était pas pareil. J'étais seule, définitivement seule, même si Sullivan était très présent depuis que j'avais posé le pied sur le sol américain il y a plus d'un an. Nous nous étions rencontrés à Londres, grâce à Rio, et j'avais tout de suite accroché avec lui. Cependant, le voir me rappelait à mon ancienne vie de drogué, à mes journées à déambuler, complètement shootée dans les rues, mes cures de désintoxication et tout ce qui allait avec. Cela me faisait mal mais en même temps, je savais que j'avais besoin de cela pour avancer, pour me faire violence et pour comprendre que plus jamais je ne voulais de cette vie. Sullivan était un sacré point d'encrage pour moi et je savais que, quoi qu'il arrive, je pourrais compter sur lui. Sourire aux lèvres, je me dirigeais vers la cuisine, bébé dans les bras et voyais mon frère. Joe était sourd depuis quatorze ans et il le vivait bien, il n'était pas ce genre de personne à vouloir se mettre à l'écart des personnes qui entendaient, il avait sa petite communauté à l'école mais une fois dehors, il se fondait dans la masse, parlant quelques peu même s'il ne s'entendait pas. Les heures de thérapie avaient été horrible, un vrai supplice pour lui faire comprendre quand il criait, quand sa voix était trop basse et tout ce qui allait avec. Nous avions tous subi pas mal de changements, nous avions vécu un enfer, enfer qui m'avait encore plus séparé de mes parents. Il savait qu'ils avaient un petit fils depuis six mois et aucun d'eux n'avaient fait le déplacement jusqu'à new york pour venir le voir, ils se fichaient de moi et de Joe comme de l'an quarante. M'asseyant face à mon frère ; je me plaça bien en face de lui et dis « Je vais manger au restaurant avec Sullivan aujourd'hui, tu veux venir ? » Il n'aimait pas trop que je fasse ma feignante et que je ne parle pas avec les mains mais avec un bébé dans les bras, c'était difficile. Depuis son plus jeune âge, Joe avait accepté son handicap et il aimait beaucoup parler avec les mains. Pourquoi ? Je ne savais pas trop mais je ne voulais qu'une chose : lui faire plaisir. Je le regardais me répondre et soufflais légèrement. Il n'aimait pas utiliser sa voix mais je voulais qu'Ethan s'y accommode, ce qui n'était pas gagné mais alors pas du tout. Je déposa un baiser sur le front de ma tête de mule de frère et me dirigea vers la salle de bain pour donner son bain à mon fils mais aussi prendre le mien par la même occasion. Sullivan venait me chercher à la maison à onze heure trente pour aller dans un restaurant méditerranéen, j'en avais déjà l'eau à la bouche.

Il était onze heure trente lorsque j'entendis la sonnette de la porte retentir. Je n'eus pas le temps de dire ouf que Joe avait ouvert la porte et saluait mon ami. Je sortis de ma chambre, Ethan dans les bras, en robe robe, très sobre mais qui mettait mes atouts en avant. J'aimais plaire et j'avais de quoi. Six mois que j'avais accouché et grâce à la danse, j'avais déjà retrouvé un corps de rêve. Je fis un large sourire à mon ami et regarda mon fils. « Va faire un câlin à tonton Sulli Ethan ! » Je tendis le bébé à mon ami qui le pris dans ses bras et attira mon frère un peu plus loin. Nous discutâmes quelques secondes et j'étais entrain de m'énerver après lui. Il était supposé garder Ethan et voilà qu'il ne pouvait plus, ou ne voulait plus, je n'en savais trop rien. Je n'étais vraiment pas contente et je souffla fortement. Me tournant vers mon ami, l'air quelque peu désolé, je lui dis « Ça te gène si Ethan vient avec ? Sinon on mange ici mais à part des raviolis en boite, il n'y a rien à manger... » Je n'avais plus qu'à espérer que cela ne le gène pas. Enfin, je le connaissais, il était un amour avec Ethan alors il ne dirait pas non.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 ❝ i think i'm crazy ❞;; sullivan&constance Tumblr_lr23t6jYl21qdi1fko1_500

Si il était une chose que l'on ne pouvait me reprocher, c'était que je manque de romantisme, étant donné que j'étais cruellement niais. D'ailleurs pou moi, être niais n'était pas forcément un défaut, je voulais dire par là que j'aimais cela, avoir des petites attentions pour certaines demoiselles chères à mon coeur, être là pour elle, être là pour leur glisser des mots doux à l'oreille, leur faire de larges sourires lorsqu'elle m'en donnait l'occasion ou même les embrasser passionnément sans même avoir à réfléchir. J'étais ce genre de personnes, qui croit plus que tout en l'amour et au mariage. Enfin, pas les mariages arrangés ou les mariages blancs pour acquérir des papiers ou une assurance santé, non, les mariages d'amour, et même si beaucoup se terminaient en divorce, j'avais l'intime conviction qu'après avoir aimé quelqu'un, on ne pouvait pas ne plus rien ressentir pour cette personne, pour moi c'était improbable et impensable. Cela remettrait en question pas mal de réflexions chez moi, qui cherche l'amour si ardemment. On pouvait penser que j'avais l'embarras du choix, je fréquentais pas mal de très charmantes demoiselles, mais ce que je voulais, c'était que l'on tombe amoureux de moi, ma propension à tomber amoureux pour beaucoup de filles faisaient que je n'étais pas très fiable à ce niveau là. Enfin, on va dire que j'avais encore le temps, je dépassais légèrement les vingt printemps, j'avais toute la vie devant moi comme on dit, mais ce n'était pas une raison pour ne pas penser à cela. Bref, tout cela pour dire qu'en grand romantique, je ne faisais pas les choses à moitié et c'est pour cette raison que j'avais envoyé un message à mademoiselle Constance Chanel-Birdy, l'intimant d'accepter mon invitation dans un restaurant méditerranéen de la ville, sans oublier de lui faire part de l'extrême déception que j'éprouverais si jamais elle décidait de ne pas se joindre à moi pour le déjeuner. Et bien heureusement, la demoiselle m'offrit un oui que j'appréciais à sa juste valeur, quoi que les gens en pensent -et je ne savais pas ce que les gens en pensaient d'ailleurs, je m'en moquais comme de l'an quarante- j'appréciais énormément de pouvoir passer du temps avec elle, et donc l'avoir rien que pour moi à déjeuner, était un très grand plaisir.

Me préparant à la hâte -ayant remarqué que j'étais légèrement en retard- pour ne pas faire honte à ma légendaire ponctualité; je sortais de mon appartement chez les quincy en vitesse, saluait quelques personnes de ma confrérie au passage et me dépêchais d'aller chez elle, avec ma vieille Mustang, que j'avais hérité de mon père. Je sonnais chez elle et ce fut son frère qui m'ouvrit, je lui serrais la main avant de le saluer en langage de signe, étant donné qu'il était sourd ; je trouvais que c'était le minimum pour moi d'apprendre et de connaître les bases du langage des signes pour m'exprimer auprès de lui étant donné qu'il arrivait relativement fréquemment que je me retrouve à passer la soirée avec Constance et qu'il devait donc s'occuper du petit Ethan. La belle vint ensuite me saluer, avant de me tendre le bout de chou et d'emmener son frère pour lui parler -d'ailleurs, il semblerait qu'elle s'énervait un peu- et pendant ce temps là, je parlais avec un gosse de six mois. Ouais, même si il me comprend pas, j'ai cette propension à toujours parler. Elle revint vers moi, me demandant si cela me gênait qu'Ethan vienne avec nous pour le déjeuner, évidemment que non, il était adorable et j'aimais bien les enfants, puis si je la fréquentais elle, je ne voyais pas pourquoi je ne verrais pas son fils, c'était d'une logique implacable selon moi. Non, ca ne me pose pas de problèmes. J'installais le siège auto -pas évident dans ma vieille voiture, il faut le dire- après avoir ouvert la portière à ma cavalière du jour, avant de m'installer au volant. J'ai failli oublié. dis je, avant de déposer un baiser à la commissure de ses lèvres. Désormais, j'étais fin prêt à nous conduire au restaurant pour ce déjeuner en tête à tête -je comptais pas Ethan parce qu'il était encore un bébé-. Je ma garais parfaitement, avant d'aller ouvrir la portière à la belle, et de récupérer Ethan ; avant d'entrer dans le restaurant où je fus reçu par un majordome. Votre femme et vous ont avez une réservation à quel nom ? Je faillis éclater de rire après l'avoir entendu, et reprit mon calme pour lui répondre. Humphrey. Et cette très jolie demoiselle n'est pas ma femme. Oui je sais, c'est dommage.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


J'avais pas mal de problème avec mon cher frère ces derniers temps et cela avait le don de m'épuiser comme jamais. Ethan sortait d'une bonne angine et j'avais donc du passer énormément de temps à la maison puisque la nourrice ne voulait pas le garder, trop dangereux pour les autres enfants qu'elle gardait. Du coup, je sortais très peu souvent de chez moi et tout m’exaspérait rapidement, trop rapidement. C'était sûrement pour cela que j'avais accepté aussi soudainement la demande de Sullivan pour aller au restaurant. C'était un moyen de sortir, de quitter le domicile familiale quelques heures et de me reposer. Je n'étais pas sociable pour trois centimes mais rester coincée chez moi trop longtemps était tout bonnement impensable. Je pouvais vite devenir folle comme c'était le cas. Je m'étais rapidement les choses au point avec mon frère et retournais auprès de Sullivan, ce cher Quincy plus qu'adorable. Je le connaissais depuis un bon bout de temps et il n'avait pas changé, ce qui était agréable à vrai dire. J'avais enfin l'impression que tout le monde n'était pas condamné à devenir un salop, un monstre ou je ne sais quoi. De même, il n'était pas là pour m'ennuyer, pour me faire du mal, pour me rappeler ô combien ma vie en Angleterre avait pu être difficile et tout ce qui allait avec. J'avais recroisé une ancienne londonienne en cours de danse et elle m'avait rappelé tellement de mauvaises choses que je n'avais pas été un amour avec elle. Je ne regrettais rien de mes agissements mais j'avais besoin de m'aérer l'esprit. Souriant au jeune homme lorsqu'il accepta d'emmener Ethan avec nous, je lui dis « Merci Sulli', t'es un amour, vraiment. » Sullivan avait beaucoup de chance avec moi, j'étais toujours douce, qu'importe les circonstances et ne lui envoyais jamais de méchanceté en pleine figure alors qu'il était un peu trop romantique et niais à mes yeux. Je le savais très aimant de la vie, des coutumes de mariage et tout ce qui allait avec alors que ce n'était pas du tout le cas pour moi. Je n'avais aucun sens du romantisme en moi et je ne savais pas si c'était bien ou non. Saint valentin et tout ce qui allait avec n'était pas mon genre, vraiment pas mais de temps à autre, c'était agréable. Une fois le cosy installé dans la voiture de mon ami, ce dernier posa un baiser sur le coin de mes lèvres. Je n'étais pas dupe, Sullivan appréciait ma compagnie et je ne devais pas le laisser indifférent. Seulement, mon célibat me plaisait pas mal pour le moment et j'avais déjà deux hommes qui prenaient tout mon temps libre dans ma vie. Le voyage fut assez rapide et je n'eus pas vraiment le temps de prendre des nouvelles du conducteur qu'il fallait déjà prendre Ethan et le placer dans sa poussette qui était rentrée in extremis dans le coffre de la voiture de Sullivan. J'arborais un sourire qui en ferait pâlir plus d'un. J'étais vraiment bien avec Sullivan et j'avais fortement envie de le faire chavirer le temps d'une après midi. En aucun cas je ne jouais avec lui puisque je devais l'admettre, le jeune brun me plaisait plutôt bien. Je n'étais pas prête à me mettre en couple mais si je le faisais, il serait l'un des seul avec qui je voudrais partager mes jours. Penser à tout cela ne me ressemblait pas mais alors pas du tout mais c'était ainsi ; la fatigue me faisait penser à bien des choses comme à mon futur. Entendant le serveur faire référence à un mariage, j'étais sur les fesses. J'étais bien trop jeune pour avoir la bague au doigt et mon ami aussi, bien qu'il rêvait de se marier un jour ou l'autre. Les attaches de ce genre n'était vraiment pas mon genre. M'asseyant, je continuais doucement de bercer Ethan qui était juste à côté de moi, à quelques centimètres de Sullivan. « Avoue que tu aimerais être marié à moi Sullivan. Je suis sûre que je pourrais devenir telle une guimauve à te faire des câlins et des déclarations assez souvent » J'étais bien avec lui, vraiment. Je me sentais protégée, je pouvais faire ce que je voulais, à ma vitesse, à mon allure et tout ce qui allait avec. Attrapant sa main libre – qui était sur la table – je dis « Franchement Sullivan, tu es vraiment un être exceptionnel. Je tiens énormément à toi pour ne pas dire plus que tout. Ça paraît ridicule venant de moi mais... tu es vraiment l'homme qu'il me faudrait, l'homme qui me ferait vibrer chaque minute passée à tes côtés, l'homme le plus extraordinaire qu'il puisse être sur terre en quelque sorte... Bien mieux que mon ex et que tous les hommes que j'ai pu rencontrer. Tu es sûrement le seul à m'accepter comme je suis avec mon fils, mon frère et franchement, merci pour tout cela mon Sullivan chéri » Cela semblait étrange à souhait mais c'était presque une déclaration d'amour que je pensais. Il était vraiment l'homme parfait pour me combler mais mon discours risquait de le surprendre, je le savais bien.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)