E. MAELYA BERTHELEMY ► Aurora Mohn

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jowell et j'ai 21 ans (bientôt 22). Je suis québecoise et j'ai connu le forum grâce à mon autre perso.  J,adore,j'adore, j'adore! alors j'ai décidé de m'inscrire à nouveau. J'utilise Aurora Mohn comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par un créateur de bazzart. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'ai hâte de RP avec ce nouveau perso!
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Ses seuls mots furent: « Je suis enceinte. » Aucun autre mot ne sortit de sa bouche à elle. À lui, non plus d'ailleurs. La seule chose qu'on pouvait voir était un sourire immense qui illuminait leur visage. Cette simple phrase qui était lourde de conséquences pour certains était la promesse d'un avenir prometteur pour eux. Ils avaient planifié longtemps davoir un enfant. Ça avait été plutôt difficile. Mais ils y étaient arrivés. Elle était enceinte. Ils allaient enfin avoir un enfant.
Tout au long de la grossesse, ils s'imaginèrent les talent que l'enfat allait avoir. Ils voulaient qu'elle (ou il) soit parfait(e). Il avait de grand projet pour cet enfant. Ils ne le laisseraient pas passer inaperçu.
Le jour J arriva. L'accouchement. Les deux parents avaient plus que hâte de voir la binette de cette petite fille car, oui, c'était une fille. La plus belle de toutes selon ses parents. Et ils ne l'avaient même pas vu encore. Ils ne l'avaient pas vu et l'aimaient déjà plus que tout au monde. L'accouchement se passa bien et je vint au monde. La petite Elena Maelya Bethelemy que je suis a vu le jour.
Les premières années de ma vie furent assez merveilleuse, je dois l'avouer. Mes parents n'aimaient tellement qu'ils me donnaient tout ce que je voulais. On appelle cela un enfant roi à ce qui paraît. Moi, j'appelle cela, la belle vie. Jusqu'à ce que ma petite soeur vienne au monde. J'avais mes parents à moi toute seule et il a fallu qu'elle pointe son nez.
Dès que j'ai du courir, mes parents m'ont inscrit à diverses activités. Je faisais entre autre du patinage artistique, du tennis, du volleyball, de la danse, de la peinture, du chant et bien d'autre. J'ai surtout accroché sur le tennis. À mon premier cours, j'était toute excitée. J'avais vraiment hâte. J'avais d'ailleurs un talent inné pour le tennis. Dès les premiers cours, j'ai su me démarquer. Je devais avoir à peine cinq ou six ans. À partir de là, j'ai su regagner l'attention de mes parents. Ils voyaient en moi la future championne de tennis. J'aimais bien qu'ils me voyaient comme cela. Ça me donnait de l'importance. Au primaire, j'ai été dans une école normale. J'étais avec d'autres enfants de mon âge, des enfants ordinaires sans trop de talents. Les autres enfants me vénéraient. J'étais toute jeune et je fisais déjà partie de l'élite. J'adorais cela!
Au lycée, mes parents ont décidé de m'envoyer dans un programme de sport-études. Je me classais parmi les meilleures de ma catégorie dans le tennis. Je faisais des tournois, des championnats. Et bien sûr, je les remportait.Mes parents étaient toujours en admiration devant mon talent. Comme tout le monde. J'adorais cela. Ce que je n'aimais pas, par contre, c'est que je n'avais pas de vie. Il est bien beau que tout le monde m'aime parce que je suis belle et talentueuse, je n'avais pas de réels amis, je n'avais pas d'amoureux. Je voulais tout cela moi aussi. Ceux qui disaient être mes amies n'étaient en fait que des groupies.
J'avais eu tout ce que je voulais: l'admiration des autres et surtout celle de mes parents.Je voulais arrêté le tennis. J'adorais y jouer mais je ne voulais plus m'adonner à ce sport aussi souvent. Je n'avais aucun moment pour moi. J'en avais parlé à personne sauf à mon meilleur ami. Je lui avais confié que j'avais 17 ans et que je n'avais jamais couché avec un garçon. EN fait, je n'en avais jamais embrassé un. Je n'aurais jamais du lui dire cela. Quand je lui ai dit, il m'a avoué qu'il était amoureux de moi et il m'a embrassé. Je ne savais pas quoi faire. Nous étions dans ma chambre et ma mère m'attendais au terrain de tennis pour mon entraînement. J'étais donc seule avec mon meilleur ami. Lorsqu'il m'a embrassé, je ne pouvais pas sire si je voulais qu'il continue ou qu'il arrête. Je l'ai donc laissé faire. On est allé plus loin que ce que je pensais. On a fait l'amour. Finalement, j'ai aimé cela. Mon meilleur ami était la personne la plus importante dans ma vie et je voyais pas quelqu'un de mieux placer pour moi. Je crois bien d'ailleurs que j'avais des sentiments pour lui que j'avais toujours refuser de m'avouer.
J'étais étendue nue sur mon lit, dans ses bras. Je n'ai pas vu le temps passer. Je me suis même endormie. Ma mère est rentrée à la maison. Elle était vraiment de mauvaises humeurs. J'avais promis de la rejoindre pour mon entraînement et finalement, j'avais oublié. Vous auriez dû voir sa réaction lorsqu'elle est entrée dans ma chambre. Elle était folle de rage. Elle a expédié mon ami vite fait à l'extérieur et elle m'a engueulé comme du poisson pourri. Mes deux parents s'y sont mis d'ailleurs. Ils m'ont crié dessus en me disant que ma soeur et eux avaient fait beaucoup de sacrifices pour que je me retrouve où j'étais et qu'il n'était pas question que je gâche tout cela pour une amourette.Mais ce n'étais pas une amourette. J'étais réellement amoureuse de lui. J'avais seulement m'y du temps à m'en rendre compte. Mes parents m'ont interdit de le voir à nouveau. D'ailleurs, le lendemain, je faisais mes valises pour aller dans un camp professionnelle de tennis en Amérique. Là-bas, pas de téléphone, ni internet. On se concentrait uniquement sur le tennis. Je n'ai donc jamais pu dire au revoir à mon meilleur ami et mon premier amour. À partir de ce moment-là, j'ai décidé que plus jamais je ne tomberais amoureuse encore. Je ne veux plus jamais souffrir comme j'ai souffert en le perdant.
Un an après avoir intégré ce camp, je suis entrée à Harvard en psychologie et en sport. Je ne voulais plus être aussi impliquée dans le tennis mais je n'avais pas vraiment le choix. J'ai accumulé les bonnes notes, les partys et les gars. Je suis également la championne de tennis de mon âge. Une vraie professionnelle. Je gagne toutes les compétitions à travers le monde et je réussi quand même à avoir de super bonnes notes, à m'amuser et à coucher avec des mecs. C'est ce que j'appelle ma vie.