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∞ Jamie & Alejandro
Quelques fois le hasard fait bien les choses
Tu es de ma famille, de mon ordre et de mon rang. Celle que je ressens, dans cette armée de simples gens. Tu es de ma famille. Des poignées de secondes dans cet étrange monde. Qu'il te protège s'il entend. (j-j. goldman)


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Septembre 2013, bibliothèque d'Harvard ✖ Une salle de réunion remplies d'étudiants, allant de la troisième année à la dernière. Le but? Une séance d'information sur le parrainage et un slogan pas tellement accrocheur: 'toi aussi, deviens parrain'. Ca ne donnait pas tellement envie de signer un bout de papier, de s'engager à prendre sous son aile un petit nouveau. Pour ma part, j'entrais à présent en sixième année. Les cours, les sorties et mon travail de serveur occupaient bien mes semaines. Aurais-je encore du temps à consacrer à quelqu'un d'autre? Pour lui faire visiter le campus mais aussi pour le soutenir et lui donner les petits tuyaux? J'avais mis quelques secondes avant de prendre ma décision. Pourquoi ne pas essayer? Après tout, j'avais bien été content d'avoir un parrain quand j'étais arrivé. Je me devais donc de rendre la pareille. En posant ma signature, on m'avait donc attribué un filleul, de toute évidence de la même filière que moi, c'était beaucoup plus simple. J'avais jeté un coup d'oeil aux prénoms et au nom. Aurélio Jamie Di Matteo Un sourire était apparu sur mes lèvres. Il y avait beaucoup de chance pour que le jeune homme soit italien lui aussi. Trouver un compatriote à Harvard m'enchantait, me permettait également de renouer avec mes racines. Coup d'oeil au cursus: médecine et langues étrangères. Parfait. Il avait choisi la même option en mineur que moi. Cela me laissait présager que la collaboration serait facile. On s'était d'ailleurs chargé de nous donner un rendez-vous. J'avais fait la moue en voyant l'endroit: la bibliothèque. Pas terrible comme lieu alors qu'il y en avait qui avait hérité de la cafétaria ou même du parc. Quoique pour visiter le campus, la bibliothèque était un excellent point de départ.
Septembre 2013, bibliothèque d'Harvard, 14 heures ✖ Les cours reprenaient dans deux jours mais c'était aujourd'hui que je devais accueillir le petit nouveau dont j'étais le parrain. Je n'avais rien préparé de spécial, je préférais de loin y aller au feeling, en espérant tout de même que tout se passe bien. J'avais donc revêtit un jean et un tee-shirt noir, rien de bien exubérant. La classe dans la simplicité. Un peu de gel dans mes cheveux et j'étais fin prêt. J'avais donc arpenté les couloirs du campus avant d'arriver à la bibliothèque. J'avais un quart d'heure d'avance. C'était une habitude pour moi d'être avant l'heure sur mes lieux de rendez-vous. Je ne supportais pas attendre et donc, par la même occasion, je n'arrivais donc pas en retard. Surprise, un jeune homme était déjà présent. En avance lui aussi. Il marquait donc quelques points. Je le décryptais légèrement. Il semblait un peu plus jeune que moi, de type méditérranéen. Ce ne pouvait être que mon filleul. De toute façon, quel étudiant serait venu se perdre à la bibliothèque alors que les cours n'avaient pas encore recommencé? Je vous le demande. A part un Dunster peut-être... Fort de cette remarque, je m'étais avancé vers le jeune homme, un sourire aux lèvres. 'Aurélio Jamie Di Matteo?' J'avais questionné le jeune homme afin de m'assurer de son identité. Je n'avais toujours pas fait le rapprochement entre son nom et une partie de ma famille éloignée. De toute façon, des Di Matteo, il y en avait pas mal en Italie. Combien de chance avais-je que Jamie soit mon cousin? C'était pour cette raison que je n'avais même pas songé à cette éventualité. J'attendais à présent une réaction de la part de mon filleul avant de poursuivre.  
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Avoir recours à un parrain fut la meilleure des solutions qui me vint à l’esprit. Ne me trouvant en Amérique que depuis trois mois et n’ayant vécu qu’un seul mois sur le campus, je ne pouvais pas certainement pas m’attendre pas à connaître l’endroit par cœur. J’étais arrivé début juin, et ayant comme but de découvrir de nouveaux horizons, de me faire de nouveaux amis et surtout poursuivre mes études dans un autre milieu que celui italien, j’en étais arrivé à la conclusion que tout me manquait. Je suis arrivé au moment de la période des derniers examens et les avaient tous passé avec un immense succès prouvant ma capacité à mériter amplement ma place dans cette université. Néanmoins, tout me manquais. Ma famille, mes origines et habitudes, et même si j’avais Alice avec moi, les choses n’étaient pas celles que j’avais toujours connu tout au long de ma vie. Je me sentais perdu et avait besoin de certain repères et seul un parrain pouvait me les fournir. Lorsque je m’étais présenté dans le but de demander de l’aide, une jeune femme m’avais fourni cette option, m’assurant qu’énormément de personnes s’en étaient sorti à merveille et avaient créé des liens à vie avec eux. J’avais alors haussé des épaules et parcouru une liste de nom. Un seul me convainquis réellement Alejandro D. Nizanni. Un italien, qui était lui aussi en Médecine et en langues étrangères, il était plus âgé mais je songeais qu’il valait mieux ça qu’un plus jeune que moi. L’on me fixa un rendez-vous, un premier lieu de rencontre. À quatorze-heure moins dix, je me dirigeais vers la bibliothèque de l’Université, mon rendez-vous se trouvant là. Mais lorsque j’arrivais, il n’y avait encore personne. Je rêvassais en regardant les différentes brochures affichées aux murs lorsque j’entendis quelqu’un prononcer mon prénom en entier. Personne ne le faisait à part peut-être mon père. Me retournant vivement, je vis un jeune homme aussi grand que moi, brun qui faisait réellement honneur aux origines italiennes. Je m’avançais d’un pas assuré vers lui, tout en lui tendant la main : « C’est exact. Alejandro, non ? »  
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