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Fermer les yeux ne fait pas disparaître la réalité - Privé.

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« Because I Love Alcohol. »


L'alcool apaise ma souffrance
L'alcool est pour moi comme une délivrance

    Courir. Déroutée, juste ainsi, sans savoir où les pas précipités et désespérés peuvent mener. Allonger sa course sans regarder autour, confinée dans l’obsession qui ne veut quitter l’esprit, aveuglant de la sorte tout le reste, qui, dans ces instants, n’a plus aucune importance. Entendre simplement le bruit fracassant des chaussures martelant le sol avec frénésie et l’écho ricochant sur les murs de l'université. C’est de cette façon que Nyssa traversait les longs boyaux de la structure. Sa respiration haletante aux consonances sifflantes, presque asthmatiques, rythmait l’envol de cet oiseau noir, filant avec vivacité tout en laissant un nuage de malaise derrière lui. Elle avait mis un certain temps avant de comprendre qu’il ne s’agissait que d’un rêve. Et que ce dernier, à la place de s’enfuir peu à peu, gonflait ostensiblement et l’oppressait. Des images résiduelles défilaient devant ses yeux clos ou ouverts, mais trop rapidement pour pouvoir être déchiffrables. Et des paroles musicales obsédantes l’envahissaient, se répétant avec une clarté presque insupportable. Sanchez se sentait perdue et, ne sachant que faire pour affronter cela, elle s’était élancée sur les sentiers déformés qui menaient près de la rivière. Elle n'arrivait plus à avaler sa salive, tout restait coincé dans sa gorge trop serrée à en être nauséeux. Pourquoi se sentiment de solitude l’envahissait-elle ? Être seule ne l’avait jamais dérangée, elle trouvait cela fort agréable parfois. Il s’agissait certainement de ce rêve indéfinissable. Sans trop savoir dans quelle direction aller, elle marcha à la façon d’une marionnette, comme manipulée par des fils invisibles. Les flash persistaient et les chansons se mélangeaient. Un sentiment de vide l’enveloppait doucement. Soudain, elle arrêta nettement sa course folle et éperdue. Elle s’arrêta pour réfléchir de manière sensée. Peut-être vivait-elle encore dans le rêve. Peut-être n’était-il pas terminé. Peut-être que la soirée alcoolisée d'hier avait laissé quelques séquelles. Nyssa avait l’irrésistible désir de s’éveiller en sursaut. Pour se rassurer, elle regarda attentivement autour d'elle. Les lieux étaient déserts. En écoutant attentivement, elle ne perçut aucun son, hormis sa propre respiration convulsive. Dans les rêves, parfois, il n’y avait personne. Ceci constituait un petit argument pour la convaincre qu’elle était encore enfermée dans son sommeil. Et pourtant, le réalisme environnant était beaucoup trop troublant pour être négligé. Inspiration brusque et foudroyante qui la fit tousser bruyamment. Extirpant alors de ses entrailles une fumerolle neigeuse due au degré élevé de l'alcool qui contrastait avec l'air d'une flegmatique fraicheur. Smog blanchâtre, vapeur livide d'un corps en perdition. Impatience du temps qui se mettait en suspension, démangeaisons extrêmes d'un désir de se déplacer, de se remuer les fesses. Altruisme et résignation. Elle avait fini par arrêter de réfléchir, de se fatiguer à penser. À songer à tellement de chose en un même instant que son esprit terminait par en être brouillé et engourdi.

    Le lent et éphémère défile des heures se muant en journées et devenant inéluctablement des mois pour finalement devenir des années et puis misérablement terminer en poussière parmi les décombres oubliées d’un temps trop pressé. La Vie. Dieu, le Paradis, l'Âme montant vers les Cieux... Foutaises. Hérésies qui ne servent qu'à adoucir l'existence et la torture de celle-ci. Balivernes inventées pour aider l'humanité dans sa glorieuse avancée. Acheminement qui ne sert à rien, si ce n'est l'envie toujours constante de renouveau. Cheminer, à tâtons, petit à petit, mettre un pied devant l'autre. Progresser, mais tout ce qu'on fait, c'est marcher vers l'infini d'un Cosmos bien trop vaste pour qu'il puisse être exploré dans son entièreté. Si c'était à cela que se résumait la vie, il fallait comprendre les personnes qui ne désiraient pas aller plus loin, ou qui convoitaient d'en finir. Le suicide. La mort pour seule délivrance. Qui a dit que seuls les faibles se suicidaient ? Le Suicidaire est intelligent. Il a compris à quoi consistait son existence. Il a assimilé qu'il valait mieux en finir plus rapidement pour passer outre les années de calvaire qui l'attendaient. D'un courage assez éveillé pour qu'il puisse aller jusqu'à l'achèvement de ses abstractions. Et il y a les autres. Pauvres âmes en perdition qui persistent à parcourir le chemin en espérant. Souhaiter l'impossible, escompter l'improbable. Stop. L'agonie larvée et silencieuse de la vie ne valait pas vraiment la peine qu'on s'y attarde avec autant de pragmatisme. Absence totale de réaction, qu'elle soit physique ou mentale. Nyssa ne songeait plus. Elle buvait, tout simplement. Les heures défilaient inexorablement aussi sûrement que les bouteilles se vidaient avec cette sainte avidité désaltérante. Seulement, elle semblait s’être fondu comme l’opium incandescent se consume lorsque des lèvres insatiables se pressent contre la pipe salvatrice qui le contient. Oui, l’allusion au temps qui se consume comme de la drogue fumante était propice à la situation nébuleuse qui s’étalait sous les pas de cette fiévreuse journée intemporelle. Loin. Loin des normes de ce monde, des règles d’une société profanée et des contraintes qui érigeaient la vie des Autres. Il semblait que la barrière qui avait toujours séparé Nyssa du monde extérieur avait fondu comme la cire d’une bougie qui à brûlé d’un feu trop vif avec trop d’engouement. Il n’y avait plus de distinction entre elle et les Autres. Elle ne demeurait plus qu'elle-même, au milieu de l’univers, parmi la foule sans visage, noyée dans l’absurde existence d’une destinée délabrée, elle au milieu du monde, confondue dans le néant palpitant du gouffre bleuté, elle et cet éclat doré, scintillante aura de noirceur incandescente, cette personne qui lui faisait maintenant face, mais que l'alcool empêchait de bien voir. Le Songe Transcendant qui lui faisait sentir les vibrations de la mort et subir les frustrations de la vie. Cette aberration humaine, cette utopie d’évasion incarnée dans une enveloppe charnelle. Ce jeune homme qui, dans ses yeux, faisait refléter les mirages de rives oubliées et décharnées. Ce gars qui prodiguait son essence, qui partageait avec elle cette vue bénédictine, ce semblable dont elle ignorait tout et dont elle possédait tout. Un regard interrogateur qui combattait le regard moqueur. Le temps n’était pas à la confrontation verbale ou à la contradiction spontanée. Le temps était au voyage, comme elle pensait si bien, c’était une quête de transcendance et de peur, soutenue par l’absinthe dont la bouteille restait accrochée à sa main, criée et décriée par son corps saoulé. C’était peut-être le moment d’exacerber l’intensité de la vie. Le temps avait fondu dans l’opium. L’opium avait volé dans la mer. La mer s’était noyée dans l’océan d’un bleu éthylique.
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    On était de bon matin et William marchait ou plutôt titubait pour rentrer chez lui. Le soleil se levait à peine, il avait la soirée avec ses potes Mather et avait fini la nuit quelque part, surement dans la chambre d’une de ses sexfriends mais il ne se souvenait pas de tout. Il zigzaguait plus qu’il n’avançait avec sa bière à la main et le reste du pack dans l’autre. Sa maison était si proche mais si loin à la fois … il commençait à faire presque beau et il ne faisait pas si froid pour un matin, ou alors c’était l’alcool qui ne lui faisait plus ressentir le froid. Il ne lui restait plus que quelques centaines de mètres pour rentrer mais il décida de faire une petite pause, juste histoire de se reposa, quelques instants … il s’assit sur un banc et finit sa bière, au bout de quelques minutes il décida de repartir, mais l’herbe lui tendait les bras. Après tout, il pouvait bien faire une petite sieste au bord de la rivière pour récupérer et dans une heure ou deux il rentrerait chez lui finir sa nuit. Il alla se poser un peu loin et prit son pull comme oreiller, il se coucha et à peine avait-il fermé les yeux qu’il s’endormit … Il se réveilla que quelques minutes après, du moins c’est ce qu’il croyait, le soleil était maintenant haut dans le ciel et heureusement pour lui il s’était endormi sous un arbre. Il jeta un coup d’œil à sa montre, il était déjà presque midi. Il avait un mal de tête comme jamais, comme jamais mais il s’en tapait des comme ça tous les week-ends voire même en semaine. Il se releva et se mit en position assise contre le tronc de l’arbre ; il regarda autour de lui et essaya de trouver où il était ; il ne se souvenait plus s’être endormi là. Il se souvenait du début de soirée, d’une partie de la nuit mais pas du tout de la fin. Il avait dû vouloir rentrer chez lui mais sous le coup de la fatigue et de l’alcool il s’était posé là. Il se passa une main dans les cheveux comme si ça allait suffire à virer son mal de crane, il remit son pull, se radossa au tronc d’arbre et s’ouvrit une bière. Avec la pâteuse qu’il avait la bière passait parfaitement et lui enleva ce gout bien dégueu significatif d’un lendemain de cuite. Malheureusement, la bière n’aiderait pas à faire partir son mal de crane. Il but une gorgée dans sa canette et chercha à réunir le peu de motivation qu’il avait pour se relever et rentrer chez lui. Il finissait sa bière et allait enfin se relever quand il vit quelqu’un arriver en courant bizarrement. C’était une fille et sa silhouette lui disait quelque chose mais il avait la gueule dans le pâté alors ça pouvait être n’importe qui. Elle se rapprocha encore et William pu voir qu’elle était brune, assez grande, mince et plus que jolie. Il finit par réussir à se relever quand elle lui arriva presque en plein dessus et il put reconnaitre Nyssa, il savait bien qu’elle lui disait quelque chose …
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J'ai besoin de savoir que je vais être ivre,
c'est la seule chose qui puisse me faire sourire.
C'est sans doute choquant,
mais vaut mieux se noyer dans le whisky que dans son sang.
    Sortir. Marcher. Bourrasque d'un vent encore trop frais pour pouvoir se venter d'être celui de l'été. Un calme trop serein pour être détesté, la faible lueur d'un soleil encore trop timide pour oser s'affronter au nuages fins qui le masquent négligemment. Une rivière enfin désertée où raisonnent encore les faibles échos de cris et de rire outrageux poussés par les gosses qui y ont passé la soirée. Doucement, comme un voile silencieux, la jour enveloppait complètement le ciel de sa robe de plus en plus claire. Les étoiles, évanescentes, se dispersaient peu à peu dans la nocturne immensité céleste. Seuls quelques nuages gris drapaient les cieux, masquant par intermittence la voie lactée. Tout en regardant le ciel, Nyssa soupirait. Elle se sentait coincée sur le sol, alors que le firmament l’appelait. Fin et noueux filament de fumée s'échappant dans les airs silencieux. Cigarette matinale savourée par un être tourmenté à la recherche d'autre chose. L'envie cachée d'être surprise, de rompre la lassitude et la monotonie de ses habituelles escapades. Grandes enjambées saccadées et automatiques de pas qui n'en font qu'à leur tête. Indifférence de destination particulière, pulsion sauvage de marcher sans savoir où aller. Semblant d'aventure, fade goût improviste et fausse sensation de liberté. Nyssa déambule le long de la rivière comme un somnambule qui ne veut pas s'éveiller tout de suite. Elle ferme les yeux. Long silence cadavéreux, enivrant l'espace vital dans lequel se trouvait Nyssa. En apparence tout au moins, il n'y avait pas un bruit pour rompre le tranquillité de cette sombre matinée déjà trop largement entamée. Et pourtant, au fond de la jeune femme, au creux de son cœur et dans les moindres parcelles de son corps trop grand et trop fatigué pour elle, des sons lointains la tiraillaient et se ravivaient, comme des vieux échos de souvenirs lugubres qui se réveillent sourdement et péniblement après un trop long coma artificiellement provoqué par le tabac, l'alcool, la fatigue, l'enfermement et l'ennui. Des souvenirs qu'elle croyait effacés de sa mémoire, des peurs et des dégoûts enfouis qu'elle croyait totalement endormis. Tout surgissait en elle comme un bouillonnement intérieur qui a mijoté trop longtemps dans l'ombre et qui éclos trop vivement, comme pour rattraper son retard et réclamer de l'attention. Comme si toutes les émotions qu'elle avait voulu oublier voulaient s'opposer à elle, l'affronter et la maudire, pour lui rappeler qu'un volcan n'est jamais qu'endormit. Lente goute de sueur perlant de son front osseux et glissant péniblement le long de son visage endoloris de devoir vivre ici.

    Nyssa ouvrit brusquement les yeux et pris conscience du mal qui la rongeait. Compréhension de cette dur réalité, attaquée par l'assaut de cette violente lucidité, elle eut un soupire lent. Trop lent, comme le dernier souffle d'un homme blessé au combat, comme le dernier soubresaut d'un animal pris dans un filet. Elle restât lasse, immobile comme une statue de pierre brisée par le temps et effritée par les duels, son regard étrangement troublé et brillant rivé sur un point unique. Le sommeil ne voulait pas d'une âme aussi tourmentée que celle de Nyssa. Il ne voulait pas lui accorder cette délivrance que de ne pas réaliser ce qu'elle était. Il ne voulait pas soulager cette fille qui ne méritait autre que la souffrance d'être lucide et vivante. Elle était condamnée à être ce qu'elle était et elle avait beau se noyer dans les alcools et s'évader dans des mondes fumeux et cotonneux, la nuit ne cesserait jamais de la tourmenter. Le temps lui-même n'abandonnerait pas sa quête et traquerait les moindres instants ou elle n'était pas sous l'emprise d'un quelconque toxique. Elle attendrait l'heure ou elle serait face au monde, au triste monde qui l'entourait. Tout ce dont elle avait envie était de s'oublier elle-même, d'oublier le monde et d'oublier la vie. Non pas qu'elle avait envie de mourir. Mais plutôt un refus de continuer à vivre ici. Il n'y avait jusqu'alors qu'un seul remède à ce problème et elle l'avait dans sa main. A boire. Il lui fallait se faire violence, prouver à cette réalité qu'elle se fichait d'elle, qu'elle n'avait pas peur et qu'elle l'emmerdait. Elle donnât un violent coup de pied sur un rocher, par pulsions, par rage et par habitude, ne provoquant qu'un bruit sourd et un léger mal de pieds atténué par le bout de ses chaussures. Au fond de son vieux sac trop sale pour en distinguer la couleur, se confrontaient deux-trois bouteilles d'alcool fort, quelques paquets de cigarettes encore neuf, une barrette de shit, quelques feu au cas ou son zipo faisait des siennes, un kéfié noir et jaune, son canif, ses mitaines en cuirs et autres bric à brac innommables. Un sac de gonzesse comme un autre - ou presque, dû à son habitude de faire les provisions pour la semaine.

    Pupille qui se dilate brusquement pour faire fasse à l'assaut de lumière de ce trop blanc rayon que les arbres cachaient jusqu'à présent, trop grand faisceau transcendant. Comme un signe, un barrage, quelque chose qui pousse à la contemplation, à l'arrêt et à la curiosité. Mouvement réflexe de lever la tête de haut en bas pour en concevoir la hauteur. Soudain, un bruit léger déchire l'écran de son rêve. Tellement habituée à réagir au moindre événement, si infime soit-il, Nyssa revient à la réalité, les sens immédiatement en alerte. Accrocs fictif d'une silhouette arpentant la rivière, seule, comme un chat noir sur le toit d'une maison ou un corbeau planant dans les brumes. Courbe hautaine et silencieuse, imposante et masculine. Un peu trop masculine. Nyssa balançât son mégot par terre et fixât l'homme qui lui faisait face. Bizarrement, elle n'était pas si déçue de ne pas se retrouver seule. Elle était même satisfaite qu'il y ait une confrontation, un obstacle à son envie de se bourrer en paix. Que ses journées ne soient pas toujours les mêmes. Que quelque chose d'inhabituel se produise. Que tout ne soit pas comme ses plans étaient prévus. Que la vie la surprenne un peu. Immobile, elle contemplât la silhouette masculine avec un œil nouveau. Ce n'est que dans le halo d'un rayon qu'elle reconnut ce visage. Deux ou trois mots franchirent sa bouche avant même qu'elle n'ait eu le temps d'y réfléchir :

    « Han, c'toi... »

    Sur ce, en souriant de la présence d'un Mather, elle attrapât sa petite bouteille d'alcool au fond de son vieux sac délavé, troué et trop large pour en mettre le goulot au bout de ses lèvres charnues et avides d'alcool. Tout serait plus simple si elle s'était montrée maintenant. Elle aurait surement eu une jolie entrée en matière et une approche fatidique du genre " Hey, tu viens te saouler la gueule avec moi et puis on baise ? " ; Et si, justement, avant de se lancer dans l'arène, elle réfléchissait pour une fois. Si elle profitait se sa lucidité pour voir ce que ça faisait d'essayer de ne pas être sous l'emprise de l'alcool ? De son éternelle voix rauque et cassante, elle s'adressât à lui, la bouteille à la main :

    « Tu veux m'accompagner dans cette journée que je prévois alcoolisée ? »
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« Han, c'toi... »

Voilà les premiers mots qu’elle lui sorti. Si ça n’avait pas été Nyssa et s’il ne la connaissait pas il aurait pu mal le prendre. Mais justement, la connaissant ce n’était pas surprenant. Elle avait un caractère bien à elle et c’est ça qui la rendait si intéressante et différente des autres.

Et oui c’est moi, qu’est-ce que tu fais là ?

Il se demandait ce qu’elle faisait là mais quand elle sorti sa flasque de son sac et en repensant à sa manière de courir ou plutôt de tituber, elle devait ne pas être très fraiche, elle était dans le même état que lui si ce n’est pire. Elle avait dû passer une bonne soirée comme lui et ne pas s’être couché et se laisser aller au gré de l’alcool. Un peu comme Will en quelque sorte et quand elle lui demanda s’il voulait la suivre et partager sa journée qui risquait d’être alcoolisé il ne pouvait que lui répondre …

Ahah !! Avec plaisir Nyssa, je sens qu’on va rigoler …

Vu dans quel état ils étaient déjà, même s’il ne savait pas ce que sa pote avait derrière la tête, il savait qu’ils allaient passer une bonne journée. Une journée sous le signe de l’alcool, de la déchéance, du laisser-aller, etc … il prit une autre bière pendant que Nyssa buvait sa flasque. Ils allaient surement être à court d’alcool par contre, ce n’était pas avec deux-trois bière et une petite flasque qu’il tiendrait une journée, d’ici une heure il n’y aurait plus rien à boire.

Tu veux faire quoi ? Parce que niveau alcool on risque d’être court, va falloir prendre des munitions … dans tous les cas je te suis …

Will avait de quoi boire à la maison mais s’il retournait la bas il serait capable de se vautrer dans un canapé ou un lit et de ne plus en bouger, ils pourraient peut-être trouver un magasin où en acheter ou peut-être même en emprunter quelque part ou à quelqu’un …

Spoiler:

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