Shade R. Crowley
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DARK RISES › being bad never felt so good
Shade River CrowleyGauge Burek
caractère
Tu es quelqu'un de profondément sociable et souvent souriant, cette façade accueillante et lumineuse qui attire facilement les autres vers toi. Tu as cette capacité naturelle à t’adapter à presque toutes les situations, à chaque groupe de personnes. Altruiste, tu as cette habitude de placer les besoins des autres avant les tiens, te sacrifiant parfois sans y réfléchir, parce que leur bien-être compte plus que le tien. Tu es aussi incroyablement ouvert d’esprit, prêt à explorer de nouvelles idées, et ta vivacité d’esprit ne te fait jamais manquer une occasion de surprendre les autres par ton intelligence et ta débrouillardise. Tu sais t’adapter aux défis de la vie avec une ruse subtile, prenant souvent l’initiative de résoudre des problèmes de manière innovante. Mais ta méfiance est une part de toi que tu n'arrives pas à vraiment contrôler. Bien que tu sembles accessible et amical, tu restes constamment sur tes gardes, ne laissant jamais ta confiance se donner entièrement. Cela peut parfois te rendre impulsif, voire agressif, comme si tu avais toujours un peu trop de tension sous la surface, prêt à éclater à tout moment. Parfois, tu peux être brutal, cruel, et même vulgaire, surtout quand tu te sens attaqué ou déstabilisé. Il y a aussi des moments où ton impulsivité te mène dans des directions violentes, mais tu sais aussi te contrôler, dans un équilibre fragile entre l’envie d'exploser et la nécessité de garder la situation sous contrôle. Tu es un protecteur inné, et si quelqu'un que tu apprécies est en danger, tu n'hésiteras pas à faire tout ce qu’il faut pour le défendre, même si cela te pousse à être envahissant. Ce besoin de protéger est parfois plus lourd à porter, et tu te retrouves à marcher sur une corde raide, entre attention et oppression. Mais lorsque tu es entouré de ceux que tu considères comme dignes de ton affection, tu te révèles étonnamment doux et attentionné, avec une capacité d'écoute rare. Ton esprit est sans cesse en mouvement, ton hyperactivité te permet de sauter d’une tâche à l’autre sans vraiment t’attarder, mais cela ne t’empêche pas de rester concentré sur ce qui te tient à cœur. Tu es rusé, malin, et tu sais exactement comment manipuler les situations à ton avantage, mais jamais au détriment de ceux qui comptent pour toi. Le revers de ta vivacité d'esprit, c’est ton tempérament un peu trop têtu et parfois incontrôlable. Une fois que tu as une idée en tête, il est pratiquement impossible de te la faire changer. Malgré ton charme unique et ton côté séducteur, tu as du mal à laisser ton cœur se dévoiler entièrement. Ton orgueil parfois démesuré se cache derrière ce sourire qui, au fond, n'est pas toujours sincère. Bien que tu sois un véritable fêtard et que tu sois entouré d’une énergie contagieuse, il y a une part de toi qui se nourrit de rancune et qui garde la colère enfouie. Tu n'oublies pas facilement les offenses, même si tu essaies de faire bonne figure. Tu cherches les problèmes parfois, te mettant dans des situations tendues juste pour sentir l’adrénaline, et ce n’est pas rare que tu t’attires des ennuis pour cette raison. Tu te faufile parfois dans les situations de manière sournoise, tel un serpent, et tu attaques là où personne ne t’attend, tout en gardant un air décontracté et en surface, comme si rien ne pouvait te toucher. C’est là que tu es le plus imprévisible. Mais derrière ce côté de rébellion, tu sais aussi être loyal et fidèle, surtout quand tu es amoureux. Tu donnes tout pour cette personne, mais cela reste difficile pour toi d’offrir ton cœur à quelqu’un à cause de ta peur constante de l'abandon. Les gens te voient comme un extraverti, un homme qui aime l’attention, mais tu es aussi celui qui cache ses émotions, ses faiblesses, et ses tourments sous des couches d’humour et de sourires. C'est une lutte constante entre ton désir de briller et l'envie de tout envoyer valser quand tu te sens acculé. Mais c'est cela qui te rend complexe, captivant, et en même temps, inaccessiblement vulnérable.
groupe
Tu t'intègres si bien à ce groupe parce que, comme eux, tu as cette vigilance ancrée en toi, ce sixième sens aiguisé par une vie de cris et de coups. Dès ton enfance, tu as appris à te méfier, à anticiper chaque mouvement, chaque signe annonciateur de violence. Aujourd’hui, cette alerte constante est ton armure, une barrière invisible qui te protège autant qu’elle te définit. Tu n’es jamais vraiment en paix, toujours prêt à réagir au moindre bruit, au moindre éclat de voix, comme si le danger était une ombre inséparable de ta vie. Pour toi, cette existence n’est pas un choix, mais une continuité, un prolongement naturel de ce que tu as toujours connu. Les risques, les comportements illégaux, l’intensité de chaque jour—c’est ta norme, le monde dans lequel tu évolues sans jamais te poser de questions. Tu n’es pas là par rébellion ou par désir d’aventure, mais parce que c’est ce qui te semble juste, ce qui te définit. L’adrénaline, les embrouilles, cette tension permanente ne sont pas des éléments extérieurs, mais une partie de toi, un écho de ce que tu as traversé. Tu te fondes parmi eux parce que tu comprends la réalité de cette vie. Tu n’as pas besoin de faire semblant, tu ne ressens ni la peur ni le malaise qui saisissent parfois ceux pour qui ce mode de vie est une nouveauté. Tu es de ceux qui n’hésitent pas, qui avancent sans regarder en arrière, non par témérité, mais parce que tu sais que la survie dépend de ta capacité à agir, à te fondre dans l’ombre, à anticiper. Cette alerte perpétuelle te rend précieux, indispensable même. Le danger, la tension constante, les règles non écrites de ce monde sont ta langue maternelle. Ici, tu trouves un reflet de ton propre chaos intérieur, une réalité où ta méfiance et ton silence deviennent des atouts. Tu es l’un de ceux qui ne cherchent pas à s’échapper, qui acceptent cette vie sans illusions, parce qu’en fin de compte, elle t’a choisi bien plus que tu ne l’as choisie.
ta vie à boston
Tu n’as jamais franchi les portes de l’université. Pour toi, décrocher ton diplôme de lycée a été un combat en soi. Tu te souviens des longues nuits passées à réviser dans la cuisine du restaurant, les coudes appuyés sur la table en bois encore tiède après le service. Ce bout de papier, tu l’as voulu plus que tout, même s’il te semblait, parfois, hors de portée. Tu t’es battu pour l’obtenir, sachant qu’il représentait bien plus que de simples études : c’était ta première victoire, ta première preuve de valeur dans un monde qui semblait t’en priver. Aujourd’hui, tu travailles dans ce même restaurant, aux côtés de celle que tu appelles désormais “maman”. Le lieu est devenu une extension de toi-même, et chaque coin de la cuisine, chaque table dans la salle, est imprégné de tes souvenirs et de tes efforts. Tu y passes des heures à concocter des plats, à servir ceux qui, pour la plupart, viennent y chercher une échappatoire. Le restaurant, c’est plus qu’un emploi, c’est ton refuge, le repaire que tu défends avec une loyauté presque infaillible. Mais il y a aussi cet envers du décor, cet autre monde, sombre et fascinant, qui se déploie derrière les portes closes. La mafia est devenue une famille, elle aussi. Ceux qui viennent ici régulièrement, ceux dont les regards se durcissent dans l’ombre, te traitent comme l’un des leurs. Tu les connais, eux, leurs codes silencieux, leurs gestes discrets qui en disent long. Et tu as trouvé ta place parmi eux, avec cette précision calculée et cette intelligence affûtée qui te rendent indispensable. Au fond, ces deux mondes se complètent. Le restaurant de ta mère adoptive est un foyer, une façade, un lieu de rencontre où se mêlent le public et l’occulte. Derrière la cuisine et les tables, dans les recoins où seuls les initiés s’aventurent, tu t’occupes des affaires, des missions discrètes, de ce qui n’est pas censé être vu. Ils comptent sur toi pour assurer la sécurité, effacer les traces, et te font confiance, car tu n’es plus seulement ce garçon égaré, mais un membre essentiel de leur cercle restreint. Ainsi, tu navigues entre ces deux univers, en sachant que l’un ne pourrait survivre sans l’autre..
anecdotes
- Code:
<pris><i class="bi bi-check"></i><b>GAUGE BUREK</b> <span>@"Shade R. Crowley"</span></pris>
(Shade R. Crowley)
Lose control
Something's got a hold of me lately. No, I don't know myself anymore. Feels like the walls are all closin' in and the devil's knockin' at my door. I lose control. Problematic. Problem is I want your body like a fiend, like a bad habit. Bad habits hard to break when I'm with you. Yeah, I know, I could do it on my own, but I want that real full moon black magic and it takes two. Problematic Problem is when I'm with you, I'm an addict and I need some relief, my skin in your teeth. Can't see the forest through the trees, got me down on my knees, darlin' please.