Sven-Eirik C. Solheim ► Mitch Hewer

Mon histoire

Ceci est l'histoire d'un garçon, comme tant parmi d'autres. Sven-Eirik est née a Oslo en Norvège, mais il a beaucoup déménagé dans ses jeunes années. Passant de Suède, en Corée, en Russie, la France, l'Australie, avant que ses parents ne s'implantent de manière poursuivit a Seattle. C'est là que notre ami Sven-Eirik commença a grandir de façon stable. Il devait avoir 10-12 à cette époque. Son père étant le chef du Consulat Norvégien, la vie commençait à commencer, pouvoir côtoyer les mêmes personnes plus souvent, créer des souvenirs durables avec eux... Sven-Eirik était un petit pianiste sans complexe, sans peur, sans amour, jusqu'à ce qu'il rencontre une fille dans son adolescence. Il l'aimait, elle l'aimait, seulement voilà, Sven-Eirik avait aussi des tendances homosexuels, et dans certains endroits, et pour certaines personnes ça posaient problèmes... Il n'eut pas vraiment la paix qu'il aurait aimé. Il était bien avec elle, elle était bien avec lui, et peu importait les pressions qu'un petit groupe de mecs faisaient sur elle pour retourner avec des "vrais hommes."
Un soir, ce joli petit couple qu'ils formaient vécurent la pire nuit qui aurait pu exister sur terre. Ils se firent surprendre par le petit groupe pas content... Elle fut violée sous le regard impuissant de Sven-Eirik qui était attaché, et finir par être battu... C'est dur à décrire à quel point ils purent souffrir tout deux de cette mésaventure. Ils n'arrivaient même plus à croiser leurs regard sans se souvenir de cette nuit, alors comment resté ensemble? Ce poids sur ses épaules, cette souffrance, cette impuissance qu'il avait sentit, lui faisait sentir de la colère, une colère tellement mal dirigé, qu'il se mit, à voler, mentir, tricher, faire des graffitis sur les murs, casser des choses, peu importait ce que c'était, il se mit à boire beaucoup trop, à sortir en boite de façon déraisonnable, offrir son corps au premier, ou la première venu(e) et la drogue fut la suite logique de cette déchéance... Rien ne pouvait être pire que de ne pas avoir sut protéger celle qu'on aimait... Et ne pas avoir sut se protéger. Cette humiliation, cette plaie béante restait ouverte, et continuait de saignée, seul, les déviances semblaient apaisés son esprit, et faire taire cette petite voix dans sa tête, qui lui disait qu'il n'était rien. Et une chose était sûre, plus il se faisait mal, et mieux il se sentait. Loin de moi l'idée de vous faire croire qu'il était devenu masochiste, seulement une douleur plus forte faisait taire cette souffrance. Et c'était pas plus mal pour lui. Sa déchéance brisait le coeur de sa mère, quand les policiers le ramenaient à la maison, et même pire quand elle le voyait derrière les barreaux complètement défait. C'était dur de voir son enfant se détruire à ce point, sans comprendre, car personne ne sait, personne ne doit jamais savoir. Et c'est là qu'il prit l'habitude de sourire, d'être joyeux, de faire la fête, d'être toujours là pour ses amis, malgré le fait qu'en solitaire, il se détruisait doucement. Heureusement que le piano à toujours été là pour lui, et ce même complètement défoncé, il a une excellente technique, à croire que c'est la seule chose qu'il sait faire à la perfection. Malgré tout ça c'est un garçon intelligent, et travailleur, qui a des bonnes notes dans tout les domaines où il s'investit, et il est même prof particulier pour aider certains élèves à ne pas couler, du moins en cours...  
Ils déménagèrent a Boston deux ans avant son admission à Harvard. Ses parents pensaient qu'éloignés de l'ancienne ville, de l'ancienne vie, tout irait mieux.. Seulement il est plus facile d'atteindre le fond que de remonter à la surface, surtout après un tel évènement.... Il est donc ici depuis 4 ans dans cette université.
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