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It wasn't over for me › Jonas

2 participants
Amélia Lindman

Âge : 36
Lieu de naissance : Stockholm, Suède.
Quartier d'habitation / Colocation : Jamaica Plain, une maison avec vue sur le parc.
Situation sentimentale : mariée dans un mariage en apparence parfait, avec l'homme en apparence idéal.
Études / Métier : Avocate, associée Livingston Office.
Date d'inscription : 10/10/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : Sasou.
Icon : It wasn't over for me › Jonas Tumblr-3443e06c0498eabe0e81adaaf55aa5e0-5be93b63-400
Faceclaim : Alicia Vikander
Crédits : Fassylover/LIlie.
Multicomptes : .
Description (1) :
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« Every great love starts with a great story »

RPS en cours : (*) Jonas
Warnings : violences conjugales, infidélité, rupture, enfance difficile, parents absents, précarité
RPS : 3
Messages : 13
Préférences de jeu
veritas
Amélia Lindman
est en ligne
I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t176303-amelia-lindman-alicia-vikanderFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t176952-amelia-lindman-fiche-de-liens#8801753
«Why didn't you write me? Why?
It wasn't over for me, I waited for you for seven years.
But now it's too late.»
(The Notebook)
@Jonas E. Henderson


Fin de journée. Sur le chemin du retour de Northeastern Correctional Center où elle avait passé la journée, à quelques kilomètres de Boston. Déconnectée du monde extérieur toute la journée, elle profitait du chemin retour pour prendre connaissance de ses appels et messages manqués de la journée. La journée était encore loin d'être terminée pour elle, elle savait qu'elle allait devoir encore repasser par le bureau avant de pouvoir enfin rentrer chez elle. C'est alors qu'elle aperçut une voiture arrêtée sur le bord de la route, vraisemblablement en panne. Non, c'était même une certitude. En panne. Elle s'était souvent fait la réflexion que ce serait vraiment le pire endroit pour elle pour tomber en panne. Surtout à cette heure-là de la journée. Il s'agissait d'une route peu fréquentée, un peu hors des sentiers battus, à quelques kilomètres de Boston. Un réseau un brin capricieux pour les moins chanceux. Suffisamment éloignée de toute station-service ou d'un garage à proximité pour marcher jusqu'à pour aller chercher de l'aide. C'est vrai, il fallait l'avouer, elle hésita un moment avant de s'arrêter. Un pressentiment ? Non ! Une pensée égoïste sûrement : elle voulait juste retourner sur Boston le plus tôt possible et finir cette interminable journée. Néanmoins, elle connaissait suffisamment cette route, pour avoir fait le chemin un certain nombre de fois, pour savoir que personne ne passerait sur cette route, à part elle, et cela d'ici encore un bon moment. "Tu t'assures que la situation est sous contrôle, la personne te répond que tout est ok et tu repars, cela ne prendra que quelques minutes puis tu reprends le cours de ta vie". C'est pourquoi, alors qu'elle avait dépassé la voiture de quelques mètres, elle se décida finalement et finit par arrêter sa voiture sur le bas-côté avant de sortir de son véhicule. « Besoin d'aide ? » en se dirigeant vers le véhicule en panne alors que le conducteur du véhicule était de dos.
(Amélia Lindman)
Jonas E. Henderson

Âge : 39
Lieu de naissance : salem, massachusetts
Quartier d'habitation / Colocation : city center, appartement en colocation avec sa soeur cadette, april
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : barman (propriétaire du lazy coyote)
Date d'inscription : 12/09/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : fa (il/lui)
Icon : It wasn't over for me › Jonas ErfyWih
Faceclaim : Miles Bugby
Crédits : © moi
Multicomptes : Armand de Contrignac
Description (1) :
nolite te bastardes carborundorum

RPS en cours : [1] whisky sour (minji)
[2] bank of america (sue)
[3] knockout (scarlett)
[4] six pack of beer (taylor)
[5] mocktail (willow)
[6] hair of the dog (georgia)
[7] absinth (casey)
[8] lemonaid (leslie)
[9] shots (andy)
[10] white russian (izzy)
[11] virgin fruit punch (april)
[12] pumpkin spice shitshow (tg · micah)
[13] irish trash can (luke)
Warnings : dettes, alcool, attentat (bombe), relations familiales tendues/complexes, rupture
RPS : 37
Messages : 493
Préférences de jeu
veritas
Jonas E. Henderson
est en ligne
WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t174783-jonas-e-henderson-miles-bugbyRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t175823-jonas-e-henderson-repertoire-de-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t174886-jonas-e-henderson-fiche-de-liens
tw: language familier/grossier
____

Combien de fois avais-tu rêvé de ce moment? Est-il toujours adapté de parler de rêves lorsqu'ils se soldent inéluctablement par des sueurs froides et des crises d'angoisse? Hanté par son ombre depuis des années, tu la vois même dans ton propre reflet. Et à chaque fois, tu te rassurais: « ce n'était qu'un mauvais rêve, tout ira bien ». Le problème des cauchemars, c'est qu'ils ont la fâcheuse tendance de savoir se matérialiser aux moments les moins pratiques.

« Saloperie! » beugles-tu à l'attention de Charlie, ta fameuse Hyundai noire. Fidèle au poste depuis des années, elle ne paie plus pas de mine depuis longtemps. Tout le monde te dit de te débarrasser de cette bagnole tant elle tombe en morceaux mais t'arrives pas à t'y résoudre. Chris, ton meilleur ami, te l'avait offerte au moment où tu avais acheté ton premier bar. T'avais emmené April à ses activités extra-scolaires, dans cette voiture. T'avais fait un road trip avec tes meilleurs potes dans cette voiture. T'avais passé une ou deux nuits particulièrement mémorables avec Amel... elle dans cette voiture. Tant que Charlie ne rendra pas l'âme, tu ne comptes pas l'abandonner. Le soucis, c'est qu'elle semble bien déterminée à t'abandonner, toi. De la fumée noire émane du moteur. T'es au beau milieu de nulle part, à te demander ce que tu foutais sur cette route où personne ne passe jamais. Ta soeur avait voulu une marque de cosmétique qui ne se trouvait qu'en grande surface, à l'autre bout de la ville. Et trop bon, trop con, tu t'étais dévoué pour y aller — et sans elle — afin de lui rendre service. C'est bien la dernière fois que tu commettras cette erreur. (Non, c'est absolument faux. Tu re-sombreras ad-nauseam jusqu'à ta mort. Telle est l'emprise de ses yeux de biche apeurée sur toi. T'es faible, que veux-tu y faire? Heureusement qu'elle est reconnaissante.) T'essaies d'ouvrir le capot de la bagnole avant de jurer à nouveau lorsque celui-ci te brûle pratiquement les doigts. « Putain de voiture de merde! » Tu regrettes immédiatement ces paroles, compte tenu de ton affection pour Charlie. Mais t'as toujours été du genre impulsif, y'a pas à dire.

Une voiture passe, ou deux. Mais t'es trop occupé à essayer de capter du réseau sur ton téléphone pour tenter de les arrêter. C'est uniquement lorsque la troisième passe sans s'arrêter et que le crépuscule commence à tomber que tu réalises que tu ferais p'têt mieux de tenter de d'interpeller quelqu'un. Tu t'poses au milieu de la route, agitant des mains, en espérant qu'elle se retourne. Mais la voiture trace son chemin. « ... Bordel de merde. » Tu te rapproches de nouveau de ta bagnole qui semble te narguer sous les rayons sanguins du soleil. « Qu'est-ce qu'on va faire de toi, ma p'tite Charlie, hein? » demandes-tu finalement au véhicule, comme s'il s'agissait d'une gosse.

C'est alors qu'une voix t'interpelle. T'avais pas réalisé que la voiture que t'avais essayé d'arrêter avait fini par faire demi-tour. Si t'avais su à qui elle appartenait, t'aurais peut-être évité. Rien que sa voix suffit à dresser tous les cheveux sur ta nuque. C'est une voix que tu reconnaîtrais parmi mille tant elle s'était greffée à tes souvenirs. Et t'es tellement sonné de t'y retrouver de nouveau confronté que t'en trouves même pas tes mots. Alors tu restes là, planté comme un piquet, dos à elle, comme un imbécile. Le coeur battant la chamade.

Combien de fois avais-tu rêvé de ce moment? Est-il toujours adapté de parler de rêves lorsqu'ils se soldent inéluctablement par des sueurs froides et des crises d'angoisse? Hanté par son ombre depuis des années, tu la vois même dans ton propre reflet. Et à chaque fois, tu te rassurais: « ce n'était qu'un mauvais rêve, tout ira bien ». Le problème des cauchemars, c'est qu'ils ont la fâcheuse tendance de savoir se matérialiser aux moments les moins pratiques.

Enfin, après tant d'années...

La revoilà.

Amy.
(Jonas E. Henderson)
Amélia Lindman

Âge : 36
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« Every great love starts with a great story »

RPS en cours : (*) Jonas
Warnings : violences conjugales, infidélité, rupture, enfance difficile, parents absents, précarité
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Amélia Lindman
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t176303-amelia-lindman-alicia-vikanderFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t176952-amelia-lindman-fiche-de-liens#8801753
Elle aurait dû reconnaître cette voiture parmi tant d'autres. C'était un premier signe qui aurait dû attirer son attention. Elle n'avait jamais vraiment prêté attention à ce genre de détails. Après tout, ce n'était qu'une voiture. Une voiture comme tant d'autres. Si on exclue la valeur sentimentale. Alors qu'elle s'avançait vers le véhicule en panne offrant son aide, elle s'immobilisa net dans sa lancée. Même de dos, elle pouvait le reconnaître. Jonas. Un flot de souvenirs l'envahissa. Un tsunami même. C'était comme si elle faisait face à un fantôme du passé. Non, littéralement, elle faisait face à un fantôme du passé. Combien d'années s'étaient écoulées ? Une éternité sûrement. En tout cas, pour elle, cela représentait une éternité. Il lui avait fallu du temps, beaucoup de temps, mais elle avait fini par faire le deuil de leur relation. Après plusieurs années, elle avait fini par abandonner le mince espoir de le revoir un jour. En tout cas, c'est ce qu'elle s'efforçait de croire depuis plusieurs années, jour après jour. Jusqu'à aujourd'hui. C'était devenu comme un sujet tabou, elle n'en parlait pas et personne ne lui en a parlé. Elle esquivait toute conversation ou situation dans laquelle son prénom pouvait surgir. Après des années de déni, c'est dire qu'elle n'était pas vraiment préparé pour ce moment. Mais est-on vraiment prêt un jour ? Le destin était vraiment cruel parfois. Toujours à frapper au moment où on s'y attend le moins, à l'endroit où on s'y attend le moins. Prendre la fuite ? Revenir en arrière ? Remonter le temps ? Effacer ce moment ? Il était décidément trop tard pour faire comme si de rien n'était. Elle ne pouvait pas se tromper de personne, impossible. Elle ne savait pas si elle devait avancer ou rester à sa place : même si elle le voulait, son corps était comme figé, immobile. Que dit-on dans ces moments là ? Bien sûr qu'il y avait tellement de choses qu'elle aurait voulu lui dire depuis toutes ses années. Depuis ce Noel, où elle avait pris la décision pour eux deux que c'était fini et qu'ils ne se reverraient plus. Mais, ce n'est tout simplement pas le genre de choses qu'on dit sur le bord d'une route. Tout paraîtrait bien ridicule aujourd'hui. Les silences avaient toujours eu une fâcheuse tendance à la rendre mal à l'aise, tellement mal à l'aise qu'elle cherchait à chaque fois à tout prix à les combler. C'était plus fort qu'elle quand elle était gênée ou mal à l'aise. Souvent maladroitement. « Je suis surprise de voir que tu as encore cette voiture, je n'aurai jamais pensé qu'elle aurait tenu aussi longtemps. » Enfin, non, elle n'était pas vraiment surprise. Elle savait à quel point il y était attaché, mais, pour être honnête, elle pensait que cette voiture l'aurait lâchée plus tôt depuis toutes ces années. A l'époque, elle n'était pas déjà des plus fiables. « Si tu me dis que que tu n'as pas besoin d'aide, ok, je n'insisterais pas. Mais, si ce n'est pas le cas, laisse-moi t'aider. » Elle se doutait bien qu'elle était sans doute la dernière personne sur terre de qui il accepterait de l'aide, sans doute la dernière personne sur terre qu'il souhaiterait revoir. Même dans ses pires cauchemars.
(Amélia Lindman)
Jonas E. Henderson

Âge : 39
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[2] bank of america (sue)
[3] knockout (scarlett)
[4] six pack of beer (taylor)
[5] mocktail (willow)
[6] hair of the dog (georgia)
[7] absinth (casey)
[8] lemonaid (leslie)
[9] shots (andy)
[10] white russian (izzy)
[11] virgin fruit punch (april)
[12] pumpkin spice shitshow (tg · micah)
[13] irish trash can (luke)
Warnings : dettes, alcool, attentat (bombe), relations familiales tendues/complexes, rupture
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t174783-jonas-e-henderson-miles-bugbyRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t175823-jonas-e-henderson-repertoire-de-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t174886-jonas-e-henderson-fiche-de-liens
tw: language familier

____

« ... Charlie. »

Crocs acérés, poings refermés. Évidemment que tu te braques dès le début. Tu n'sais faire que ça: te braquer. T'avais lu sur un livre (pas dans, sur: pourquoi perdrais-tu ton temps à lire autre chose que son titre?) que les vrais hommes ne parlaient pas de leurs sentiments, et ça t'avait marqué. T'avais pris cette fâcheuse tendance à masquer tes émotions. Combien de fois te l'avait-elle reproché? Elle supportait pas que tu restes là, à ruminer dans ton coin, à chaque dispute. Que tu n'exprimes jamais ce que tu ressentais réellement. Que tu ne communiquais pas. T'avais toujours su, au fond de toi, que c'était pour ça que votre histoire allait finir par capoter, un jour. Et pourtant, ça restait plus fort que toi: incapable d'exprimer tes foutues émotions.

« ... Elle s'appelle Charlie. »

Alors tu fais c'que t'as toujours fait: tu projettes, tu sublimes. Transposes ta rage sur autre chose. En l'occurence, le nom de ta bagnole. Car c'est plus simple de lui reprocher d'avoir oublié le nom de ta caisse que de lui reprocher de t'avoir largué comme une merde. C'est plus simple de lui en vouloir de pas se souvenir d'un détail aussi con que de lui en vouloir de t'avoir brisé le coeur. Et surtout, c'est plus simple de rester froid que de tenter d'être agréable. Parce qu'au fond de toi, tu sais que si tu fais pas suffisamment gaffe, tu finiras par le lui admettre.

Elle te manque.

Comme l'eau manquerait à un assoiffé et la nourriture manquerait à un affamé. Tu l'as dans la peau, depuis votre premier baiser. Chaque caresse, inscrite sur ta chair comme des cicatrices. La nuit, elle hante tes rêves, les transformant en cauchemars. Bientôt dix ans que tu l'as dans la peau, ses souvenirs te marquant comme des tatouages que tu n'as jamais désiré.

Elle te manque. Tous les jours. Sans faute. Depuis presque dix ans.
Mais ça, t'es bien trop fier pour le lui admettre.

C'était elle qui t'avait quitté. Elle qui n'voulait plus d'toi, parce que t'étais pas assez bien. Elle qui était responsable. Pour toute ta solitude. Et tu préfèrerais crever que de lui donner satisfaction de savoir que t'avais jamais réussi à l'oublier.

« ... Nan, ça va aller, merci. On en a vu d'autres. » La voilà de nouveau, ta putain de fierté. Trop fier, trop con, pour accepter de l'aide. Alors que t'es littéralement là, au beau milieu de nulle part, avec une bagnole qui rend l'âme. Comme un con. Tu sais déjà que tu vas donner un coup de pied aux pneus de Charlie une fois qu'elle sera repartie. Mais t'assumerais jamais qu'elle t'aide. Ta fierté prendrait trop cher. « Charlie, elle est fiable. Elle m'abandonnerait pas comme ça. Pas vrai Charlie? » Tu tapotes le capot de la voiture, comme ça, pour te donner un genre. Le sous-entendu est si explicite que t'aurais pu le dire de vive voix: ça aurait eu le même effet. Elle m'abandonnerait pas comme toi. Malheureusement tu vises mal ton coup et pose ta main sur la partie brulante du capot, qui fume de plus en plus sérieusement. « AH PUTAIN, NIQUE! » T'as jamais été particulièrement courtois, mais faut admettre que c'est pas ta plus belle heure, pour le coup. Elle avait jamais aimé cette tendance que t'avais à jurer en permanence. Mais bon. T'étais comme ça. Et ça t'avait toujours suffi.
(Jonas E. Henderson)

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